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Moha et moi avions passé la nuit dans les bras l'un de l'autre comme si c'était la toute dernière , il était heureux par moment et triste dans d'autres mais je n'y prêtais par trop attention à vrai dire je n'y arrivais juste pas sous le coup de  ses caresses et ses doux baisers. Après la prière je me suis écroulée sous la fatigue, nous étions en train de dormir à point fermé lorsque la porte s'ouvrit brusquement sur lui et il me tira du lit avec brutalité et tout se passe tellement vite que je me suis retrouvée par terre avec une belle gifle.
Le voir devant moi tout mon être tremblait il avait ce regard de tueur,  de dégoût qu'il portait sur moi Moha c'était réveiller en sursaut et apparue à mes côtés pour l'empêcher de me gifler de nouveau

Papa: COMMENT OSES TU ? LÂCHE MA MAIN.

Moha: vous ne toucherez pas ma femme devant moi et cela avec tout le respect que je vous dois

J'étais figé par terre,  mes larmes coulaient sans cesse mon père était là pour moi, pour nous séparer,  ils étaient là à s'affronter du regard .

Papa: Nabou lève toi et suit moi

Moha: ma femme ne bougera pas d'ici.

Papa: Et je me fiche de ce que tu  viens de dire ne vois-tu donc pas comment tu l'as fait souffrir ?

Moha: je vous arrête tout de suite , c'est vous qui lui infliger tout ça

Moi: arrêtez... S'il vous plait ( pleure) 

Ils me regardent tous les deux,  Moha s'accroupit à mon niveau caressant ma main et ma bague

Moha: Je ne veux pas que tu t'en ailles

Moi : je dois y aller,  s'il te plait regarde moi

Il ne le fait pas pour autant toujours là à fixer ma main je pris son visage dans mes mains

Moi : pour toujours Moha,  tu t'en souviens

Lui:.... Pour toujours Zey

Il m'aide à me relever je n'ai pas eu le temps de me changer car mon père me tira vers la sortie,  j'ai failli me casser la gueule à plusieurs reprises mais il ne c'est même pas retourner.  Arriver à la voiture il ouvre la porte et me jette à l'arrière,  vous dire que je ne redoutais pas ce qui allait suivre serait vous mentir tel que je le connais ça ne s'arrêtera pas là.  Je pleurais toute mes larmes,  il conduisais comme un malade lorsque je ne cessais de lui demander pardon, j'avais trop peur tellement peur que j'avais l'impression de manquer d'air. Quelques minutes plu tard la voiture s'arrêta et pas la peine de vous dire qu'il m'a trainer hors de la voiture jusqu'à la porte.

Moi: papa( pleure)  je.. Je t'en prie  écoute moi papa, ne laisse pas maman me voir dans cet état là... papa s'il te...

Rien à faire,  il ouvre la porte et me jette aux pieds de ma mère  j'avais tellement honte,  je ne portais qu'une chemise de nuit et mes sous-vêtements en dentelles noires plus que transparente et cerise sur le gâteau  il y avait  Hawa aussi et dès qu'elle m'a vue j'ai senti sa culpabilité.

Mah: BISIMILLAHY KARIM MOUN KAIRA? ( KARIM QU'EST-CE QUI SE PASSE).... TU VEUX TUER NABOU C'EST ÇA ?

Papa: REGARDE COMMENT TA FILLE SE COMPORTE MAINTENANT ? REGARDE LÀ COMMENT ELLE EST HABILLÉ,  QUELLE HONTE ELLE M'A FAITE .  JE PASSE POUR QUOI MAINTENANT MOI KARIM SIDIBÉ,  JE CHERCHAIS À ARRÊTER CET ENFER QU'ELLE VIT MAIS NON ON DIRAIT QUE C'EST CE QU'ELLE VEUT.  PENDANT QUE JE ME BÂTS POUR ELLE,  TA FILLE N'A TROUVÉ AUCUNE AUTRE MANIÈRE DE ME REMERCIER QUE D'ALLER COUCHER AVEC  QUELQU'UN QUI DANS QUELQUES HEURES SERA SON EX MARI

