Aujourd'hui, j'ai vu quelque chose d'assez intéressant pour moi. Certes, ce n'était pas dans la vraie vie mais virtuellement, mais je trouvais important de vous le communiquer car, personnellement, ça m'a marqué. C'est-à-dire que j'ai reçu un contrat d'édition, et que je l'ai signé. Comme je ne l'ai pas encore annoncé partout sur les réseaux, je vous demanderai de ne taguer personne, et de ne pas le répéter sur mon profil. Vous êtes, en quelque sorte, l'élite qui apprend ça avant tout le monde. Il est pour ma trilogie Gayleri - ma première histoire sérieuse.

Pour moi, cette saga est un symbole. C'est le début d'un potentiel long avenir d'écrivaine. C'est ma première petite réussite, atteinte à treize ans, et j'en suis fière. Même si la maison d'éditions est très peu connue, elle sera mon point de départ. Elle sera le premier échelon d'une échelle que je vais m'évertuer à grimper.

Et ce que j'ai regardé, c'était ma petite signature, fragile et tremblotante à côté de celle de l'éditrice. C'était une belle image, je trouve. Quelques simples coups de crayon virtuel, et hop, c'était officiel : j'ai signé un contrat.

Même si ma signature n'est pas incroyable - j'ai, tout de même, passé l'étape où je ne mettais que mon prénom -, je l'aime bien, et je l'aime encore plus sur ce contrat.

23/01/2021