Bonjour bonjour.

Je publie 3 jours d'affilés, c'est pas mal je trouve.

Post un peu tardif vu qu'il y a les cours, et justement indiquez moi quand est-ce que vous préférez.

Rien de plus à dire, bonne lecture.

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Un jeune homme aux cheveux ébènes se promenait dans un grand domaine, quand il entendit deux voix distinctes parler entre elles.

Il s'approcha doucement, avec son calme habituel, avant d'apercevoir la source de tout ce raffut.

Il découvrit que c'était en fait Shinobu et un pourfendeur de bas rang.

Il rebroussa chemin, se disant que c'était finalement inutile de les espionner comme ça.

En partant de sa cachette, Tanjiro l'interpella, ce qui ne manqua pas au deux autres personnes.

-« Tomioka-san!

-Hm? Répondit-il faiblement

-Que faites vous ici, vous êtes blessé ?

-Simple visite de courtoisie. »

Tanjiro hocha rapidement la tête avant de se faire appeler par ses amis, Zen'itsu et Inosuke.

Il salua Giyu et s'en alla aussi vite qu'il était arrivé.

Quand il voulut repartir, une voix l'arrêta.

-« Ce n'est pas bien de fouiner, Tomioka-san.

Un peu décontenancé, il répondit tout de même.

-Je passais seulement par là, pourquoi, tu étais avec quelqu'un ? Demanda t'il innocemment, bien qu'il connaissait déjà la réponse

-Un patient, oui.

-Je vois. »

Il se retourna, peu intéressé par la discussion.

L'heure du midi arriva, et il commença à rentrer chez lui, ayant des choses à faire à son domaine.

En prenant le chemin de la sortie, il y vit une chose qu'il l'irrita assez.

Le jeune pourfendeur touchait les douces mains de Shinobu, faisant semblant de s'y intéresser.

Selon lui, c'était clair.

Il l'a draguait ouvertement mais subtilement en même temps.

Il ne pouvait pas se résoudre à partir chez lui et à la laisser avec lui.

Bien qu'elle ne paraissait pas dérangée par celui-ci.

Giyu fut prit d'une rage incontrôlée, et s'éloigna avant de commettre un meurtre, furieux.

Cependant, le pourfendeur avait tout les droits.

Shinobu ne sortait pas avec Giyu, alors tout était à son honneur de l'aborder comme il le faisait.

Mais le pilier ne supportait pas cette vue et était jaloux.

Jaloux qu'il ai le courage de lui parler de cette façon et de l'approcher avec des contacts physiques de cette manière.

Jaloux que lui, un pourfendeur de bas étage qu'il ne connaissait même pas y arrive, et pas lui-même, un « ami » de la pilier.

Il entra dans la maison qui constituait le domaine, et tomba sur Kanao.

Il l'a regarda quelques instants, puis prit la parole.

-« Sais-tu où est ta sœur ? »

Elle remua la tête de gauche à droite, signe de refus.

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La journée passa tranquillement, et à chaque fois qu'il voyait Shinobu, elle était en compagnie de ce pourfendeur.

Il ne savait plus quoi faire.

Quand il essayait d'aller la voir, le garçon avait toujours quelque chose à lui demander, attirant toute l'attention sur lui.

Il était déçu, déçu qu'elle s'occupe constamment de lui alors que d'habitude ce traitement de faveur ne lui était accordé qu'à sa personne car elle aimait l'embêter.

Il décida qu'une conversation s'imposait, histoire de régler le problème avec la jeune femme.

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Le lendemain, il chercha un moment où elle était seule, pour l'accoster et lui parler.

Cela n'arriva jamais.

Pendant toute la matinée, Kayden, le nom du pourfendeur qu'il avait apprit par hasard, collait constamment sa belle.

Il tournait en rond et ce n'était franchement pas agréable.

Ni pour lui, ni pour les filles du domaine qui le voyaient se morfondre.

Elles décidèrent de faire appel à une personne que le pilier connaissait, et était persuadée que cela l'aiderait grandement.

-« Comme ça on fait du souci aux p'tites filles du domaine, Tomioka ? Demanda une voix forte et claire dans son dos

-Hm.

