Akaboku: Jealousy (2)
[bonus un peu lemoneux, flirty etc donc évitez si vous n'êtes pas à l'aise avec ce genre de choses !! Tout l'OS est cependant presque centré sur le lemon si vous n'aimez pas ça lisez juste le début et la fin <3
Sorry pour le temps que j'ai mis à le sortir mais je n'arrivais pas à le poster... Je pense que ça avait un petit bug. Sorry aussi pour le lemon s'il n'est pas comme vous le vouliez ça fait des mois que je n'en avais pas écrit !]
×××
Bokuto enleva sa veste d'un geste lent et la posa sur le porte manteau de l'entrée avant que son dos ne percute violemment le mur le plus proche de lui. Il eut un moment de surprise avant de voir le visage de son amant si proche du sien.
-Tu dois te faire pardonner joli cœur.
Le plus âgé déglutit difficilement face à la situation. Il mentirait en disant qu'il n'aimait pas que son petit ami prenne les devants dans ce genre de cas. C'était sexy.
-Je pense que nous devrions choisir une pièce différente de la chambre, pour changer un peu, murmura le hibou
Akaashi plissa les yeux, penchant légèrement la tête pour réfléchir. Il acquiesça bien vite et laissa son chéri les guider dans une pièce inédite pour leur activité. Akaashi eut un léger sourire en voyant la pièce vers laquelle se dirigeait son partenaire. Il aurait dû s'en douter.
-T'as toujours rêvé que je te prenne sur mon bureau pas vrai ?
Kotaro les avait emmené dans la pièce étant le bureau à domicile du boss. Keiji y passait pas mal de temps pour éviter de tout le temps se déplacer au QG. On ne dirait pas comme ça forcément mais Keiji était un véritable flemmard.
-Je ne vois pas de quoi tu parles.
-Mmm au contraire je pense que tu vois TRÈS bien de quoi je parle mon chou.
Le brun se lecha les lèvres et il n'attendit plus.
[Moment lime/lemoneux. Il prend fin quand l'écriture n'est plus en italique.]
Il fit basculer son amant d'un geste de bras sur le bureau, son torse collé au sien. D'un geste brusque de la main il balaya tout ce qu'il se trouvait sur le bureau mate qui lui servait à travailler. Il avait plus important à faire.
Il regardait les yeux pleins de désir de son aîné qui était dans une position des plus aguicheuse. L'aîné avait le corps collé sur le bureau noir, les jambes à peine écartées tandis que le boss de faufila entre elles pour venir embrasser avec fureur et envie les lèvres de son vis-à-vis.
Une chose était sûre, il y en aurait un qui ne saurait plus marcher demain, et ce n'était pas Keiji.
Kotaro lâcha un soupir d'aise, passant ses grandes mains dans les cheveux corbeau de son fiancé. Il ne dirait pas qu'il avait fait exprès de ne pas lui donner de nouvelles, mais presque.
Le hibou aimait quand son amant se mettait en rogne contre lui avec sa jalousie et sa possessivité car cela signifiait qu'il allait passer une nuit merveilleuse, voire plus.
Keiji commença à descendre ses baisers le long de la mâchoire masculine du bicolore, profitant pour caresser l'intérieur de ses cuisses musclées qui l'envoutaient tant à chaque fois qu'il avait le regard posé sur elles. Il descendit encore plus bas avec sa bouche, lechant ses clavicules avec envie.
Ne voulant plus perdre de temps, il enleva le haut de Bokuto, scrutant au passage la moindre mimique sur le visage du concerné. Oh dieu qu'il adorait ça. Ses lèvres firent quelques baisers sur les pectoraux du dominé alors qu'il traçait de ses fins doigts ornés d'une bague de fiançailles les abdominaux parfaitement dessinés de l'homme qu'il allait épouser sous peu.
-Akaashi ...
-Ce n'est pas mon nom Kotaro.
-K-Keiji...
-J'aime mieux ça.
Le plus jeune se redressa, arrêtant sa douce torture et il enleva à son tour ses propres habits, laissant juste son caleçon blanc pour l'instant. Il se mordit la lèvre, la vision qu'il avait devant ses yeux était bien trop jouissive. Il se fit un plaisir d'enlever avec une lenteur extrême le pantalon devenant trop serré de Kotaro, tout en ne le lâchant pas du regard.
Une fois ce beau de tissu enlevé, il pose ses douces lèvres sur le bout du caleçon de son chéri, embrassant cette partie avant de prendre l'élastique entre ses dents et de le faire descendre le long de ses cuisses avec une lenteur presque cruelle pour le plus grand des deux qui se tortillait de plus en plus. Quelques sons sortaient de la bouche du jeune homme alors que ses mains tenaient les bords du bureau pour se maintenir.
