Tengen n'aime pas être ignoré, surtout par Zenitsu, parce que c'est très énervant, que son petit ami blond l'ignore lui le grand Tengen parmis tout le monde ! Il a donc fait la seul chose logique à faire s'approcher de lui et ce plaindre.

"Tu m'ignores ?"

"Et si, je le faisais ?" Demanda Zenitsu de mauvaise humeur.

"Alors je serais très fâché et frustré."

"Étrange. C'est comme ça que je me sens actuellement. Tu as encore attiré l'attention quand on est surtout cet après-midi. Et tu n'as absolument pas repoussé ses flirts."

Il se penche davantage, suffisamment pour être à seulement quelques centimètres de son visage.

Tu es jaloux ?

"Je suis énervé."

Il fait un pas de plus vers lui, mettant une main sur sa taille. "Jaloux, en colère... ce sont à peu près la même chose."

"Ne me test pas Tengen."

Il se moque d'un petit rire et rapproche son visage encore plus près du sien, mettant sa deuxième main sur sa taille.

"Oh ? Pourquoi ? Tu vas me mordre de jalousie ?"

Il reçoit le coup de poing et se frotte l'endroit où il a été touché, mais continue de se rapprocher.

"Oh, eh bien, n'est-ce pas mignon."
Il glisse ses bras autour de sa taille et le serre fortement contre lui, ne lui laissant aucune possibilité de s'éloigner.

"Ne t'attends pas à ce que je te pardonne. Quand ton visage sera absolument tellement meurtrie que plus aucuns femmes te regarderas une deuxième fois. Je serais satisfait, donc dépêche toi, d'être un sac de frappe pour que j'aille me préparer pour dormir."

Tengen ricane et serre un peu plus fort sa taille contre lui, ne lui donnant toujours pas la liberté de se déplacer. Il se rapproche davantage de son oreille et lui murmure quelques mots.

"Hmm... c'est mignon que tu sois jaloux, mais tu n'arriveras à rien en me frappant, tu sais ?"

"Tu as raison, tu sera sur le canapé deux semaines. Et avant que tu ne parles privée de sexe et tout contact physique à partir de maintenant."

*Il écarquilla un peu les yeux, incrédule. Il resserra sa prise autour de sa taille, ne voulant certainement pas être privé de sexe ou de contact physique.

"Tu ne peux pas être sérieux..."

Il regarda Zenitsu partir en soupirant. Il savait qu'il ne plaisantait pas et qu'il allait certainement le laisser dormir sur le canapé. Putain... Il a peut-être un peu trop joué sur sa patience.

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