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Chapitre 23: Lady Alexander


Il observe mon visage sous le choc avant qu'un grand sourire ne se dessine sur celui-ci. Je n'arrivais pas à y croire, je n'aurai jamais envisagé qu'il avait tout cela en tête, que lui et Bella formerai un duo. Tout cela dans le but de me faire cette magnifique surprise. Je ne sais même pas s'il se rend compte que plusieurs de ces tableaux font référence à lui. À notre relation, j'avais besoin d'être seule avec lui, de discuter avec lui. De nous, de ce que l'on serait.

Il pose tendrement son front contre le mien et son sourire s'agrandit. Il était si beau, j'en avais le souffle coupé.

- Je t'aime aussi,  blondinette. Va rejoindre tes invités, toutes ses personnes ont fait le voyage pour voir le nom qui se cache  derrière ses coups de pinceaux. Nous discuterons plus tard. Okay ?

- D'accord.

Il pose ses lèvres sur mon front en me serrant contre lui avant de me relâcher, et de me laisser rejoindre, les autres. J'avance dans la salle et commence à serrer quelques mains, le sourire jusqu'aux oreilles et les yeux pétillants de bonheur. Ce connard avait réussi à m'avoir à nouveau.

La soirée était exceptionnelle, tout était calculé, les petits fours, le service avec les hôtesses, le pianiste, mes amis, j'étais impressionné. J'ai pu discuter avec énormément de personnes et profiter de la soirée. Je n'avais pas passé de temps avec Kyrell, je l'ai vue fumer sur la terrasse, mais sinon sans plus.

- Comment il a réussi à te convaincre ? Demandais-je à Bella, curieuse de connaître le fin mot de l'histoire.

- Il s'est excusé. Il m'a fait comprendre, qu'il était désolé de cette situation, que cela lui  tenait à cœur, que je lui laisse l'occasion de se racheter. Nous ne sommes pas amis, mais nous avons décidé de nous accepter l'un l'autre pour ton bien. Cette fois-ci j'en suis sûre. Il est fait pour toi.

- Je ne me fais toujours au fait qu'il ait organisé une telle chose pour moi.

- Il te voulait à nouveau dans sa vie, et en faisant de toi son amie, il voulait s'assurer que tu apprendrais à le connaître en tant que personne, et pas en tant que le connard qui t'a blessé.

- Il m'achetait mes tampons, tu le sais ça ?

- Non, mais cela ne me surprend pas, car ce petit con était prêt à tout. Il aurait tout fait. Même s'il fallait attendre une année, il l'aurait fait. Lorsqu'il s'est décidé à venir me parler, tu étais en cours et j'étais avec Miller à ton appartement. Il m'a fait comprendre qu'il était désolé, mais que je devais accepter qu'il reviendrait dans ta vie. Par contre, il se posait énormément de questions au sujet de ton amour pour lui. Il croyait que tu ne partageais plus ses sentiments.

Je lève les yeux au ciel, il ne voyait vraiment pas l'énorme pancarte au milieu de mon front avec son prénom dessus.

- Bella, je n'allais plus en boîte, sinon il était là, je ne parlais plus à personne, nous nous voyons tous les jours et il était constamment là. Il ne pouvait  pas me toucher, car je ne lui permettais pas , mais il savait pertinemment bien que je l'aimais encore.

- Pourtant non Lia, tu étais froide avec lui, tu l'insultais en permanence, et très honnêtement je n'aurais jamais eu sa patience. Parfois , je me demandais comment il faisait pour tenir avec toutes les conneries que tu lui balançais dans la gueule. Il le méritait certes, mais tu avais fait de Kyrell ton souffre-douleur, et il acceptait tous tes caprices.

- J'aurai été gentille ou je ne sais quoi d'autre, il n'aurait jamais changé Bella, il ne serait jamais l'homme qu'il est aujourd'hui. Je ne regrette absolument rien de ce que je lui ai fait subir.

Elle me fait un petit sourire.

- Je devrais faire payer à Harry son comportement.

- Eh bien, il était temps que tu te décides à reparler de ton blondinet.

- Lia ce n'est pas aussi simple.

- Tu lui fais payer, tout ce qu'il t'a fait, peu importe sa beauté ou quel autre connerie. Tu n'es pas sa chose. Il ne devrait pas se comporter de la sorte.

- J'en ai conscience.

Je fus appelé par un autre invité , à la fin de notre discussion afin que je le rejoigne. Il s'agissait du directeur de la galerie d'art de New York.

- Mademoiselle Alexander, quand votre ami m'a parlé de vos tableaux, je n'y aurai jamais cru, mais ils sont tout simplement exceptionnels. Vos coups de pinceaux sont précis et en même temps très rude. Vous avez un talent inné , et je voudrais vous donner l'occasion de les exposer dans ma galerie.

