~Je ne peux pas tout te donner maintenant, ça prendras du temps.
Assez de temps~
      

LEILA

Tayeb : Mmh et alors ?

_Bah écoute moi un temps soit peu lorsque je parle, ça évitera toute cette cogitation.

Il ne dit rien et sort de la chambre.
C'est ça que je n'aime pas chez lui,il a beau être mature et responsable,il semble constemment fuir certaine conversation et ça m'énerve à un point.

Il est constemment en train d'offrir des présents aux enfants,je suis bien consciente qu'ils les adores et qu'il leur offrirait le monde si besoin mais à un moment,il faudra bien arrêter.

Je tiens à inculquer certaines valeurs à mes enfants et le mérite est une valeur très importante pour moi,faudrait pas qu'ils reçoivent tout sur un plateau d'or sans comprendre pourquoi ils les reçoivent.

Ils sont certe encore jeune, très jeune mais tout commence par cette phase de leur vie.

Pour moi c'est important qu'ils comprennent que pour obtenir ce que l'on veut,il faut payer un prix,il faut bien se donner les moyens pour l'obtenir et surtout il faut le mériter.

Et c'est ce que Tayeb ne veut pas comprendre,j'ai l'impression qu'il pense que je ne veux pas de lui dans la vie de mes enfants,c'est bête mais j'ai vraiment l'impression que c'est ce qu'il ressent alors que pas du tout, voilà pourquoi j'ai besoin de communiquer avec lui mais ça aussi c'est impossible.

Ça commence déjà bien.
Ça fait déjà trois mois que j'ai décidé de lui donner une chance,on ne vis pas ensemble car nous ne sommes pas encore mariés.
Il passe parfois des nuits avec nous et nous avec lui chez lui mais c'est sans plus.

Je veux bien me donner une seconde vie et aussi une meilleure vie à mes enfants,je pense qu'une présence masculine sera importante pour leur épanouissement.
Avec Tayeb on ne se prends pas la tête,on faira certe les choses dans les règles mais pas maintenant.

Ça viendras avec le temps je pense,il est très compréhensible et ça m'envoie tellement ravie,il voulait qu'on fasse le hlel pour éviter d'être dans le haram mais là je ne suis pas du tout prête,c'est au dessus de mes forces pour le moment,je sais que je ne prends pas la bonne décision mais tout changeras bientôt.

Bref, là je viens de terminer mon masque,j'ai bien fais mon soin de visage alors j'ai le visage tout doux tout beau mdr.

Je me met à changer les drap puis une fois terminé je sors dans le salon,pas de Tayeb.

O...kay.

Je pénètre dans la cuisine et le vois poser dans l'un des sièges faisant face au plan de travail,je me dirige vers lui et le regarde.

Il est trop beau,je pense que je vous l'ai déjà dis et répéter mais il respire tellement le charme.

Il a un ensemble survet blanc qui met bien son teint mat en valeur,un bracelet homme or qui sublime son poignet et une paire de Jordan 4, ça fait simple mais grave efficace.

Il lève la tête et ses yeux bleues se posent sur moi.

_ T'a mangé déjà ?

Lui : ...

_ ...

Il me regarde comme un taré,je ne comprends rien à ma vie quand il me tire d'une vitesse dans ses bras.

Il me cale dans ses bras en jouant avec mes cheveux que j'ai défait et lavés hier.

Il sent bon.

Lui : T'es magnifique.

_ Merci baby. L'embrasse dans le cou

Il me met face à lui puis me caresse le visage

Lui : On se mari quand ?

_ Dans pas longtemps, t'inquiète pas. Souris

Lui : Churchaute Putain.

Il rapproche son visage du miens puis me saisit la nuque.
Il m'embrasse tendrement toutefois avec une passion qui m'irrite presque.

Je me détache de ses lèvres pour le regarder dans les yeux.
Je vois bien comment il est fou de moi et ça me rends limite folle à mon tour.
Bizarre je sais.

Je pose mes mains sur chacune de ses joues puis pose mes lèvres sur les tiennes.

Je l'embrasse proprement puis le manque d'air nous éloigne de nos lèvres respectives.

Je lui pose un dernier smack sur la bouche puis pars vers le réfrigérateur.

_ Tu mange quoi totay ?

Lui : Pose son tel sur le plan Tout ce que tu veux.

_ Mmh.

Je sors tout ce dont j'ai besoin pour cuisiner des pancakes,une salade de fruit,jus de fruit.
Je sors aussi le deguê que j'ai fais hier,les croissants et les pains au chocolat.

Bref,je termine de cuisiner tout ça en 20 minutes ou plus,je pose tout sur la table à manger avec son aide puis on se pose pour manger.

Je pose la moitié des pancakes dans le frigot pour les enfants,ils adorent ça.
Au passage,nous sommes tout seul parce que les enfants sont avec leur cousins,oui ils sont constemment ensemble.

