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Une fête, deux couples, et du cul 🔞🔞🔞

Os de 5 600 mots bonsoir

C'est une commande pour ma chère @SimplementxLaurie  

Lemon inclu et pas des moindre ! J'ai essayé de faire au mieux car les gars on va pas ce mytho, mon esprit est beaucoup plus pervertit que mon corps, donc si y a des trucs pas logiques oups

Désolé pour les fautes et bonne lecture !

By Kura

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Il grognait, pestant contre l'amour en lui-même et contre un certain musicien. Kagami lui caressait le dos, soucieuse de le voir avachi sur le ventre en baragouinant des insuktes toutes les deux secondes.

La fête d'anniversaire de Marinette lui posait problème, il avait aucun cadeau. Même sa copine Kagami en avait un ! Il avait un sérieux soucis. Allongé sur la japonaise, il se laissait faire comme d'habitude. Que devait-il faire ? Débarquer ce soir chez sa première amie et lui dire qu'il n'avait rien à lui donner ? Enfin. Il lui donnait largement son coeur, son âme et son corps si c'était réciproque et qu'elle le souhaitait. Mais il doutait sincèrement que Kagami le lakssaerais la faire cocue et dans le second cas que Luka lui tombe dessus après. Il grognait encore, bien qu'il était avec Kagami avant la mise en couple de sa meilleure amie, sa jalousie envers le musicien avait réveillé ses sentiments enfouis pour la belle Marinette. Plagg s'était bien foutu de sa tête quand il avait prôné aimer la brunette. Il soupira quand des mains habiles allèrent plus bas. Il sentit les doigts de l'escrimeuse le tenter, caressant son dos prit de cicatrices.

Il se leva, s'éloignant de l'escrimineuse, si c'était pour qu'elle prenne son pied et hurle son nom pendant que lui s'ennuie il disait non. Il n'avait jamais eu aucun plaisir avec sa petite-amie, aucun. Il avait bien simulé une fois mais plus tard elle redemandait un second round, ce qui l'avait bien ennuyer après. Il se maudissait de sa stupidité, il essayait d'oublié Ladybug en allant vers Kagami pour se retrouver amoureux de Marinette ! Quelle mouche l'avait piqué ?

Souplement, la détentrice du miraculous du dragon se rapprocha du blond, inquiète.

_ Qu'est ce qu'il y a Adrien ?

Il se tourna face à elle, sa mâchoire se fit parsemé de baiser chaud. Si on lui avait dit bien avant que faire l'amour sans amour était ni plus ni moins baiser comme des animaux, il aurait prit une teinte rouge et aurait crier que faire l'amour était toujours avec des sentiments. Avec l'écart d'âge, sa majorité et son expérience lui a bien valut d'être déçu sur certains points. Il ne ressentait que de l'amitié pour la brune. Il ressentait même de la haine lorsqu'elle le collait de trop, lui rappelant Chloé. Il frissona de dégoût, ses mauvais choix blesseraient beaucoup de gens. Alors il se taisait, mentait comme il respirait.

_ Rien, je n'en ai pas envie c'est tout.

Il s'installa sur sa chaise de bureau, soupirant de désespoir. Sa petite amie lui embrassa le front et s'en alla, vexée mais compréhensive. Faire semblant le gavait comme une oie. Il allait finir par exploser. Kagami était gentille mais le menait par le bout du nez, il l'avait bien vu. Il n'était pas si naïf et pourtant il lui donnait ce qu'elle voulait pour qu'elle le laisse tranquille. C'était une relation toxique à son avis. Son père l'approuvait à cause de sa vieille connaissance qu'était la mère de sa copine. Un point en plus pour qu'il soit dégoûté d'une telle relation.

Il voguait sur les réseaux, retombant toujours sur des anciennes photos du couple qu'il enviait. Sur la dite photo, ils n'étaient qu'au collège. Luka inspirait le bonheur et la sensibilité, tandis que dans ses bras Marinette rayonnait d'innocence et de joie. Il claqua son poing contre le bureau. Pourquoi n'avait-il pas àgi avant ? Pourquoi ?

Il se rappellait amèrement sa tentative désespéré de reconquérir la franco-chinoise. Tout bonnement écoeuré, le souvenir lui donnait envie de vomir, il en frissonnait de dégoût. Entendre sa princesse hurler le prénom d'un abruti guitariste aux cheveux bleus alors qu'il la démontait certainement le révulsait ! Il était parti en trombe, n'en avait pas parler et était aller chez Kagami, réclamant amour et consolation. Elle ne s'y était pas opposé.

