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Soirée improvisée (texte)

Heureusement que je devais me coucher tôt. J'avais annulé ma soirée avec des copines pour prendre du temps pour moi mais le voilà devant un gymnase à presque deux heures du matin, la tête aussi pleine d'interrogation qu'à 21h.
Toute la journée, j'ai réfléchis à savoir si je devais sortir, arbitrer ou juste écrire. Je ne me sentais vraiment pas de sortir, alors, mon cœur a balancé toute la journée. J'ai fini par décider qu'aller me défouler me ferait plus de bien que de tourner en rond. En plus je savais qu'Hugo serait là.
Je ne pensais pas sortir d'ici avec plus de questions que ce qui m'avait poussé à prendre cette décision.

Tout avait si bien démarrer pourtant, le match était calme, les joueurs tranquilles, pas d'enjeux, pas de prise de tête. Tout ce dont j'avais besoin.
Après le match, j'ai ris avec eux, débattant des décisions avec lesquelles Logan et Jonathan n'étaient pas d'accord. Ca a fait sourire mon père Bruno et Hugo.

Hugo pourrait avoir la médaille du pire truc du match, mais ce n'est pas le seul, je songe à l'heure du vote. Je n'ai pas mon avis à donner, il n'y a que les joueurs qui décident. Les acteurs de l'équipe. Je souris d'avance, une bière à la main, de ce qu'il va se dire, c'est toujours le meilleur moment de la soirée.
Spectatrice, un sourire aux lèvres, les trois premiers votes et leurs raisons me font mourir de rire mais je redescends très vite sur terre.

" Logan, à toi
- Facile, Anastasia, y'avais jamais marché. "

J'écarquille les yeux surprise, je ne pensais pas participer. Hugo à côté de moi hésite et passe son tour, il n'a pas d'idée. Enfin, il me tend le totem. Je fronce les yeux sans comprendre.

" J'ai pas joué moi.  Je vais pour passer le totem à mon voisin quand Jonathan et Hugo protestent et insistent.
- Quelqu'un a voté contre toi choisi. "

Un million de choses me traversent l'esprit. Le pantacourt de Baptiste, c'est pas mal... Hugo et ses deux premières actions aussi, ou juste pour le taquiner un peu. Florent, non, le vote vient d'une histoire que je ne connais pas vraiment. Jonathan pour son genoux en morceau ? Non plus, j'oserai jamais, je sais que les représailles arriveront tôt ou tard et surtout quand je m'y attendrai le moins.
Avec le recul, heureusement que j'ai pas fait ça. J'hésite et tend finalement le totem à mon voisin.

" Là j'ai pas d'idée non plus, je réfléchis un peu. "

Deux voix pour Florent, une pour Logan, une pour moi, une pour Oliver, l'autre gardien, et une pour Baptiste. Il reste Hugo et moi à voter.

Il commence et annonce :

" Désolé Baptiste mais tu m'as trop fait rire ! Puis il me tend de nouveau le totem, à toi.
- Logan, celui qui tient le sifflet à toujours raison, il y avait passage en force. "

Je souris en lui rendant le totem. J'ai hésité mais voter contre celui qui m'a voté est le plus simple. Et puis ça me sauve. Ça le fait autant rire qu'Hugo et mon père.
Deuxième tour. Logan ne peut pas voter contre moi, Hugo ne change pas son vote et j'ai aucune raison de changer le mien non plus. Sous son air outré, Logan rit. Un geste technique raté, une passe dans les gradins et puis ... C'est lui qui a perdu.

Le rituel est terminé, ils font la photo, rigolent, Logan explique à ceux qui ne le savent pas qu'il n'a jamais perdu avant de changer de club. Que sans ce soir , il ne l'aurait jamais eu. Jonathan me propose une autre bière, je refuse poliment, je voudrais rester à une.

