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Chapitre 38

Point de vue d'Eunji

Ce matin, je me réveillais après la meilleure nuit de ma vie. J'avais demandé à Mark de rester avec moi. Pour éviter de se faire surprendre, elle m'avait proposé de rejoindre sa chambre. Alice ne rentrait pas, la mienne se trouvait parmi toutes celles du staff, cette option semblait judicieuse. J'avais accepté et après une bonne douche, nous n'avions pas fait long feu, éreintés par ces deux soirs de concerts. Mark avait dormi dans mes bras toute la nuit et je me réveillais dans la même position, le nez enfoui dans ses cheveux décolorés qui lui allaient à la perfection. D'une grande inspiration, je remplissais mes poumons de son parfum et expirais d'aise. Heureux, je voulais passer ma journée ainsi. Elle bougea légèrement, signe de son éveille. Je câlinais son cou et embrassais délicatement sa nuque. Elle se retourna pour me faire face sans quitter mon étreinte et plongea ses immenses yeux verts que j'adorais dans les miens, avant de me sourire. Elle était magnifique.

— Hey, tu as bien dormi ? demandais-je d'une caresse sur sa joue.

— Hey. Ouais et toi ?

Je hochais la tête. C'était la première fois que nous sommeillions ensemble sans crise à gérer avant. Le réveil se teintait d'une saveur différente. Elle rapprocha son visage doucement du mien, je la pris de vitesse et l'embrassai rapidement. La surprise se lut dans ses yeux écarquillés puis elle m'offrit un magnifique sourire. Désireux de revoir ce sourire, je la picorais encore et encore de petits bisous. À force de chahuter, elle glissa sur le dos et j'en profitais pour me pencher à moitié sur elle. Nos iris se croisèrent, mon cœur accéléra, mon nez caressa le sien et je ne pus me retenir de joindre nos lèvres une nouvelle fois dans un baiser beaucoup plus passionné cette fois. Elle n'hésita pas une seule seconde pour y répondre. Un frisson me parcourut et descendit tout le long de ma colonne vertébrale quand je sentis sa main effleurer ma peau, sous mon t-shirt. Elle allait me rendre fou si rien que ce contact m'embrasait autant. Je continuais de l'embrasser, chaque parcelle de mon corps collée contre le sien. Mes entrailles s'enflammèrent instantanément.

— Eunji, murmura-t-elle contre mes lèvres, tandis que nous nous éloignions de quelques millimètres pour respirer.

— Mmmh ?

— On... Ah !

Sa phrase resta en suspens, à cause de ma main glissée sous son t-shirt, qui caressait son ventre doux et chaud. À en croire la chair de poule provoquée par le passage de mes doigts, je ne la laissais pas indifférente.

— Un souci ? ricanais-je sans pour autant arrêter.

— C'est toi qui risques d'avoir un problème, si tu me fais arriver en retard à ma réunion, pouffa-t-elle.

— On a de la marge non ? Tu dois partir à quelle heure ?

— Dans vingt minutes, soupira-t-elle après vérification via le réveil sur la table de nuit.

Je profitais de l'accès qu'elle m'offrait et parsemais son cou de baisers, sans cesser de l'effleurer de mes doigts.

— J'aime prendre mon temps, grognais-je, ce qui lui arracha un sourire.

— Moi aussi.

Un éclair de malice glissa dans ses yeux. Le temps que je l'interprète, elle me renversa sur le dos et m'enjamba. Je ne pus retenir un soupir lorsqu'elle s'assit à califourchon sur mon bas-ventre. Ses mains remontèrent à plat sur mon abdomen puis sur mes pectoraux, mon t-shirt entrainé dans leur course. Les miennes se posèrent naturellement sur ses cuisses. Elle se pencha au-dessus de moi et m'embrassa tendrement.

— Je m'en voudrais de t'abandonner sans qu'on ait le temps de finir, déclara-t-elle. Je dois vraiment aller me préparer.

— Tu mets vingt minutes à t'habiller ? demandais-je étonné.

J'essayais surtout de cacher ma frustration.

— Non. Je dois aussi me coiffer et me maquiller. Je n'ai pas toute une équipe qui s'en occupe pour moi, pendant que je continue de piquer du nez, moi, monsieur ! argumenta-t-elle.

Son index tapotait en rythme mon pectoral entre les trois derniers mots.

— Depuis quand tiens-tu absolument à sortir apprêtée ? Ça ne te pose pas de problème d'habitude si tu n'as pas le temps.

— Depuis que je vous représente auprès de vos managers, devant une grande marque de fringues ! fronça-t-elle les sourcils, assise sur le bord du lit pour lire les notifications sur son portable.

Je me rapprochais d'elle, me plaçais dans son dos pour enrouler mes bras autour de son ventre et embrassais son épaule.

— Tu stresses ?

Sans réponse, je me penchais pour apercevoir son visage. Elle fixait son écran sans bouger ni cligner des yeux.

— Mark ? Mark !

— Hein ?

— Tout va bien ?

— Ouais pourquoi ?

— Tu as bugué ! répliquais-je les sourcils froncés.

— Ah, ce n'est rien.

Elle se leva d'un bon, jeta son appareil sur le lit et partit en direction de la salle de bain, me laissant seul avec ma frustration toujours présente. La chaleur de ses bras me manquait déjà. Quelques minutes plus tard, elle revint et s'arrêta net pour me voir pester sur mon téléphone.

— Putain, Dae me les brise, je vais le buter !

— Qu'a-t-il inventé encore ? railla-t-elle occupée à préparer son sac.

— Il aime fourrer son gros nez dans ma vie. Je vais le tuer !

— Attends, calme-toi !

— Oui, tu as raison. Je le truciderais une fois contenu, je risque de faire une erreur stupide et de laisser des preuves, fulminais-je.

— Tu exagères à peine.

— Il prendra tellement cher, que même Sookie ne le reconnaîtra plus.

— Mais non, tu l'adores !

— Exactement. C'est ce qui rendra les choses difficiles, grognais-je.

— Et en vrai, il a fait quoi ?

— Il sait que je n'ai pas dormi dans ma chambre cette nuit et tente par tous les moyens de trouver pourquoi. La subtilité de ses propositions ne représente pas son point fort.

— Je vois. Tu veux lui dire ?

— Seulement si tu acceptes. Et qu'il promet de tenir sa langue.

Mes yeux lâchèrent mon écran, quand le matelas s'affaissa à côté de moi et se posèrent sur Mark.

— Pardon, nous sommes ensemble depuis même pas vingt-quatre heures et je râle déjà. Mais sa façon de se comporter ne me plaît pas.

— Tu connais Daeyeon, sa réaction était prévisible. À l'heure actuelle, je parierais qu'il saute de partout dans sa chambre à en donner le tournis à Sook. Il doit élaborer vingt millions de scénarios où nous sommes chaque fois les personnages principaux.

La réflexion de Mark me fit sourire.

— Parle-lui calmement. Il t'écoutera. Il t'obéit en général. Même s'il passe par une phase de boudage entre temps, il revient systématiquement vers toi pour s'excuser.

— Tu as raison.

— Évidement !

— Tiens donc ! Regardez qui a pris la confiance !

— Je l'ai toujours eu ! C'est juste que tu ne faisais pas attention à moi.

— Je fais attention à toi depuis le jour où je t'ai apporté cette couverture pour la première fois, lâchais-je sans réfléchir.

Ce n'était pas dans mes habitudes de balancer des phrases mielleuses, mais c'était sortit tout seul. Elle me rendrait fou. Et je m'en fichais.

— Hum, bon, je dois y aller, répliqua-t-elle les joues rouges.

— OK, tu finis quand ?

— Je... aucune idée, répondit-elle sur la défensive.

C'était subtil, cependant son langage corporel parlait pour elle. Un truc clochait. Était-ce en rapport avec ma réflexion ? Dae ? Les messages qu'elle avait reçus ce matin ? Se mettait-elle trop la pression pour ce rendez-vous ? Elle était tendue.

— Je te tiens au courant, promit-elle, avant de m'embrasser. Repose-toi.

— Mmh bonne journée et ne te stresse pas, tu vas assurer, comme d'habitude.

