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La Vérité

Étendu sur le sol et sonné à cause du coup à la nuque que je venais de recevoir, quand ma vision se précisa, je vis le point de l'automate foncé avec une force mortelle vers mon visage.
Le coup final en quelque sorte.
Il voulait m'achever.
Il voulait écraser mon crâne.
Mais il me sous-estimait.
Par réflexe, je stoppa son point dans son élan avec une seule main.
Cette différences de pression et ce changement brusque de direction et de vitesse créa un vent puissent qui écarta et écrasa au mur toute les personnes dans la pièce.
Cette défense de ma part me fis aussi un peu renfoncer dans le sol.

Tout à coup, mon coeur fit un énorme bond, propageant avec puissance le sang dans l'ensemble de mon corps.
Ce sentiment de pouvoir et de force incommensurable n'était pas nouveau.
C'était la louve au fond de moi qui avertissait son arrivé.
Mais c'était la mauvaise louve.
Celle avec l'envie de déchiqueter tout être vivant.
Celle que je n'arrive jamais à contrôler.

Toujours le point de l'adversaire dans ma paume, je le tordais avec ma force de louve tout en me levant.
Puis, en utilisant l'autre main, je le propulsa loin et profondément dans les bibliothèques. Ma force me surprise et je compris à ce moment que ce n'était pas MA force mais celle de la louve.

À cause de la solidité de son armure, le robot traversa en brisa chacune des rangés de livres jusqu'à être freiné par un mur. Que celui-ci fu énormément endommagé par la vitesse à laquelle il avait été propulsé.

Je pris cette instant de pause pour reprendre mon souffle et reprendre mes esprit. Il ne fallait pas que je perde le contrôle. Ce duel était trop important pour que je perde les pédales a cause de cette louve sauvage au fond de moi. C'est pourquoi je décida de faire comme en classe de maths. Je me concentra, pris de grande respiration et ferma les yeux. Je sentais alors quelques partie de mon corps se transformer peu à peu.
J'appelais la bonne louve en moi.
Puis, quand ma transformation de base fut fini, je regarda si mes amis allaient bien.
Tous était assez stressés et mécontent de ne pas pouvoir aider. Ils se sentaient impuissant et je les comprenaient.
Puis, Sophie demanda à la meute:

-Qu'est-ce qu'il se passe avec la couleur de ses yeux et de son pelage?

C'est à ce moment que je me rappela qu'il n'y avait que Sam et Will qui m'avait vu en louve au pelage argenté et au yeux doré.
Cette louve que j'avais réussi à contrôler.
Car habituellement quand je me transforme, j'ai le pelage brun foncé presque noir et les yeux rouge.

Je fus mentalement interrompu lorsque je reçus un message assez urgent de mes sens. Comme un objet qui arrivait en mouvement vers moi.
Je me retourna.
Et ma vie fut pendant quelques brèves secondes au ralenti.
Avec une énorme bibliothèque, livres tombants de celle-ci, qui se dirigeait en l'air, vers moi.
L'automate avait lancé une bibliothèque sur moi.
Puis, quand mon cerveau analysa cette situation, tout redevint au rythme assez rapidement mais normal de ma vie.
Ne voulant pas être écraser, j'essaya de rattraper la bibliothèque qui faisait au moins 5 fois ma taille.
Malheureusement, celle-ci me propulsa vers le sol, étant trop lourde et en mouvement trop rapide.
Ce qui était alors très difficile à stopper surtout dans les conditions mal en point de mon corps.
J'enleva alors la bibliothèque de sur moi et la jeta un peu plus loin pour ensuite me retrouver encore face à l'automate.
Celui-ci fonça vers moi, je fis de même, mon point prêt à l'action.
Quand je sauta pour le frapper de mon point, il avança son point et frappa le miens.
Sa force me propulsa énormément rapidement.
Puis je sentis du verre se casser et transpercer mon corps.
Cela me faisait extrêmement mal, comme si on jouait dans mes plaies avec des aiguilles et des petits couteaux tranchants.
J'avais traversée le mur fenêtré indestructible.
Quand j'ouvris les yeux, j'étais accoté a un arbre de la cour avant de l'école. Juste en face de moi se trouvait le mur fenêtré que je venais de transpercer.
Je baissa un peu le regard, essayant sans cesse de me relever, et vis une foule de personnes me fixer.
Les élèves et les professeurs chuchotaient à propos de moi et me regardaient étonné. Mme Matry, elle, criait mon nom en me pointant du doigt.
Les policiers et les pompiers accourèrent alors vers moi pour m'aider.
Mais je ne voulais pas d'aide, je ne voulais pas les embarquer dans cette histoire.
Je me leva sans difficultés malgré les coups que j'avais reçus et mes blessures et serra mes points ainsi que mes dents.
Je me foutais désormais qu'ils sachent mon identité, qu'ils pensent que je suis un monstre.
Je ne voulais pas d'autres blessés.
Je voulais sauver mes amis.
C'est pourquoi je décida de faire appel à ma mauvaise louve pour leur faire peur.
Je me concentra encore, mais cette fois emplie de frustration.
J'en avait mare.
Tout me gonflait.
N'étant pas transformé complètement, je décida de rugir.
Pour que tout le monde puisse s'enfuir.
Pour que tout le monde entende mon avertissement.
Pour que tout le monde entende ma frustration et ma douleur.
Mon rugissement n'avais jamais été aussi puissant et menaçant. Il avait casser le reste des fenêtres, fait tomber des branches d'arbres et des feuilles, fait fuirent tous les animaux, et à tout fait trembler. Les bâtiments, les arbres, les véhicules et à même fait trembler les gens de peur.
Quand j'eus fini, les regards maintenant apeuré toujours braqués sur moi, je remarqua que mon plan avait fonctionné.
Les gens s'étaient éloignés, mais les policiers avançaient très doucement, avec leur arme visé sur moi.

Puis, l'automate sorta lui aussi du mur fenêtré.
Me rejoignant à l'extérieur, à la vu de tous.
Il était très grand et large, possédant une armure noir indestructible et luisante.
C'est en l'observant bien attentivement que je me vis.
Une forme humaine, debout, m'observant minutieusement.

Au début je ne me reconnaissais pas.
Mais après avoir saisit que c'était bel et bien mon reflet, je vis mes griffes acérés plus longue qu'à l'habitude ainsi que mes canines. Puis je remarqua mes yeux, lui de gauche était rouge et lui de droite jaune.
Je n'y comprenais rien.
Quand mon regard se dirigea vers mes bras, l'arrière de mon cou et mes cheveux, je n'en croyais pas mes yeux.
Mon pelage était blanc, parsemé de poils noirs. Faisant comme un équilibre entre un pelage foncé et un clair.
Et je compris enfin.
Je compris la Vérité d'Alice.
Je compris mes pouvoirs.

Ma transformation avait mixé les deux louves en moi. La mauvaise et la bonne ensemble, créant un équilibre parfait.
J'avais vu la vérité en face, qu'il faillait que je m'accepte comme je suis.
Qu'il fallait que j'accepte les louves qui me complétaient.

Il fallait qu'ils sachent la vérité et qu'ils l'acceptent.
Parce que ce «monstre» fait parti de moi.

Et je vais en finir avec ce maudît duel.
Je vais le gagner.

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