Il ajoute en se dirigeant vers la sortie, surement pour aller fumer :

" Ça va Anastasia, on a déjà mis ton père carpette, tu peux boire une deuxième bière.
- C'est pas pour ça que je dois faire pareil et finir comme ça. "
Je réponds.

Je cherche mon père du regard, voulant determiner si ce que vient de dire Jonathan est une bêtise de plus ou la vérité, mais il est déjà sorti.
Un regard bref sur le hall du gymnase me fait dire qu'il est avec les fumeurs. Logan fume ? Peut-être est-il juste parti finir sa conversation dehors ou prendre l'air, comme Olivier. Toujours est-il que je ne croise que les yeux verts gris d'Hugo et Florent qui sont eux aussi resté.

Je me rapproche du comptoir en même temps qu'Hugo me demande si j'ai mes résultats de partiels. Il s'en est souvenu, c'est adorable. Peut-être n'a-t-il pas un mémoire de poisson rouge finalement... Je lui raconte en riant mon coup de pression d'hier, je vois qu'il en sourit, ça me fait plaisir. Il est vraiment mignon quand il est comme ça, détendu et souriant.

Alors que j'attrape une poignée de chips, Florent entame la conversation sur mes études.

" Oui, je suis en troisième année, c'est ça, éco-gestion.
- On est dans la même fac
, renchérit Hugo, mais on se voit jamais. Rigole-t-il.
- Si je t'ai vu à midi. "

Nous rigolons tous les deux, Florent nous pose quelques questions à tous les deux, sûrement intéressé, avant d'être interrompu par Jonathan qui passe sa tête dans l'interstice de la porte et crie.

" Flo' ! Vient fumer dehors avec nous, Hugo veut conclure ! "

Je sens mes oreilles chauffer, gênée, je baisse les yeux sur mes mains. Ils ne le savent pas, aucun d'entre eux mais c'est ma corde sensible ce soir. Si seulement ce que raconte Jonathan pouvait receler une once de vérité. Si seulement dans la blague qu'il vient de faire il y avait un fond de vrai. Je regretterai presque de ne pas avoir croisé le regard d'Hugo, juste pour savoir. Savoir ce que disent ses yeux à cette histoire.

On aura passé toute la soirée ensemble sans même s'observer plus d'un instant ou deux...

Comme personne ne répond et que Florent n'a pas bougé, j'imagine qu'il hésite à nous laisser seuls. Hugo de son côté doit regarder le bout de ses chaussures, aussi mal à l'aise que moi. Jonathan enfonce le clou en ouvrant de nouveau la porte :

" Allez Flo' ! Laisse-les, Hugo veut conclure avec Anastasia ce soir je t'ai dit ! "

Un rire nerveux m'échappe, à Hugo aussi. Alors que Florent s'éloigne pour nous laisser, je suis de plus en plus perdue. La pique pour embêter mon ami raisonne au fond de mon cœur. Je n'ose pas le regarder, de peur de craquer. De craquer pour lui, si ce n'est pas déjà trop tard...

A cet instant, je serai prête à payer des milles et des cents pour savoir ce qu'il se dit de l'autre côté de la porte, ce que pense mon père avec eux et pour entrer dans la tête d'Hugo à côté de moi.

Je savais qu'en restant je m'exposais à ce genre de pique mais au fond, je devais en avoir un peu envie. Elles font battre mon coeur un peu plus vite et redressent mon sourire, plus haut sur mon visage. Hugo a l'air d'avoir l'habitude car Jonathan ouvre la porte une troisième fois pour l'embêter un peu plus encore.
Mes joues doivent être de la même couleur que la peinture sur mes ongles mais je souris, bêtement, comme une enfant, un peu amoureuse. Je souris. Je m'en veux presque d'avoir terminé ma bière et d'avoir posé la bouteille vide, je n'ai plus rien pour occuper mes mains et je n'ose toujours pas croiser son regard.

" C'est comme ça depuis le début de l'année, rit-il nerveusement.
- Je me doute. " Je confirme pour le rassurer. 