Dans un denier sourire, elle se retourna et quitta la chambre.

***

Un jour de repos ne constituait pas vraiment un jour de repos sans au moins un truc de prévu sur notre emploi du temps. Une réunion s'était intercalée en début d'après-midi. Par chance, elle ne s'éternisa pas et nous nous relaxions tous les cinq, dans un salon privatisé de l'hôtel. Le plus jeune jouait sur son téléphone, notre leader conversait avec Shinny et Dae cherchait de l'attention, que personne ne semblait enclin à lui accorder. Personnellement, j'étais bien trop occupé sur YouTube, à visionner les dernières sorties high-tech en termes de matériel de production. J'écoutais sans vraiment suivre la vidéo, trop soucieux de l'humeur de Mark ce matin. Nous avions encore du mal à savoir comment se comporter l'un avec l'autre même si, je trouvais que nous nous débrouillions bien. Pour quelqu'un qui n'aimait pas le contact physique, nos échanges s'avéraient plutôt naturels. Elle s'imposait une pression énorme, qui je l'espérais, se terminerait avec notre départ.

Un mauvais pressentiment persistait. Le genre de sensation qui vous colle à la peau et dont vous ne parvenez pas à vous défaire, qui reste là, en tâche de fond. Je n'oubliais pas, malgré tout, que Mark s'était confrontée à sa mère deux jours plus tôt. Elle gardait le silence à ce sujet et continuait d'agir comme si tout allait bien. Absolument pas dupe, je me montrais patient et attendais qu'elle s'ouvre à moi. Perdu dans ce genre de pensées, je sursautais quand Alice arriva en trombe dans le salon, complètement paniqué.

— Hey, salut les gars, quelqu'un a vu Mark ? questionna-t-elle essoufflée.

Les yeux du couple se tournèrent instantanément sur moi, escortés de ceux d'Alice et je fis mine de ne pas m'en rendre compte.

— Non, pas depuis hier soir répondit Shin. Et vous ?

— Je l'ai accompagnée à la réunion pour le partenariat ce matin. On a fini vers midi. Je ne l'ai pas revu après. Pourquoi ?

Quel con ! J'avais complètement zappé que notre leader était convié à ce genre de meeting. L'apercevoir revenir manger avec nous sans nouvelle de Mark aurait dû m'interpeller. S'il avait terminé, Mark aussi. Je ne gardais aucun souvenir d'un autre rendez-vous. Elle semblait gênée à ce propos ce matin. Qu'est-ce qu'elle cachait ?

— Je m'inquiète, on devait se voir aujourd'hui. Elle devait me tenir au courant, mais je n'arrive pas à la joindre. J'ai... J'ai peur qu'elle retrouve sa mère, expliqua la jeune femme d'un ton hésitant, le regard tourné vers moi.

— Ah oui ? C'est plutôt bien, non ? Elles doivent sûrement mettre les choses à plat, hasarda Daeyeon dans l'espoir de se rassurer.

Il ne comprenait pas les conséquences de cette situation. Il ne le pouvait. Personne ne le pouvait à part Alice. Apparemment, nous demeurions les deux seuls dans la confidence. Malgré la relation très forte qu'elle entretenait avec Dae, elle ne lui en avait toujours pas parlé.

— Eh, qu'est-ce qu'il y a ? demanda Insook qui avait perçu le malaise. Assieds-toi et raconte.

Il lui laissa sa place sur le fauteuil et alla s'installer par terre entre les jambes de Daeyeon. Je me crispais, effrayé qu'Alice découvre leur lien particulier. Shin, dans la même position avec Minjae, rendait les choses moins discutables et elle n'y prêta pas attention.

— Elle va m'en vouloir si je vous dis ça, mais s'il arrive quelque chose, je ne me le pardonnerai pas.

Mon ventre se noua d'un coup et tous mes muscles se tendirent.

— Raconte-nous, la rassura Minjae d'une voix douce.

— J'ignore par où commencer ni ce que vous savez, confia-t-elle, paniquée.

— Hey, respire. Commence par le début, ajouta Shin.

