Un parallèle de Chat Blanc
Un appéritif digne d'un Adrien sous forme de Chat Noir découvrant, à ses côtés Ladybug que sa mère est enfermée dans le cercueil electro-bizarre et que, par déduction, son père est le Papillon. Comme entrée, je souhaite les sentiments du personnages dans sa confusion la plus totale saupoudrée d'une Ladybug incompréhnsive devant sa paralysie. Comme plat principale je commande le déclic du miraculous et l'ultra instinct de Chat Noir qui se transforme en Chat Blanc. Puis en déssert, je demande les réactions de Ladybug et Papillon ainsi que les premières conversations entre les trois. Un pourboire ?
Ils se battaient contre le papillon avec hargne, rivalisant avec la force de l'adulte. Et dans cataclysme bien placé sur le béton froid, tout s'éffondra. Ils tombèrent tous dans le creux qu'avait formé la boule noire de destruction. De son yoyo, Ladybug attrapa son coéquipier, se posant délicatement sur une surface en métal, une sorte de pont en acier. Étonnés de ne pas tomber dans les égouts mais une salle créer en fer de toutes pièces, de la végétation et un cylindre en métal dans la pièce, les deux super héros de Paris gardèrent leur attention sur leur ennemi.
Le détenteur de Nooroo se releva avec difficulté, boitant sur la gauche a cause de sa chute, surpris d'une telle attaque. L'homme se plaça en avant, son sceptre tenu comme un sabre, la détermination de protégé quelque chose troublant la super héroïne. Pressé d'en finir, en colère contre celui qui était en face d'eux, pour leur avoir infliger de telles choses, a eux, comme a Paris, et ces habitants. Chat Noir s'élança, bien décidé à en découdre, son baton s'allongeant et utilisé comme une épée. Ladybug resta en retrait, cherchant une faille, adoptant une stratégie de défense en réfléchissant. C'est en voyant son ennemi en violet jeté des oeillades derrière lui, les traits de son visage tiré par le stress qu'elle comprit que le cylindre devait lui être précieux, et donc utilisé contre lui.
D'un simple regard, les deux équipiers comprirent ce qu'ils devaient faire. Chat noir allait abaisser son épée sur le Papillon, lui même sur ces gardes, prêt a parer le coup. Mais le yoyo de la coccinelle tira sur le pied de l'homme, le chat en profita et accouru vers la boite de métal. Avant de faire quoique ce soit, a quelques mètres du cylindre, le chat fut projeté en arrière, un cable de yoyo l'entourant et englobant la cheville du vilain. Dans un grand fracas, et par on en sait quelle procédé, Chat Noir tomba près de sa Lady, le souffle coupé, tandis que leur ennemi fut projeté brutalement contre l'objet de leur convoitise, abaissant une sorte de volet en metal, ouvrant l'intérieur, amis une vitre les séparant.
Inquiet, l'adulte se releva péniblement, s'appuyant de son sceptre, ces deux jeunes ennemis bouche bée, et fixent telle des branches. Il se retourna et aperçu le visage de sa femme, apaisé et endormi. Un silence de mort s'installa, trois respirations difficiles, quatres personnes dans la même pièce.
Les adolescents comprirent que cette femme n'était pas simplement endormi, elle demeurait fixe, ne bougeant pas d'un poil, sa poitrine ne se soulevant aucunement pour laisser entrer et relacher l'air. Ces yeux clos, le teint maladif. Elle semblait apaisé de loin, mais en regardant en détail, la mort s'était emparé de cette âme charitable.
Le blond s'horrifia en reconnaissant le visage de la dame endormi.
_ Elle... elle était... portée disparu...
Son expression livide, sa voix se brisa sur la fin de sa phrase, Ladybug prit l'info, comprenant que son compagnon la connaissait, curieusement, dans la tête de la noiraude il n'y avait plus que le vide, aucune pensée, elle était figée comme si elle ratait quelque chose d'important.