Qui est le plus gêné de nous deux ? Si seulement j'osais lever mes prunelles vers lui plutôt que de détailler les défauts de la table.

" Je m'y attendais un peu ... " Je souffle pour lever le silence entre nous.

Et, puis, finalement, il relance la conversation sur nos profs et nos cours. Tout redevient naturel, j'ose enfin relever la tête et l'observer. Il s'est détendu lui aussi mais quelques traces de rougeurs persistent à la base de son cou. Peut-être en a-t-il l'habitude mais sûrement pas quand je suis à moins d'un mètre de lui, sûrement pas autant et de manière aussi persistante.

On ne se verra pas ce weekend, il se déplace sans moi, il vient de me le dire ... Je suis déçue mais je ne lui avouerai jamais. Égoïstement, j'espère qu'il ne s'amusera pas trop sans moi, et encore moins si quelqu'un me remplace. 
Alors que nous avions retrouvé nos automatismes, nos habitudes et notre complicité, Jonathan intervient de nouveau.

" Hugo tu veux pas ramener à boire à beau-papa ? Ça fait gagner des points ça ! "

Je ne sais pas si je dois en rire, en pleurer ou en avoir marre. Je préfère en sourire mais je sais que nos automatismes viennent de s'envoler. Je me referme sur moi-même et lui aussi. Ce n'était pas moi qui était visée par le sous-entendu, mais je suis une victime collatérale. Je me demande si je ne suis pas plus gênée que lui...

Auprès de qui Hugo a-t-il à gagner des points ? De moi ? Il n'en a pas besoin. Il est déjà au fond de mon coeur, je ne sais juste pas quelle place il a exactement. Ce ne sont pas les remarques incessantes de Jonathan qui vont m'y aider. Quoique ...

A côté de moi, il s'est de nouveau tendu, sans même le voir, je le sens. Comme je sens le soulagement qui émane de lui quand, enfin, Olivier, Florent et les autres, Jonathan compris, rentrent.
Je suis presque déçue que le tête à tête soit terminé mais je suis soulagée que tout le monde soit de nouveau là, je vais pouvoir me cacher derrière mon silence et juste écouter, observer. Le cercle se reforme autour du comptoir, me laissant tout près d'Hugo.

Moi qui pensais pouvoir souffler, réfléchir, et finir la soirée tranquillement, je change rapidement de couleur en croisant le regard de mon père en face de moi. Si quelqu'un peut lire en moi si facilement, c'est bien lui. Et lui a du tout comprendre du dilemme qui se joue dans ma tête. C'est pour ça qu'il ne dit rien et se contente de sourire. Sourire que je lui rends et que j'espère rassurant. Il sait.

Les discussion reprennent et très vite, je sens le regard de Jonathan sur moi, il nous observe Hugo et moi, sans rien dire avant de lancer une nouvelle bêtise :

" C'est bon ? A notre silence commun, il continue. Non mais vous êtes grands tous les deux, Hugo, t'as un appart' ?
- Non
- Anastasia, t'as un appart' ?
- Non,
je rigole, tout le monde sait que je vis chez mes parents, sinon je n'aurai pas pu être là un jeudi soir de plus.
- Roh la la ! Hugo t'as une chambre ? "

Il ne lui laisse pas le temps de bafouiller avant de reprendre :

" Anastasia, t'as une chambre ? "

Gênée, je lève les yeux au ciel en bagayant. Oui, j'ai un chambre, comme tout le monde. Mais elle est surtout mitoyenne à celle de mes parents, de mon père assit en face moi. Qui de lui ou moi est le plus gêné par le sous entendu ? 
C'est le genre de blague qui me fait rire en temps normal mais en présence d'Hugo, et surtout, avec mon père en face de moi ... C'est difficile de faire plus qu'en sourire.