Moi: non papa pas ça s'il te plait  Maman je ne veux pas divorcer  (Dis-je en pleurant, je n'avais plus de voix)

Mah: KARIM NABOU NE DIVORCERA PAS PARCE-QUE TU L'A DÉCIDÉ   TU M'ENTEND,  LÂCHE MA FILLE ET TU AS RAISON  C'EST MA FILLE  DONC LÂCHE LÀ  TOUT DE SUITE

Hawa le suppliait mais c'était comme si cela envenimait les choses.  Il me tira par les cheveux et me traina jusqu'à le cuisine sous les cris et tentatives de ma mère et  de Hawa,  je hurlais de douleur mais ça ne faisait que commencer. Il ferme la cuisine et me regarde il y avait les papiers du divorce et un stylo ,  tout était préparé.

Papa: Zeynabou  Sidibé tu vas signer les papiers du divorce!

Moi: Non !

Il me donna une grosse gifle , pendant que ma mère frappait à la porte Hawa criait pour qu'il arrête de me battre.

Lui: je ne me répéterai pas  Nabou TU SIGNES CES FOUTUS PAPIERS TU M'ENTENDS

Moi: mais je l'aime papa...(pleure)  Je ne veux pas divorcer s'il te plait ... je t'en prie ne nous fait pas ça....Amir est tout pour moi.... Papa il est toute ma vie... je...  je l'aime(m'offusqu'ai-je )  

Lui: jamais tu ne m'as désobéi et ça ne commencera pas aujourd'hui.

Il me met debout de force en me disant de prendre le stylo et de signer mais j'ai encore refuser

Moi: Je... (Pleure)  je ne peux pas,  je ne veux pas divorcer,  je l'aime  papa. Je l'aime comprend le (en le regardant)

Cette fois ci il c'est mit à me ruer de coup je criais en appelant ma mère et ma soeur comme si elles  y pouvaient faire  quelque chose,  un moment donné je n'ai plus entendu le cris de ma mère seule Hawa hurlait  à l'aide je pleurais,  je le suppliait d'arrêter

Lui: SIGNE CES PAPIERS !

Moi:... N... Non( tousse)... Je... Ne si-si-gnerai pas 

Lui: TU VAS LES SIGNER OU JE NE M'APPELLE PLUS KARIM NABOU

Chacun de ces mots était accompagner de coup,  Je n'avais plus aucune force de pleurer à plus forte raison de crier je commençais à fermer les yeux lorsque j'entendis un gros bruit et je vois  Ibou complètement  déboussolé  il poussa mon père de toute ces forces 

Ibou: MAIS T'ES DEVENU FOU D'OÙ TU LA FRAPPES COMME ÇA,  T'ES COMPLÈTEMENT MALADE TU VEUX LA TUER C'EST ÇA ? 

Papa: NE ME PARLE PAS SUR CE TON FILS!

Ibou: TU NE MÉRITE PAS QUE JE TE PARLE TOUT COURT ,  COMMENT OSES TU LA FRAPPER AINSI? T'AS CRU QU'ON ÉTAIT AU MOYEN ÂGE POUR QUE TU LUI FASSE ÇA,  JE JURE QUE SI TU L'A RETOUCHE J'APPELLE LA POLICE.

Abdoul : MAIS QU'EST-CE QUI TE PREND PAPA,  TU VOULAIS TUER MAMAN ET NABOU MAINTENANT ? MAMAN EST ÉVANOUI ET OÙ EST NABOU.

Et dire qu'il ne m'avait même pas remarqué tellement j'étais plié sur moi même derrière le comptoir,  je crois que c'est là  qu'ils ont vus mon état,  qu'ils étaient ébahi,  j'avais atrocement mal je me mis à pleurer de nouveau

Moi: maman je ne peux pas divorcer ( murmurai-je)...Moha je veux pas l'abandonner... ( pleure)  

Je ne pouvais plus bouger ma peau me brûlait de partout, j'étais comme paralysé.

Papa: tu vas signer oui ou  non?