- Je vous remercie infiniment pour cette chance que vous me donnez, ce sera un honneur pour moi, de les exposer dans votre galerie.

- Pourquoi l'avoir appelé red card ? Pourquoi ce choix mademoiselle Alexander ?

- Je suis née en Essex, dans une famille qui ne vit que de règles et de choix complexe. J'étais la red card de ma famille, celle qui n'avait de choix que d'accepter son destin. Disons que je fus également celui qui a dit non à toutes ses règles. Certaines familles anglaises ont un certain mode vie, j'essaye de peindre chaque centimètre de l'organisation de ma famille, j'essaye de vivre comme si je restais dans la zone rouge, j'essaye de peindre la vie auquel j'aurai dû avoir droit.

- Je comprends totalement votre raisonnement. Je remercierai votre ami, je ne le dis pas souvent, mais c'est une très belle découverte. Bonne soirée mademoiselle Alexander.

- Bonne soirée, monsieur Keller.

Il me rend mon sourire avant de se diriger vers la sortie. Cette soirée était la plus belle chance que j'avais de faire découvrir mes tableaux. Grâce à Kyrell, j'y étais arrivé, cet homme me surprendra toujours.

La soirée ne se termine que vers 10 heure du soir, la majorité des invités avaient quitté la salle, il ne restait plus que Clyde, Jacob, Bella, Michael et Kyrell qui étaient encore sous la terrasse en train de fumer une nouvelle cigarette. Je n'y croyais toujours pas. Cela était la huitième cigarette que je le voyais fumer, et son verre de cognac ne quittait pas ses mains. Il était en réflexion, son cerveau était sans cesse en mouvement.

- Lia, c'était magnifique. Je suis heureuse d'avoir pu enfin les voir. Me dit Michael avec un grand sourire.

- Je te remercie infiniment d'être venu aujourd'hui, et surtout d'avoir fait ce très long trajet.

Je reste en leurs compagnies pendant une heure avant qu'ils ne se décident tous à me laisser avec l'autre psychopathe. Bella, elle , devait rentrer à Milan et les autres devait retrouver chacun  leurs vies.
Il ne restait plus que le pianiste, moi et l'amour de ma vie. Je fais un signe au pianiste afin qu'il puisse s'arrêter, il hoche la tête et se dirige vers l'ascenseur. Je ne savais pas ce qu'il se passait. Je le retrouve au téléphone en train de parler en russe. Je crois entendre le prénom de Max ? Mais que lui arrivait-il ? Il avait l'air triste et je me sentais encore plus perdue qu'autre chose.

Peut-être ne veut-il plus de moi ?
Peut-être qu'il ne veut pas d'une fille aussi torturer que moi ?
Peut-être que je ne lui plais plus ?
Est-ce parce que je lui ai dit que je l'aimais ?

Une boule se formait dans mon ventre et j'avais l'impression que je ne devais pas lui déclarer mes sentiments. S'il me rejette, je crois que je ne m'en remettrai pas, pas cette fois. Je respire profondément pour qu'il sente ma présence derrière lui. Mais il ne se retourne pas. Je sens sa main chercher la mienne. Je l'attrape rapidement et il entrelace nos doigts ensemble avant qu'il ne me fasse pivoter afin que je sois collée à la rambarde du balcon face à lui.
Il me serre contre lui et continue de parler avec Max. Ses doigts caressent mon dos et je sens sa respiration contre mon front, son odeur enflamme mon esprit et mon corps. Je sens son cœur battre contre ma main. Cette situation était irréaliste, mais c'est ce qu'il se passait.

Il raccroche son téléphone et le range dans sa poche avant d'entourer ses deux bras autour de moi. Il me serrait si fort que je croyais que j'allais m'étouffer, mais au contraire, je ne me suis jamais sentie aussi bien. Nous voilà deux ans et six mois plus tard, face à face, moi dans ses bras, à nouveau. Je n'arrivais pas à y croire, Kyrell est bien plus que tout ce que je n'aurai imaginé de toute mon existence.

- Tu te rappelles le jour de ma première exposition auquel tu avais participé ?

- Oui. C'était la première fois que je t'embrassais.

- Tu voulais savoir si j'étais comblée...

- Tu l'es ? Comblée ?

- Oui. Je le suis. Merci pour ce que tu as fait aujourd'hui et ce que tu fais depuis tous ses mois, tu as réalisé mon rêve Kyrell.

Je me décolle de sa poitrine, mais il me maintient contre lui afin que je ne quitte  pas ses bras.

- Tout à l'heure... tu... as dit que tu m'aimais, encore plus qu'avant, et encore plus maintenant. Je... Le pensais-tu réellement ?

Ses yeux rencontrent les miens et je pose ma main contre sa joue pour que l'on ne se quitte plus du regard.

