coucou ! petit os à l'occasion d'halloween (d'où le média mdrr) car je voulais marquer le coup et aussi écrire sur le ship qui hante mes pensées depuis quelques semaines. j'espère que ça va vous plaire !
au passage, cet os est totalement inspiré d'un de elleanna_b qui m'a gentiment autorisé à en écrire un à mon tour :) n'hésitez pas à passer sur son compte surtout !
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  Harry soupira en cellant la lettre qu'il venait d'écrire. Il jeta un rapide coup d'œil mélancolique à son dortoir vide; tous ses amis étaient au banquet prévu pour la soirée d'Halloween. Ron n'y avait pas fait exception et était lui aussi parti, non sans lui jeter un regard compatissant car il savait d'expérience que personne ne pouvait consoler Harry le soir de l'anniversaire de mort de ses parents. Le garçon pouffa sans conviction en se disant que le soir de la fête des morts était un jour particulièrement bien choisi pour terminer sa vie. Peut-être devait-il remercier Voldemort? Après tout, son ennemi était à l'origine de la mort de ses parents, mais aussi de celle de l'existence pour le moins chaotique d'Harry Potter. Par bonheur, celui-ci avait tué son ennemi quelques mois auparavant. Minerva McGonagall, ayant repris les rênes de Poudlard pour de bon, avait décrété que l'école devait rouvrir au plus tôt afin de se concentrer sur l'avenir. Les élèves volontaires avaient donc été conviés à rejoindre l'école de sorcellerie pour redoubler leur année. Quant aux première année, ils suivaient des cours dans une aile aménagée du château. N'ayant pas connu la guerre, ils devaient étudier comme si rien ne s'était passé. Cependant, ni la directrice ni les élèves n'étaient dupes ; la guerre n'avait pas fait uniquement des ravages matériels. Nombreux étaient les enfants ayant perdu des frères et sœurs, d'autres des parents, tout simplement des êtres aimés. En plus de tout cela, ceux ayant participé à la guerre subissaient d'énormes dégâts psychologiques. L'emploi du temps de chacun était adapté à ses besoins et les professeurs, malgré la consigne d'enseigner conformément au programme, étaient gentils et bienveillants envers les élèves. La guerre n'avait épargné personne, et encore moins Harry Potter. C'était dans le but de donner du bon temps à tous les pensionnaires que la directrice avait proposé à chacun de rester au château le temps des vacances d'octobre à novembre. Elle comptait organiser un fabuleux dîner à l'occasion d'Halloween, premier événement fêté depuis la mort du Seigneur des Ténèbres. Cependant, Harry ne se sentait pas d'humeur à fêter quoi que ce soit.

  Après la mort de Voldemort, il avait habité quelques mois chez les Weasley, tant pour les réconforter de la mort de leur fils que parce que les Dursley n'étaient au courant de rien et que l'idée même de revenir chez eux paraissait tout simplement ridicule. Après tout ce qu'il avait traversé, Harry n'avait évidemment plus peur de sa tante et sa famille ; qu'étaient de simples parents -à peine proches- autoritaires contre son ennemi de toujours? Cependant, il ne comptait pas le moins du monde revenir chez eux. Il leur avait simplement rendu une visite début août. En effet, il venait de fêter son dix-huitième anniversaire ; aux yeux de la loi, il était majeur. Il était venu récupérer le peu d'affaires qu'il y avait laissé mais surtout tout expliquer de ses actes et de la mort de Voldemort. Malgré sa haine des sorciers, Pétunia avait été horrifiée d'apprendre que tant d'entre eux avaient été massacrés par Jedusor. Vernon n'avait rien dit mais il avait paru soulagé d'apprendre qu'une telle menace avait été écartée sans avoir trop impacté « son » monde des moldus. Dudley, quant a lui, avait regardé Harry avec des yeux ronds. Juste avant son départ, il lui avait avoué à quel point il était désolé de ses agissements lors de leur enfance. Il lui avait aussi dit qu'il était fier que son cousin ait sauvé l'humanité. Harry était reparti de la maison qui l'avait vu grandir et souffrir en se disant qu'il s'était réconcilié avec cette partie de son passé.