Il regarda l'heure d'un oeil las. Dans deux heures, il allait la revoir après deux mois de voyages. Plagg s'approcha curieux de voir le blond sourire, il lui adressa un sourire pervers, dégustant son camembert.

_ Qu'est ce qui t'arrives gamin ? T'a enfin pu prendre ton pied après la trente sixième fois avec l'autre ?

Grimaçant, Adrien se retourna vers le kwami, confus.

_ Je vais revoir Marinette c'est tout. Tss, tu crois vraiment que c'est possible de me combler de ce côté là ? Y a du boulot avant qu'elle me fasse qu'à peine grogner.

Plagg leva les yeux au ciel, souriant malicieusement.

_ Tu grognes en permanence comme un animal.

Ce fut au tour d'Adrien de lever les yeux aux ciel.

_ Me faire grogner de plaisir sexuellement, pas grogner de plaisir quand elle se barre.

Le chat de la destruction ria sous cape repartant voir son camembert chéri. Avec les quelques années passé ensemble le blond avait prit des traits du chat et inversement, créant des malentendus parfois bein amusant entre les deux compères.

Il prit un jean déchiré que son père détestait et une chemise noire qui trainait. Son jean déchiré était en aucun cas une mode mais un accident, un samedi ensoleillé, sa tendre et cher petite amie, lui avait demandé une glace de chez André, le glacier des amoureux. Il avait céder, mais ne tenait pas à prendre une glace symbole d'amour avec une fille qu'il n'appréciait pas tant que ça. André avait donné la glace au parfum étrange et l'avait regardé avec de gros yeux. Adrien avait répondu avec un regard de détresse.

André avait alors prit la jeune fille à patt en lui expliquant les parfums choisis. Adrien était parti en courant, rassuré d'avoir un allié. Mais avec la chance qu'il avait, il s'était prit un scooter dans sa vaine tentative de fuite. Kagami était à deux doigts de tuer le chauffard. Le jeune sur son deux roues avait été empoigné par le col par un Adrien pressé, lui suppliant presque de le laisser monter sur son scooter et partir à l'hôpital de ce pas. Comprenant ou pas l'urgence, il avait crié hopital à la brune qui avait hoché simplement la tête. Malheureusement son jean était tombé dans la bataille, il avait pu vainement le récupérer mais troué.

Il enfila une cravate blanche et un blaster noir pour terminer. Bon il était vêtu de noir entièrement mais côté positif il avait mis une cravate blanche et ces cheveux blonds ramenait un peu de couleur ! On aurait pu croire qu'il partait à un enterrement ou à un mariage, seul son jean troué, ses baskets noirs et vertes fluo lui donnait un air fêtard. Il ne prit même pas la peine de se brosser les cheveux, depuis son costume de Chat Noir, il les laissait aller au gré de leur envie, de toute manière il ne voyait pas pourquoi ordonner sa tignasse blonde si une demoiselle quelconque allait le débrailler plus tard.

La seule liberté qu'il s'offrait finalement avec sa "copine", c'était les autres demoiselles qui passaient sur son chemin. Si c'était pour être tenu en laisse comme un vulgaire chien autant qu'il en profite à certains avantages. Il soupira, passant une main dans ses cheveux.

Il ne se reconnaissait plus, il était l'emblème masculin dans l'agence de mannequinat de son père, les magazines people ne vessait de parler parlait de lui, de ces "conquêtes" et de sa vie privée, trop privée à leur goût. Il était devenu un véritable salaud. Du moins il le pensait dur comme fer. Trompé sa copine était digne des pires connards ! Mais si la dite copine est au courant et qu'il continuait tout de même, alors il était quoi ? Un salaud ? Pire ?

Marinette ne méritait pas une personne comme lui, il le savait. Mais il l'aimait, il comblait son besoin d'amour dans la chair et le désir au près de femmes inconnues et même pas sa propre compagne. Était-ce de puérils fantasmes ? Il la désirait tant, il l'aimait à en crever. Il l'aimait à en devenir meurtrier. Mais si bonne et si pure, il savait qu'un assassinat allait certainement pas ramener une femme comme la douce Marinette à ces côtés. A part si Lila était en jeu. Il soupira face à l'échec. Dommage qu'elle était déjà morte dans un bête accident de voiture.

Enfin, il avait échoué dès le début, il ne faisait que débauches sur débauches, était-ce qu'il méritait pour avoir abandonné Marinette auprès d'un autre homme ?

Plagg glissa un camembert dans la poche d'Adrien, se glissant dans une fente du blaster.

