POÈME : L'ombre du mensonge
L'ombre du mensonge
La haine berçait ses douces prunelles,
Qui jadis confiantes étaient si belles.
Rien qu'un regard, elle m'hypnotisait,
Maintenant, elle suffise à me tétaniser.
Une fissure grandit en elle et m'accable,
Mais puis-je lui conter le véritable,
Quand celui-ci mortifie le mensonge,
Le flou est plus doux que la clarté qui saccage.
Les tempêtes j'ai succédé, toutes terrifiantes,
Tout ça pour masquer la vérité massacrante.
Me pardonneras-tu si tu savais l'horizon,
Où bien ton regard se figerait à la simple trahison.
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À tous ce qui doute
et regrette la véritable
raison de leurs
mensonges
...
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