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Création de la Fin

Adrien n'avait jamais été un enfant colérique ou bien capricieux. Il restait calme face à toutes les situations, un peu comme son père. C'est pourquoi le Papillon en lâcha son sceptre lorsqu'il ressentit une émotion négative sous son propre toit. Il avait déjà senti la tristesse et le chagrin de son fils mais ne pouvait pas l'akumatisé, il en était hors de question. Pourtant, il eu un doute. Adrien émettait une aura aussi négative qu'un cataclysme. Il frissonna en pensant à ce maudit héros chat. Alors devait-il ou non, akumatisé son propre fils ? Sa colère était un réservoir infini comparé aux petites injustices de ces stupides citoyens. Un seul avis changea la donne. Nathalie apparut sous ces yeux, légèrement essouflée et inquiète. Visiblement, par les dires de sa secrétaire, le blond détruisait sa chambre, hurlait de rage à des moments, cassant de nouveau ce qu'il avait sous la main, une chaise avait brutalement frappé contre la porte, la transpercant, apercevant qu'un pied en bois. Voilà pourquoi Nathalie était là.

C'etait décidé. Son fils allait être la cerise sur le gateau, son akumatisation la plus puissante et vénéneuse. Il allait sûrement le regretter, le poison de la culpabilité le prendrait à la gorge, mais pour le moment il mit ces émotions de côté.

Un vif insecte violacé sortit de l'entre, pour revenir à l'intérieur, passant entre les murs, voletant vers la chambre ravagé du dit fils Agreste. Ce dernier pleurait de rage, tremblant et haletant de colère. Sa haine rendait l'atmosphère oppressante et dangereuse. Il prit son téléphone en main et le jeta contre un mur le brisant en quelques morceaux.

_ CETTE PUTE DE LILA !

Faire du chantage à un Agreste. Un acte à ne jamais oser. Pourtant la coureuse de rempart et mythomane dans son temps libre le menaçait, menacer, lui, le fils de Gabriel, le courageux super héro, le porteur de la destruction. Il fallait être stupide pour le faire. Mais il n'avait pas le choix. Son identité devait rester secrète, et la poufiasse brune à moitié rousse usait de cette information pour faire pression. D'où la colère dévastatrice du blondinet.

Il ne s'étonnait pas de voir en face de lui un akuma. Il était que davantage haineux. Il crachait sur le maudit insecte, courbant le dos. Plagg prit d'angoisse depuis que son porteur était dans une colère noire, n'osait pas approcher mais lui criait de ne rien faire et de se calmer, trouvant des solutions bidons pour vaguement tenter de calmer les choses.

Imitant son animal de prédilection, Adrien cracha de nouveau sur la bestiole. Cette dernière nullement stoppé, se rapprocha et s'insèra dans le miraculous du blond. Une forme violette prononcée représentant un papillon se couvra devant ces yeux. Ces muscles se relâchèrent et Plagb retint un souffle d'horreur. Le jeune homme se replaca, droit comme une statue, la colère toujours sur les traits de son beau visage. Il grogna légèrement et le Papillon prit place dans son esprit.

_ Écoute moi la Bête, en échange des pouvoirs que je te confère pour te venger, j'aimerais les-

_ Miraculous de Ladybug et Chat Noir ? Je sais déjà le vioc' apprends moi les bases tant que tu y es le péteux.

Bien qu'il ne pouvait bouger, il transforma sa rage en insolence gratuite et pleine de vices. Le maître des insectes voletants papillona des paupières trop surpris par la vulgarité de l'adolescent. Il allait répondre avec autant de méchanceté mais un autre sentiment de peine fut ressenti. Son souffle se coupa quand il se rendit compte qu'il venait de Ladybug. C'était sa chance ! Il allait pouvoir récupérer les miraculous plus vite que prévu et s'occuper de son fils visiblement mal élevé. Il soupira tout de même, rassuré de ne pas akumatisé la chair de sa chair pour sa défunte épouse. L'homme claqua son sceptre deux fois au sol, retirant son akuma. Nathalie peit la fuite, voulant s'assurer de la sécurité de son protégé.

Adrien reprit ces esprits, la marque du papillon avait disparu. À la place, Plagg fut inspiré par la bague, alors qu'il n'avait rien suggéré. Son esprit sombra de nouveau, un papillon d'un blanc pur ressortit de la chevaliere comme un échange et fuit vers le repère de son maître.

Le Papillon fut de nouveau surprit. Toute la noirceur de l'akuma avait disparu. Il n'avaut pas el temps de se concentrer la dessus, il avait une héroïne à akumatisé. Ces doutes restèrent tout de même dans un coin de sa tête, le rendant perplexe pour son fils et ce qu'il avait probablement fait de cette noirceur.

