Une vie à deux
Cette os est à partir des paroles d'une chanson "La chute est lente", je l'ai écris pour une amie si elle se reconnaît, écrit CON-COMBRE. Voilà c'est tout.
Au début c'était presque rien
Nous étions juste dans la même classe, juste camarade. Je t'aimais en secret, tu m'aimais d'une amitié commune. Ça faisait mal, je souffrait, ça me brûlait, ça me consumait.
Un petit point qu'on voit au loin
Mais tu etais quand meme là, te sousciant de moi parfois. Je n'ai jamais laisser tomber, j'aurai peux etre dû. Je m'accrochais à toi car je t'aimais d'un amour passionné.
À peine dans la pénombre
Toujours caché, ma vie, mon amour, ma solitude, mes idées noirs et mon double héroïque. J'étais caché dans ton ombre, préférant m'eloigné et paniquée que me rapprocher et te parler.
Comme un soleil qui sème des ombres
Tu était apparu dans ma vie soudainement sans crier gare, je ne connaissais pas ta popularité avant, je l'ai su après. Tu eclairais mon coeur si sombre. Tu réveillait en moi des sentiments qui mettais totalement inconnu.
J'avoue, je l'ai pas vu venir
Tu était arrivé si précipitamment, j'étais énervé contre toi mais j'ai bien vite su mes erreurs. Comment ressentir de la haine pour un être que l'on aime ? Cela m'était impossible et seulement en un clin d'œil tu m'avais enjôler.
L'éclat de ton sourire
Ce sourire si sincère, jamais j'aurais penser que le mot "mensonges" te convenait parfaitement. Mais j'y croyais en ta vérité, j'y croyais en tes mensonges car je t'aimais aveuglément.
Au début c'était tell'ment beau
J'avais avoué ce que mon coeur ressentait et j'avais bailloner ma raison. Tu avais ouvert les bras et je m'y étais jeté. Je pensais que c'était réciproque, que tu me rendais l'amour que je te donnais.
Tu viens, tu portes mes fardeaux
Nos identités étaient tombés, le masque ne pouvait plus rien dissimuler. Mais tu m'aimais toujours, tu m'embrassais, m'enlaçai, me consolai. Après avoir su qui j'étais, tu étais le même petit blondinet souriant.
Je me sens plus légère
Tu m'enlevais mes peurs, tu me pardonnais après les disputes même si j'étais en tord. Nous étions un couple soudés, qui n'avait les interdits sans pour autant se mettre en danger.
Comme un prisonnier qu'on libère
Tout les poids qui me pesait, tu les avait pris, les portants avec les tiens. Tu me protégeait de tous mais tu ne te faisait pas aussi possessif. Tu étais juste là, proche de moi.
À qui on redonne des printemps
Tu m'aimais à respirer joie et bonheur, tu excellais dans le domaine du romantisme. Plus d'une fois tes surprises m'ont fait plaisir. Je me sentais enfin heureuse libéré de tout. Grâce à toi.
À qui on vole ses hivers
A chaque obstacle on si dressais devant à deux. Éliminant les épreuves de la vie. Tu prêtais attention à tout ce qui nous barrait la route. Tu prenais tout les dangers car tu voulais juste me protéger.
J'aurais dû quoi, passer mon chemin
J'aurai dû ne pas te parler, rien avouer et on serait tous les deux libérés. Nous étions liés, c'était écrit pourtant je n'aurai pas du laisser mon coeur et ni faire taire ma raison. J'aurai pu nous sauver.
Je suis réduite en cendres entre tes mains
Je t'avais vu souriant, ivre de vie, genereux et aimant. Et je t'ai vu devenir ivre de chagrin, égoïste, détestable et insolant.
Toi, t'appuies encore, tu ne vois rien
Je ne t'ai pas arrêté, guidé par amour, j'ai suivi. Tu étais aveugle, je ne disais rien. L'accrochage à ce qu'il me restait, l'amour.
J'aurais dû quoi, m'en tenir aux faits
Je n'avais pas ouvert les yeux à temps. Ivre de ton amour, possédé par celui-ci. J'aurai pu remarquée tous ce qui s'était passé mais j'étais berçé d'illusion.
Au lieu d'rêver à des contes de fée
J'imaginais une maison et une famille. Je rêvais de "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants", coincé dans l'imagination je ne faisais pas gaffe au réel.
Plus je te serre fort, plus tu n'fais rien
Nous étions heureux dans notre maison, j'étais heureuse. Je t'embrassai, je te calinai et tu attendais je ne sais quoi. Mais tu ne faisais rien qu'attendre.
La chute est lente
Je dégringolais et tu t'en foutais. Je t'aimais d'un amour fusionnel. Mais t'aimer etait synonyme de se briser. Je savais au fond que tu m'aimais. C'était peut être moi l'egoiste dont tu venais aux caprices? pourquoi n'avoir rien dit?
Et tu me hantes
Tu partais si longtemps, je fissurais à chaque au revoir. Me laissant seule dans ce si grand lit. Ton visage mature, tes yeux émeraudes, tes cheveux d'un blond soyeux, tout revenait à toi.