_ Tu va rester figé ou on y va ?

Adrien soupira. À quelle moment avait-il était sur la mauvaise pente ? Dès qu'il s'était volontairement éloigner de Marinette. Toujours et encore Marinette. Il allait virer fou.

_ J'ai aucun cadeau Plagg, je suis une ordure de la pire espèce, je ne sais même pas comment j'ai fais pour avoir encore des amis et une copine collante. Je fais quoi ?

La question était évasive, le petit chat le comprenait bien, mais il savait aussi qu'il n'était pas le seul à tourner mal. Ladybug l'était sûrement aussi, car ils étaient âme soeur ça tombait sous le sens. Étant donné que Ladybug est Marinette, son porteur était donc nullement embêté, il ne voyait pas en quoi les deux se retiendraient de se sauter dessus et de s'aimer pour que les choses retournent à la bonne place.

_ Le cadeau c'est toi Adrien, elle t'aime énormément, que tu sois là pour ces dix huit ans c'est déjà pas mal. Tu l'aimes, elle t'aime sûrement alors fonce. Plaques Kagami, elle s'en remettra, défonces les tous, je t'autorise un cataclysme à la gueule du musicien si tu lui n'avoue pas tes sentiments ce soir. Profites aussi pour faire du corps à corps si t'a l'occasion.

Adrien leva les yeux au ciel, presque outré des paroles du kwami, kwami qui lui adressait un cmin d'oeil plein de sous-entendus. Mais avec Plagg à ces côtés depuis quatres ans, il avait prit l'habitude et sa mauvaise mani du sans tact.

Il se rendit chez les Dupain-Cheng, la musique battait son plein, des gens entraient et sortaient comme dans un moulin s'en était surprenant. Il se fit prendr epar le bras par une Alya excitée, Nino était derrière, une bière à la main. Ils entrèrent dans l'appartement, jonglant entre les camarades de classes de Marinette, ses amis du collège et du lycée. Ils se placèrent autour de la table de cuisine, prenant une nouvelle bière. Nino la but d'une traite, changeant la music avec son téléphone relié aux enceintes.

_ Mec ! Ça fait quoi ? Deux mois qu'on s'est pas vu?!

Adrien aquiesça riant en apercevant Max pécho une plante verte.

_ T'a un percing à l'arcade ?! Mec t'a fait ta révolte ? J'avais vu ça dans les magazines mais pas pour de vrai ! Ton pater' a dit quoi ?

Nino s'egosillait à parler au dessus du brouha et de la musique ambiante. Le blond se gratta la nuque gêné.

_ Je voulais essayer Nino, c'est pas de la révolte, ça me va juste bien et puis mon père on s'en branle, je suis là pour m'amuser pas pour pourrir l'ambiance avec Monsieur Gabriel le papa psycho rigide.

Alya tapa de son poing l'épaule d'Adrien amicalement, riant du contrario qu'offrait son ami.

_ Mais oui on te croit beau blond, tu fais surtout ta crise d'ado en retard en faisant le tortionnaire envers ton père, mais c'est cool c'est okay, fait gaffe à Rose, elle embrasse tout ce qui bouge ! J'y vais !

La métisse s'en alla rejoindre Marinette qui discutait joyeusement avec une rousse très expressive. Le mannequin fronça les sourcils, cherchant la dite Rose perplexe et se rappelant son innocence et son romantisme. La petite blonde chevauchait un brun en l'embrassant goulûment. Il tourna le regard vers son meilleur amis surprit. Nino rigola et s'exclama avec humour.

_ Eh ouais mec y a pas que toi qui saute tout ce qui bouge !

Adrien le fusilla du regard, étant le seul au courant son meilleur ami était la pire menace de la terre. Il fit l'outré, but sa bière et partit voir Kim qui essayait de visiblement draguer Alix.

Avant même de pouvoir les attendre. Une petite main vint lui aggriper le coude. Si fine, si faible. Il se retourna curieux. Étant plus grand d'une bonne tête, il fixa son hôte avec surprise.

_ Merci d'être venue, j'y croyais plus que tu viendrais !

Il lui souria tendrement et lui fit la bise. Il se lança, rouge de honte.

_ Désolé Marinette mais je-

Marinette lui adressa une petite pichenette sur le nez le surprenant. Elle le devança en le calinant comme un enfant prit en faute.

_ Ouais je sais, Kagami est arrivée avant toi pas de panique, elle est avec Luka, on les rejoint ?

