🔞Histoire de Jalousie🔞
Guys, les gars, les mecs, les meufs c'est du pareil au même. Attention.
🚫🚫🔞🔞OH MY GODS ! LEMON ALERT ! 😏😏😏❤❤❤ (Lemon humoristoque c'est une première XD)
Un magnifique os ecrit en deux heures pour l'anniversaire d'une charmante écrivaine !
@SimplementxLaurie
Bonne lecture !
Ps: Désolé pour les fautes je l'ai fait en deux heures je le rappelle
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Tout se passait bien au départ. Le quator s'étaient proposé pour faire visiter leur lycée. Ils y étaient tous depuis un an. Au grand plaisir d'Adrien qui était dans la même classe que Marinette, et Nino dans celle d'Alya. Tous partait d'un bon sentiment. Mais Adrien était toujours mannequin, avait fait une pub pour caleçon, et était en couple avec sa Lady. Vous croyez que rien est lié ? Pourtant rien est du au hasard si les deux supers héros s'étaient retrouvés dans un placard à balai.
Adrien avait plus de côte au près des filles, et des garçons bien sûr, même si ça perturbait la coccinelle. Elle s'était préparé à des fans amoureuses, pas à une blondasse aguicheuse dandinant du cul accroché au bras de SON petit ami.
Trop naïf, il répondait à toutes ces questions en lui souriant poliment, chose que cette poufiasse a pris pour un sourire charmeur car elle s'accrocha davantage à lui, collant ces ballons de baudruches en plastiques contre son bras.
Folle de rage, et non jalouse à ce qu'elle disait, elle laissa faire attendant le bon moment pour pui sauter à la gorge. Telle une lionne affamée. Et pas jalouse.
Elle n'aimait pas la jalousie, donc elle n'etait pas jalouse dans son sens. Mais quand cette fille de mauvaise vie lui embrassa la joue ce fut la goutte d'eau qui faisait deborder son vase à fleur jaune. Elle embarqua le jeune homme étonné, on raconta qu'il fut surpris du baiser sur la joue, et non de la poigne de la jeune femme. Pour le plaisir de Marinette, et la fierté d'Adrien.
Elle ouvrit la première porte qu'elle trouva et poussa son petit ami à l'interieur, se rajoutant et refermant la porte. Elle alluma un petit interrupteur dévoilant un sompteux, incroyable.... placard à balai très étroit avec quand même de l'espace pour deux. Il la fixa intrigué de ce qu'il s'était produit sous ces yeux. Innocent à en crever, il s'excusa d'avoir pris ces visiteurs deux fois d'affilées. Elle verrouilla la porte, levant les yeux au ciel. Elle sauta sur l'occasion d'etre enfin seul avec lui sans l'autre pétasse. Ce n'est pas de la vulgarité, Marinette utilisait la liberté d'expression et s'exprimait comme elle pu. Alors elle s'exécuta, sautant réellement sur l'occasion. L'occasion qui était Adrien.
Il la réceptionna de ces réflexes félins, posant ces mains sur ces fesses en la rattrapant. Ces dernières enroulant ces jambes autour de son amant. Elle l'embrassa sur la joue et descendit sur son cou, lui faisant quelques trainés rouges. Il tenta de l'embrasser à son tour mais elle tourna la tête attaquant l'autre partie de son cou avec des suçons. Déterminée à effacer les traces ancrées de la vieille sorcière et punir son chaton à la fois, elle évitait ces baisers et ces yeux doux de Chat Potté qui le fit légèrement raler.
Elle déboutonna sa chemise lentement, le faisant languir. Il lui vola un baiser animal par surpise, lorsqu'elle se concentra sur son torse. Elle lui avait enlevé son tee shirt en même temps, impatiente de toucher la marchandise.
Pour rassurer, ce n'etait pas leur première fois, sinon quelle première fois glauque dans un placard à balai !
Il la déposa au sol, la dévorant du regard, ces mains à la même place. Il la bloqua contre le mur par accident, un placard est un placard. Petit donc. Le rouge lui monta aux joues quand ces fins doigts caressa avec douceur ces abdos puis remontant jusque dans ces cheveux, l'embrassant en baisers humides par la même occasion de son nombril à sa clavicule.
Un peu brusquement, il lui arracha son haut, son beau et seul chemisier blanc avec un peu de dentelles. Il la couvrit de regard d'excuses qu'elle accepta volontiers, trop obnubilé par ces iris changés en deux feintes, une habitude depuis ces transformations quand il était excité. Heureuse de le savoir, elle continua sa torture délicieuse un peu plus profondément. Elle enleva la boucle de sa ceinture puis son pantalon, le defiant du regard de faire pareil. Ils se retrouvèrent bien vite en sous-vêtements, l'un contre l'autre, corps contre corps. Réclamant leur partenaire tout deux, violent et sauvage, tout en gardant des mimiques douces comme enlevé avec précision le soutien gorge de la jeune fille. Une précision et un talent pour l'enlever avec habitude pour Chat Noir.