Un hurlement brisa toute réflexion et colère entre eux. Un hurlement à s'en déchirer les cordes vocales. Un hurlement de chagrin et désespoir, entre l'homme et l'animal. Le super héros tomba à genoux, se prenant la tête, se secouant en gémissant. Il respirait avec difficulté, son coeur battant à rompre, ces mains à travers son costume devinrent moites, des frissons le parcourant face à l'effroi qui l'eprouvait. Tourmenté par ces réflexions, de vils démons intérieurs le consumant avec un feu destructeur tout son être. Ces dents claquaient entre elles, ces canines s'emboîtant et grinçant en même temps.
La beauté de sa mère était flagrante, elle n'avait pas changée après ces années, comme figée dans le marbre. Mais figée, sa beauté devenait glaciale. Il avait eu espoir, il avait gardé espoir, qu'elle était encore en vie, quelque part. Elle n'était que portée disparu, et non morte. Sa gorge se noua, étouffant quelques sanglots. Ces yeux d'un vert vivant et aimant aurait pu s'équarquiller d'horreur en comprenant l'identité du papillon. Mais il n'en fit rien, secoué par tant de nouvelles, par tant de douleur. Sa Lady avait eu raison ce jour-là. En soupçonnant son propre père.
Des papillons sur les pots, le sol, les vitres, il aurait pu se douter, même la marque, un papillon dissimulé. Sa colère, la peine quand son pere posait le regard sur lui, sa dévotion d'en son travail qui lui prenait tout son temps, la maison gardé par des centaines de systèmes de sécurité, lui qui croyait qu'il n'avait qu'une petite cave en sous terrain... Quel naïf il était. Sa coéquipière se posta devant son chaton, le protégeant de son corps du responsable de ces doutes. Ce meme personnage froid, distant et colèreux qui le fixait avec pitié, étonnement et une once de compassion, infime était-elle.
Son sang se glaça dans ces veines, ces cheveux se herissèrent. Avant de comprendre quoique ce soit, sa bague d'un noir profond signant la destruction pour une meilleur reconstitution, devint blanc, un blanc telle de la neige. Ne faisant ressentir aucune pureté, mais un désert glacial, un néant où seul le silence et la mort s'y trouvent.
_ Maman, je... je.... Père qu'avez-vous fait ?
Une parole a peine audible. Un halo blanc autour de son corps, l'atmosphère comblé par un air oppressant et vil. Une lumière aveuglante fit reculer Ladybug, les deux ennemis de toujours côte a côté se couvrant les yeux, le cylindre ressemblant désormais a un cercueil derrière eux.
La lumière les éblouissant se transformant en une sphère, qui s'evapora dans un grondement tonitruant, faisant trembler la structure, la jeune fille et l'homme tombant sous le choque.
Gabriel Agreste observait la bulle d'énergie, fasciné, effrayé mais également curieux. Encore troublé par les dires de Chat Noir, il décida de voir ce qu'il en était avant de filer en sécurité ou de profiter de l'oportunité en or. Ou en diamant si l'on se fiait à la couleur blanchâtre dégagée par le super-héros. Il tendit tous ses muscles, septique et impatient tout en reculant par prudence.
À ses côtés tout en le surveillant d'un oeil perçant, Ladybug voulait tordre ses doigts. Sa volonté de protéger son coéquipier à tout prix la transperçait de partout. Pourtant, elle avait essayé. Mais la bulle d'énergie dégageait une chaleur mirobolante et létale. Elle pouvait toujours, à travers les reflets lumineux, distinguer les traits de son partenaire à genoux. Mais son coeur battait à tout rompre tant elle souhaitait se jeter à sa rescousse.
Son costume devenu blanchâtre, il se leva fébrile, les bras ballants. Ces cheveux blond évoluèrent en un blanc albâtre. Ces yeux brillant comme la pierre émeraude, transformé en un regard bleu presque polaire. Un baton de couleur ceruse accroché derrière lui. Il n'inspirait qu'un hiver aigre, dévastateur. Son visage était inanimé telle une poupée de cire, seul son regard le rendait humain, ou du moins un semblant vivant.
Bien avant tout cela, les gens se racontaient souvent entre eux, qu'ils se ressemblaient. Telle mère tel fils. Tout deux avait la même forme du visage, les mêmes grands yeux innocent, les mêmes cheveux soyeux et d'un blond rayonnant. Désormais, il lui ressemblait encore, en plus terne, et les seuls choses qui les reunissaient, étaient l'interieur mort et ravagé et le même visage inexpressif et figé.