J'avais toujours trouvé ça con comme réponse. Parfois, il fallait démarrer par le résultat final pour comprendre les étapes de l'histoire. Il eut au moins le mérite de calmer Alice et de l'aider à structurer ses idées.

— Pars du principe que nous sommes au courant de rien.

La jeune femme hocha la tête, prit une grande respiration et commença son récit.

— Mark n'entretient pas de lien avec sa famille. Je sais que c'est bizarre pour vous, mais en France, nous notre culture familiale diffère de celle en Corée. Bref, elle ne s'est jamais entendue avec sa mère, sa sœur est allée vivre à l'étranger pendant son enfance. Sa seule personne proche était son père qu'elle n'évoquait jamais. Mark a toujours été une jeune fille assez solitaire et qui parlait très peu d'elle. Elle n'avait aucun souci à se créer des amis, mais elle restait dans sa bulle. Même à moi, elle ne se confiait pas beaucoup. Je pouvais compter sur elle, mais je voyais bien qu'elle, elle ne me disait rien quand ça allait mal à la maison. Et ça arrivait souvent. À la place, elle se réfugiait dans la musique.

— Attends, la coupa Shin. Tu utilises le passé en parlant de son père.

Pas très à l'aise avec l'anglais, il s'assurait de bien comprendre.

— Oui, il est décédé quand elle avait dix ans.

Minjae traduisit en coréen et indiqua à la Française qu'il se chargerait de transposer les passages compliqués.

— Il me manque des morceaux de l'histoire, car je ne l'ai connu qu'au lycée. Mais si Mark est partie à l'autre bout du monde, sans donner de nouvelle ni prévenir personne, c'était pour fuir. Sa famille, sa situation, recommencer une nouvelle vie en quelque sorte. De ce que j'ai compris, à cette époque, elle sortait avec un gars qui lui faisait du chantage affectif.

Je me redressais dans mon fauteuil, absolument pas au courant de cette partie.

— Il avait eu pas mal de problèmes plus jeune et restait fragile. Il lui répétait qu'il l'aimait comme un fou et qu'il en mourrait si elle le quittait. Qu'il se suiciderait ! Au début, ça allait, mais il devenait de plus en plus insistant et lui mettait un poids énorme sur les épaules. Elle a fini par rompre et n'avait qu'une peur qu'on l'appelle pour lui annoncer qu'il avait mis fin à ses jours. Elle sursautait violemment à chaque fois que son portable sonnait, répétait sans cesse qu'elle l'avait abandonné. Ajouté à sa mère qui la harcelait au téléphone sans arrêt, je vous laisse imaginer son état d'esprit lorsqu'elle est partie.

Elle devait être brisée. Tout comme mon cœur à cet instant. Comment une personne aussi emphatique avait réussi à survivre ? La réponse paraissait évidente. Elle ne s'en était pas sortie. Elle vivait toujours dans ce cauchemar, refermée sur elle-même, ses sentiments enfouis.

— Qu'est-ce qu'il s'est passé avec sa maman ? demanda Daeyeon, les larmes aux yeux.

Ce n'était pas de la pitié, je le connaissais trop bien. Il culpabilisait d'avoir insisté pour que Mark revoie sa famille. Ce concept importait pour lui, il ne comprenait pas qu'il puisse en être autrement pour elle. Insook perçut son mal-être, il caressa doucement son bras pour le calmer.

— La mère de Mark manipule les gens, continua Alice accordant le temps à Minjae de traduire. Agressive, parano et mythomane. Ça peut vous sembler dur comme mots, mais pour avoir eu l'occasion de la rencontrer, je vous promets que je n'exagère rien.

Au souvenir de la soirée de samedi, je n'avais aucun mal à la croire.

— Mark a subi des violences psychologiques de sa part depuis toute petite. Elle lui criait tout le temps dessus, la rabaissait, la dénigrait. Mépris, comparaisons sans cesse avec sa sœur ou avec elle, jalousie — surtout de la relation qu'elle entretenait avec son père. Quand il est mort, elle le lui a reproché, je n'ai jamais pigé pourquoi. Des bribes d'information récoltées au fil des années, j'ai cru comprendre que l'enterrement s'était révélé terrible. Elle n'a jamais eu son mot à dire et sa mère la traitait comme une merde. Chacun gère son chagrin à sa façon, je ne juge pas. Mais ce n'était pas un comportement sporadique, elle agissait tout le temps ainsi. Mark n'a pas vécu son deuil, accablée sans cesse, soumise à ses volontés. Et il y a encore bien des choses que je ne sais pas.