  Durant l'été, il avait enterré Fred, mais aussi Remus, Tonks, Colin Crivey et fait un mémorial à Fol-Oeil, Hedwige, Dobby, Sirius, Dumbledore, et évidemment ses parents. Tant de personnes étaient mortes pour protéger sa vie... Harry ne le méritait pas et il en avait absolument conscience. Les seuls à le contredire étaient Ron et Hermione.Évidemment, ses meilleurs amis le soutenaient toujours. Lors de la bataille de Poudlard, ils s'étaient finalement mis ensemble après tant d'années à se tourner autour. « Si une guerre est nécessaire pour former des couples, pensait Harry, l'amour n'est pas fait pour moi. » Il s'était en effet séparé de Ginny quelques temps auparavant. Elle ne lui en avait pas voulu, pourtant Harry savait à quel point elle avait souffert de leur rupture. Elle avait aussi essayé de recontacter Dean, pour voir si elle avait une chance avec lui à nouveau, seulement celui-ci lui avait calmement expliqué qu'il avait quelqu'un dans sa vie et qu'elle n'était plus son type. Loin d'être stupides, Hermione et elle s'amusaient à penser que l'élu du cœur de Dean était en fait Seamus, son ami de toujours. Celui-ci ne pouvait démentir ces spéculations car il n'était malheureusement pas revenu à Poudlard. Quoi qu'il en soit, Harry était plus seul que jamais. Pas de parents, pas de tuteurs -Sirius et Dumbledore étant décédés tous les deux-, pas de moitié avec qui partager ses craintes et ses soucis... Il avait évidemment des amis, mais ses meilleurs amis étaient en couple et dévastés par la guerre. Pour couronner le tout, c'était l'anniversaire de la mort de ses parents, il était seul, et la personne qu'il aimait était impossible à atteindre. Autant dire que rien n'allait pour Harry Potter. La guerre ne l'avait pas épargné, et il était lassé de tout. Lassé de son existence sans but, lassé de son manque de soutien, lassé de sa vie. Et il comptait y mettre fin.

  Il attacha donc sa lettre à la patte de Coquecigrue, le hibou de Ron, et sorti de son dortoir pour la dernière fois.

  Pendant ce temps, dans la salle commune de Serpentard, Blaise Zabini grommelait des tas d'insultes à l'égard de son meilleur ami. Draco Malfoy était arrivé à Poudlard vers la fin septembre, le temps d'être jugé au tribunal et qu'on le déclare non coupable. La Marque des Ténèbres avait disparu de son bras et il était plus libre que jamais. Lors de la guerre, il avait rejoint ses parents par peur des représailles. Ce que ne savaient pas la plupart de ses camardes, c'est qu'il avait choisi le camp de Voldemort car il pensait qu'Harry était mort. Il avait rejoint sa mère et s'était éloigné avec elle. La première chose qu'il lui avait demandé était : « Mère, tu étais avec lui. A-t-il réellement tué Po... Harry? »
« Non, avait-elle répondu. Mais c'est ce que je lui ai fait croire. Il ne reste plus qu'à espérer qu'il s'en sortira vivant au final. » Ce que Draco souhaitait plus que tout. Les événements s'étaient finalement déroulés selon leurs attentes et Harry était vivant. Amoché, certes, et traumatisé, mais vivant. Et de cela, Draco était plus soulagé qu'il ne l'aurait dû. Après des mois à attendre son jugement puis à être libéré, il était enfin retourné à Poudlard. Il avait eu énormément -trop?- de temps pour penser et il était finalement parvenu à une conclusion. « Si je sors libre, s'était-il promis, j'assume ce que je suis et je lui dit tout. » Il se devait donc de tenir sa promesse. Après tout ce qu'il avait traversé, Draco avait décidé de reprendre sa vie à zéro, et il pensait que commencer par s'avouer son homosexualité était déjà un grand pas. C'est donc le soir d'Halloween qu'on le retrouve, en compagnie de Blaise, arrangeant son costume pourtant déjà parfaitement ajusté.

