Sous le Ciel Étoilé
FIN PDV CHARLE
FIN DU FLASH BACK DU JOUR DU KIDNAPPING
Après avoir perdue les pédales, ce fu trou noir.
Encore un manque.
Encore le vide.
Cela me renfrogna.
Cela me fâcha tellement que j'en criai de souffrance en renversant une des tables de ma tanière. En faisant tomber tout ce qui s'y trouvais sur celle-ci.
-FAIT CHIER, criai-je.
Merde, j'y étais presque!
J'avais presque tout le souvenir entier.
Pourquoi quand je ne me contrôler plus je n'arrive jamais à me souvenir de ce qui c'est passé
Peut-être pour m'empêcher de voir les atrocités que je fais...
À cette pensé, pleins de petit flash de souvenir passèrent dans ma tête.
Des fragments d'événements, un à la suite de l'autre, seulement quelque secondes chacune.
Il fallait pas être épileptique, disons.
J'aperçu lors de ces rapides souvenirs,
Un homme.
Le Chef des opérations, mais avec quelque chose de different...
Il saignait sur le visage, une énorme et profonde plaie traversait diagonalement son nez crochu.
Oh mon dieu!
C'est la même blessure que celle de la voix masculine de l'homme qui voulait à tout pris m'arrêter avant que je m'enfuie de l'industrie Lorem ce matin.
Je me rappel avoir aperçu son visage avant que je m'échappe de cette industrie.
Il était au fond du loin couloir derrière les portes, il était dans la cinquantaine, avait des cheveux noir avec une partielle mèche d'argent et avait une horrible cicatrice qui traversait diagonalement son nez crochu.
Cet homme était Charle.
Et c'était moi qui lui avait fait cette horrible cicatrice.
Merde!
Par la suite, j'aperçu un autre homme.
Le sous-commandant, debout et devant moi, l'arme braqué sur moi.
Mais je ne l'avais pas lancé sur un tronc de pommier celui-là?
Peut être que ma mémoire me joue des tours...
Le flash se coupa.
Tout à coup, l'image de moi en train de trancher la gorge du sous-commandant avec mes griffes empoisonna mon cerveau.
À ce souvenir désastreux, je porta ma main sur ma bouche.
J'étais terrorisée par moi même.
Non c'est... Je ne peux pas avoir fait une chose aussi...
Oh mon dieu.
Je suis un monstre.
J'étais dégoûtée par ma propre personne. J'en avais eu assez pour aujourd'hui.
Il me restait encore une multitude de questions malgré le bout de souvenir que javais réussi à extraire de mon esprit.
Mais celle qui me troublait le plus était celle-ci:
Mais qu'est-ce qu'ils m'ont fait lors de ma captivité? Des tests? Des examens?
ARGH!!! Pourquoi je ne me rappel pas?
***
Après cet énumération de questions, je fis mes devoirs et études. Eh oui, j'ai travaillé. Mais ça me faisait penser à autre chose alors j'aimais bien.
Je parti chasser dans la forêt par la suite.
Il était 11:47
Trop réfléchir me donna faim.
J'en avais marre de toute cette histoire.
En même temps, cela me faisait courir, décompresser, relaxer.
J'adore courir.
Rassasié grâce à un cerf de Virginie, je pris quelque minute assise dans un arbre, à contempler les étoiles.
Me disant qu'en fait je m'en foutais de ce quil m'arriveras. Ils me tortureront s'il veulent, mais jamais, au péril de ma vie, les laisseront toucher un seul cheveux de ma meute.
Il faut que je les protège. Ils sont sous ma responsabilité malgré le fait qu'ils sont parfois plus puissant que moi.
Ils sont ma famille et mon but principal est de les protéger.
Ca va être super de protéger quelqu'un quand tu ne peux même pas contrôler ta colère et tes capacités. Si sa continue comme ça, juste te tenir avec eux sa les mettra en danger...
J'avais moi même raison. Et je ne les mettais en danger pas juste à cause de mon côté loup-garou, mais aussi à cause que Lorem me colle toujours les basket. Il ne faut donc pas que je les embarque là dedans.
Ca y est j'avais pris deux résolutions.
Il fallait que je subisse un entraînement spécial pour revoir mes techniques de combats et celui du contrôle de soi même.
Il fallait aussi que je coupe tout contact avec ma meute. Que je m'éloigne tout en restant avec eux. De façon à ce que je puisse les protéger sans les mettre en danger.
***
Les jours passèrent et rien d'anormal ne se produisait.
Comme si le calme et l'ordre était enfin de retour, même si ce n'est qu'illusion face à ce que ma meute surmonte chaque minute de leur vie.
Ce que je trouvai le plus étrange dans ce calme trop parfait, c'était le fait que Lucas ne m'approchait plus du tout, ne parlant donc à aucun membre de la meute.
Ce qui me fit aussi remarqué le silence de la compagnie Lorem.
Plus de Kidnappa, plus d'espions, niet, nada, rien.
Mais moi, je savais clairement que cette paix ne serait que temporelle.
Alors je me pratiqua au combat, des techniques de respirations, je me faisais souffrir pour arriver à contrôler mes capacités.
Je me pratiqua sans repos, manqua certains jours d'écoles, ne dormais que quelques heures par semaines et faisais des exercices physiques extrême.
Pour être prête au moment venu.
De plus, vu que je ne mangeais pas à l'école, je sortais pendant les heures de pause et de dîner. Je «fuyais» en quelque sorte mes amis.
Lors de projets d'équipe, ce qui étais le cadet de mes soucis, je me mettais seule. À mon casier, celui-ci étant plus ou moins proche de celui des autres et réparé par le concierge, je me dépêchais de prendre mes cahiers pour ne pas leur faire face.
Eux, ils essayaient sans relâche de me parler. Venaient souvent à ma tanière pour me voir. Mais moi, les entendant et les sentant a des kilomètres à la ronde, je me cachait. Indétectable visuellement et inodorement, j'avais pratiqué cette nouvelle technique que même les vampires et autres animaux ne pouvais plus me tracer.
J'allais parfois voir mes amis chez eux pour voir si tout allait bien. Pas comme une pédophile, non, car je ne les suivait pas, n'écoutait pas leur conversation. Je ne faisais que venir les voir sans être vu pour les protéger même si je savais très clairement qu'ils étaient capable de se défendre très bien tout seul.
***
Comme je le disais, un jour, le semblant de paix que nous avons eu a été rompu. Je savais que ça ne tardais pas. Mais que Lorem attendait le moment propice.
Ne faisait rien pour l'instant parce qu'ils complotaient, préparaient quelque chose de gros.
De beaucoup plus gros et organisé.
Malheureusement, j'ai eu une confirmation de ma théorie, 1 mois et 18 jours après ma prise de résolutions.
Et pour être honnête je ne m'attendais pas du tout à quelque chose de ce genre.
Je n'étais pas prête à affronter cela.
À la vue de tous...
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