À ce moment, les dessins réalisés pendant ses crises me revinrent en mémoire et mon cœur se serra un peu plus.

— Et sa sœur ? demanda Shin.

Proche de sa fratrie, cette question ne m'étonna pas de sa part.

— Elle a refait sa vie à l'étranger. Elle ne s'implique pas dans celle de Mark.

Je comprenais mieux ce sentiment d'abandon, cette illégitimité pour tout et son refus de s'attacher. Je n'osais même pas imaginer la culpabilité éprouvée avec son ex. Elle se reprochait sûrement de lui infliger sa propre expérience.

— Et l'héritage ? demandais-je soudain, au rappel des récriminations de sa mère.

J'avais mémorisé ce mot et m'étais renseigné sur sa signification, lorsque j'avais capté qu'un de ses proches était décédé, probablement de son père.

Tous m'observaient avec des yeux ronds et je pouvais les comprendre. Je sortais ce terme de nulle part, avec une prise de parole jusque là restée absente.

— Elle a effectivement touché un héritage à la mort de son papa.

— Alors pourquoi habitait-elle dans un taudis ? demanda le plus jeune.

— Je me suis aussi posé la question. Mark m'a expliqué qu'elle ne pouvait et ne souhaitait pas utiliser cet argent. Que c'était le prix de la vie de son père et qu'elle n'en avait pas besoin. Je ne voulais pas la braquer, on venait de se retrouver alors, je n'ai pas insisté. Elle ne l'avouera jamais, mais Mark souffre de ne jamais rendre sa mère fière d'elle. Ça n'était jamais assez, elle poussait toujours plus. Elle s'est faite à l'idée d'être seule, sans personne.

— Oh merde, qu'est-ce que j'ai fait ? sanglota Daeyeon.

— Ne commence pas ! Tu n'y es pour rien ! le secoua Insook.

Ce dernier n'eut pas le temps de répliquer, la sonnerie d'un message nous interrompit. Alice sortit rapidement son téléphone de sa poche avant de se figer.

— C'est la sœur de Mark ! cria-t-elle levée d'un bond. Y a un souci avec Mark. Elles parlaient en visio quand la conversation est partie en catastrophe et que ça a coupé. Elle me demande d'aller voir sur place et de prévenir la pol...

Je ne laissais pas le temps à la jeune fille de finir, je sautais sur mes jambes.

— Attends, il ne sert à rien de tous s'y précipiter et d'ameuter les fans, me lança Minjae. Alice, gère avec la police. On ne parle pas français. Eunji va retrouver Mark.

— Je viens avec toi ! hurla Daeyeon.

— Non, toi, tu restes là et tu te calmes ! lui imposa Sook. Hyung n'a pas besoin de nous, il sait comment s'y prendre avec elle.

L'incompréhension se lisait dans le regard des autres, mais nous n'avions pas le temps d'épiloguer.

— Alice, envoie-moi l'adresse par message et rejoins-moi quand tu peux, ordonnais-je mon téléphone en main déjà à moitié sortie.

Mon cœur battait à cent à l'heure et ce sentiment de malaise dans lequel j'évoluais depuis ce matin s'accentua. Je ne le sentais pas.

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Tintintin...

Bonjour bonjour, mais quel suspens ^^
Oui, je suis fier de moi !

Je vous avais promis la suite des montagnes russes. J'ai tenu ma promesse ? 

On a enfin une grosse partie des explications. 
Et histoire d'attendrir le tout, par ce que quand même, on ne va pas mettre que du drama, un petit moment de complicité pour notre nouveau couple. 

Vous apprenez donc, n même temps que le groupe ce qu'à vécu Mark et les raisons de son départ pour la Corée. 

On se retrouve dans le chapitre suivant pour la confrontation. 

À vendredi ^^

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