  « Donc tu vas lui dire? demanda Blaise pour la énième fois de la semaine, étonné.

  - Oui, Blaise, oui, répondait Draco, agacé. J'ai plus grand chose à perdre, et au pire des cas il le révèle à toute l'école, ce qui m'épargnera de le faire moi-même. Et je me le suis juré, rappelle-toi...

  - Oui, oui, "si on m'épargne Azkaban, j'avoue à Potter que j'ai toujours eu des sentiments pour lui". Je crois que j'ai compris là!

  - Parfait, murmura Draco comme pour lui même, en jetant un dernier regard à son miroir. Allez, on y va! »

  Il sortit enfin de sa salle commune, suivi de son ami qui ricanait. En chemin, Draco eut la surprise de tomber sur le drôle d'hibou des Weasley. Celui-ci se posa près de lui et le regarda, en attente de quelque chose. Blaise et lui se regardèrent, surpris, avant de se rendre compte que la lettre que transportait le hibou était bel et bien destinée à Draco. Celui-ci l'attrapa et entreprit de la lire tandis que le volatile s'éloignait d'un vol tranquille. Arrivé à la fin du parchemin, Draco blêmit et regarda Blaise, paniqué.

  « Putain... c'est une blague? Ok Blaise tu vas chercher l'intello et les rouquins et vous me rejoignez à la tour d'Astronomie le plus vite possible. Ça urge! »

  Sur ce, le Malfoy partit en courant, laissant un Blaise complètement ahuri derrière lui.

  Harry était enfin arrivé à la Tour. Il contempla la magnifique vue qui s'offrait à lui avant de se rappeler tous les souvenirs qu'il avait de cet endroit. La mort de son directeur préféré, entre autres. Harry sourit pour lui même. Même à ce moment-là, Draco et lui étaient réunis. Malgré leur statut d'ennemis, ils se traînaient toujours dans les pattes. Il était là le soir où Draco avait épargné Dumbledore, et il avait compris d'après les paroles de celui-ci, que le jeune blond n'aurait pas pu le tuer, même si Rogue et les Mangemorts n'avaient jamais fait leur apparition. À bien y réfléchir, Harry était sûr que c'était après ce moment qu'il avait commencé à réellement apprécier Malfoy. De tout le temps dont il avait disposé pour réfléchir, le Survivant avait rapidement compris qu'il éprouvait des sentiments pour Draco. Cela était évidemment un gros point de sa séparation avec Ginny, malgré qu'il ne l'ait mentionné à personne. Oui, il aimait Draco, et c'est la raison pour laquelle c'était à lui qu'il avait envoyé sa dernière lettre. Harry comptait sauter du haut de la Tour d'Astronomie pour mettre fin à ses souffrances, et la seule personne qu'il avait daigné prévenir était son amour caché.

  Quant à lui, ce blond qui hantait ses pensées, il gravissait avec peine les nombreuses marches pour accéder à cette tour. Après avoir parcouru la lettre, il avait accouru afin de trouver Harry à temps. Qui sait, peut-être n'avait-il pas encore sauté... Draco ressentait tant de choses pour le brun. Et dire qu'il comptait lui déclarer sa flamme lors du repas d'Halloween... Et là, il était peut être mort. Draco chassa rapidement cette atroce idée de sa tête et grimpa encore plus vite. Il arriva enfin au sommet de cette tour maudite, et il le vit. Harry, déterminé, avait passé une jambe par dessus la rembarde et était en chemin pour ramener l'autre avec lui. Pris d'une peur incontrôlable, Draco cria :