Il hocha simplement de la tête, mais intérieurement il espérait fuir, trouver un échappatoire. Il se dirigèrent tout les deux vers le balcon où était les deux jeunes gens qui trinquaient leur deux verres respectifs, riant à tout va. Ils se dirent bonjour, continuant leur conversation, amis le coeur d'Adrien n'y était pas. Plagg le pinçant sous sa veste, le faisant grimacer. Kagami l'embrassait quelques fois, racontant leur relation "incroyable". Elle appuya sur la "fidélité" du jeune homme et en retour il accentuait le faute que leur parents se "connaissaient". Ils se menaient une petite guerre discrète. Pour la première fois, il se battait contre elle, dans une joute verbale rempli de finesse. Jamais fasse à celle de son coeur il ne laisserais une personne l'écraser. Chose que faisait régulièrement Kagami en manipulant sa vie comme son père.

_ Oh et nous avons fait un merveilleux voyage en Espagne, nos hôtes étaient agréables, Adrien à même offert un pourboire à la fille de l'aubergiste, qui ne travaillait même pas ici.

Elle le fusilla du regard, regard qu'il rendit avec un grand sourire malicieux.

_ En même temps la pauvre nous offrait l'hospitalité alors qu'elle devait aller faire visiter la ville à sa nièce ! On a dû visiter la ville seuls, on s'est perdu trois fois, mais je n'avais aucun droit sur le gps ni sur la carte. À croire que je pouvais faire pire que nous perdre trois fois dans des culs de sacs !

Il rigola amèrement, sa pique était visible tout comme celle de Kagami. Luka s'exclama, perplexe.

_ Ah oui ? C'est amusant, ça fait découvrir la ville ! Je vais aller chercher à boire, Marinette tu m'accompagnes ? Tu connais sûrement le goût de tes deux amis !

Ils partirent tout les deux, laissant face à face, le couple au bord de la rupture. Du moins pour Adrien.

_ Tu as fait quoi là ? Tu veux nous faire passer pour quoi Adrien ?

_ J'ai juste dit ce que je pensais, je nous fait passer pour rien du tout.

_ Que vont-ils penser à présent ? Nous sommes un couple respecté et parfait, pourquoi gaches-tu cela ?

_ Je suis désolé, pardon.

_ J'aime mieux ça, allons-y avant qu'on nous pose des questions. Un bisous ?

_ Non. Tu me gaves.

_ Pardon ?

_ Je suis désolé oui, désolé pour ton prochain petit copain. T'es collante, tu gères tout à ma place, je suis grand d'accord ? Je suis vacciné, majeur et responsable. Alors maintenant, c'est fini entre nous. Fais ce que tu veux moi je me casse.

_ Tu ne peux pas nous faire ça, que vont penser nos parents ? Tu ne m'aimes pas ? Je t'aime moi, j'ai fermé les yeux sur toutes ces filles, car je t'aime ! Ça ne vaut rien pour toi ?

_ Kagami, tu m'aimes seulement par crainte de ta mère. Va l'affronter et on en reparle plus tard. Si tu m'avais aimé, tu n'aurais pas fermer les yeux, si je t'avais aimé, tu n'aurai pas eu a fermer quoique ce soit. Longue et heureuse vie, à jamais tout ça tout ça.

Il la salua de la main et s'en alla, ni plus ni moins. Il relâcha la pression de ces poumons. Il allait bien. Il était libre. Il était enfin détaché de tout. Il pouvait enfin décidé.

_ Bien joué gamin.

Il souria a l'entente de son kwami, heureux lui aussi de s'être débarrasser d'un poids. Il n'avaut plus Kagami sur le dos, ni son père, à lui la vodka, les petits fours et l'amusement !

Entre danser avec une Sabrina ivre sur une musique paillarde, encourager Kim à conquérir Alix, embrasser Alix par inadevertence et Rose par la suite pour un "bisous à trois", faire le poirier sur une caisse de bière avec Nino, faire un trip gay avec Nathaniel et Marc pour les caser ensemble. Ouais, il était bien, il s'amusait. Il était libre de tout.

Il retourna au près de Marinette, seule devant le four. Accroupie, elle fixait les apéritifs à l'intérieur. Il s'accroupit à son tour, silencieusement. Fixant à son tour l'intérieur, il se demandait pourquoi il attendait devant.

_ Qu'est ce que tu fais devant le four ?

Étonnée, Marinette tomba sur les fesses, hoquetant de surprise au passage. Interloqué, Adrien l'observait. Elle se releva et le poussa pour le faire tomber à son tour.

_ Tu m'as fait peur idiot ! J'ai failli faire un arrêt cardiaque !

