Voilà, je met un texte que j'ai déjà mis dans mon rantbook, fait pour le concours de Catouboubou.

Elle se promenait dans les rues de la vieille Londres de 1847. Elle luttait pour protéger son appareil photo de la pluie battante. Il n'y avait aucun bruit mise à part les clapotis de l'eau sur les pavés. 

Elle continuait de marcher jusqu'à atteindre l'endroit où son amour lui avait donné rendez-vous. Elle s'assit sur un banc en bois, bien qu'il fût trempé puis elle pris un livre.

Elle entendit de loin une diligence qui se dirigeait dans sa direction. Elle se releva sachant que c'était lui qui arrivait.

La diligence s'arrêta devant la jeune fille. Elle pris quelques minutes pour l'observer. Elle était noire et assez grande, ses roues avec au moins huit arcades. Deux grands chevaux aussi noir que la diligence qu'ils tiraient, se tenait droit avec un harnachement de haute qualité pour l'époque.

Un jeune homme descendit et la sortit de sa stupeur. Elle se jeta à son coup pour l'embrasser mais il l'a repoussa en crachant trois mots avec force :

- Tout est fini !

La jeune fille, prise au dépourvu eue un moment d'absence avant de comprendre ce qu'il venait de dire. Une immense tristesse s'empara d'elle et elle ne pu que voir le jeune homme remonter dans la diligence et partir. Diligence qu'elle trouvait si belle quelques minute auparavant mais qui l'a dégoûtait à présent. Pourquoi ? Qu'avait-elle fait pour qu'il la repousse ?

Elle n'en pouvait plus, il l'avait brisée, il fallait qu'elle pense à autre chose. Elle appela un taxi et lui demanda de la déposer à l'extérieur de la ville.

Le trajet était trop long à son gout. Des larmes de plus en plus nombreuses se perlaient à ses yeux. La jeune fille ne pu les retenir plus longtemps et elle pleurait, de plus en plus. Elle commençait à en avoir mal à la tête, elle voulait sortir, respirer l'air frais. Ses joues étaient trempées et collante. La carriole s'arrêta soudainement pour laisser la passagère descendre.

- Dois-je vous attendre mademoiselle ? interrogea le cocher avec respect.

- Non... non, ce ne sera... pas la peine ! Fit la jeune fille entre deux étouffement. Elle pleurait trop pour réussir à parler normalement.

Elle s'éloigna de la carriole et commença à courir. Le vent lui fouettait le visage et ses nombreuses larmes se mêlait à la pluie, il l'avait brisée...

Elle courait aussi vite qu'elle le pouvait. Elle s'assit sous la cime d'un arbre en pleurant, elle  voulait s'abandonner mais avant, elle devait écrire ce qu'elle avait sur le cœur et ce qu'il lui avait fait pour que, si quelqu'un le trouvait, qu'il le lise et qu'il voit que l'amour peut être destructeur comme réparateur. Puis... elle s'abandonna à la corde qu'elle avait placer autours de son cou. La dernière vision qu'elle eu, fut celle d'un jeune paysan des environs qui courait vers elle en criant désespérément quelque chose. Mais elle ne l'entendit jamais...