  « Harry, non !
  - Draco... répondit le brun sans arrêter son geste. Il se retourna finalement et Draco eut la drôle d'idée de penser qu'il avait un air à la Luna Lovegood. Tu as eu ma lettre plus tôt que prévu, on dirait. Je te pensais au dîner.
  - J'étais en chemin mais je l'ai heureusement eue juste à temps. Maintenant viens, repasse ta jambe par-ici et on pourra discuter tranquillement, d'accord?
  - Non, j'ai pris ma décision, Draco. Je compte mettre fin à mes jours, et quoi de mieux que le faire pile dix-sept ans après la mort de mes parents? Peut-être que je pourrais les rejoindre plus facilement comme ça.
  - Harry, non... souffla Draco, envahit par l'angoisse de le voir lâcher la barrière qui le retenait faiblement à la vie. S'il te plaît, change d'avis, je... je ne supporterais pas de te voir mourir. As-tu pensé à Ron, Hermione, Ginny? Aux Weasley, et à ta tante?
  - Je n'ai plus de famille mise à part une horrible tante qui m'a toujours détesté. Je suis un poids pour les Weasley, surtout depuis la mort de Fred, ils n'ont pas besoin de moi. Ginny, je lui ai brisé le cœur, tu sais que j'ai rompu avec elle? Quant à Hermione et Ron... ils doivent se bécoter en profitant du superbe dîner de McGonagall.
  - Harry, reviens sur ta décision, je t'en supplie. Tant de gens tiennent à toi, tu nous as sauvés du mal. Personne ne peut te détester et encore moins t'oublier.
  - Toi, tu me détestes, contra Harry, et tous les sorciers et sorcières sont justes bien contents qu'on les ait débarrassés de Voldemort. Je ne compte pas dans l'équation.
  - Ne dis pas ça, c'est totalement faux. Et je ne te déteste pas, Harry, loin de là...
  - Ah oui? Tu devrais, pourtant. Moi-même je ne me supporte pas, c'est pour ça que je veux en finir.
  - Bordel Harry, tu comprends pas? Tant de gens t'aiment, tu es important pour énormément de personnes, ne fais pas ça, je t'en prie.
  - Désolé de te décevoir, mais je vais quand même le faire. Personne ne m'aime de la façon dont je voudrais. Je vais sauter maintenant.
  - Non ! Harry je, je connais quelqu'un qui t'aime et... putain arrête tes conneries, Harry je comptais te le dire ce soir même mais tu ne m'en as pas laissé le temps. Harry, je t'aime, et je ne pourrais pas accepter de te voir mourir sous mes yeux.
  - Détourne-toi, alors, murmura le Garçon qui a Survécu, se retournant pour faire face au vide.
  - Harry? Non, non je t'en supplie, tu ne peux pas faire ça.
  - J'ai déjà perdu assez de temps Draco... Adieu.
  -NON !

  Harry décolla ses doigts un à un. Draco plongea en avant dans un élan de panique totale, et il rattrapa de justesse le poignet du Potter. Il le ramena ensuite vers lui et le tint par la taille. Harry se retourna, toujours tenu par Draco, et l'écouta dire dans un soupir de peur incontrôlée :

  - Si tu sautes, tu m'emmènes.
  - Non Draco, je ne peux pas. Ma décision est prise, et toi tu restes sagement vivant, c'est compris?
  - Jamais ! Harry je ne peux pas te laisser faire ça, je t'aime plus que tout, alors si tu mets fin à ta vie ce soir, c'est avec moi, compris?
  - Tu dis ça pour me faire renoncer. Mais ma vie est une catastrophe et je ne me sens pas bien. Maintenant lâche-moi.
  - Harry, je t'aime.
  - C'est parce que tu as lu ma lettre que tu dis ça...
  - Non je te le jure. S'il te plaît, reviens... murmura Draco en pleurant.
  - Draco, trouve l'amour, ait des enfants, soit heureux, mais je t'en prie lâche-moi.
  - Harry, non... »

  Le blond était désespéré. C'est alors qu'il eut une idée, et il se décolla de la barrière, sans lâcher son brun évidemment. Il respira un bon coup et lui déclama :

  « Harry James Potter, veux-tu m'épouser ? »

  Le concerné fut tellement surpris par la question qu'il fallit tomber de la tour dans un sursaut d'étonnement. C'était sans compter sur le blond, qui le tenait toujours fermement.

