Le Duel
Assez prise au dépourvue, je recula en faisant des petits pas et en essayant de produire aucun mouvement brusque, me disant qu'ils pourraient tous égorger mes amis en quelques secondes.
Je fis cela tout en gardant 100% de ma concentration sur la voix et l'odeur de l'homme qui parlait.
Lorsque je remarquai qu'il ne sortait pas de sa cachette, je l'invita a le faire en commentant cette phrase:
-R-117? Pourquoi R et 117?
Ma technique fonctionna car il se montra enfin le visage.
J'étais étonné mais c'était à la fois prévisible.
Charles se tenait à environ 5 mètres de moi, dirigeant en chef des 20 soldats qui gardait mes amis prisonniers.
En contenant sa colère, il répondit à ma simple question, mais à moitié:
-C'est ton nom de recrue, ton étiquette, ton identité. Par contre le 117 est pour le #1 du groupe 17. Tu es la préféré du boss-#1- mais tu es dans le groupe spécial des jeunes recrues aux talents multiples-17-.
Regardant mes amis avec de simples regards furtifs et essayant de gagner du temps pour trouver une feinte pour les délivrer, je relança ma question:
-Mais pourquoi R?
-Ce n'est pas en causant que tu vas délivrer tes amis, Viky. Compléta Charles. Et surtout pas en te montant contre nous dans l'état dans lequel tu es.
Les soldats commencèrent à chuchoter des choses entre eux que je n'écoutais pas. J'étais trop concentrer à essayer de trouver une solution pour aider mes amis.
-Comment t'es tu fais cela? Je pensais que tu étais invincible! Lança-t-il en ricanant sèchement.
-Qu'est-ce que tu veux ?
Juste dire cette phrase me pris énormément de force et d'énergie.
-La même chose que lorsque je t'ai capturé le soir après l'école, tu te rappelles? Le soir où tu m'as défiguré, le soir où tu as mis K.O. Ulysse, le soir où tu as tuer mon associé.
Tous mes amis se regardèrent et commencèrent à chuchoter entre eux, ils ne croyaient pas Charles.
Même que Sam lança fièrement:
-Ce n'est même pas vrai! Arrêtez donc de dire des conneries...
Charles me regarda extrêmement sérieusement et sorti un couteau de sa poche arrière.
-Non, Non! Il a raison... J'ai bel et bien faite toutes... Ces choses horribles. Répondis-je en mettant mes mains devant moi de sorte à dire de ne faire aucunement mal à mes amis.
Ma meute, n'en croyant pas un seul mots et continuèrent de chuchoter.
Mais Marie et Jack me regardèrent bouche-bai. Ils avaient écouté mon coeur et savais que je ne mentais pas.
-Taisez-vous ! Cria Charles à mes amis. Je vais faire un marché avec toi d'accord?
-Viky, n'accepte pas! Cria Will.
Quand Will fini sa phrase, son garde regarda Charles et celui-ci acciesa de la tête.
Le soldat emmena Will dans le corridor, à l'extérieur de la pièce. J'essayais pourtant de l'empêcher mais je ne faisait que faire deux pas et tous les couteaux des soldats se resserrèrent et menacèrent leur gorge à être étranglé encore plus qu'avant.
Puis, Charles réclama le silence.
On entendirent les mouches voler jusqu'à ce que les cris de Will retentir en écho. Il souffrait, il se faisait battre, pour moi.
Cela me mis en extrême colère, serrant les point jusqu'à en faire couler du sang de celles-ci à cause de mes griffes.
Chaque cris était insupportable, me déchirant à chaque souffle, jusqu'à me faire verser des larmes.
Je ne pleurais jamais.
Jamais.
Je voulais à tout pris que sa s'arrête. C'est pourquoi je cria:
-Arrêtez! Stop!
Le massacre de Will s'arrêta pendant un moment.
-J'embarque... Quel est votre marché?
Un soldats ayant aucun de mes amis entre les mains alla cherchent Will et son grade.
Will était... Horriblement blessé.
Il était enflé, il saignait et avait plus de bleus que moi.
Je me sentais responsable de cette torture. Et cela me brisait en milles morceaux.
-Hum, sa devient intéressant, ajouta Charles.
Il se retourna vers ma meute.
-Quiconque ose dire quoi que se soit, je lui inflige la même chose qu'à votre ami, sauf que ça ne s'arrêtera pas pour vous.
Je serra les dents au point que je pensais que j'allais les casser. Mais je dis tout de même:
-Le marché, Charles.
-Bon, je te propose un duel. Si tu gagne, je te libère, toi et tes amis.
-Vous nous laisserez tranquille, pour toujours?
-Pour toujours. Compléta Charles.
-Et si je perds?
-Tu embarque avec nous. Tu vas devoir travailler pour Lorem.
Je n'en croyais pas. Je n'avais pas le choix, je devais gagner.
Mais il avait vu que j'étais mal en point et que me battre serait là meilleure façon de gagner pour lui.
-Et si elle refuse, ajouta Sam, sure de lui et confiant de sa phrase.
-Vous mourrez tous, sauf elle. Charles me pointa. Nous l'emporterons avec nous quand même.
-Mon dieux vous ne vous gêner pas! Cracha Sophie, frustré que toute les options sauf la victoire soient envisageable.
Ce fus silence pendant un long moment. Je devais choisir si je continuais toujours dans son piège.
J'avais la vie de toute ma meute entre mes doigts.
-J'accepte. Vous me promettez qu'ils pourront partir?
-Seulement si tu gagnes.
Charles souris malicieusement.
Lorsqu'ils furent prêt et qu'ils éloignèrent les meubles et ma meute du centre de la pièce.
Charles appela son homme de duel.
Celui-ci entra, mais je doutais de savoir si cela était un homme.
C'était plus un robot. Une machines semblable à celles dans un jeux video, qui s'avançait vers moi.
Une automate quoi.
Je commençais à redouter de mon choix. Comme si je sentais que je n'allais probablement pas remporter ce combat.
Puis, Alice cria avant le début du duel:
-LA VÉRITÉ! Écoute ton coeur... Suis ton instinct, Viky!
Le duel commença lorsque le robot s'avança vers moi et initia un coup vers mon visage.
Celui-ci étant prévisible, je l'esquiva vers la gauche.
Malheureusement je pense que l'automate avait lui aussi trouvé mon geste prévisible.
Je le savais maintenant car il m'avait envoyé un coup à la nuque qui me propulsa vers le plancher.
Il était lent, mais puissant et dévastateur.
Comme un bulldozer qui allait écraser une fleur.
Et la fleur c'était moi.
Moi qui n'était déjà plus en état de me battre, à cause de mes blessures.
Moi qui avait la vie de tous mes amis entre mes mains, je devais à tout prix les protéger.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro