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L'inconnu du train

On connaît tous ce cliché.
Cet bel inconnu en face de nous dans le train.
Bel inconnu qu'on ne reverra surement jamais, mais qu'on tente de regarder discrètement.

Souvent nous somme déçu en l'observant.
Il parle une langue que nous n'aimons pas forcément.
Un gros dégueulasse.

Mais la plupart du temps il ne nous déçoit pas. Il révèle nos fantasmes. Comme LUI.

Ses cheveux blond qui ont l'air si doux au toucher
Ses yeux foncé qu'il lui donne un regard mystérieux, craquant.
Son chandail a manche courte qui le moule parfaitement, laissant constaté des heures d'entraînement pour avoir cette musculature qui n'est pas osé.
Son jeans noirs qui lui va parfaitemenr bien.

Faute au manque de place dans le train, un jeune couple demande à cet inconnu s'il pourrait se déplacer afin qu'ils puissent être l'un à côté de l'autre. C'est donc avec un tendre sourire qui me demande s'il peut s'asseoir à côté de moi. Je hoche doucement la tête en ramenant mon sac un peu plus contre moi.
Le couple se becote devant nos yeux, je fixe mon portable. Le bel inconnu se mit à rire au moment ou je tombe sur une image drôle. Je lève la tête vers lui, intriguée.

- Tu en trouves d'autre des images.

Je souris et recherche. Il enlève ses écouteurs pour pouvoir se concentrer entièrement sur mon écran. Le plus dur est de cacher cette montée d'adrénaline qui monte en moi quand il s'approche. On rit leur deux aux conneries que je trouve. On finit par se calmer et on se parle un peu. Il descendra au terminus, comme moi. Coïncidence, il vit dans le même village que mon père. Je le lui dis et il me sourit.

Mes parents sont divorcés depuis 10 ans, et je ne viens qu'un week end sur deux chez mon père. Mais si je viens seule, j'en ai pour 3 heures de trains. Heureusement que c'est une ligne directe. Je penses mettre endormie, car quand j'ouvre les yeux, j'ai ma tête posée contre le beau blond. Je me redresse d'un coup, les joues en feux. Il rit doucement, c'est à ce moment la que je remarque que nous sommes seuls dans le wagon. Et que malgré la place, il est rester à côté de moi.

Nous restons un moment silencieux jusqu'à ce qu'un bruit nous fasse tourné la tête. Un homme en uniforme passe, il nous regarde et nous sourit.

- Alors Gwen, tu as ton abonnement

- Toujours, lui souriai je.

- Et toi Gaël ?

- Oui m'sieur.

Alors il s'appelle Gaël ? Mignon.

- Alors je vous laisse les jeunes.

Le contrôleur nous sourit et partit. Je le connais depuis petite, c'était un ami à mon père.

- Gwen, c'est un diminutif ?

- Oui, de Gwenaël.

- Nos noms riment !

Je ris doucement. Il est super comme type, mais il n'a pourtant pas tort.

- Ils commencent aussi par la même lettre.

- Juste miss Gwen. Avons nous encore des points commun ?

- Cela dépend monsieur Gaël.

Et nous revoilà partit dans un rire.

- Bien. Je dirai que mon épaule est confortable, comme votre tête.

- C'est fort possible, car vous avez dormit sur ma tête ?

- Vous ne vous êtes pas gêné sur mon épaule. Tu as même baver.

- Alors la je ne te crois pas Gaël ! Je ne bave jamais.

- Non, tu expulse ta salive.

- N'importe quoi.

Il rit et me regarde sérieusement.

- Ou habites ta mère ?

- Près du Grand centre commercial.

- A côté du garage pour moto ?

- Oui.

- J'y travaille !

- Vraiment ? Alors tu as déjà vu la Kawasaki Ninja bleu ?

- C'est moi qui doit la réparer à chaque fois. Enfin, elle est si bien entretenue que je n'ai presque rien à faire dessus.

- Tu trouves ?

- Oui. Toujours propre, soignée. Elle doit être chouchoutée.

Je ris légèrement en le regardant.