_ Père. Ladybug.
Une voix cassante, faisant renoncer au plus grand optimiste d'ouvrir la bouche, à ces risques et périls. Les deux restants frissonnèrent, le ton sans appel du Chat Blanc les sifflant vers une mort proche.
En un éclair, il bondit, féroce et sauvage sur la boite de verre. D'une violence inouïe , il plongea sa main griffus, éclatant le verre comme un simple bout de papier. Le Papillon équarquilla des yeux, son souffle se coupa, sa moitié se retrouvant sous l'emprise de leur fils. A son plus grand étonnement, le chat prit délicatement le corps dans ces bras, se serrant contre elle. Il la relacha brusquement, lasse, comme si ce contact n'avait plus aucune importance, plus aucune utilité.
_ Fortune.
Ce nom évoqué fit jaillir de sa main un éclair argenté. Il ne leur adressa aucun sourire, aucun regard et tendit sa main vers le haut, explosant le plafond de la pièce en métal. Désorientée, Ladybug essuya encore et encore ces larmes, elle s'exclama incertaine.
_ Adrien ? ... Chat noir... s'il te plaît.
Il la fixa ennuyé, laissant un grognement bestial lui échappé. Sa queue de chat, bien plus réel qu'avant, battait dans l'air avec force, preuve de sa mélancolie et son agacement.
_ Il n'y a jamais eu d'Adrien Agreste, ni de Chat Noir. Je ne suis que le vide.
Il appuya sur ces jambes et avec une puissance colossal, en un seul saut, il disparut de l'endroit.
_ Mon fils.
Elle se retourna en rogne, et se fit violence pour ne pas commettre un meurtre dans les secondes à venir, tant son cerveau était sollicité. La coccinelle se leva et a pas de loup se rapprocha vers le maudit papillon. Dangereuse, presque venimeuse, elle attaqua son eternel ennemi qui n'était plus apte à bouger, cloué sur place sous le choque. La gifle qu'elle lui offrit, retentit en écho dans lelieu sinistre, le mauvais père tournant la tête d'un côté par la violence de l'impact. Elle lui hurla dessus, les larmes aux yeux, la haine dans le regard.
_ COMMENT AVEZ-VOUS OSÉ ?! VOTRE PROPRE FILS ! Est-il aussi insignifiant qu'il le pense, que vous semblez le montrer ? Mais qu'a-t-il fait ? POURQUOI ?!
_ Il lui ressemble tant.
Elle posa les yeux sur ce que Gabriel fixait avec souffrance. Sa femme. Tout cela pour sa femme. Elle se résigna, faisant ce qu'elle considérait comme le pire choix.
_ Mettons nos différents de côté, pour le bien de celui que nous aimons le plus.
Le styliste fut éplapourdi par la coccinelle. Ne savant que faire.
_ Je ne suis pas idiote, je sais que vous voulez toujours nos miraculous. Mais pour cette unique fois, faisons équipe, pour mon partenaire et votre fils. Alors mettez votre voeu égoïste de côté comme je mets de côté mon obsession de vous cassez la gueule. Est-ce clair ? Si l'on reussit alors on reprendra ce qu'on a commencé, et on verra si le pouvoir absolu se déclenche ou non.
Coinvaincre un méchant de se rallier à une cause du héros était mission impossible. Convaincre un méchant qui était le père d'un des héros en est une autre. Le viel homme soupira, et aussi surprenant que cela est, il accepta, hochant de la tête.
_ Je ne suis pas le meilleur des pères, mais il est tout ce qu'il me reste. C'est encore mon fils.
Elle grogna dans sa barbe, mécontente et lança une pique. Arrêter de vouloir s'entretuer oui, s'aimer comme des bisounours non.
_ Bien sûr que c'est votre fils, à moins que votre femme ce soit lassé de vous.
Pour la première et dernière fois, ils firent équipe. Pour le bien de celui qu'ils aimaient.
Une autre version de comment est devenu Chat noir en Chat blanc ! Gros bisous, j'espere ue ca vous a plu il y a sûrement des fautes désolé !
Kiss les petits chats
Kura
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