On termine de manger,je debarasse la table puis je me dirige vers lui qui est déjà dans un sofa devant la TV.

Je me pose avec mon ordi,et lui il a son tel dans la main pour ne pas changer.

Je consulte certains de nos comptes professionnels et quelques mails.
Oui, même à la maison je taf,il le faut.

Tayeb : Me tire dans ses bras Tu ne te repose jamais l'esprit toi.

_ Il me faut de l'oseille, ça ne tombe pas du ciel tu sais.

Lui : Mmh,tu sais bien que je te donne plus que ce tu désire et il en restera plus que beaucoup pour plusieurs années à venir.

_ Mmh mais on en a déjà parler ça,je ne dépend pas d'un homme,je sais ce dont j'ai besoin et ce que je veux,surtout ce que je mérite alors il faut bien que je travaille pour ça.
Il faut que l'argent soit à débordement, il doit en avoir à craquer.

Lui : ...

_ Tes parents.

Lui : Quoi mes parents ?

_ Ta famille.

Lui : ...

_ Jusqu'à présent tu ne m'a jamais parler d'eux.

Je le vois se mettre debout.
Encore une fois,une fois de plus il veut fuire la conversation.
Je me redresse à mon tour et le regarde partir.

_ Oui,vas-y.
Comme toujours tu fuiras nos importante discussion.
C'est très bien Tayeb.
Tu crois que j'aurai totalement confiance en toi si tu ne me parle pas ? Crois-tu que j'aurai le courage de partager ta vie si je ne sais exactement rien de toi ?

Il se retourne pour me faire face,puis de son regard autant neutre que désintéressé de d'habitude,il me lance ceci.

Lui : T'en sais déjà assez sur moi et crois moi le reste ne te serviras absolument à rien.

Je reste de marbre face à ses mots.
Je ne suis pas tant surprise,j'ai appris à le connaître et je sais de quoi il est fait.

La famille est une grande source de douleur pour lui,il n'a pas besoin de me le dire,je lis parfois en lui comme c'est le cas pour moi.

J'aurai juste aimé qu'il se confie à moi comme moi je le fais,j'aurai aimé qu'il me partage ses peines et j'aurai aussi bien aimé l'aider parce que c'est ce qu'il a fait pour moi depuis notre rencontre.

Sa manière d'agir me pousse parfois à avoir une très grande crainte à son égard.

Mais l'instant d'un contact avec lui fait disparaitre toute peur,car l'amour qu'il ressent pour moi se dévoile à travers son touché.

J'aimerais bien qu'il aille bien.
J'aimerai bien lui offrir une vie bien apaisée parce que je sais que sa vie est tout sauf apaisée.

Enfin bref,puisque monsieur est sortir par peur de continuer cette conversation qu'on avait entamé,je prends la décision de sortir.

J'ai bien besoin de respirer alors je me rends dans mon dressing mettre une tenue autant classe que confortable,je me parfume puis me fait un chignon naturel et efficace.

J'ai pas besoin de me maquiller,du moins j'ai bien trop la flemme pour ça.

Je récupère un sac à bandoulière que j'adore puis prends mes clefs.

Je grimpe dans ma voiture puis je roule en direction d'une demeure qui m'est chère.

Du moins,c'est bien la maîtresse des lieux qui m'est chère.

...

Ça fait à peu près cinqs minutes que je suis dans l'immence parking de la famille El-moustapha.

Je ressens tellement d'émotions en même temps,assez de sentiment qui se bousculent dans mon enceinte mais que j'essaie malgré tout de réffouler.

Je sors de ma voiture après avoir récupéré mon sac que j'accroche à mon épaule.

Je marche en direction de la maison,sur mon chemin je croise certains employés que je ne connais pas.
Ils me sourient alors je leur rends leur bonne humeur tout en leur souriant.

Sûrement de nouveaux employés.

Bref,je pénètre dans le château qu'est cette demeure.
Sa grandeur m'outrera toujours autant,quelque soit le nombre d'années,je serai constemment émerveillée par l'immensité et la noblesse de cette maison.

Rien n'a pratiquement changé ici, seulement quelques détails qui embellissent encore plus la maison.

Je vois Sania l'une des employés de confiance de Kelti Oumi.

Après que son regard se soit posé sur ma personne,un gigantesque souris apparu sur son visage.

Ça fait quand plus de deux ans que j'ai pas mis les pieds ici,les enfants venaient pratiquement tout le temps ici sous la demande de leur grande mère mais je ne venais jamais avec eux,parfois ils venaient avec Dior ou alors avec Kader.

Sania : LEILA ? Souris Soyez la bienvenue, ça fait tellement longtemps.

Elle avait presque couru vers moi mdr.

_ Petit rire Oui,il faut le souligner, ça fait vraiment longtemps.
Tu vas bien sinon ?