- Kyrell, de mon existence, je n'ai aimé qu'une seule fois, et cet amour, c'est toi. Je ne peux aimer quelqu'un d'autre. Je ne peux pas et même si j'ai essayé pendant deux ans, je n'y suis jamais arrivé. Tu es ma plus belle torture, l'interdit auquel je n'aurai jamais dû goûter. Mais nous le savions tout les deux, depuis cette nuit dans ce bureau, nous le savions, que rien ne redeviendrait comme avant.

Il respire contre mes cheveux et embrasse mon front.

- Je t'aime Kyrell Ares Vasilkova, et si tu le veux bien , je veux que tu refasses partie de ma vie.

Point de vue de Kyrell.

Mon cœur allait exploser, cette fille me tenait, par les couilles, le cœur, le corps, l'esprit. Putain, je n'arrive pas à croire que je puisse la toucher. Je ne réalise toujours pas qu'elle soit à nouveau dans mes bras. Ses yeux bleus ne me quittaient pas et je n'avais d'une envie, la mettre nue et plaquer son cul contre la baie vitrée et m'enfoncer dans sa chair. Mais d'autres idées me viennent en tête. Il me fallait être sûre qu'elle était prête à se donner à moi.

Prête à ce que je lui fasse tout ce que mon esprit pervers et tordu voulait lui faire vivre. Elle me manquait. Terriblement. Tout me manque chez elle. Être son ami ne me suffisait pas, cela ne m'a jamais suffi. Je la voulais, et la désirais toujours. À chaque fois qu'elle venait au smith pour nos repas, je détaillais chacune de ses tenues, chaque petit détail, de son rouge à lèvre à ses chevilles. Si son vernis avait changé, je le remarquais, si son parfum avait changé, sa manière de discuter avec moi. Les jours où elle était énervée, agacé, les jours où elle était heureuse, si heureuse, qu'elle acceptait que je lui prenne la main. Même si elle retire la sienne quelques instants plus tard. Lia est intelligente et cela me rend autant content que cela ne m'insupporte. Elle devinait tous mes plans. Autant j'observais chaque détail de sa personnalité, autant elle lisait en moi comme un livre ouvert. Elle comprenait quand je mentais, comme le soir où je lui ai dit que j'avais pris une balle, et qu'elle m'a demandé d'aller me faire foutre en enfer. Je croyais qu'elle viendrait chez moi, s'assurer de mon bien-être, mais je m'étais lourdement trompée.

Le lendemain matin elle m'attendait au Smith et lorsque je lui arrive, elle m'a servi du vin rouge, pour me faire comprendre que même si je pissais le sang,  elle , n'en avait plus rien à faire. Donc lorsqu'elle me dit m'aimer encore, j'ai du mal à y croire. Cette psychopathe, m'a giflé, tellement de fois, nous nous sommes disputés tant de fois qu'un jour, j'ai failli tout laisser tomber et rentrer en Russie. Mais putain, il a fallu qu'elle m'appelle pour que je rapplique. Aujourd'hui la voilà dans mes bras, me demandant de faire partie de sa vie à nouveau.

- Veux-tu devenir ma petite amie lady Alexander ?

Un grand sourire se dessine sur ses lèvres, ses yeux pétille de malice et elle hoche la tête.

- Monsieur Vasilkova, je vous trouve vraiment très romantique dernièrement, alors pour remettre un peu de problème dans votre vie, j'accepte de devenir votre petite amie.

J'éclate de rire et elle me suit dans le mien avant d'enrouler ses bras autour de mon cou.

- Tu m'as manqué.

- Tu m'as manqué Ky.

- Tu sais que je ne te laisserai plus partir désormais ?

- Je n'ai plus l'intention de partir. Kyrell ?

- Hun ?

Elle attrape mon menton et rapproche mon visage du sien.

- Si tu me refais du mal, je te tuerai.

Je souris et hoche la tête. Avant d'entourer ma main autour de son cou et de la plaquer contre la baie vitrée.

- Si je revois un seul homme autour de toi bébé, je vous tuerai tous les deux.

Elle ferme les yeux alors que mon doigt caresse sa lèvre inférieure. Un voile de plaisir se dessine sur ses yeux lorsqu'elle les ouvre. Je sens sa respiration s'accélérer et son corps frémir contre le mien. Je serre son cou et avec mon autre main, j'insère deux doigts entre ses lèvres, elle les suce tendrement, le souffle court, mon sexe réagit automatiquement à la chaleur de sa langue contre mes doigts. Je retire mes doigts de sa bouche avant de relâcher son cou, je la porte et elle enroule ses jambes autour de ma taille afin qu'elle soit à ma hauteur.

- Dis-moi ce que tu veux bébé ?

- Embrasse-moi, je t'en prie.

