Gislaine : Aujourd'hui, c'est moi qui présente l'os !

Haïme-Leika : Non. ( court, simple et radical !) Cette fois, j'ai pas grand chose à dire à part que j'espère que ça va vous plaire, et c'est une commande de @SixAkutagawa116.

Ah oui ! Et pour changer un peu, il y aura deux points de vues dans ce one shot ! D'abord celui de Yamaguchi et ensuite le vôtre (par contre courage, vous allez en baver....)

Gislaine : J'ai peur....

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PDV Yamaguchi

     Aujourd'hui n'était pas une journée comme les autres, Hinata avait emmené sa sœur jumelle, enfin ce sont de faux jumeaux, à l'entraînement. Elle s'appelait (T/P) et autant le dire tout de suite, elle était simplement magnifique... Sa (L/C) chevelure (C/C) caressait la peau (C/P) de sa fine nuque à chaque pas, ses grands yeux (C/Y) brillaient de mille feux tandis qu'elle fixait le ballon, je pense qu'elle s'intéresse vraiment au volley...

    Et puis j'ai remarqué qu'elle avait un tic, lorsqu'elle se concentre sur son article, car oui elle était là pour aider une de ses amies à en rédiger un sur nous pour le journal de l'école, elle se mord la lèvre inférieure en fronçant légèrement les sourcils (je fais vraiment ça...). Elle est simplement adorable... Bien que physiquement elle ne ressemblait pas du tout à son frère, elle avait le même sourire que lui, mais sur elle, il est encore plus beau... Lorsque je croisais son regard, j'étais comme tétanisé... C'est idiot non ? Elle me souriait en me faisant un signe de la main avant de regarder à nouveau son cahier. Seulement, à chaque fois je pourrais jurer que ses joues étaient rosies... Je la regarde si bizarrement que ça ? Je ne vois pas d'autre possibilité...

PDV (T/P) ( et bah il était pas très long celui de Yamaguchi... Haïme-Leika : oh c'est bon Gislaine laisse moi tranquille...)

      OH MON DIEU IL M'A ENCORE REGARDE !!!!!!!!! GISLAINE JE FAIS QUOI ??????????

Gislaine : Alors déjà... TAIS TOI !! Tu me brises les tympans...

Toi : Oh non je rougis... Je suis sûre que je rougis.... S'il le voit il va trouver ça bizarre ! En plus si ça se trouve il me regarde parce qu'il a senti que je le fixes depuis le début de l'entraînement !! Oh là là... Je sais !

      Tu baissas les yeux vers ta feuille. Pour réaliser que tout ce que tu écrivais depuis le début ne parlait que de lui... De Yamaguchi... Ca faisait un moment que tu avais réalisé que tu avais un crush pour lui ( et pas un petit !) mais aujourd'hui était la première fois que tu lui parlais (oui parce qu'avant tu le suivais, oui, tu es une stalkeuse ). Tu n'en avais parlais à personne, sauf, à ton amie d'enfance, Haïme-Leika Sinclair ( coucou je suis de retour !!) et bien sûr, cette dernière ( ça fait bizarre de parler de moi à la 3ème personne...) dirigeait le club de journalisme et quand l'occasion s'est présentée, elle a demandé à ton jumeau (sans te demander ton avis, évidemment) si tu pouvais assister à leurs entraînements à partir de ce jour-ci pour prendre des notes.

     Et sans comprendre ce qu'il t'arrivait, elle t'a donné un carnet, un crayon et ton frère t'a traîné avec lui alors que tu réfléchissais au sens de ton existence avec Gislaine. a la fin de l'entraînement, en passant à côté de lui, tu te contentas de murmurer un "à demain" sans vraiment espérer de réponse, pourtant, tu en obtins une, un sourire...