Elle se couvrit de ces bras sa poitrine, un stupide réflexe jamais parti. Il la colla contre lui, explorant de ces mains son corps, une millième fois. Tendrement, il la souleva, dans la même position du début, les vêtements en moins. Le titillant un peu pour s'être laissé faire avec une autre, elle se colla encore plus, ne laissant aucun espace entre eux, touchant son intimité contre la sienne. Un frisson le parcourut, un peu troublé, il ne remarqua pas son âme-soeur lui enlever son caleçon, à une vitesse folle puisqu'il ne fut perturbé que quelques secondes.
Il dit adieu à son innocence et sa naïveté, se transformant en animal sauvage abrité d'un desir ardent. Marinette avait osé le prendre en main d'un coup, ces poils se hérissant, des ronronnements de plaisir accompagnés. Il l'embrassa en continue avec ou sans langue, avide de gouter encore à encore à ces lèvres si fruités. Bien aggripé, il pu retiré d'une main la culotte de la jeune fille. Ou plutot l'arracher de ces griffes tout comme le pauvre chemisier. Elle lacha sa virilité qu'elle manipulait habilement en remarquant sa tenue complète d'Ève.
Elle fit encore bien plus surprise quand ça torture avait été inversé. La jeune fille n'en n'était pas moins satisfaite. Son Chaton avait un don pour retourner ces situations, en particuliers... D'une maniere digne d'une Drama queen, le blond feula de desepoir telle un chat quand sa Lady s'écarta. Son petit désaccord fut tut quand elle lui prodigua un plaisir inouïe en caressant, et agitant ces petites mains sur son attribut.
Desireux d'autres choses, il fit accéléré les choses, frottant son membre réveillé et actif depuis une bonne dizaine de minutes contre celui de sa chère et tendre. La suite, ils se jetèrent l'un sur l'autre, leur appétit vorace passant au dessus de leur punition respective. Il glissa qu'un doigt puis deux, en entendant les doux gémissements de sa compagne, il continua. Toujours quémandante de plus, il retira son index et son majeur par son, littéralement, missile de chasse incroyablement énorme. De quoi ravir ces dames.
Il y alla doucement, se retenant quelques murmures rauques. Sensuellement, elle le prit de court, et bien plus rapidement, s'enfonçant d'elle même pour son propre plaisir et l'étonnement de son copain. Allant au paroxysme de sa convoitise. Chacun donnait du plaisir à l'autre alternant, le blond la tanponna, sous son ordre, et elle déhanchant son bassin connaissant ce qu'il lui plaisait.
L'orgasme ne s'atteignait pas si facilement, surtout dans un placart, même entre âme soeur. Mais ils jouirent tout deux caprice de jalousie. A la dernière ligne droite, chanceux grâce à sa coccinelle, il évacua sans trop en foutre plein partout comme un malpropre. Ils attendirent quelques secondes, reprenant leur souffles qui étaient bien haletant depuis leur sport. C'est la lycéenne qui prit la parole, les sourcils froncés.
_ Quatrième fois en une semaine Adrien !
_ Tu m'a chauffé aussi !
_ On est Mardi.
_ On est actif ?
Sa tête d'adorable chaton la fit soupirer, elle abandonna et l'embrassa une dernière fois. Il s'exclama juste après.
_ Mais au faite. Pourquoi ?
_ Pourquoi quoi ?
_ Tu le sais bien, à moins que je dois rappeler a ma Lady amnésique que nous sommes dans un placart ?
Elle avait oublié ce détail et observa où ils étaient, tournant sa tête de droite à gauche. Elle se pinça l'arrête du nez, le regarda dans ces yeux de nouveaux émeraudes.
_ Tu es à moi et je suis à toi. Avec ces marques, cette Coureuse de Remparts ne touchera pas a ce qu'il m'appartient.
_ Oh jolie insulte, jalouse ?
_ Je ne suis pas jalouse !
_ Viens là ma possessive aggressive. Une cinquième fois à notre tableau.
_ Comment- Vil séducteur.
Il n'en avait pas fini avec elle, grosse erreur de sa part. Les deux feintes luirent d'une lueur excité. Il n'était pas le porteur du miraculous du Chat Noir pour rien, malchance, destruction et compagnie. Bref le mal en général, or la luxure était un vilain péché du mal qui n'était aucunement ignorer mais plutôt exercer.
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