J'agrippe ses cheveux avant d'écraser mes lèvres contre les siennes, nous gémissons à l'unisson, mon cœur allait exploser, sa langue entre en contact avec la mienne et nous entamons une danse endiablée, nos lèvres s'imposant l'une sur l'autre. Je mordille sa lèvre inférieure, et enfonce ma langue dans sa bouche, elle prend tout. Ce baiser n'avait rien de tendre, c'était charnel et violent. Je la sens se frotter à moi, je pourrais la baiser habillée tellement j'avais envie d'elle sa bouche quitte la mienne. Nous prenons un moment pour nous fixer l'un l'autre. Avant qu'elle ne m'embrasse à nouveau, elle gémit lorsque je lui mords la lèvre à nouveau. Cette fois-ci ce baiser était plus lent. Et je la sentais hoqueter à chaque fois que je reprenais la danse. Elle se frotte contre moi, pour sentir mon érection, contre son sexe, putain de jean.

Je me retire de sa bouche et fais descendre le zip de son pantalon, ma main entre en contact avec son vagin et j'ai l'impression de retrouver mon chez moi. Cette chatte tendre et gonflée qu'il me tardait de pénétrer.

Putain jamais, je n'ai désiré quelqu'un de cette façon. La dentelle de sa culotte, accentue mon érection, mais lorsque je la caresse à travers sa culotte et qu'elle gémit mon prénom, plus rien n'existait au tour. Nous savions ce qu'il se passerait ci, nous n'en avions rien à faire des baies vitrées ou de ses lumières dans New York, des sirènes de la police qui ne cesse de faire des aller-retour. Nous étions tellement en manque de l'un l'autre que rien ne pouvait détruire ce moment.

Je décale sa culotte et insère un doigt en elle, elle était complètement trempée, mouillée, délicate et putain de lisse, le vagin que je me vois baiser dans tous mes rêves. Elle se balance contre mes doigts pour me sentir plus profondément. Je joue avec ses sens en insérant un deuxième doigt en elle. Ses soupirs emplissent la pièce et j'observe son visage rouge de plaisir, elle me laisse la prendre plus vite. Son corps ne tenait plus en place, je la caresse de haut en bas avant de frotter mes doigts contre son clitoris.

- PUTAIN KY....

Ses cris emplissent mes oreilles et son corps est secoué de spasmes , je n'entends que ses cris et ses gémissements étouffés. Elle se tient à mes épaules et se laisse aller contre mes doigts, elle, je  la pose contre l'un des sièges avant de retirer ma veste et ma chemise rapidement. Ses mains se posent sur mon torse et elle me caresse les pectoraux pour descendre sur mes abdos.
Ma chère et tendre putain se lèche les lèvres désireuses avant de se relever du siège et de lécher mon torse jusqu'à mon bas ventre, elle s'arrête à la ceinture de mon pantalon. Ses yeux bleus se relèvent vers moi, me faisant perdre la tête encore une fois.

- Retire ta chemise et ce putain de pantalon qui m'empêche de voir ton cul.

- Monsieur Vasilkova quelle vulgarité !

Elle me sourit et retire son haut me laissant voir ses seins cachés sous se soutien gorge. Celle-ci rejoint le sol avant qu'elle fasse descendre lentement son jean en me fixant droit dans les yeux. Sa culotte était encore sous le côté là où je l'avais laissée pour la posséder de mes mains.
Elle prend ma main et la pose contre ses seins, avant de la faire entrer sous son sous-vêtement, je l'empoigne dans ma main caressant son téton dur. Elle gémit et mon autre main retrouve son sexe, elle serre les cuisses contre mes doigts qui s'échauffait encore une fois dans les parfois de son vagin.

Cornelia était terriblement sexy, j'avais l'impression de la redécouvrir.

- Je t'en prie...

- Je t'en prie quoi lady ?

- Kyrell défonce-moi, je t'en prie.

Je hoquette sous la surprise et lui sourit avant de la retourner et de la pencher en avant. Elle se retient au siège et je fais descendre sa culotte avant d'embrasser son cul rebondit. J'écarte ses cuisses avec ma jambe et la caresse de haut en bas, elle mouillait tellement que je ne voulais que répondre à ses désirs et la défoncée contre cette vitre.

Ma main s'abat sur ses fesses et elle crie en étouffant un gémissement lorsque je frotte mes doigts contre ses lèvres inférieures. J'entame de lui en donner une autre, et encore une autre, ses fesses sont complètement rouges et pourtant elle m'en demande encore, je la baisais de mes doigts et lui donne des fessées si violentes que son sexe se resserrait contre mes doigts. Elle hoquette de plaisir lorsqu'elle sent mon pantalon contre ses fesses, je retire ma ceinture et retourne ma blondinette pour qu'elle me regarde dans les yeux.

- Es-tu prête ?

- Pour toi ? Toujours...