     Les jours, puis les semaines défilèrent et peu à peu au fil du temps vous vous rapprochiez. Au début vous vous contentiez de sourires discrets, ensuite vous vous saluiez et peu à peu, timidement vous commencèrent à parler. Bien entendu, tu faisais toujours le premier pas mais il faisait le second.

     Mais cette fois, tu ne te sentais pas bien. Depuis ce matin tu avais un mal de ventre atroce, grandissant. Mais comme tu n'avais pas de fièvre, tes parents t'ont tout de même envoyée à l'école (c'est ce que mes parents auraient fait...) mais ils demandèrent tout de même à ton jumeau de vérifier que tu ailles bien. Du coup, pour n'inquiétez personne tu prenais sur toi mais la douleur ne voulait VRAIMENT pas partir. Et te voilà, le soir à l'entraînement, tu as survécu à cette journée on ne sait pas trop comment mais quoi qu'il en soit, tu souffrais tellement que tes idées n'étaient plus clair.

     Tu avais lâché ton carnet et t'étais recroquevillée sur toi-même, les deux mains appuyant sur ton ventre et pour t'empêcher de crier tu te mordais la lèvre si fort que le goût de ton sang envahissait peu à peu ta bouche ( vous allez me trouver bizarre, mais moi j'aime bien le sang... C'est salé. Laora : non mais toi tu aimes tout ce qui est salé... Haïme-Leika : Laora ? Retourne dans l'autre histoire !). Celui que tu aimais en secret avait remarqué que tu n'allais pas bien (logique vu que lui aussi t'observe sans que tu ne t'en rendes compte...) et l s'était rapproché de toi, un air inquiet peint sur le visage.

Yamaguchi : (T/P) ? Ca va ? ( Toi : oui t'en fais pas ! Je vais SUPER bien ! NON MAIS TU TE FOUS DE MOI ?? J'AI L'AIR D'ALLER BIEN ??? C'est pas grave, je t'aime quand même...)

     Tu ne parvins pas à répondre tandis que tu sentais tomber avant de t'enfoncer dans un sommeil sans rêve.

Fin ! Et ouais, t'es morte... Désolée !

Haïme-Leika  : Gislaine, c'est mon histoire, pas la tienne et moi j'ai décidé que non c'était pas fini alors dégage ! *toussotement* désolée, reprenons.

    Tu rouvris les yeux avant de les clore aussitôt ( quelle idée aussi de mettre une lampe juste au-dessus de ta tête ? Ils veulent t'aveugler ou quoi ?). Tu finis par t'habituer à la lumière avant de voir une tête posée sur ton ventre... Tu passas ta main dans la touffe de cheveux roux de ton rayon de soleil de frère jumeau ( plus long surnom du monde), ce qui le réveilla.

Gislaine : Avoue que tu as cru que c'était Yamaguchi !! Avoue !!

     Il te sauta immédiatement au cou pou te serrer dans ses bras, bien sûr il avait crié ton prénom ce qui avait alertait TOUT LE MONDE ( vive la discrétion !). Tu appris alors que tu avais eu l'appendicite mais que tu avais été opérée à temps ( logique, sinon tu serais plus trop trop vivante...). Les médecins et ta famille ont partie manger à la cafétéria de l'hôpital et quelques amis passaient les uns après les autres. Jusqu'à que LUI vienne. Ente voyant réveillée, il te prit dans se bras, doucement comme s'il risquait de te casser.

Yamaguchi : (T/P)... Je t'en prie ne me refais plus jamais ça... Je t'aime trop...

Toi, après avoir redémarrer le système : Désolée... Et moi aussi, je t'aime.

    Et bien sûr, c'est là qu'il s'est rendu compte de ce qu'il avait dit juste avant et est devenu totalement écarlate ! (mais ça tu ne pouvais pas le voir vu que sa tête était posée dans le creux de ton cou...

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Haïme-Leika  : Voilà, LA c'est fini ! N'hésiter pas à me dire ce que vous avez pensé et a me passer des commandes ! J'accepte à peu près tout !