Elle : Al-amdoulilah,et vous ? Vous semblez allez mieux.

_ Que t'ai-je dis ? Évite de me vouvoyer Sania, ça fait assez longtemps que je te le répète et oui Al-amdoulilah je vais nettement mieux.

Elle : rire Oui c'est vrai,je suis désolée,je suis vraiment heureuse que tu aille mieux Leïla, qu'Allah te facilite encore et encore,tu le mérites.

_ Oh Amin, merci beaucoup ma chérie,c'est gentil.

Elle : souris C'est normal tu sais.

_ Mmh,dis moi Kelti Oumi est dans les parages ?

Elle : Oh oui,elle se trouve dans sa chambre.

_ Mmh d'accord,je te laisse ma belle, à bientôt Insha'Allah.

Elle : Oui Insha'Allah.

Je parcours les grandes et longues marches puis j'arrive au premier étage,de là je passe dans une sorte de couloir qui est tout juste trop beau puis emprunte l'ascenseur pour le second étage où se trouve les appartements de Kelti et Khali.

Bref,en à peine 5 minutes je parviens à atteindre le second étage.

Je longe le couloir qui dévoile une lignée de quatres chambres.

Je reconnais assez facilement celle de Kelti alors je m'approche d'un pas lent vers celle ci redoutant nos retrouvailles.

Je finis par toquer puis entendre la douce voix de celle qui représentais une sorte de mère pour l'amour de ma vie.

Elle me donne la permission de pénétrer dans sa chambre alors c'est ce que j'ai fais,sans hésitation.

La grandeur de la pièce m'a certe choqué mais la décoration m'a juste éblouir.
Elle est autant épurée de beauté et de douceur que la responsable des lieux.

Après ma contenplation des lieux mes yeux se posent sur Kelti Oumi qui est de dos à moi,fouillant l'un de ses tiroirs.

Toujours aussi élégante.

Elle : Dos à moi Oui ?

Je n'osais même pas parler,j'étais en quelques sortes obligée de lui signaler ma présence alors d'une voix presqu'inaudible,je dis ceci.

_ Kelti.

Dans ses gestes,elle effectue un ralentissement puis elle se retourne d'une vitesse pour me faire face.

L'expression de son visage démontrait qu'elle était très surprise de me voir,mais dans son regard,je peux déchiffré une grande joie mais aussi une touche de compassion.

Un souris sincère apparaît sur ses lèvres.

Elle : Benti?

_ Souris

Je marche jusqu'à atteindre son niveau puis d'un geste hésitant,je la prends dans mes bras.
Elle m'avait tellement manqué, elle m'a beaucoup trop manqué.

Mon cœur reste rassuré lorsque je la sens resserer l'étreinte puis me caresser le dos.

Sa douceur m'a toujours fais du bien.
Une minute plus tard,elle se détache de moi puis prend ma tête dans ses mains de sorte à m'embrasser le front.

Elle : Tu as beaucoup surmonté, Al-amdoulilah tu vas mieux souris

_ Je suis désol...

Elle : Stop,je n'ai aucune once de rancune ou de haine envers toi Leïla,je ne pourrai jamais comprendre ta douleur, tout ce que j'aurai pu faire,c'est de compatir et crois moi j'ai compatis à ta douleur.
J'ai compris qu'il te fallait du temps pour te relever et même si tu ne relèverait pas totalement,tu seras au moins sur pied.
Et c'est le cas aujourd'hui Al-amdoulilah.

_ souris Heureusement que t'es là,tu m'a trop manqué.

Elle : rire Toi aussi tu m'a manqué ma fille,t'es toute belle malgré tout.

_ petit rire Pas autant que toi en tout cas.

Elle cherchait un carnet de note dit important alors je l'ai aidé à le retrouver puis nous sommes descendus faire des activités typique Oumi.

...

Quelques heures plutard.

Il est 3h de l'après midi et je viens de dire au-revoir à Kelti Oumi.
On a passé une merveilleuse journée elle et moi, ça m'a fais plaisir de la revoir.
Là,je viens de me garer dans le parking de la Villa que j'ai offert à mes parents.

Ça fait 3ans que je leur ai acheté cette maison mais compte tenu de sa grandeur et de leur attachement à la vie de cité,ils ne voulaient pas emménager dans l'immédiat.

Ça fait exactement deux semaines qu'ils sont revenu du bled et qu'ils y ont finalement emménager.
Je suis trop contente pour eux,cette maison leur correspond vraiment,elle est autant paisible que bien située.

Elle n'est pas trop loin de nos habitations à Ayoub et moi alors on pourras débarquer quand on veut.

En plus elle contient un grand jardin,l'endroit préféré de ma mère après la cuisine mdr.

Je suis fière du bonheur que j'offre à mes parents,ils le mérite amplement et ils méritent encore plus.