Avachis, ils se laissèrent tomber sur les fesses dans la cuisine une deuxième fois, s'asseyant, caché par le bar.

_ Tu fais quoi Marinette ? Va t'amuser, c'est ta fête d'anniversaire, je m'occupe des gateaux.

Elle soupira et régla le thermostat.

_ On s'est disputés avec Luka, alors je me rends utile pour zappé que c'est un gros jaloux. Et toi ?

Il souffla de désapprobation, n'aimant pas Luka de base. Puis accorda un point à son adversaire. Peut-être qu'il s'était éloigné de Marinette car elle aimait pas sa jalousie, mais lui aussi était une personne jalouse. Dans le tempérament d'un Agreste, si on veut, on l'obtient, la jalousie et la possessivité de Luka n'était sûrement qu'un petit pois face à celle d'Adrien qui était une pastèque. Le brun aux pointes bleus était trop pacifiste, il ne faisait qu'aboyer. Lui ne l'était pas, il n'aboyait pas, il dechiquetait la personne qui osait prendre ce qu'il lui appartenait.

Tout sourie de cette nouvelle, il en profita pour remonter son moral.

_ J'ai quitté Kagami y a dix minutes, je t'ai vu seule alors je t'ai rejoins, comme ça on est pas deux idiots avec une peine de coeur dans un coin, mais plutôt deux débilosaures se soutenant sur une peine de coeur.

Elle rigola sincèrement, le traitant de stupide gentiment. Le minuteur sonna, et elle prépara un plat qu'elle déposa sur le bar. Ensembles, ils déposèrent les fameux dessus. En une fraction de seconde, le plat tournait de main en main. La franco-chinoise lui donna une bouteille de punch au mannequin, lui demandant de servir Alya qui criait au rhum sur la table basse telle Jack Sparrow.

Une fois servi, il ne put attendre le plan de travail qu'il se vautra en beauté sur le sol. Sa chemise était bonne à laver. Il regarda l'objet qui allait s'évir de sa chute. Le dit objet n'était autre que la rousse du début de soirée qui imitait la brasse sur le sol.

Trop surpris, quatres paires de bars l'aiderent à se relever. Marinette lui retira sa veste et l'empogna par le poignet vers l'escalier. Elle riait de sa chute, alors que lui trop choque, était dans les vappes.

_ Désolé pour Catherine, une fois saoule elle fait des trucs étranges avec le sol. On va te nettoyer ça dans la salle de bain, ta chemise valait cher j'imagine ?

Elle avait l'air vraiment peiné pour une chemise. Il ria, lui embrassant la main pour la rassurer.

_ Nan t'inquiètes j'avais la flemme elle vient de kiabi quinze euros mdr...

Ou plutôt collection de fête de son père pour cent balles. Rien du tout en somme.

Une fois rendu dans la pièce d'eau, il enleva sa veste et sa chemise qu'elle glissa dans l'eau tiède, elle chercha dans le tiroir du savon. Marinette ne lui adressa aucun regard, il l'observait tendrement, un regard qui en disait long sur son coeur ouvert.

_ Ne t'en fais vraiment pas, retourne à t'amuser Mari' je m'en occupe.

Elle regardait avec un grand serieux, une légère touche rosée. Ses yeux lagons n'osaient pas quitter l'émeraude son regard. Adrien souria, ravi de donner une telle impression. Elle fronça les sourcils, coulant son regard sur son torse, la tentation étant trop forte.

_ Tu as beaucoup de cicatrices, qu'est-ce qu'il t'ai arrivé ?

_ Me suis battu.

Elle hocha distraitement la tête.

_ Faut laisser tremper ta chemise quelques temps, on pourra la mettre au sèche linge et d'ici quarante minutes, tu pourras redescendre propre comme un sous neuf !

Il ria avec elle, le peu d'alcool consommé forçait aux éclats de rire. Elle se calla contre le mure tendis qu'il colla son dos contre un placard face à elle.

_ Je peux sentir jusque là que tu pues le punch, le rhum c'est vraiment encombrant mais Alya adore ça.

Elle poussa doucement Adrien sur le côté et se baissa, attrapant un gant de toilette. Le rouge aux joues, le blond la regardait faire, s'accroupir à ces côtés, se dandinant d'agacement. Sans vergigne, il l'admirait, et même fantasmait, si proche, si belle, si désirable et pourtant si intouchable. Elle était en couple avec un gars, il ne pouvait pas lui faire ça.