Un nouvel akuma pesait sur Paris, avançant rapidement vers une jeune fille volante de toit en toit, ces larmes écrasés sur ces joues par le vent. Triste, peinée, chagrinée, aucun mot ne correspondait à l'état dont elle était victime. Elle monta le plus au possible pour oublié, se posant avec brutalité sur la tour de la télévision. Son coeur ratait des battements, elle tomba à genoux, se repliant sur elle-même. La douleur déformait ces traits. Elle avait si mal. Le petit être violet en profita qu'elle soit à l'arrêt pour entrer dans une de ces boucles d'oreilles. Cette dernière se fissura à ce contact malfaisant. Son souffle se coupa, ces bras croisés se lâchèrent, retombant mollement. Ces yeux se fermaient comme un funeste abandon.

Alors était-ce cela la fin ? Se laisser noircir par le monde, par un akuma ? Subir la perte d'un amour, subir un satané papillon, subir la vie ? Elle avait bien vu le post, les gestes, l'amour. Ces amies s'étaient inquiétés. Elle avait fait style de rien. Après tout cela ne la concernait pas que Lila et Adrien soit en couple ou non, c'est leur vie. Elle n'avait fait que suivre les règles. Elle avait fait style de rien lorsque ces parents se disputaient à son sujet. Cela ne la concernait pas si ils se disputaient ainsi. Elle suit simplement les règles qu'on lui avait imposé. Mentir, manipulé, souffrir, se battre, garder le sourire lorsque les larmes venaient, oui ces stupides règles de super héroïne pour protéger le monde. Qui la protégeait elle ? Son coéquipier qui jouait les clowns ? Non. Il devait déjà se protéger lui-même avec sa malchance habituelle. Qui avait finalement la malédiction de la malchance sur les épaules, encrés dans la peau ? Son partenaire, elle, le papillon, ces autres coéquipiers, les citoyens de Paris ?

Sa détresse muta en colère. Pourquoi protéger ces égoïstes ? Ils n'ont qu'a se protéger eux-mêmes. Ils sont trop faibles pour le faire ? Tant pis, ils sont inutiles dans ce cas.

Un masque violet se plaça par magie sur son visage, entourant ces yeux lagons. Le Papillon aurait pu avoir presque pitié mais elle restait l'obstacle à son voeu, alors aucune compassion pour l'ennemi. Diviser pour mieux régner.

_ Princesse Justice, je comprends ta peine, tu m'a trop souvent poursuivis, ne t'inquiètes pas, tu peux enfin te reposer loin de ces injustices. Mais avant tu dois me donner le miraculous de chat noir et le tien, c'est pourquoi je te donne plus de pouvoir que t'en a donner ton kwami. Cal te convient j'espère ma vieille amie ?

_ Merci Papillon...

Il n'était pas étonné, une victime de ces akumas pliaient souvent à ces exigences, hormis son propre fils mais il supposait que c'était de famille, mais qu'elle le remercie avec tant de sincérité le perturba quelque peu. Elle ne s'opposait pas, comme si elle suivait aveuglément son ennemi. Syndrome de Stockholm ? Il aurait pu rire de sa propre blague, mais il devait se maintenir pour contrôler la jeune fille et lui faire rapporter les miraculous.

_ ... de m'avoir donner une occasion de m'échapper.

Le Papillon fronça les sourcils. S'échapper de quoi ? Était-elle devenue folle ? Que lui prenait-il tour d'un coup ? Il ne s'en inquiéta pas. Une aura sombre entoura la jeune fille qui se releva durement. Les yeux lagons tournant à un gris orageux, et un orné d'éclats or. Son costume rouge à pois transformé en une robe élégante et sombre. Noire, avec un masque rouge. Des pierres ornants de tout part son buste, rappelant à la royauté. Une cape noire avec une fourrure rouge sang la couvrait jusqu'au chevilles. Des gants noirs remontant jusqu'a son coude, un sceptre fin, au bout une lame. Ces cheveux étaient attachés en un chignon complexe, deux pics reposant de chaque côté. Elle ne ressemblait plus à ce qu'elle était. D'une héroïne passant à une reine. Ces pieds étaient nus de chaussures, étant à même le sol, mais effleurant le sol de quelques centimètres, en une sorte d'élévation. Ce n'est pas ce à quoi s'attendait le Papillon, il ferma les yeux là dessus, trop satisfait d'avoir en main cette âme égarée.

_ Princesse Justice, amène moi Chat Noir et son miraculous.

Elle hocha de la tête, le masque se dissipant.

_ Ce n'est pas Princesse Justice sir, mais ma Reine. Allons retrouver mon Roi.