Je baisse mon pantalon et mon boxeur en même temps, avant de la porter et de la mettre sur la table ou le pianiste avait déposé ses affaires plus tôt. Elle regarde mon membre, avant de croiser mon regard, sa main se pose sur celui, et le caresse tendrement. Ses jambes s'écartent instantanément et elle dirige mon sexe vers le sien avant de frotter sa mouille contre moi. J'entre ouvre les lèvres pour respirer c'était si bon, elle gémit plus fort avant de s'allonger totalement sur la table complètement nue.

Je ramène ses fesses sur le bord de la table et profite de son inattention pour m'insérer en elle. Elle pose sa main contre ses lèvres pour ne pas que l'on entende ses crie. Je sens mon corps se tendre et mon membre grossir en elle, putain, c'est si bon de la retrouver, si bon d'être de nouveau en elle.

- Ky....

Je commence à bouger en elle, lentement, nos hanches s'accorde l'un à l'autre comme avant, son souffle devient court, je ramène ses jambes contre sa poitrine et la pénètre plus profondément. Elle ne tenait plus en place, ne pouvant plus bouger les jambes, je m'enfonce en elle en baisant  toutes les parois de son sexe.

C'était si bon, mon membre allait et venait en elle et ses cris emplissaient la pièce dans son ensemble. Je me retire d'elle à moitié avant de m'enfoncer à nouveau dans sa chaleur. Ma queue était luisante de sa mouille et putain, j'observais son vagin avaler ma bite et se resserre autour de lui. Je m'enfonce en elle, en libérant ses jambes qui se mettent contre sur mon torse, je les colle l'une contre l'autre et m'enfonce à nouveau en elle. Je la prenais si fort que chaque secousse de son corps frappait le mien. Ma main prend son sein droit en otage ensuite, je le caresse avant de pincer ses tétons entre mes doigts, sa respiration se ralentit et je sens ses jambes tremblantes contre mon torse. Mais je n'en avais pas assez. J'en voulais plus.

Je la soulève de ma table, tout en restant en elle avant de la plaquer de nouveau contre la vitre. Elle se laisse aller contre mon membre et écrase ses lèvres contre les miennes, mon sang affluent en moi et j'ai l'impression de perdre la tête.

- Ky... je...

Je m'enfonce en elle ne lui laissant plus aucune chance d'émettre un mot. Ses cries et mes grognements animent la salle et nos deux corps, en manque, se chevauche l'un l'autre.

- Retourne... oh mon... Put... Ky... je...

- Bébé, tu veux bien la fermer. Lui réponds-je en la renversant la tête en l'air, je m'enfonce de nouveau en elle et observe toutes les réactions de son vagin autour de moi. Elle me supplie d'arrêter, mais pas aujourd'hui, je n'en avais pas fini.

- PURÉE... ARES.... Merde....

Je l'allonge sur le tapis, mais alors qu'elle croyait air, je la laisserai jouir, je la retourne et agrippe son cul contre mon membre, qui se délecte de toutes ses putains de cries.

- Tu veux que je m'arrête Lia ? Lui demandais-je pendant qu'elle cherchait encore sa respiration.

Je la pénètre à nouveau en maintenant ses fesses contre moi sans bouger en elle.

- Réponds-moi, bébé, c'est ce que  tu veux ?

Elle cherchait encore sa respiration, mais lorsque ses fesses se balancent contre mon membre j'oublie ma raison et la baise encore plus fort, putain de bordel de merde, qu'elle est bonne.

Je me sens venir et je sens qu'elle ne tient plus en place. Son corps était recouvert de marque, peut-être, ai-je été trop dur. Elle tremble sous moi , et je continue de la prendre jusqu'à ce que nos deux corps exposent l'un en l'autre, je jouis en elle en me déversant tendrement dans sa chatte que j'affectionne particulièrement.

Aucun mot ne quittait nos lèvres. Je me retire lentement d'elle et elle s'affaisse sur le tapis, je me couche à côté d'elle encore sous le choc. Je ramène sa cuisse contre mon ventre, elle pose sa tête contre ma poitrine et reprend doucement sa respiration, je cherche de ma main son vagin, ou je pose délicatement ma main.

- Tu te sens bien ? Tu n'as pas mal ?

- Je... ne risque pas de pouvoir marcher demain. Mais je ne regrette absolument rien. Jamais tu ne m'avais prise de cette manière. Je... c'était la meilleure baise de toute mon existence.

J'éclate de rire et lui embrasse le front.

- J'espère que je suis le seul à avoir droit à ce discours.

- Mes ex amants, se sont toujours protégés et Kyrell, je n'étais jamais sobre ou sinon à moitié. Avec toi, je suis toujours réveillé et j'adore sentir ta peau contre la mienne.

- Je t'aime Cornelia.

- Je t'aime aussi Ares.

Je ferme les yeux et la serre plus fort avant de plonger le nez dans ses cheveux. Je suis si amoureux de cette femme. Il n'y avait plus de règles, plus de cartes, plus de système, plus de famille, juste nous deux, deux amants torture, capables des pires choses, amoureux à en mourir.