Elle mit le gant sous l'eau, et à pas de loup s'avança. Sa main gauche se posa sur son torse pendant que sa main droite l'avait les abdos empestant l'alcool. Il se figea, la laissant faire. Elle était si innocente. Trop innocente. Il allait lui sauter dessus à ce rythme. Il releva sa tête vers le plafond, admirant sa peinture blanche. Elle était déjà la perfection incarné, étant sexy et mignonne a la fois, il se retenait de lui sauter dessus au quotidien, mais là c'était un appel au viol.

Il sentit quelque chose de plus chaud lui glisser près d'un de ces pectoraux. Il aurait pleurer sur place, crier au diable de l'emmener immédiatement pour ses pensées si obscènes, pourtant il se doutait très bien de se que c'était. Il baissa son regard, une lueur lubrique brillait dans ces iris vertes. Le lécher était l'invité clairement à quelque chose de péché. Il se mordilla les lèvres, priant tout dieux possibles de faire redescendre mini Chat Noir qui commençait à s'agiter. Il souffla, dans un murmure rauque.

_ Ça va déraper princesse, arrêtons là.

Elle releva son regard, brûlant de désir. Elle lui suçota avidement la clavicule, ignorant royalement sa demande. Elle s'écarta, gardant ses mains sur son torse, le caressant de toutes part.

_ Qui te dit que je ne veux pas que ca dérape ?

FEU VERT. Un déclic du feu vert le fit sourire. Toute permission et retenu, adieu ! Il l'embrassa, léchant sa lèvre inférieure, permission requise et consentement ok, il fit valser sa langue autour de son ancienne camarade pure. Un ballet s'engagea presque, essouflés, ils se lachèrent. Marinette, le rouge aux joues, reprenait sa respiration. Adrien repartit a la chasse aussitôt, ne la laissant aucune minute de répit. Elle balança le gant dans la douche, s'attaquant à la ceinture récidiviste de son partenaire.

Il détacha ces petites couettes, passant sa main dans la chevelure de son amante. Il avait toujours eu une facsination pour les reflets bleutés de ces derniers, lui donnant un air féerique. Il retira précipitamment le haut beige de la jeune fille, deviant ses baisers brûlants le long du cou de la demoiselle. Voyant son mal et ses gémissements frustrés, il enleva de lui-même sa ceinture. Agressive et pas au bout de ces peines, avec une force surhumaine, elle attrapa les nords du jean déchiré du blond et le plaqua contre son bassin. Mini Chat Noir tout comme son propriétaire frémir de surprise. Il lâcha un râle rauque et bestial.

N'y tenant plus, il posa ses mains sur les fesses à la peau de procelaine de Marinette, la forcant à enrouler ces jambes autour des hanches du mannequin. Il la déposa sur la machine à laver, prenant appui dessus et retira les chaussures sa dame et ces collants au passage. À travers un baiser, il souria, fier de lui, première fois qu'enlever un collant était si simple.

Il se concentra sur elle, son souffle, les battements de son coeur, les halètements quand il passait sa langue sur sa peau pâle y laissant des rougeurs, les gémissements étouffés quand il embrassait avec force sa bouche meurtrie par ses baisers. Une chose tiqua dans son esprit, le faisant grimacer, et arrêter son supplice.

_ Marinette, et Luka ?

Elle fronça les sourcils frustrés, elle ressera sa prise autpur des hanches du jeune homme, le collant à son corls, une bosse bien visible la frôlant. Elle soupira d'aise, aggripant la nuque du blond de ses bras.

_ On s'en fiche, il va me quitter et moi aussi de toute manière. On va dans la chambre.

C'était clair, net et précis. Sans se faire prier, il la releva contre lui, y laissant que peu d'espace entre leurs deux corps. A coup de pied il ouvrit la porte surprenant derrière Juleka qui adressa un clin d'oeil au blond. Il monta les escaliers en quatrième vitesse, sa compagne s'impatientait et le lui faisait savoir en se tortillant contre lui. Mini Chat Noir allait faire la gueule et lui aussi. Marinette ouvrit la trappe et Adrien la referma derrière lui. Il la déposa sur la banquette. Assise dessus, le blond enleva la jupe de sa princesse, laissant une trainée de baisers mouillés à l'intérieur des cuisses qu'il avait sous les yeux. Tout bonnement parfaite, s'en était inhumain. Déjà en sous-vêtements, la brunette l'incita à enlever l'avant dernier rempart de ses désirs, il retira son pantalon, toujours à genoux face à l'étudiante en stylisme. Elle aggrippait les cheveux blonds de son camarade, haletant difficile quand le jeune homme jouait habilement de sa langue. Il releva sa tête, goûtant à sa peau de porcelaine, à son ventre plat. Il y remarqua une petite cicatrice mais n'en dit rien.