-Allez, dis à tonton Tengen ce qui va pas.

Giyu se retourna vivement, le regard signifiant « Tu te fous de ma gueule là ? »

-Oui.

Puis, la lueur sembla changer en « Tu lis dans les pensées ?! »

-Oui.

Ils se firent interrompre, au plus grand désarroi de Tengen qui s'amusait beaucoup à faire tourner en bourrique Giyu, par Aoi.

-Je vous prierai de ne pas traîner ici si vous n'avez rien à y faire, il y a des patients. Déclara t'elle

-Détend toi! Commença Tengen

Ce qui lui valut bien évidemment un regard noir de la jeune fille.

-Toutes les mêmes! » Cria t'il pendant que Giyu le traînait avant qu'il ne se fasse assassiner

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Giyu se retrouva avec un Tengen le suivant partout, le taquinant pendant des heures sur la jolie Kocho.

-« Allez vieux, elle t'a tapé dans l'œil, avoue !

Pour une énième fois dans la journée, il laissa sa question sans réponse et changea de direction, essayant de semer le trouble qu'était Tengen.

-Donne moi 20 000 yens et je te laisse tranquille ! Clama t'il soudainement

Après un regard méfiant de Giyu, il reprit.

-Ouais, j'ai mal dosé ce mois-ci et j'vais pas pouvoir finir tranquille si j'les ai pas, alors, tu marches ?

Il sortit son portefeuille de son haori et les lui tendit sans plus attendre.

-Merci, à la revoyure ! »

Il poussa un soupir de soulagement, enfin libéré de cet énergumène hyperactif.

La discussion avec Shinobu pouvait maintenant prendre place dans l'esprit de Giyu.

Kayden n'était miraculeusement pas à ses côtés, s'étant sûrement fait envoyé bouler par Shinobu.

Il se racla la gorge une fois arrivé à sa hauteur.

-« Oui ?

Il bafouilla quelques mots qu'elle n'entendît pas.

-Qu'il y a t'il, Tomioka-san ?

-Kayden.

-Kayden? Oui?

-Qui est-il pour toi ?

Un sourire amusé vint naître a la commissure des lèvres de Shinobu.

-Un garçon.

-Ça je le sais bien ! S'emporta t'il L'aimes-tu ?

-Pardon ? Demanda t'elle incrédule de sa question si honnête

-Est-ce que tu l'aimes ? Je ne t'ai jamais vu passer autant de temps avec un garçon sans le repousser au bout d'un moment. Même pas moi.. Finit-il par murmurer

Elle n'entendît pas la fin de sa phrase, mais comprit directement pourquoi toutes ses interrogations et cet énervement.

-Êtes-vous jaloux que je passe du temps avec une personne du sexe masculin qui n'est pas vous ?

-Comment ? Bien sûr que non! Je ne suis pas si puéril. C'est surprenant que du jour au lendemain, quelqu'un te colle de cette manière.

-C'est un stagiaire.

-Quoi ?

-Il apprend les bases de la médecine et m'épaule en cas de besoin car Sumi, Naho et Kiyo sont absentes et ne peuvent plus m'aider pour les tâches sociales.

Il émit un grand soupir de soulagement, faisant immédiatement retomber la colère en lui.

-Comment dois-je prendre ce soupir, Tomioka-san ?

-Normalement.

Il mit sa main sur sa clavicule, effleura sa joue un instant avec sa main et lui ordonna presque ;

-Ne laisse aucun garçon t'approcher. »

Puis il partit laissant un froid sur la peau de Shinobu.

Elle sourit, consciente de la jalousie qu'il avait pu ressentir, se disant qu'un jour ou l'autre, ils s'avoueraient leurs sentiments, mais que pour le moment, ce jeu leur plaisaient bien.

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Pour certains os, bien que ce soit le contraire de but, je pourrai éventuellement faire une suite si cela est demandé (et que c'est nécessaire, ainsi que si j'ai de l'inspiration).

J'espère tout de même qu'il vous aura autant plu que les autres, si c'est le cas, n'hésitez pas à me le dire, et si vous avez des critiques, l'espace commentaire est libre.

1121 mots, écrit le 26 Septembre 2022.