Ibou: J'ARRIVE PAS À Y CROIRE,  REGARDE CE QUE TU LUI AS FAIT ET TU OSES CONTINUER AVEC  TES PUTAINS DE PAPIERS.

Le pire allait se passer maintenant car lorsqu'il  s'énerve il ne contrôle plus son langage ni son franc-parler. Mon père avança vers lui et lui décrocha une droite  Abdoul accouru pour intervenir mais il était apparemment loin vue que je ne le voyais pas,  voulant lui en donner une autre Ibou pris son point et l'arrêta. Ne voulant pas voir mon frère commettre l'irréparable j'intervins sans savoir d'où me venait cette force.

Moi: je vais signé ( dis-je avec une faible voix) ..... Je.... Je vais signé les... Les papiers du divorce  (pleure) 

J'essayais de me tenir sur pieds en captivant leur attention du mieux que je pouvais et faire  ce qu'il y avait à faire ,  Abdoul tenait Ibou et le fit sortir de la pièce mais il ne manqua pas à son dernier mot.

Ibou: t'es tout seul maintenant ,  à  partir de maintenant et sache que tu n'as plus qu'un fils lui( à  Abdoul)

Abdoul revient  et me regarde  avec peine et se fraye son chemin depuis la porte jusqu'à moi sans accorder un seul regard à mon père

Moi: pour ton honneur papa,  c'est ce que tu m'avais dit et j'ai accepter ce mariage tu t'en rappelles? mais c'est fini,  je ne suis plus sa femme pour ma part(pleure) pourquoi tu m'as fait ça papa ? Pourquoi m'obliger à me marier et l'aimer de force si c'est pour me séparer  de lui aujourd'hui,  jamais je ne te le pardonnerai. Je n'oublierai jamais cette douleur que tu as causé en moi cette solitude et j'espère que le regretteras. 

Papa : alors tu n'as plus rien à faire ici

À  l'attente de cette phrase je ne sentis plus mes jambes qui  tremblaient déjà.

Abdoul : zeyna,  Zeyna ( venant vers moi à toute vitesse)

  je m'efforçais a rester debout mais je finis par terre effondrer et là plus rien .

Hôpital *****

Dans la peau de Ibou

J'ai tout cassé chez mon père absolument tout en partant avec ma mère inconsciente et Hawa. On a dû attendre l'ambulance parce que Abdoul avait peur qu'on ne fasse plus de mal à Nabou en la porta nous même, je ne savais ni quoi dire aux médecins ni aux policiers qui vont prendre sa déposition et sur moment je m'en fichais totalement, après tout il  mérite la prison après un tel horreur. À vrai dire jusqu'à présent je n'arrive pas à réaliser que je parle de mon propre père.

Moi: après avoir perdu le bébé, elle s'est d'abord faite battre chez elle, elle a ensuite passé deux semaines pour retrouver un visage normal, il l'a ensuite enfermé dans sa chambre l'empêchant de voir son mari et son fils et quoi d'autre encore ?

On était tous dans le bureau d'Abdoul sauf mon père évidemment et personne n'arrivait à me regarder. J'ose même pas imaginer si Marie apprenait tout ça.

Abdoul : c'est... c'est tout Ibrahim.

Moi: ah c'est tout , t'es sûr qu'ils ne l'ont pas enchaîné dans une partie de l'histoire que tu aurais volontairement omis de me dire tu es sur qu'ils ne l'ont pas non plus

Abdoul : calme toi Ibrahim ne crie pas s'il te plaît je sais que tu es en colère contre nous de t'avoir cacher tout ça et tu as parfaitement raison mais( dit-il avec regret)

Moi: TU M'ÉTONNES QUE J'AI RAISON ET NE ME DEMANDE SURTOUT PAS DE ME CALMER. JE T'AI CONFIÉ NABOU JE T'AI DEMANDÉ DE M'INFORMER SUR TOUT CE QUI LUI ARRIVERA COMME CRASSE JE T'AI FAIT CONFIANCE À TOI ABDOUL , JE NE SUIS PAS EN COLÈRE CONTRE TOUS JE SUIS DÉÇU PROFONDÉMENT J'AI L'IMPRESSION DE PLUS FAIRE PARTIE DE LA FAMILLE