- Je t'avais déjà rencontré.

- De quoi tu parles ?

- Je... quand j'étais enfant, mon père enregistrait tous les jours ou semaines, une vidéo, et il y en a une, dans laquelle, je suis en compagnie de mes parents et toi de ta mère. Je te vois derrière elle, mais toi, tu ne me vois pas. Je... crois que nous... étions destiné à nous retrouver.

Elle embrasse mon torse et plonge la tête dans mon cou. Il me fallait lui avouer moi aussi quelque chose.

- Tout le monde pense que j'ai rebâti le système.

- Ce n'est pas ce que tu as fait ? Cela a toujours été ton rêve d'être à la tête du système.

- Après l'explosion, mes hommes m'ont demandé ce que je voulais faire ? Ce que je mettrai en place. Je leur ai fait savoir qu'il n'y avait plus de système. Nous sommes toujours les piques, et les cœurs se sont joint à nous, mais je gère les réseaux de trafic de tout le nord de la Russie, et cela, c'est étendu en Europe également. Le système était mon rêve avant que tu n'entres dans ma vie Lia. Il me fallait apprendre à pardonner, il me fallait accepter et comprendre pourquoi tu voulais tant sa destruction. Après que tu as défait les nœuds et décider de te retirer, je ne voyais plus contre qui je devais me battre, je ne me voyais pas continuer à vivre dans ce système. Je voulais que tu le saches, nous portons des piques tatoués sur nos corps, mais il n'y a plus de système. La red card n'existe plus, ni la congrégation. C'est toi mon rêve, et je l'ai compris bien trop tard.

- Kyrell, je n'ai jamais été au courant, mer Bella pensait que tu avais repris le système, c'est ce que nous croyons tous.

- Lia, ce système a détruit ta vie autant que la mienne, ma mère malgré tout mon amour pour elle était assoiffée de pouvoir , mon père une crapule, mon frère la pire merde qui puisse exister. Je n'ai jamais eu de vraie famille à cause du système. Les piques ont sauvé ma vie, certes, mais les piques peuvent vivre hors du système
, si vous les trèfles, le pire de tous les groupes, vous y êtes arrivée, nous devrions pouvoir faire de même. Nous n'avions pas le droit d'aimer, d'avoir des sentiments, d'avoir des enfants, de nous attacher, d'avoir une famille. Quand je suis tombé amoureux de toi, et quand je t'ai vu sortir de ma maison ce jour-là, j'ai compris, tout l'argent du monde et tous les trafics, tout le pouvoir du monde, ne remplacera jamais la femme que j'aime, et c'est toi. Tu es ma famille, mon début et ma fin. Donc tout comme toi je crois au destin, et nous étions deux âmes destinées à se rencontrer, puis à s'aimer.

- Je t'aime tant Ky.

Elle me serre de toutes ses forces, je voulais qu'elle comprenne plusieurs choses avant que nous ne quittions ce bâtiment.

- Je ne suis pas parfait, mais ça tu le sais déjà, je suis protecteur, un peu trop épuisant, chiant, je ne te rabâcherais pas les oreilles avec des déclarations d'amour, cela ne me ressemble pas. Je serai collant, je te suivrai partout où tu iras, je te ferai l'amour ou te baiserai à ta convenance, je ferai en sorte que tu saches en permanence où je suis pour ne jamais t'inquiéter. Je me donnerai à toi, tous les jours, je serai honnête avec toi, donc je te demanderai la même chose, je suis accro à toi, ainsi ne soit pas surpris au fait de devoir marcher plusieurs fois comme un pingouin, car je te défoncerai souvent le cul. Je te protégerai et je me battrais contre toi quand tu ne comprendras pas à quel point je suis fou de toi. Je tiendrai mes promesses. Regarde-moi s'il te plaît.

Elle relève les yeux et plante ses yeux dans les miens, en m'observant amoureusement.

- Je tuerai toutes personnes qui osera te faire  du mal, je brûlerai tout homme qui touchera à ce qui m'appartient . Je rentrerai à la maison en ayant parfois du sang sur la main, ne soit pas étonné, mais je ne veux pas que tu t'inquiètes, car peu importe ce qui arrivera , je rentrerai toujours à la maison. Je ne demande qu'une chose bébé, vis tes tortures avec moi et aime-moi comme tu l'as peint sur chacun de ses tableaux.

Elle m'embrasse tendrement et monte au-dessus de moi, en se plaçant au-dessus de mon membre. Mon souffle se ralentit lorsque j'entrevois sa moiteur dégoulinante, elle me laisse la pénétrer entièrement de mon membre en fermant les yeux.

- putain... Lia....

- Je n'existe que pour toi, Ky, depuis le premier jour.