_ Tu penses faire quoi là ?

Elle le coupa, essouflée, sa voix tonnait d'agacement. Inquiet, il répondit difficilement.

_ Hm t'embrasser ?

Elle leva les yeux au ciel. Elle le poussa sur le parquet, et s'allongea sur lui. À qualifourchon, elle ondulait qur les hanches du blond qui se retenait de gémir et de respirer par la même occasion trop surprit. Agacée, la franco-chinoise lui aggripa le menton de ces fins doigts et lui lecha sa pomme d'adam.

_ Je suis plus une vierge éffarouchée Adrien et on doit redescendre dans une heure et demie maximum, alors pose tes lèvres au plus utile.

Choqué, il ne fit que grogner. Adieu image d'innocence, ce n'était pas un ange qui lui faisait face mais une succube ! Heureusement pour lui qu'il était tout aussi un diable du sexe. Il la retourna, s'avachissant sur elle. L'écrasant de tout son poid, il l'obligea à ne plus bouger. C'était bien mignon de se tortiller sur lui mais en attendant mini Chat Noir était chaud comme la braise. Il s'attaqua à son soutien gorge d'une main et de l'autre il enlevait la culotte en dentelle de sa princesse. Il l'effleurait, jouait sur ses nerfs et sur son envie. Il soupira, grognant sourdement.

_ Princesse, je maudis ton soutien gorge.

Elle échappa un petit rire. Elle se cambra et retira le maudit soutien gorge en question. Le super héros en civile en profita pour retirer le satané caleçon made in athena, remarquant la référence bête que pour une larque de caleçon une déesse vierge était la pire idée du siècle. Il se protégea et retourna de plus belle impatient. Il titilla sa poitrine, il laissant des suçons un peu partout, lèchant de sa langue rappeuse chaque parcelle de sa peau. Il voulait tout goûter, tout sentir, tout lui faire ressentir, il voulait l'entendre. Il murmura une dizaine de princesse tout aussi rauque, grognant sourdement de nouveau. Un ronronnement lui échappa, qu'il controla dans la seconde.

Les fines mains de Marinette s'agrippait à son dos, il descendait et remontait lentement dans une trainé de baisers ardents, s'amusant à l'effleurer, la toucher de peu.

_ C-Chat nos identités dé-dévoilÉÉÉ !

Un gémissement plus fort fit déraper sa voix aiguë, haletant devant son manège frustrant. Il se stoppa, toute chose rapelant sa raison le figeait.

_ M-merde. My Lady ?

Elle reprit son souffle, a deux doigts de gifler sa concentration.

_ T'arrêtes pas, on parlera demain !

Il lui mordilla l'épaule, la côte, et lui mordilla la hanche lui laissant une marque de croc. Une des ces mains s'aventurerent plus bas, un doigt seulement avait décidé d'imiter un indécis dans un magasin de jouet, entrant et sortant mais ne prenant rien.

_ My lady~

Sa voix ronronnait de plaisir et de malice, il s'amusait, il y prenait plaisir pour une fois. Et elle aussi même si elle avait une tête à le massacrer vivant.

_ Arr-ê-

Il l'embrassa rajoutant son majeur, il lui lécha un téton réclamant bien autre chose. En un sourire carnassier, il continuait de la faire fondre de désir sous sa main experte.

_ De quoi... que veux-tu ?

Elle gémissait, hésitait entre répondre ou respirer normalement. Elle se cambra, sifflant de frustration, elle empoigna sa nuque et ondula sous sa main.

_ B-Baiise-m-moi et arrête de jacass-

_ Non.

D'un ton ferme, il annihila sa volonté. Un cri lui échappa lorsqu'un troisième petit intrus debarqua dans son censé, jardin secret.

_ P-pardon ?

Un sourire moqueur, il lui susurra doucement à l'oreille, suave et sensuelle, ce qu'il avait désiré depuis longtemps.

_ Je ne te baise pas, je te fais l'amour....

Il entra complètement, la faisant se cambrer au maximum, collant leurs corps, aucun espace d'air entre eux. Il avança doucement, ne connaissant aucune de ces réactions. Elle sifflait, respirant maladroitement. À l'étroit, il se colla plus à elle, entrant plus loin. Elle colla sa bouche contre son oreille, soupirant de désir, elle se frotta a lui, murmurant sensuelle une chose qui lui fit sourire narquoisement.