Elle arracha sa boucle d'oreille, et retira un papillon blanc épuré de celle ci. Elle remit la boucle et écrasa dans son poing l'insecte. Par miracle, la dite Reine, entra en contact du maître du papillon.

_ Merci. Mais je n'ai plus besoin de toi, tu m'es inutile.

L'inquiétude rongea le coeur du Papillon. Le même phénomène que son fils. Il alerta immédiatement Nathalie qui ne répondit pas. L'ambiance se fit rempli de terreur. Qu'avait-il fait ? Qu'avait-il causé ? Il prit peur lorsqu'il pensa à sa femme. Et si elle s'en prenait à elle ? Jamais au grand jamais un akumatisé s'était retourné contre lui. Mais Ladybug était-elle toujours son akumatisé ? N'était-elle pas juste le mal l'état brute d'avoir ainsi ingéré la noirceur ? Son miraculous avait, comme si, inspiré le mal pour se transformer en ce dernier, à des fins maléfiques. Ces yeux s'equarquillerent. Adrien avait fait la même. Sa bague avait comme inspiré les pouvoirs malfaisants du papillon. Il s'horrifia de sa constation. La bague était forcément un miraculous. Chat Noir était son fils. Il n'avait pas akumatisé que son fils mais un de ces ennemis. Son fils était un de ces obstacles pour rejoindre sa femme...

Il coupa sa respiration, se rappelant tout les coups que Chat Noir avait reçu. Une respiration haletante retentissait dans l'entre. Les yeux fatigués du styliste eu une légère lueur d'angoisse. Nathalie était revenue lui donner des nouvelles ? Bonnes ? Mauvaises ?

_ Nathalie ? Que se passe-t-il donc enfin !

Il n'était pas d'un naturel à montrer ces émotions, mais son angoisse rendait l'atmosphère plus que stressante. Deux yeux verts luisant, coupé d'une fine pupille l'observait dans l'ombre. C'était tout sauf Nathalie. À la hauteur de ce regard curieux et colérique, la chose devait mesuré plus de deux mètres. Il n'y avait plus qu'un silence effrayant régnant en maître dans la pièce. Un grognement bestial résonnait, faible mais assez puissant pour hérissé les poils de Gabriel. Il avait l'impression d'être avec un lion en cage. Le terme était bien plus que métaphorique. Les yeux luisants se fermerent, laissant que le noir d'une partie de la pièce. Un craquement inhumain d'un os dit grimacer l'homme, sa crainte ne le quittait plus. La situation lui échappait. D'une force surnaturel, un objet vola à ces pieds comme une vulgaire poupée de chiffon.

Il faillit crier d'horreur. Un corps gisait à ces pieds. Le sang s'étalant en un cercle imparfait autour du cadavre. La tête manquait, le cou sectionné presque trop proprement, on pouvait y voir l'émoglobine y ressortir encore et encore mais dans une cadence moins importante qu'il aurait imaginé si il avait vu une décapitation. Les mains étaient d'un blanc immaculés, le liquide ne sortait que de la partie du cou restante, les habits étaient tachés, les chevilles étaient pliés dans un angle anormal, comme brisé, les os réduits en cendres pour être ainsi pliés.

Il ne prit que quelques secondes en constatant qu'il s'agissait du corps de sa secrétaire. Dégout, colère, chagrin, quelle monstre avait osé faire ça ? Il était tout ce qu'il lui restait avec Adrien.

_ Elle n'avait jamais joué avec moi avant aujourd'hui. Elle joue très mal.

Il se statufia en entandant la voix grave presque suave de ce meurtrier. Elle tonnait comme un félin. Il se révulsa à ne pas vomir en odorant une certaine senteur de décomposition, de mort. La Paillon se tenait droit, s'appuyant sur sa canne. Des cliquetis se rapprochant ne fit que renforcé sa peur, un son de métal contre le sol, et un bruit d'ongles tapant contre lui aussi. La bête était pied nus. Il ne croyait pas au surnaturel, étais-ce l'oeuvre d'un autre miraculous ?

Sortant enfin de l'ombre, une crinière couleur soleil se battant dans tout les sens, une couronne rayonnant a la faible lumière sur les cheveux. Un fin visage, deux choses étaient frappantes, les canines tellement pointus dépassaient les lèvres s'allongeant un peu sur celle-ci, puis deux grands yeux émeraudes, deux feintes traversant ce vert hypnotisant. Une imposante cape rouge avec de la fourrure blanche reposait sur des épaules musclés. Un teint plus bronzée que la normale, rappelant le plus grand félin féroce, le lion. Il tenait un sceptre aussi dorée que son teint, ressemblant comme celui de son geniteur, en moins sombre. Une tunique blanche s'arrêtant aux épaules et remontant jusqu'au pectoraux, des abdos finement sculptés, l'être était habillé sobrement, pour un assassin, il n'avait aucune tache de son crime. Il portait des gants comme ceux des archers, aux aussi blancs, pour quelqu'un de royal avec une couronne, il était vêtu d'un pantalon rappelant Aladdin, non déchiré et d'une blancheur propre à elle-même. Il était pieds nus, ces ongles de pieds se rapportant à l'animal qu'il était, des griffes ornants les fins bouts de son corps. Tout sur lui était blanc oi bien roige sur différents teints, comme si c'ets deux couleurs le reflétaient.