- S'il n'y aurais pas de route aussi merdique j'irai chez mon père avec mon petit bijou.

- La jolie Kawasaki est donc à toi. Merveilleux.

- C'est ce que je te dis depuis avant.

Je rigole doucement, ce qui le fait sourire. Malheureusement, notre train s'arrête dans notre gare. Je soupire et on sort tout les deux. On se dit au revoir et partons dans des directions différentes. Je pourrais le revoir, je sais ou il travaille, c'est une bonne chose. J'aurais peut être du lui demander son numéro...

Pdv Gaël

Une semaine que j'ai croisé cette fille. Une semaine que je penses à elle. Quel abruti ! J'aurais du prendre son numéro pour la revoir. Elle sait ou je travailles mais n'est pas encore venue. Elle est sûrement encore chez son père. Elle va venir, j'en suis sûr. Une dépanneuse arrive et nous laisse une moto dans un sal état. Aie... un accident. J'espère que le motard s'en ai sortit sans trop de blessure. Mon collègue, Julien qui ne semble pas très bien depuis une heure, m'aide à descendre la moto pour aller la placer. Ju' me dis de m'en occuper, qu'il devait aller voir sa soeur. Elle a du avoir quelque chose de grave pour qu'il soit ainsi. Je le connais bien, il reste mon meilleur ami, mais je n'ai jamais vu sa famille. Je me met à la tâche, mais plus je nettoie cette moto, plus mon teint devient pâle.

Gwen. C'est sa moto.

Deux longues semaines. Sa moto est prête, nous avons téléphoner pour le dire. Et nous attendons encore. Julien n'est pas revenu travailler mais il m'envoie souvent des messages et je demande souvent comment va sa soeur. Il a fini par me donner son adresse et m'a dit de venir diner (en suisse, repas du midi). Il a du savoir que j'avais congé. Apparemment, il ne peut pas sortir de chez lui sauf pour des petites courses tant que sa mère n'est pas rentrée du travail ou réveillée. Sûrement sa soeur qu'il lui occupe toute ses journées. J'arrive devant leur petite maison et je sonne. Un petit bonhomme m'ouvre avev un grand sourire. Il ressemble à Julien.

- Ju ! Ton ami est la !

- Fait le entrer Fab !

Le petit me prit la main et me tira à l'intérieur. Il me traîne vers Julien qui me sourit.

- Désolé... j'étais un peu occuper avec Lucas ses derniers temps.

- Ton jumeau ?

- Ouais. Si tu entends crier c'est normal. Il se dispute encore avec notre soeur pour la faire manger.

- Elle va si mal que ça ?

- Va voir au salon, elle te connait. Je ne lui ai pas dit que tu venais.

Je fronce les sourcils et vais vers le salon, le petit Fab m'a accompagné. Je la vois assise à table. Elle a une minerve et la jambe droite entièrement immobiliser par un plâtre, elle a son avant bras droit dans le plâtre également et son bras gauche et bloqué par une attelle qui lui tiens l'épaule aussi.

- Tu manges !

- C'est pas toi qui a mal partout !

- Fait un effort !

- Nan !

- Tu n'as apparemment pas tant mal que sa. Tu arrives encore à crier !

- Car tu me cries dessus !

Je reste bloqué sur elle. Ses beaux cheveux brun, ses yeux verts émeraude. Julien me tape l'épaule en souriant.

- C'est aussi ma jumelle.

- Gwen ?

- Ouais. Elle ma parlé du moment que vous avez passé dans le train ensemble. J'ai pas osé directement te dire qu'elle avait eut un accident. Un connard à griller le feu et n'a pas freiner en la voyant. Il l'a percutée, il a contrôler sa voiture avant de repartir sans se soucier d'elle. J'ai juste attendu que sa moto vienne pour partir la voir à l'hôpital.

- Quel connard...

Je m'avance vers elle. Quand elle me remarque, elle se met à sourire.

- Monsieur Gaël.

- Miss Gwen.

Idée inspirée en rentrant d'un examen la semaine passée et j'ai vu un incontestable beau gosse en face de moi x)

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