Les allusions vont bon train, Hugo a, comme moi, arrêté de rire. Il a beau connaître mon père depuis longtemps, Bruno, avant d'être son coéquipier, reste mon père. Et même si les blagues sont drôles, elles portent sur lui et moi alors nous sommes de plus en plus gênés.

" Bruno, construis leurs un truc au fond du jardin, moi je vous construit un truc si vous voulez hein !
- Ça ira Jo' merci.
Renchérit Hugo.
- Je vous prête le trafic si vous préférez. " Continue Jonathan.

Les allusions reprennent un peu, avant de s'essouffler.

" De toutes façons, ils ont les clés du gymnase, on peut rester les laisser là. "

Mon vernis rose foncé était déjà bien attaqué mais à ce rythme là, je n'en n'aurais pas plus bien avant minuit. Gênée, je regarde mes doigts et gratte la peinture de mon pouce droit. J'ai les clé du gymnase, Logan le sait, c'est pour ça qu'il a dit ça. Hugo aussi le sait. J'aurai tellement du chercher à le regarder, mais le malaise était plus grand.

" Nasta' Tu veux pas rentrer ? "

Mon père sourit mi gêné, mi amusé. Il fait tinter les clés de la voiture avant de les ranger. Peut-être est-ce un signal pour ses coéquipiers ; "les gars n'allaient pas trop loin, c'est ma fille." Quelqu'un demande si Hugo ne veut pas plutôt me ramener, Baptiste sûrement, il n'était pas le dernier à lancer pique sur pique il y a quelques minutes.
Florent, pour changer de sujet, ou finir notre conversation de tout à l'heure me demande en quelle année je suis née. Je souffle un coup tandis que la conversation s'éloigne doucement de moi, de nous. Je m'autorise même un regard vers Hugo à ma gauche qui lui aussi à l'air soulagé que la discussion ait changé de tournure.

Peut-être qu'il se fait chambrer depuis le début de la saison mais je suis certaine que ce n'est jamais autant, jamais aussi visé. Que si ce soir ils n'arrêtent pas, c'est en parti parce que je suis là. Que comme, justement, je suis là, c'est plus facile de le mettre mal-alaise. Les piques lui sont toutes adressées, elles rebondissent juste sur moi car elles répondent aux questions que je me pose ...

Alors que mon père débat des années de naissance de mon frère et ma sœur, année de coupe du monde et moi non, Jonathan, à ma droite, trouve une explication qui me fait éclater de rire. Pour la première fois de la soirée depuis l'élection du pire truc du match.

" En fait, Anastasia, t'es la seule qu'ils ont vraiment voulu ! Le dit pas à tes frères et sœurs hein ! Tu veux une bière? " Me propose-t-il alors tandis qu'il se sert et distribue les bouteilles. Je refuse poliment, un fois de plus.

Il se penche un peu au dessus de moi et demande à Hugo :

" Mais t'as quel âge toi ?
- 18. "

Oui, je suis plus âgée et alors ? Je sens la remarque arrivée ; alors pour me protéger, inconsciemment, je me replie un peu plus sur moi-même, j'enroule mes poings dans mes manches.
Comme je l'avais pressenti, Jonathan enchaîne et la pique me fait me mordre la lèvre de gêne et de désapprobation. 

" Tu fais dans la couguar, mec. T'as raison fréro ! Regarde. Il tend sa main ouverte face à nous. Moi aussi et j'ai une bague au doigt et une gamine ! " 

Ils éclatent tous les deux de rire en se tapant la main. J'en souris tout de même, leur complicité me fait chaud au cœur même si elle est surtout visible, ce soir, à mes dépends. 

Les conversations continuent et je me souviens, pourquoi, la semaine dernière, je suis restée veiller aussi tard, pourquoi, ce soir, je vais en faire de même. Les rires sont chaleureux entre les gars, les complicités sont claires et même si en réalité, je n'ai rien à faire ici, je me sens bien, je suis à l'aise parmi ce groupe qui n'est pourtant pas le mien.
Jonathan cherche Hugo une fois de plus, et cette fois-ci je le soutiens. Je renchéris même.

