le héros il s'appelle Daishi, et son amie Mélissa

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pdv Mélissa

je vois le combat qui se dérouler sous mes yeux sans que puisse rien faire pour aider mon ami, Un terroriste avait décider de faire entendre ces idées et pour sa il a engendré une organisation bien plus dangereuse que de faire exploser quelques bombes (même si sa reste tragique) et mon ami combattais le dernier et le plus puissant de leur organisation. Leur combat était vraiment impressionnant mais j'avais peur pour mon ami , la police nous empêcher de passer. Au final il décapita le dernier membre de cette organisation puis tomba au sol. Je passa outre les policiers qui nous empêchaient de passer, certain essayer de me retenir mais je l'esquiva assez facilement pour aller le voir

daishi :Mélissa ? Que fais tu la ?

Mélissa :Ne parle pas, l'ambulance arrive garde tes forces

daishi :Mélissa...tu as vu mon état, je ne survivrai pas

Mélissa : non, non n'abonne pas

des larmes commence a coulé le long de mes joues

Daishi:Pourquoi tu pleure ? J'ai gagné, souri !Allé je ne veux voir des larmes pour mes dernier instant

Mélissa : dit pas sa s'il te plaît

Daishi : tu sais j'ai toujours eu peur de mourir et je me demandais de quel façon sa allait m'arriver mais maintenant je suis content de la façon, j'ai mon amie la plus précieuse mes coté et je meurt en héro, maintenant il ne peuvent plus le nier je fais un bon héro, j'y suis arrivé

dis-t il en souriant , je pleurais je ne pouvais fairenque sa mais malgré les larmes je souri comme il me l'avait demandé

Daishi : dis Mélissa je peux te demander quelque chose s'il te plaît

Mélissa : oui bien sur

Daishi :tu peux me faire un câlin comme quand on étaient petit et que je me fessais mal

quand il a dit sa des souvenirs me reviens, effectivement on était voisin étant petit et on jouait beaucoup ensemble et des qu'il se fessait mal il venait me faire un câlin. Je lui fis un câlin en me remémorant nos souvenir ensemble

Daishi :j'ai une dernière question. Tu sais pourquoi je te demandais de me faire un câlin quand j'avais mal ?

Mélissa :non

on entendait que sa voit se fessait de plus en plus faible et tremblante, je senti des gouttes, quand je releva la tête, je le vit pour la première fois pleurais et cette vision me brisa le cœur

Daishi : Car je ne voulais pas que me voient pleurais, je préféré que me voient comme quelqu'un de tendre que de faible, je voulais être fort a tes yeux peux importe que les autre me trouve pitoyable si je peux briller dans tes yeux

sur ces paroles la mort l'emporta pour son dernier voyage, je ne pouvais plus sourire comme il le voulait, je n'arrivais plus a m'arrêter de pleurer, se n'est que quelque minutes plus tard que je releva enfin la tête pour voir les dégâts du combat. Tous le monde sauté de joie et ne fessais que rabâcher les crimes de celui qui avait la tête décapiter, même la télé était arrivait pour essayer d'interviewer tout quelqu'un qui voudrait bien leur réponde mais personne a eu pensé pour Daishi et mon sang n'as fait qu'un tour, j'étais folle de rage

Mélissa :*CRIE* Comment vous pouvez être content ?

Quand j'ai crié sa tout le monde s'arrêta, les camera se braqua sur moi, ma voit était encore tremblante a cause des pleures je repris toujours en criant pour pouvoir atteindre le plus de monde qui peuvent m'entendrent de plus il fessait nuit donc sa résonné

Mélissa :*CRIE* On vient de perdre un héro, une personne qui agissait pour notre pays, pour votre sécurité, regardé il est...- mes sanglot repris- il est mort pour vous mais vous préférai être content parce que un ennemis est mort. Comment votre première pensé peut-elle être votre ennemi et non pour votre héro. On serait tous mort si il n'avait pas combattue dis-je pendant que mes pleurent repris

quand je fini de parler j'étais essoufflé car je lutter contre les sanglot, j'avais fini de parlé et pourtant il n'y avait toujours aucun bruit tout le monde détourné le regard se sentant coupable, l'ambulance arriva enfin et les policier me fessait partir « pour ne pas gêner les ambulanciers » et je l'ai est suivi sans résistance de toute façon je n'avais plus de force. A l'enterrement il y avait peu de personnes qui était autorisé a venir donc il n'y avait pas foule, mais sur internet plusieurs on voulu lui faire hommage et a la place ou c'est déroulé le combat il y a maintenant un mémorial, a chaque que je le vois sa me brise le cœur car sa me rappelle qu'il n'est plus de ce monde. Lors de l'enterrement je souriais tous le long et quand sa mère est venu me demandais pourquoi je ai lui répondue une larme a l'œil que c'est lui me l'avait demandé et elle fondis en larme a la fin de ma phrase. Maintenant des que je vais voir sa tombe je souris, quand je pense a lui je souris car je n'ai passer que des bon moments avec lui, même nos dispute me manque...