Amy: ce n'est pas ça enfin ( en séchant ces larmes) Nabou ne veut jamais rien te dire et

Moi: bien-sûr que c'est ça , je ne fais plus partie de la famille, vous savez pourquoi j'ai débarqué ici sans prévenir ? Parce-que à chaque fois que je me rappelais de Nabou j'avais soudainement peur sans raison, j'ai débarqué ici parce-que je me suis laissé guidé par mon intuition. Nabou c'est plus que ma sœur c'est ma jumelle c'est ma moitié Amy , comment vous avez pu me faire ça vous croyez que je le ne saurais pas ?

Personne ne plaçait mots suite à ça.

Moi: très bien je sais ce qu'il me reste à faire maintenant.

Mah: que comptes tu faire à présent ?( Dit-elle faiblement)

Moi: l'amener avec moi. Nabou viendra vivre à New York avec moi vu qu'il n'y a plus de mariage.

Quelques jours plus tard

Moi: tu sens mieux qu'hier ?

Nabou : oui...il...il n'est pas venu aujourd'hui non plus ?

Moi: je t'ai promis que j'irai le chercher ce soir non?

Elle : o-oui ( souffle t'elle)

Moi: zeynab je sais que les choses vont être plus que difficile maintenant pour toi encore plus que nous surtout que...

Elle: surtout que quoi? ( Dit-elle inquiète)

Tome 1

Elle : bien-sûr que si! C'est juste que j'ai pris l'habitude avec papa qu'il prenne toutes les décisions importantes de ma vie ( rire) regarde moi maintenant suis-je en position de refuser quoi que ce soit en ce moment ?...

Mon silence fut aussitôt une réponse pour elle

Elle: ne t'inquiètes pas te concernant je sais que ça me conviendrait.(sourire)

Moi: d'accord je suis un soulagé là et...

Elle : pardonne-moi (pleure) pardonne-moi de t'avoir tout cacher s'il te plaît, je je pensais bien faire alors que non. J'aurais dû te prévenir mais j'avais trop peur que tu ne penses comme papa que tout est de la faute à Moha alors

Moi: tu m'as vraiment cru capable d'une telle chose, tu m'as vraiment comparer à lui Nabou ?

Voyant que je vais dans mes propos je baissai de ton immédiatement.

Moi: je suis désolé, je ne voulais pas te parler ainsi.

Elle : c'est pas grave

Moi: arrête de répéter sans cesse que ne ce n'est pas grave alors que si ! Et d'ailleurs je vais le chercher même si je dois niquer cet imbécile je le ramène tout de suite parcequ'on a plus de temps et ne t'en fais pas Samir viendra dans peu de temps ( dis-je en sortant)

''''''''''''''''

J'arrive devant la maison qui était il y a à peine quelques jours celle de ma sœur. Je sonne mais personne ne répond.

Moi: écoute bien ce que j'ai à te dire Mohamed, c'est ta dernière chance de la revoir tout le monde est passé te voir mais tu n'as fait que refuser de les laisser entrer. Je compte l'amener à New York avec moi t'as compris gros ?

: Oui j'ai bien compris

Aaargh😰 putain la frousse et la froideur dans sa voix frère.

Moi: putain d'où tu sors ?

Lui: de chez Omar je voulais pas déranger Kader, t'as pas intérêt à lui répéter ça sinon si je meurs je t'amène gros! Pousse toi je vais ouvrir.

Je ne me ferai pas prier deux fois

Moi : je pensais que ça allait ressembler à une porcherie sans ma sœur mais je le trompe c'est toujours aussi propre chez toi🤗

Lui: t'as cru que j'étais un clochard 😒?

Moi : tu t'es regardé dans un miroir avant de sortir ?😒

Lui: pfff...je suis finit sans elle ( la tête entre les mains en pleure)

Moi: mec fait pas ça putain je veux pas non plus chialer et puis c'est juste pour un bout de temps après vous aller la refaire votre vie.