_ G-gâter par- nature, bel Apollo-

Il se retira presque complètement, la faisant hoqueté de surprise. Si doux, si tendre, et si imprévisible. Il l'observait avec une grande attention. Elle ressera sa prise sur la bassin de son partenaire, le poussant à revenir. Il le fit brutalement, se faisant la remarque que "taper dans le fond" était beauf mais vrai. Il s'avança et reculait, faisant de long va et vient qui fit languir mais gémir Marinette.

Il tremblait, se retenant d'y aller sauvagement comme un connard. Il voulait être doux, et aimant et non bestial comme un chat en rut. Elle valait mieux. Elle lui chuchota une bonne phrase, en passant par la même occasion pour mordiller son cou, lui laidsant aussi des marques. Elle s'aggrippa à son dos, le sien collé au tapis qui se decollait par moment et clauqait contre le parquet.

_ Ne te retiens plus.

Il se relachait, se détendait, allant de but en blanc comme on dit. Il n'hésitait plus, la faisait crier, supplier, elle gémissait, tremblait sous des coups de butoirs animal qui n'allait pas l'aider à mercher pendant quelques jours. Il la mordait, lui susurrait des je t'aime, ronronnant par moment. Il grognait, des râles rauques lui échappaient tout comme quelques-un de ses gémissements.

Sans ménagement, il lui faisait du rentre dedans, sans mauvais jeu de mots, appuyant sur un point précis qui la faisait hurler. Il ne pouvait que la laisser ou étouffé ces cris en l'embrassant. Nul ne les dérangerait mais tout de même, elle avait le pouvoir de réveiller tout Paris.

Ils se laissèrent glisser chacun de son côté après de longues minutes paraissant des heures. Essouflés, transpirants, et désireux. L'atmosphère chaude retournait leur bon raisonnement de retourner a la fête. De nouveau excitée, la super héroïne se retourna vers son homologue, caressant sa virilité qui n'était pas au bout de ces peines. Il l'embrassa, les odeurs de luxure le réveillant pour remonter sur le ring. Sa gorge était malheureusement enfeu et il en était certain que Marinette aussi. Il se leva difficilement, déplaçant sa compagne sur la banquette, plus agréable pour le dos.

_ Qu'est ce que tu fais ?

_ Un deuxième round, troisième voir quatrième my Lady ?

_ Avec joie.

_ Alors juste un verre pour nous deux et je suis à toi.

Il mit son pantalon à la va vite et descendit.

Il prit un verre d'eau, partant vers d'où il venait. Il était déjà bien remonté pour casser tout les meubles !

_ Où est Marinette ?

Adrien se retourna vers son interlocuteur, toujours torse nu, un verre à la main. Il esquissa un petit sourire à Luka, ses yeux de jades le fixaient avec supériorité. Il l'avait bien dans le cul le joueur de guitare aux airs de pacifistes fumeurs d'herbes.

_ Et bien ton ex m'attends dans sa propre chambre pour un deuxième round, entre nous elle est vachement endurante...

Il repartit victorieux, lui adressant qu'un sourire narquois en retournant vers la chambre. Laissant Luka choqué sur place.

Il croisa Chloé dans un escalier, aux abords tristes. Il la prit par le bras, lui souriant amicalement.

_ Ça va pas ?

_ Si si, juste recalé encore...

Il soupira tristement, lui laissant un baiser sur le front. Une idée de génie le traversa, le faisant sourire diaboliquement. Sourire, qui attira l'attention de la blonde.

_ Écoutes Chloé, j'en connais un qui... est dans le même cas. Il s'appelle Luka, il est ton style, brun, grand et joue des instruments. Va le voir.

_ Et pourquoi ?

Elle le regardant d'un air vexée, il lui tapota doucement la tête comme une gamine.

_ Fait le pour moi, mais avant tout pour toi, fait de lui ce que tu veux, il ne te résistera pas, peux-tu l'occuper quelques heures ? Tu ferais ça pour un vieil ami qui veut recoller ton petit coeur ?

Elle souria à son tour, elle prit sa main, signant comme un accord. Elle partit, prédatrice et déterminée. Elle se retourna une dernière fois vers Adrien.

_ Je l'occuperais oui, mais toute la nuit et toute la vie !

Il rigola et monta les escaliers. Au moins, la pitié qu'il ressentait s'évanouissait. Il était sûr de lui, c'est deux là allait bien se retrouver comme il s'était retrouvé avec Marinette.

Une belle nuit de débauche l'attendait, mais pour une fois, il aimait, rien à se reprocher, rien à culpabiliser. Elle l'attendait, ils s'aimaient, tout était parfait.

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