" Moi j'ai remarqué que quand c'est moi qui siffle, tu râles tout le temps alors que quand c'est Anastasia ...
- Pas dutout ! J'ai râlé quand elle a laissé le ballon sauter !
- Et la zone aussi, sur le retour, tu me l'as dit. Je souris.
- Mais vous avez pas cours demain, vous les étudiants-là demain ? Demande Logan
- Bope, je commence à 15h, je suis en stage ici, je réponds en souriant.
- Ouais on sait tous que t'as rendez-vous avec Hugo à 10h ! C'est Baptiste qui me répond et surtout qui me fait sourire alors qu'Hugo enchaîne.
- Bah y'en a qui ont cours demain à 10h hein.
- Il a compta,
rencherit Jonathan pour rire.
- Oui. " 

Après un court instant de réflexion, Hugo éclate de rire, Jonathan le suit et moi aussi. Baptiste qui avait sous-entendu un rendez-vous ajoute :

" Vous avez qu'à manger à la cafet' ensemble, ou Anastasia, tu le rejoins en amphi, c'est facile, personne s'en rendra compte. 
- J'ai TD, c'est pas en amphi. "
Renchérit Hugo en riant.

Il sont si peu en première année que Jean-Christophe me reconnaîtrait, et puis, je vais pas faire un aller-retour juste pour lui, je songe.
Je le vois s'agiter à côté de moi, puis il annonce qu'il va rentrer. Logan le chambre une dernière fois au moment où il me tape dans la main avant de partir.

" Je te dis pas de ramener ce que tu avais ramené hein ? Espèce de crevard va ! "

Nous éclatons de rire et alors qu'il s'éloigne, j'accepte la bière qu'on me propose. Je le vois sourire d'ici. Il m'a entendu répeter toute la soirée que j'en boirai qu'une et voilà que dès qu'il part, je cède et accepte. Je sens mes oreilles chauffer, et ce n'est pas du à la gorgée d'alcool que je viens de boire. En effet, au moment où Hugo passe la porte, Baptiste crie : 

" Bah tu l'as ramènes pas ? "

Je croise à ce moment le regard vert de mon père qui sourit lui aussi.

Aux alentours de minuit et demi, soit une vingtaine de minute après qu'Hugo soit parti, Logan et Jonathan partent à leur tour. 
La soirée touche à sa fin quand les garçons commencent à ranger, mais une fois le gymnase fermé, les conversations reprennent devant la porte close. Je les écoute parler du futur du club en pensant au fait qu'Hugo entraînera mon frère avec Logan l'an prochain. C'est une situation qui me fait sourire autant que la dernière pique de Baptiste à notre sujet. Je ne sais même pas pas pourquoi il en parle mais, je souris.

" Vous avez qu'à prendre un appart' ensemble et partager les frais, vous savez compter non ? "

Malgré ma conversation avec Oliver, certes intéressante, je ne peux m'empêcher de penser à ce pourquoi je suis venue.

Me vider la tête. Pourtant, malgré les questions qui m'assaillent, j'ai l'impression d'avoir fait un bon dans le passé. Tout le monde veut nous voir ensemble mais nous ne sommes pas pressé. Lui, visiblement, ne me voit pas plus qu'Anastasia, sa binôme, une bonne amie. Je ne vois pas pourquoi il faudrait que je le vois autrement qu'Hugo, mon binôme, un bon ami.
Même si je n'étais pas venu chercher ces réponses-là, je rentre et pose ma tête sur l'oreiller un peu plus détendue qu'en début de journée, que toute la journée.

Je n'ai pas eu besoin de poser tant de mots sur mes maux. Ce soir, les actes des autres, nos réactions à nous deux m'ont suffit. J'arrive à être heureuse dans notre relation, pour le moment, et jusqu'à ma prochaine prise de tête sur le sujet...


© Victoire

18.03.22

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