  « Qu'est-ce que tu racontes...
  - C'est la seule chose que j'ai trouvée à dire pour te convaincre de ma sincérité. Harry, je t'aime et je veux passer le reste ma vie avec toi. Acceptes-tu de devenir... mon époux?
  - Mais enfin Draco, je... enfin... 
  - Ne saute pas. Je t'aime. »

  Pour la première fois de la soirée, Harry semblait reconsidérer sa décision. Puis il regarda le Malfoy, sondant ses yeux pour tenter d'y lire la moindre trace d'une quelconque blague. Il n'y vit que le reflet d'un jeune homme perdu, qui s'avérait être lui-même. Harry sembla soudainement prendre conscience de la situation et regarda dans le vide. Une vague d'anxiété le submergea et il s'accrocha désespérément à la rembarde. Voyant cela, Draco se rapprocha à nouveau et lui prit la main cette fois-ci.

  « Aide-moi Draco... »

  Celui-ci ne se fit pas prier, et il ramena le brun sur le plancher de la tour tout en laissant couler des larmes de soulagement. Harry se retrouva finalement dans les bras de Draco, sain et sauf.

  « C'est bon, c'est fini... tout va bien... » murmurait le blond en enserrant Harry et caressant ses cheveux. Puis il lui embrassa le front dans un geste qui se voulait réconfortant. Harry le repoussa légèrement afin de le regarder :

  « Draco... tu, hum...
  - Oui j'étais sérieux Harry, oui je t'aime et oui je veux toujours qu'on se marie. Au diable ce que pensent les gens, nous sommes majeurs et libres, rien ne nous en empêche. Maintenant que tu es sauvé... qu'en penses-tu? »

  Harry le regardait. Ses beaux yeux verts se remplirent de larmes et il regarda son amant dans les yeux.

  « Oui, je le veux » répondit-il dans un soupir.

  Alors ils s'embrassèrent, tous deux pleurant de joie et de soulagement. Ce ne fut qu'en entendant un hoquet de surprise qu'ils se séparèrent.

  Ginny Weasley les regardait, estomaquée. Hermione pleurait dans les bras de Ron et Blaise était bouche bée. Draco s'éclaircit la voix :

  « Depuis quand, heu... vous êtes là?
  - Environ le premier 'je t'aime' je pense, répondit Blaise. En tout cas, wow mec, bah... félicitations j'imagine... »

  Harry regardait ses meilleurs amis. Hermione s'autorisa alors enfin à courir dans ses bras.

  « Espèce de crétin! Abruti! Comment as-tu osé penser à... à ça ?! criait-elle, furieuse. Plus jamais ça, murmura-t-elle, plus jamais... »

  Ron s'avança lui aussi pour participer à l'étreinte. Il n'oublia pas de taper derrière la tête d'Harry, sa façon à lui d'exprimer à quel point il avait eu peur.

  « T'es vraiment qu'un idiot... »

  Puis ils s'écartèrent, et Hermione courut rattraper Ginny qui s'était enfuie de tristesse. Quant à Blaise, il proposa à Ron d'aller finalement dîner, tout en lui expliquant à quel point Draco lui parlait sans arrêt d'Harry.

  Seul restait le couple récemment formé. Harry regarda son prince, dubitatif :

  « Est-ce qu'on va vraiment...
  - Se marier? Oh ça oui, compte sur moi » lui répondit le blond.

  Puis il l'embrassa amoureusement avant de le prendre une seconde fois dans une étreinte réconfortante.

  Eh bah voilà écoutez, c'est terminé mdr c'est parti en couilles nan? j'ai commencé vers minuit et demi et là il est genre 2h30 du matin jpp je tenais à ma nuit moi 😭 enfin bref, j'espère sincèrement qu'il  vous aura plu, parce que perso j'ai adoré l'écrire. gros bisous les gars, jvous aime foooort, prenez soin de vous