Il fait froid, il fait noir et les rares lumières vacillent. Des outils de toutes sortent, pour déchirer, découper, coudre, sont étalés de chaque côté de moi. Me sentant étourdie, j'essayai de me lever. Je ne fus pas juste enchaîner a une table gelée et métallique mais aussi attaché par de solides bouts de cuirs. 

Me demandant où j'ai bien pu atterrir, j'entendis une voix grave et masculine chuchoter qu'il fallait a tout prit m'éliminer car j'étais une imminente source de danger. Puis, une autres plus féminine répondit avec assurance que l'armée avait besoin de moi comme arme de guerre. 

Cherchant d'où venais ces voix non rassurantes, je me débâtis pour m'enfuir de cet endroit effrayant. N'ayant a peine utilisé ma force, je réussis a déchirer les ligaments, et a briser cette lourde chaîne. Ayant peur d'avoir fait assez de bruit pour attirer l'attention, je me dirigeai vers une pote massive et barré par un énorme cadenas.

Ensuite je me dis, sois tu défonces la porte, sois tu attends sagement qu'un pure inconnu mette fin a tes jours. Je pris mon courage a deux mains et à l'aide d'un simple coup de pied ne fit pas que défoncer la porte mais l'arracher du mur gris fade. 

J'étais rendu dans un très long couloir toujours de la même couleur mais avec une multitude de portes. «Laquelle est la sortie!» ; me dis-je. C'est alors que mon odorat sur-développé s'enclencha. Une brève brise me passa sous le nez. À ce moment, je fermai les yeux et une vaste forêt m'apparut devant moi. Le parfum des conifères me rappela ce magnifique souvenir de ma maison, de mon chez moi. 

Quand je fus réveillé de mon fantasme, une sirène rouge et puissante se mise a sonner et des hommes vêtus de blanc et vert sortirent de chaque portes excepté l'une d'entre elles. Alors je piquai un sprint anormalement rapide, échappant à tous les hommes qui me faisaient frissonner. 

Mais dès que je l'ouvris...