Lui: tu ne peux pas comprendre, mon père en a marre cette fois-ci il ne veut plus rien à faire avec ton père, il dit que c'est finit et c'est la première fois qu'il me dit ça.

Je le console du mieux que je peux je sais qu'il a raison d'être en colère après tout c'est son fils que Karim Sidibé prenait pour fautif mais là il a été trop loin et je ne peux que comprendre son point de vue même s'il est difficile de l'admettre.

Lui: ça lui fera du bien d'être loin de tout ça mais avec la presse tu crois que ça ne sera pas pire là bas ?

Moi: je l'ai vu dans tous ses états et je suis prêt à en prendre le risque et la responsabilité que cela va engendrer. T-tu pourras venir la voir quand tu seras prêt et pourquoi pas l'épouser de nouveau.

Lui: je vais me ranger un peu et faire les affaires de Samir , donne moi quelques minutes je reviens.

Moi: d'accord prend que le strict nécessaire pour Samir et Elle le reste je m'en occupe, le vol c'est dans quelques heures.
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Après être arrivé à l'hôpital avec Samir et Mohamed c'était le stress total pour lui , il resta plusieurs minutes à la porte avant de rentrer. J'espère juste que ça se passera bien là bas.

Dans la peau de Zeynabou

Je regardais la télé lorsqu'on frappa à la porte. Après répondu instantanément par l'affirmative la personne ne se décidait toujours pas à rentrer, un sentiment de déjà vu alors au moment où je décide d'aller ouvrir, la personne me devança.
Le voir franchir cette porte et se mettre devant moi me laissait sans voix, je voulais hurler, le frapper, l'embrasser et serrer contre moi en même temps. Tout ce mélange de sentiments me laissait paralyser devant avec des larmes chaudes et incontrôlables.

Lui: Zey...

Mon nom, c'était le même nom mais que j'entendais plus mielleux au bon souvenir de notre dernière nuit passée ensemble. Je ne pu me contrôler, la main alla à l'encontre de sa joue, il ne bougeait pour autant.

Moi: comment oses tu? Ça fait plus de deux semaines que je suis réveillée dans cet hôpital et tu n'as même pas daigné de venir me et là tu m'appelles comme ce soir là tu ...

Au souvenir de ce doux moment il m'embrassa si intensément et si sensuellement que je ne pu m'empêcher de répondre.

Lui: reste, reste encore, avec moi et et pour toujours c'est ce que tu m'avais promis ne pars pas s'il te plaît ( murmura t-il contre mes lèvres)

Moi: Amir... Je ne veux pas non plus mais c'est le mieux pour nous pour le moment et de quoi est-ce que tu parles ? Où est-ce que j'irai ?

À l'entente de mes questions je vis les larmes de l'une des personnes que je chéris le plus au monde.

Moi: Pleure pas s'il te plaît ( en pleure) toi et moi c'est pour toujours hein ? Tu comprends n'est ce pas ? C'est juste pour que tout ça se calme ok ? Je suis toujours... toujours à toi Amir et ce n'est pas ce fichu divorce qui changera ça .

Lui: tu m'as manqué et tu me manques toujours jusqu'à cet instant précis, Zey je deviens parano sans toi , je suis encore plus fou de toi, dis-moi comment faire ? Comment est-ce que je dois tenir le coup ? Comment est-ce que je dois survivre sans toi à mes côtés ?

Que pouvais je dire? À part le serrer contre moi je ne pouvais rien faire de plus.

: Vous ne pouvez pas !

Moi: qu'est-ce-que...

: Monsieur Mohamed Amir Bah vous êtes en état d'arrestation pour  tentative de meurtre, tout ce que vous direz pourra et sera retenu contre vous , vous avez droit à un avocat si vous n'avez pas les moyens un vous sera commis d'office...

Moha: Nil? Que se passe-t-il ? C'est quoi ce bordel ?

Nil: ôtez lui ces putains chaînes  ( en criant), je me fiche que se soit la procédure (en coupant la parole à un officier)

Ibou: c'est quoi ces conneries bordel?