Et je revois tous les instants de toi
Je nous revois sous ce parapluie, je me souviens de t'avoir sauver d'un baiser, je nous revois gênés chez moi, je me rappelle s'être promis un amour eternel. Je me souviens nous amusés sur la Tour Effeil.
Dans mes nuits lentes
Tu n'étais pas là, le jour soudés, la nuit séparés. Je t'aimais, j'y réfléchissais. Tout étais stable pourtant nous marchions sur des oeufs en permanence. Puis c'etait mon tour de t'attendre chaque nuit.
Rien ne chante
Un silence pesant s'installait des que l'on se voyait. Comment on était arrivé là? Douczment mais surement. Aucune parole, je fuyais, tu fuyais. Tu partais au travail et le silence se faisiat normal.
Depuis que ta voix
Je me plongeait dans les études en patientant. J'espérais des mots, j'espérais des phrases, j'espérais entendre. Des semaines sans s'entendre mutuellement. Est-ce possible?
Chante trop loin de moi
Ta voix se faisait distraite, fuyante, absente. Je tentait de t'écouter même murmurer, grogner, marmonner et chuchoter. Je t'ecoutais. J'étais déterminée à entendre ta voix que j'aimais tant.
Au début c'était du hasard
Tu le fuyais le soir, je ne comprenais pas. Tu étais agacé le plus souvent. Alors je te laissait partir dans la nuit sombre. Je ne te mettais pas la pression mais je voulais des réponses a tes reactions.
Quelques fois tu rentres un peu tard
Quatre heures à huit heures, c'était les heures où tu revenais. Tu t'excusais alors j'abandonnais. Tu m'expliquais souvent "j'étais chez Nino" ou "patrouille on sais jamais". Tu mentais je le savais.
Tu dis que je m'enflammes
Je ne dormais plus, inquiète. Angoissée en permanence. On se disputait plus d'une fois par jour, s'était devenus une habitude. Un tres mauvaise habitudes. J'étais à crans, les nerfs à fleur de peau.
Je ne dois pas en faire un drame
Mais j'en rajoutais toujours autant énervé, tu n'etais si distant s'en était frustrant. Tu me delaissais et une fois de plus tu sortais le même mensonge qui te sauvais à chaque fois.
Il arrive qu'un élan du corps
Il arrivait la plus part du temps que tu demandais pardon, mais la colère était là. Alors tu me démontrait de l'affection. Tu m'embrassais, m'enlaçai, me touchais et me chuchotais ton amour.
Nous amène dans d'autres décors
Nous finissions toujours dans notre immense lit, nos draps nous recouvrait. Je m'excusais, en t'embrassant, en t'avouant ce que mon coeur voulait entendre et non dire. Nos corps encore désireux.
Et ce n'est rien, non ce n'est rien
Tu repartais aussitôt, sans me regarder. Je comprenais que tu t'en fichait. Tu avais changé. Tu t'elognais de moi et je ne l'appreciait. Je pensais qu'on s'aimait mais j'avais une impression, comme si on m'utilisais.
Aller chercher de meilleurs lendemains
Nous aurions dû arrêter, se séparer au lieu de se consumer. Je n'aurai pas du t'aimer. Je voulais fuir loin, partir là où le bonheur reviendrait. Je voulais juste être heureuse avec toi.
Sans le vouloir, tu me retiens
Mais je m'accrochais, par amour. Je savais que tu m'aimais. Personne le comprenait. Tu me disais ce que je voulais entendre, tu comblais tes absences en racontant ce qui me faisait plaisir sans te soucier que la vérité aurait dû être présenté plutôt.
Tu as gagné, tiens voilà ton trophée
Tu était parti, tu était envolé miraculeusement, tu m'avais rien dit et ça m'avait détruit tu m'avait osé me mentir me cacher tout ce qui te pesait. J'aurai du ouvrir les yeux. Sois fier tu etait parti le sourire au lèvres, un sourire malicieux comme ton double plus félin le faisait tant.
Mes larmes enfin, tombent en vain
Je te voyais à présent sous un nouveau jour, dans ce lit si familier et inconnu à la fois. Notre entourage avaient compris. Je t'aimais et tu m'aimais. Je souffrais et toi aussi. Mais la douleur à eu raison de l'un de nous.
Je revois tous les instants de toi
Je me souviens avoir pleurer les larmes de mon corps à cette annonce. Je me rappelle la culpabilité, les remors, les regrets et la tristesse qui m'avait envahi. Je nous revois quelques heures avant souriant. Je me souviens de cette horrible chambre blanche et de cette infirmière que j'avais insulté à l'arrivée.
Mon cher Adrien, tu étais tous sauf un menteur. Tu as caché tout pour toi, mais tu t'es fourvoyé. Je t'ai aimé et tu m'a aimé. Nous aurions du combattre tous les deux ce cancer, tu as choisi de souffrir seul en m'imposant la douleur de l'inquiétude. Mais je comprends.
Notre vie a été la plus belle qui sois, et la plus malchanceuse.
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