Je ne cesse de dire Al-amdoulilah car sans la grâce d'Allah,je n'aurai jamais eu les moyens nécessaires pour tout ça.

Bref,je sors de ma voiture puis je pénètre dans la maison.

La décoration est juste parfaite,ma mère a quand même du goût mdr.
Elle a bien décoré chez elle en fonction de ses origines et celles de mon père,c'est à dire quelques objets et meubles sénégalais mais aussi malien.

J'aime trop,c'est trop beau.
La maison est surtout conviviale,c'est ce que je kiff.

Bref,je me fais accueille par Coumba,l'une des deux cousines que ma mère a ramener du bled,compte tenu de leur études qu'elles souhaitent terminer ici mais aussi pour leur tenir compagnie car ils se retrouvent à la retraite elle et mon père.

_ Salem aleykoum.

Coumba : souris Aleykoum salam.
Ça va sale folle ? Me serre dans ses bras.

_ rire Al-amdoulilah et toi ?

Elle : Ça va.
Tu m'a ramené quoi même ? Me regarde mal

_ Foï,t'a pas de chance aujourd'hui désolée rire wallah j'y ai même pas pensé.

Elle : Mmh, ça m'étonne quand même mais pas grave hein rire

Ça l'étonne surtout parce que je suis très attentionné de nature,ces temps ci je suis constemment dans les nuages alors j'ai même pas le temps de me rappeler de certaine de mes habitudes.
J'en peux plus là.

_ Mmh,merci pour la compréhension chérie,elle est où ta sœur ? Et maman ?

Coumba : Elles sont à la cuisine,ma tante m'a virée parce que je devais m'occuper de quelques détails en ligne pour mon inscription à la fac.

_ Mmh je vois.

On marche en direction de la cuisine tout en continuant de parler.
Si mon père était à la maison,je l'aurai retrouvé sur la grande terrasse en train de prendre l'air, ça se voit qu'il n'est pas dans les parages.

_ Tu compte étudier quoi à la fac déjà ?

Elle : Le droit, ça me pationne vraiment.
J'aimerai devenir avocate plus tard pour défendre assez de personnes.
Je pense que la pire chose qui pourrait vraiment terrassé un être humain,c'est l'injustice.
Rappele toi de ce que tu ressens lorsqu'on t'accuse d'une chose que tu n'a pas faite,je n'imagine pas ce que les gens doivent ressentir lorsqu'ils sont contraint de payer le prix fort pour une chose qu'ils n'ont jamais commis.

_ Mmh,je t'admire limite Coumba,c'est un métier noble que tu compte faire plus tard.
Qu'Allah t'aide à réaliser ton rêve.

Elle : souris Amin, merci.

Nous arrivons à la cuisine et lorsque le regard de Marème tombe sur ma personne,elle accours presque dans mes bras.
Mdr,elle m'aime trop cette folle.
Marème c'est la sœur à Coumba.
Elles sont jumelles mais elles ne se ressemblent pas du tout, disons que ce sont des fausses jumelles.

Elles sont néanmoins très belles, c'est de famille ça parcontre,c'est mes cousines paternelle donc elles sont sénégalaises et c'est des femmes africaines dans tout le sens du terme.
Avec de belles formes et tout.
Elles ont 21ans comme moi.

_ Rire Ton but c'était de me faire tomber je le sais.

Elle : Au moins tu comprends les choses,c'est seulement maintenant que tu viens nous voir ? Làn là Leïla ?

#Làn là : C'est quoi le problème ?
(Wolof)

_ rire Tu n'arreteras donc jamais d'exager toi,j'étais beaucoup occupé c'est pour ça orh.

Elle : Mmh,si c'est pour le travail,t'a la chance.

_ rire Laisse moi aller voir ma mère maintenant tchippp.

Elles : rires

Je pars en direction de ma mère puis lui embrasse la joue.
Elle est en train d'emincer des gousses d'oignons.

Ma mère : C'est maintenant que tu te rappelles de moi ?

_ C'est tes filles mâ,elle ne voulait même pas me laisser respirer wesh.

Elle : Continu seulement de wesher,tu auras ce couteau dans ta nuque tout à l'heure.

_ Scuse moi,c'est quoi au menu ce soir ?

Elle : T'habite ici toi ?

Coumba : Iiish,je n'aimerais pas être à ta place.

Ma mère : tchiiiiip t'a fini tes trucs en ligne toi ? À Coumba

Elle : Oui oui tata.

Ma mère : Mmh, toi là,ils sont où mes maris et mes coépouses ?

Elles appelent les garçons ses maris et les filles ses coépouses parce que mon père dit que ce sont ses femmes mdr.

_ Ils sont avec leur cousins,je te les enverrai demain Insha'Allah.

Elle : Mmh,t'a intérêt.

...

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