Nil: je peux tout vous expliquer, le soir où ils sont passés agresser ta femme. Tu t'en ai pris à l'un d'entre eux et il s'appelle Gaëlle Dia ,il il se trouve actuellement en la vie et la mort, l'enquête à révéler que tu as été la dernière personne à l'avoir vu.

Moha: ça fait bientôt un mois et tu ne crois pas que toutes cette histoire est tiré par les cheveux ? Tu crois que je l'ai laissé pour mort ce soir ? NIL IL ÉTAIT BIEN PLUS EN VIE QUE TU LE PENSES.

Nil: je sais putain , il t'as accusé juste avant d'aller en coma l'enquête ne fait que commencer pour le moment tu es sur en garde-à-vue.

Moi: je ne crois pas non, il est accusé de meurtre Nil

Nil: Zeynab il doit y avoir des témoins et nous les retrouverons pour prouver son innocence.

Moha : je l'espère bien, cette fois tâche d'être efficace.

Ibou: attendez vous ne pouvez pas l'amener comme ça accordez leur juste cinq minutes Nil.

Nil: je ne comptais pas le faire ne t'inquiètes, on attend dehors.

Ils sortent tous nous laissant rien que tout les deux.

Moi: Moha

Lui: il était vivant et il y avait des témoins, Aziz est venu me chercher et il y avait sa voisine , je suis sûr que ça dû dégénérer avec sa complice et il veulent me faire porter le chapeau mais je règlerai cette affaire d'ici deux semaines, tu peux me croire. Samir amène le avec toi d'accord ? Dès que tout ça sera réglé je viendrai moi même et Zey n'oublie pas que je t'aime d'accord ?

Moi: je j'ai compris, je t'aime aussi ( en lui faisant un câlin)

Lui: tu vas me manquer ( en sortant)

Moi:  t-toi aussi (dis-je en sanglots)

Je m'écroule au sol face à tant d'épreuves et de désespoir. Plus tard Ibou me rejoint ainsi que la famille comme ces derniers jours.

Tante Haby: qu'est-ce-qui lui ai passé par la tête ?

Aziz : maman un homme est capable de tout pour sa famille et il était bien vivant lorsqu'on a quitté les lieux.

Tonton Djibril : vous avez complètement perdu la tête, c'était irresponsable de votre, je ferai de mon mieux pour que les choses se calment avec l'arrivée de la presse ce n'est pas gagné d'avance.

Ibou: Nous devons partir, il est presque que l'heure Nabou

Moi: où ?

Mah: À New York ma chérie

Tante Haby : les jumelles vous accompagneront, les affaires de Samir et les tiennes sont déjà prêtent.

Tonton : c'est la carte qu'il a m'a demandé de te remettre, Sauraya vous rejoindra dans une semaine.

Amy: et nous dans deux jours

Hawa: je vais rester avec toi comme tout le monde tu ne te sentiras pas seule tu verras.

Moi: c'était donc ça ? Tu veux m'amener avec toi .

Ibou: c'est le mieux pour t'éloigner de tout ça .

Jordan : il a raison, il faut que tu changes d'air .

J'avais Samir qui jouait sur mes genoux sans se douter de quoique ce soit, pauvre petit être.

Moi: si vous venez tous avec moi qui sera là pour lui?

Tonton : je serai là tout comme Aziz et tout le monde, c'est juste pour un temps qu'ils te rendront visite et c'est ce désir Mohamed également.

Ibou: je compte retourner ici la semaine prochaine afin de te rassurer au mieux c'est bon?

Mah: avec la nouvelle saison qui commencera bientôt et tout ce vacarme en bas ça ne jouera pas sur ta carrière ?

Ibou: tout ça importe peu maman, c'est la famille ma première préoccupation et ça ne risque pas de changer. Alors Nabou ça te va ?

Moi: non mais j'accepte de...de partir
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Désolée pour les fautes et le retard j'espère que la partie vous a plu

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Musique du jour
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🥰❤️ Coldplay FT BTS ✨❤️🥰

Avec

✨❤️My universe ✨❤️