J'embrasse ses seins et la laisse me baisser encore et encore. Nous ne nous arrêterons que vers cinq heures du matin. Cornelia n'arrivait plus à tenir debout, donc je l'ai porté. Elle s'était endormie contre ma poitrine.

Je suis réveillé par la sonnerie à l'entrée, Cornelia dormais paisiblement dans mes draps, les cheveux en bataille, les lèvres rosis et son corps recouvert par des marques, de nos ébats.
J'enfile un peignoir et ouvre à Zachary, qui m'observe sous le choc.

- Tu dormais encore ? Depuis quand tu dors aussi tard ?

- Ta femme ne t'a pas retenue dans son lit aujourd'hui Zach ?

- Attend qu'est-ce qu'il se passe, j'ai reçu un message de Max, la marchandise arrivera demain. J'ai une escale de huit heures ici, donc je suis venu pour qu'on parle de la livraison.

- Zach aujourd'hui, je suis très heureux, je me sens bien, car une certaine blonde m'a repris dans sa vie. Je sais que vous ne vous appréciez pas, mais rappelle-toi, le premier jour,  tu me l'as toi-même ramener dans mon bureau. Tu es mon meilleur ami Zach, mais si elle sort de cette chambre et que tu dis un mot de travers, je te défonce  la gueule. J'accepte son ex meilleure amie, car tu l'aimes, alors accepte Lady Alexander.

Il me fait un sourire en coin.

- Je suis heureux que tu l'aies retrouvée, je sais à quel point tu tiens à elle,

- Non, je ne tiens pas à elle frérot, je meurs d'amour pour elle.

- Je le sais et je le comprends, donc non, me disputer avec Cornelia  n'est pas ce qui m'amène ici. Je ferai tout pour bien m'entendre avec elle.

- Eh bien tant mieux. Je vais la réveiller, tu viens de foutre en l'air mes plans du matin. Sauf si tu es apte à aller faire un tour ou mettre des bouchons d'oreilles puis revenir plus tard.

Il explose de rire, et je vois Cornelia sortir de la chambre habillée de mon t-shirt et d'un jogging un peu trop grand pour elle. Elle fusille Zach des yeux avant de venir vers moi.

- Baisse-toi, s'il te plaît.

Je la porte pour qu'elle soit à ma hauteur, elle pose tendrement ses lèvres sur les miennes avant de redescendre.

- Bonjour bébé.

- Bonjour, comment te sens-tu ?

- J'aurais encore plus voulu avoir mal ce matin, mais je vois que tu as un invité.

Je rigole et embrasse son front.

- Je dois aller en cours cet après-midi, tu me rejoins chez moi après ?

- Je passerai te chercher.

- D'accord, je peux partir avec tes vêtements, je n'ai aucune envie de remettre le pantalon d'hier.

- Le chauffeur sera prêt dans un instant. Laisse-moi le prévenir.

- D'accord. Zachary comment se passe la vie d'homme marié ?

- Bonjour Cornelia, oh cela se passe extrêmement bien, et la vie d'amants ?

- Oh, c'est le pied, c'est un plaisir de te reprendre ton ami.

Zachary lui fait un grand sourire, mais je sens que si cela continue, ils risquent de s'entretuer ici.

- Tant  qu'il est heureux avec toi cela me convient totalement.

- Oh il est devenu gentil dit donc, Kyrell, je crois que je vais finalement apprécier ton ami. De toute  façon je n'ai pas réellement le choix n'est-ce pas ?

Elle se tourne dans ma direction attendant ma réponse.

- Non, tu n'as pas vraiment le choix, et lui non plus.

- Bien, je vais devoir y aller. Prends soin d'Élisabeth Zachary, je ne voudrais pas avoir à m'en prendre à nouveau à toi.

Elle m'embrasse et récupère ses affaires avant de quitter l'appartement cette fille est complètement cinglée.

Point de vue de Cornelia

Ces trois heures de cours furent les plus longues de mon existence, j'étais courbaturé, épuisée, et je n'arrivais plus à m'asseoir correctement. J'avais mal partout, et putain à chaque fois que j'allais aux toilettes, je devais me soulager en mettant de l'eau afin soulager la douleur. Il ne m'a pas raté une seule fois. J'ai été prise dans tous les sens, toutes les directions des quatre points cardinaux. Je lui ai demandé de me défoncée, et je me suis fait mitrailler, les fesses, les seins et le vagin. Je sens encore ses mains agripper mes fesses, ses doigts me prendre, sa bouche, suçant mes tétons encore et encore.
Sa bouche recouvrant mon corps de suçons, et sa queue , me donnant une putain de correction. Je l'avais bien compris, plus personne ne reposera les mains sur moi.

- Mon cours vous endort-t-elle Mademoiselle Alexander ?

- Non Monsieur Larsen, veuillez m'excuser.