Une de ces mains était serré en poing, et l'autre soulevait un poids.

_ Ad- Na-Nathalie ?

Adrien souriait, avançant souplement, d'une démarche féline vers son paternel, sa main contenait les cheveux de la secrétaire. Sa tête pendouillait mollement, force de gravité, le sang gouttait en un chemin de gouttelettes macabres. Elle n'avait plus de lunettes, juste des yeux revulsé d'horreur, indiquant à sa mort la terreur.

Le sourire malsain se fana en voyant la tête de sa prochaine victime trop indifférente pour ce qu'il avait fait. Sa voix avait été chevrotante, un vrai plaisir, mais son visage restait, à son goût, trop neutre pour qu'il en soit satisfait. Le dit assassin soupira d'agacement, d'un mouvelent souple du bras, il lança a la suite du corps la partie manquante. Le blond s'exflamait de but en blanc.

_ Je l'aimais comme une deuxième mère.

Les yeux de son géniteur reflétaient l'incompréhension, la colère et la crainte. Un mélange qu'il savourait.

_ Pour-pourquoi ?

Un grognement sorti du fond de sa gorge, montrant son agacement, faisant ressentir un leger tremblement à son adversaire.

_ Elle n'était pas la vraie, elle n'était rien qu'une complice, qu'une égoïste par amour.

Il cracha amèrement ces mots, sa haine ressortant au galop sur sa satisfaction. Gabriel, aussi peiné qu'horrifié, tenta de le résonné.

_ Adrien, tu ne penses pas ce que tu-

_ Assez.

Sonnant comme un ordre impérieux, Gabriel ne sut pourquoi il s'était tut, son instinct de survie le lui avait crié de se taire comme un espoir de vivre.

_ Adrien n'existe plus, je suis le Roi. Ne te mets pas en travers de mon chemin comme cette imposture. Ma Reine m'attends.

Il s'en alla ni plus ni moins, appuyant sur ces genoux, dans un saut passa à travers la vitraille sans grands efforts.

Ainsi, le Papillon créa l'enfer. Il n'eu jamais ce qu'il souhaitait. A la place, il crea deux êtres immortels réclamant le mal, l'injustice, la terreur et le sang. Deux êtres alliant leur forces, leur amour. Enfin leur relation avait été révélé, possible. Dans des mauvaises actes. Ils s'aimaient et tuait pour l'autre sans aucun remords.

Le Roi et la Reine ne faisaient pas que régner sur Paris, toujours plus, la capitale n'était pas assez. Sur le passage sémant la mort, la désolation et la guerre. Ceux qui s'opposaient étaient tués sans plus de cérémonies. Un enfant ? Un nourisson ? Une femme enceinte ? Des adolescents ? Aucune pitié, aucune compassion existait. Et si même des ennemis s'opposaient avec ruse, rien ne marchait. Devenir un serviteur avec espoir ? Lila en fut morte, reposant dans une tombe aux côtés de tout les autres. Chloé, Sabrina, Alya, Nino, Luka, Kagami, Alix, Rose. La liste était longue mais aucun n'y avait échappé. Même tenté de séduire le Roi ou la Reine pour éviter un destin funeste était chose veine, la jalousie de l'un de l'autre détruisait un pays. Ce n'était ni une exagération ni un exemple, il n'y avait plus de Belgique et de Luxembourg en ce jour. Un véritable cataclysme transformant ces pays en un désert mortel.

Démences pures et dures, aucun survivaient, il n'avait d'espoir que d'être tué rapidement.

Après la France se fut l'Europe, de l'Europe à l'Asie, et de l'Asie au monde entier. Toujours plus. Connus comme des tyrans, des tueurs, des animaux, un lion et sa compagne, une folle et son garde fou, jamais Ladybug et Chat Noir étaient cités. Effacés des mémoires. Seul le Papillon ne pouvait que se rappeler. La fin du monde s'était présenté à la minute où les supers-héros n'avaient aucun espoir.

C'est ainsi, que tous, ont connu. La Fin.










Désolé pour les fautes où le retard, ca fait longtemps que j'avais pas poster XD j'espère que ca vous a plu !

By Kura

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