-je vois que je te fais toujours autant d'effet
-tu m'en fais plus chaque jour Keiji... Tu le sais.
Keiji sourit et enleva à son tour son propre caleçon, ouvrant un tiroir de son bureau sous les yeux interrogateurs de son homme. Kotaro posa les yeux sur le bout de plastique que Keiji s'occupait à ouvrir et il comprit qu'il prenait une capote.
Les deux avaient pour habitude de ne plus passer par les préliminaires, après autant d'années Kotaro était totalement habitué à avoir Keiji en lui.
Le plus jeune se mit en position, mettant les chevilles du plus âgé sur ses épaules, se délectant à nouveau de cette vue exaltante pour lui. Ce n'était pas comme s'ils ne se voyaient pas plusieurs fois par semaine comme ça, mais chaque fois les yeux des deux pétillaient d'une lueur nouvelle.
-tu es prêt ?
-Je le suis.
Kotaro se mit à couiner et à bouger ses hanches dans le vide, se sentant bien trop vide à cet instant. Il désirait de plus en plus un contact physique rapproché avec le dit Boss.
Keiji mit fit à ses supplications en entrant délicatement mais à bon rythme entre ses cuisses, lui murmurant qu'il était le meilleur.
Mais ne vous méprenez pas, cela n'allait en rien être doux entre les deux. Kotaro et Keiji aimaient les rapports sauvages et puis après tout, Kotaro savait la punition qui l'attendait et son membre son gonfla encore plus rien qu'à l'idée de sentir les fines mains de Keiji claquer ses cuisses et fessées frénétiquement entre deux coups de hanche.
Le Boss commença ses mouvements, trouvant rapidement son rythme de croisière, faisant claquer leurs corps moites ensemble. Les cris fusent dans la pièce, résonnants même dans toute la demeure.
Une première claque s'abat sur la cuisse musclée de Bokuto qui se mit à compter, comme à chaque fois, le nombre de claques et fessées qu'il recevait.
Ils perdaient tous deux la tête entre baisers, luxure, sueur et cris.
Les mouvements de Keiji devenaient de plus en plus désorganisés pour leur plus grand plaisir. Kotaro hurlait à en perdre la voix alors que son homme avait inversé les positions pour le prendre dans un meilleur angle.
Les mains du plus musclé laissaient de nombreuses traces de griffes sur le torse, dos et la nuque du dominant tandis que leurs corps pâles commençaient à ressembler à une palette de peintures à force de morsures, griffures et sucons.
Keiji sentant que les deux venaient à leur fin, se mit à regarder son amant dans les yeux. Il n'y avait pas que de la luxure ou de la rage à cause de plus tôt. Il y avait surtout un amour infini qu'on n'aurait pu soupçonner pour une personne d'un tempérament froid et éloigné de part son boulot.
Kotaro mit ses jambes autour de la taille de Keiji tandis que celui-ci le souleva, marchant vers un miroir de pied comme à leur habitude.
Ils finissaient toujours leur moment intime devant le miroir, pour se regarder jouir mutuellement. C'était Kotaro qui avait instauré la tradition dès les premiers mois de leur relation. Une fois n'est pas coutume, Keiji vint dans la capote, dévorant encore le cou de Kotaro qui vint entre leurs torses. Ils se regardent à travers le miroir à bout de souffle et suant.
(fin lemon)
-Keiji...
-Je t'aime bordel Kotaro. Ne refais plus jamais ce que tu as fait tout à l'heure je crois que mon pauvre cœur ne le supporterait pas.
-Promis... Je t'aime aussi.
Keiji portant son amant jusqu'à la douche, les jambes tremblantes un peu dû à l'effort intense qu'ils venaient de faire conjointement.
Kotaro regardait Keiji allumer l'eau dans la douche, préparant leurs essuies de bain et vêtements de rechange. Il joua distraitement avec sa bague de fiançailles, la contemplant un instant.
-Tu sais Keiji, je ne l'aime pas. Mon collègue là. J'ai accepté de boire un verre avec lui pour te rendre jaloux car je voulais que tu me désires.
-Ko', je te désire même quand tu es en pyjama à moitié entrain de ronfler devant la télé. Tu n'as pas à t'en faire on en a déjà discuté.
-Je sais ! Mais ton bras droit est tellement canon
-Hary ? Tu rigoles ? Il est hetero et pas du tout mon genre.
Kotaro croisa les bras en regardant le sol
-Quel est ton genre alors ?
-Grand, musclé, cheveux bicolore, une tête masculine, des cheveux de hibou, une voix suave. OH et accessoirement qu'il s'appelle Bokuto Kotaro, bientôt Akaashi Kotaro.
Kotaro eut un léger sourire et alors qu'il tenta de le rejoindre sous la douche, il tomba au sol sous la douleur.
Kotaro ne savait plus marcher le lendemain.
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