J'essaye de me concentrer, sans y arriver. Mes fesses étaient en feu, et à chaque fois que je fermais les yeux pour oublier la douleur, je voyais Kyrell en train de bouffer ma chatte. Putain, je suis complètement foutu.

Lorsque le cours se termine, je suis la première à sortir de la salle, je rejoins rapidement la sortie pour attendre Kyrell.

- Kate ?

Je reconnais rapidement cette voix et avant même que je ne me retourne, je comprends que c'est le début des emmerdes. Henry se trouvait en face de moi un grand sourire aux lèvres. Putain de bordel de merde. Qui m'a demandé de lui donner le nom de mon école ? Il m'attire contre lui pour me serrer dans ses bras, avant même que je n'arrive à dire un mot, il m'embrasse. Je vais vraiment me faire tuer.

Je me décolle rapidement de lui sous le choc. Il me regarde confus et surpris.

- Ne me retouche plus jamais de cette manière.

- Pourquoi ? Attend il y a un problème Kate ?

- Non aucun. Je... Henry qu'est-ce que tu fous ici ?

- Je suis venu te voir. Je suis amoureux de toi et cela fait plusieurs mois que je n'ai presque pas de nouvelle.

- Henry rentre chez toi, j'ai une urgence familiale, je te rappellerai.

- Il se passe quoi Cornelia.

- Henry, je ne t'aime pas, jamais, ce sera le cas, putain, tu veux bien partir rapidement s'il te plaît.

- Attend je ne te comprends pas Cornelia... Attend dis-moi... Putain je...

Je vis mon téléphone sonné, il s'agissait de Kyrell.

- Va-t'en tout de suite.

Ce petit con ne comprenait pas que je cherchais à ne pas le faire tuer.

Il me lance un regard si triste que je n'arrive pas à lui répondre. Henry tourne les talons et se dirige vers l'entrée de la gare de métro.

Dix minutes plus tard, la voiture de Kyrell se gare devant moi, il descend et se dirige vers moi avec une démarche tellement sexy que j'en avais le souffle coupé. Il embrasse ma joue, avant de planter son regard dans le mien.

- Tout va bien beauté ?

- Oui, je vais bien, je suis encore courbaturé.

- Viens avec moi, je t'ai préparé un repas à la maison. Je te ferai un massage afin que tu puisses te détendre.

- Très bien.

Je monte dans la voiture avec lui, et observe son regard. Il se posait des questions et je le savais.

- Pourquoi tu fuis mon regard Cornelia.

- Tout va très bien, je me sens fatiguée, c'est tout.

- Très bien.

Nous arrivons chez lui quinze minutes plus tard, et une fois dans l'ascenseur, je me demande si je dois vraiment lui dire ce qui vient de se passer  avec Henry.

- Tu sais hier soir, nous parlions de vérité et d'honnêteté ?

- Oui, je me rappelle. Tu sais que je suis amoureux de toi ?

- Oui, je le sais, car moi aussi je suis amoureuse de toi.

Il me prend par les hanches et me colle tendrement à lui en plantant son regard dans le mien.

- Donc cela ne te dérangerait pas si je te montrais de quoi je suis capable ?

- De quoi parles-tu Ares ?

Les portes s'ouvrent sur l'appartement et je vois Henry installer sur une chaise avec plusieurs explosifs  attacher au corps. J'étais tellement sous le choc qu'aucun mot n'arrivait à quitter mes lèvres. Il m'observe un sourire en coin et là j'entrevois toute la colère dans ses yeux. Putain de bordel de merde, ils nous avaient vus ensemble.

- Alors, je te repose la question lady Alexander , qu'est-ce qu'il s'est passé aujourd'hui ?

- Henry  est venu à moi à la sortie de mes cours et m'a embrassé, je l'ai repoussé avant de le chasser pour qu'il disparaisse de ma vue. Kyrell ce... ne lui fait pas de mal... il n'a rien demandé...

- Tu es en train de le défendre où je me trompe ?

Je masse mes tempes et observe le visage de ce petit con dont je suis tombé amoureuse, il m'observe un sourire en coin avant de me prendre par les hanches afin de me coller contre lui.

- Ne le tue pas Kyrell.

- Pourquoi ?

- Il ne savait pas que j'étais en couple, et puis tu es censée me donner un massage qui d'ailleurs aurai dû être conclu par du sexe torride. Ne le tue pas.

Le microphone sonne au même moment.

- Monsieur, il y a mademoiselle Guerra à l'accueil, elle souhaiterait rejoindre votre appartement.

- Qui est mademoiselle Guerra ?

- Rebecca. Mon ex copine.

Je sors mon arme de mon sac et l'attire contre moi pour lui donner un baiser.

- Un double meurtre Ares, ce n'est pas ce que tu veux, si ?

Il croyait être le seul à être un psychopathe jaloux et tordu, je crois que nous sommes deux dans cette situation.

Bonne nuit ❤️

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