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Matoine


P'tite infos !

C'est un Matoine sur le thème militaire.

(Merci générateur de thème au hasard !)

Bref ! Mathieu à toujours ces belles personnalités avec lui donc quand je les ferai interagir ça ressemblera à ça :

P.: Patron
M.P.: Maître Panda
G.: Geek
H.: Hippie

Assez simple mais je voulais l'expliquer pour être sûr !

(Infos de dernière minutes. Cet os fait un peu moins de 5000 mots et je l'ai pas corrigé. Si vous voulez signaler les faute, faîtes vous plaisir je l'arrangerais plus tard. Mais ne vous plaignez pas s'il vous plaît. Merci de votre compréhension. ;) )

Bref je vous souhaite une excellente lecture et c'est partie !

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

Pdv Antoine

"GARDE À VOUS !!!"

Putain... Pourquoi j'ai choisi de m'engager déjà ?

"À DROITE TOURNÉ !"

Ah oui je me souviens. Ma mère était tanné de me voir tourner en rond chez moi et à décider de me faire entrer dans l'armée.

"PAR LA GAUCHE PAS CADENCÉ MARCHE !"

Roh... Putain tuer moi. C'est chiant a mort et on se lève super tôt ! Y a que le dimanche où l'ont est tranquille.

"GAUCHE ! GAUCHE ! GAUCHE DROITE GAUCHE !"

De plus la bouffe est immonde...

"ALTE !!"

Je préfèrerais rentré chez moi.

"SOLDAT DANIEL ! Avancer devant !"

Et merde... Et lui c'est le pire de tous dans mon calvaires.

"Soldat Daniel, dois-je vous rappeler que quand l'on dit gauche dans un pas cadencé c'est le pied gauche qu'il faut avancer ? Ou êtes vous si attardé pour que je doivent vous le montrer pas à pas ?"

Et ils ricane tous... Tous des cons. Sauf Nyo. Lui il est sympa.

"Soldat Daniel, j'attends une réponse.

- Non Sergent. Je ferai plus attention Sergent.

- Parfait ! Maintenant que c'est rentré dans votre crâne de moineaux vous pouvez rentrer dans les rangs."

Je repars dans les rangs tout en maudissant son nom.

"SOLDATS ! PAR LA GAUCHE PAS CADENCÉ MARCHE ! GAUCHE GAUCHE GAUCHE DROITE..."

Le Sergent Sommet. Mathieu Sommet. Un connard d'emmerdeur de première.

En plus il est tout petit.

*Élipse*

Pdv Mathieu

"Pfff"

Journée de merde... Les cadets sont même pas capable de marcher correctement et en plus le Patron en à profité pour aller en engueuler un pendant que j'étais exténuer.

P. : Gamin il nous faisait chier à tous les deux. Autant que j'intervienne.

"Ouais mais il a rien demandé le pauvre..."

P. : T'as choisi d'entré dans l'armée et tu es Sergent gamin. Faut que tu ai de l'autorité. Et étant donné que tu en as pas je m'en suis chargé. Au moins il retiendra sa leçon cette fois.

M.P. : Je dois avouer qu'il a raison pour cette fois. Il faut que tu ai plus d'autorité Mathieu, sinon on nous prendra jamais au sérieux !

"Je fais ce que je peu..."

P. : Et bien fait plus d'efforts gamin ou laisse moi géré plus souvent.

"Tais toi..."

TOC TOC TOC

"Sergent Sommet ?"

Je me relève du lit sur lequel je m'étais effondré et je vais voir qui c'est. J'ouvre la porte et je demande.

"Oui c'est pour quoi... Lieutenant ?"

Rajoutais je après avoir vu son grade.

"Le commandant vous demande dans son bureau immédiatement.

- Merci lieutenant, le temps de prendre mon béret et j'y vais."

Il me fait un signe de tête et s'en va.

Je soupire. Je rentre dans ma chambre pour aller chercher mon bien tout en disant.

"Bon. On va voir le commandant donc pas de conneries. Aucun de vous ne se fait remarquer. On est d'accord ?"

P. : T'inquiète pas gamin. Je tiens moi aussi a notre grade. Ça drague mieux les filles si je leur dit que je suis militaire.

G. : P-promis Mathieu...

H. : Ouais gros t'inquiète pas.

M.P. : Promis ! Silencieux comme si nous n'étions même pas là.

"Si seulement c'était possible..."

J'enfile mon béret sous les protestations des autres face a mon dernier commentaire. Je les fait taire d'une menace de prendre mes pilules et je rejoins le bureau du commandant. En deux minutes j'y suis déjà et je toque pour avoir l'autorisation d'y entrer. Ça ne prend même pas une seconde que j'y suis autorisé. J'entre et je me met au garde à vous.

"Repos Sergent, vous pouvez vous asseoir."

Je le fait tout en prenant conscience de mon environnement.

Un grand bureau au centre de la pièce, avec deux fauteuils pour des invités. Je suis dans celui de droite tandis que le commander est dans son propre siège derrière le bureau. Sur le mur de droite une bibliothèque, à gauche des cadres et une grande fenêtre sur le mur du fond.

En somme, un beau bureau.

P. : Notre futur bureau gamin.

Putain je t'ai dit de te taire. Je vais te tuer...

"Bon, je vous ai demander de venir Sergent car j'ai reçu des nouvelles pour un futur envoie en mission pour vous."

J'arrête toute réflexion de tuer le Patron, surpris. Une affectation ? Pour moi ?

"Ce serait quel genre de mission mon Commandant ?

- Pour cette rencontre vous pouvez laisser tomber le Commandant. Et je ne peu que vous donnez des informations minime tant que je n'ai pas votre accord sans aucun doute que vous participerez. C'est assez confidentiel.

- Je- qu'est-ce que vous pouvez me dire ?

- La mission aura lieux dans deux semaines et vous aurez plusieurs rencontres avant pour préparer la mission. Il y a beaucoup de risque. C'est tout ce que je peux vous dire.

- Vous me laisser quelques minutes de réflexion ?

- Bien sûr"

Je m'installe plus confortablement sur mon siège et je réfléchis.

Si c'est une mission dangereuse c'est peut être pas une bonne idée... Je suis bon sur les camps d'entraînement pour entraîner les futurs soldats, mais sur le terrain ? Je suis pas sûr...

P. : Ça devrait pas être une discussion de groupe gamin ? Car si tu te décides à y aller, on y va tous.

G. : Je- je suis d'accord avec le patron... On devrait en discuter ensemble.. non ?

M.P. : Y ont raison Mathieu.

Ok ok. Bon... Qu'est-ce que vous en pensez vous ?

P. : Moi je suis pour. Depuis le début on s'entraîne que pour ça ! On a même des abdos maintenant ! On y va sans hésiter !!

G. : Je- je suis pas sur moi... C'est dangereux...

M.P. : Oui c'est dangereux mais on aura plusieurs rencontres pour se préparer comme il l'a dit donc je crois que l'on pourrait se lancer. Mais tout en restant sécuritaire. C'est pas le temps de mourir maintenant. De plus on c'est entraîner depuis. On saura géré.

H. : Ouais gros on y va !

Euh... Est-ce que tu sais au moins de quoi on parle ?

H. : Non mais ça à l'air cool gros.

Bon d'accord...

Je rouvre les yeux, que je n'avais pas conscience d'avoir fermé et je réponds.

"J'en suis. Quelle est la mission ?"

*Élipse*

Pdv Antoine

"Uno ! Je vais gagner."

Nous sommes dans nos dortoirs après une journée épuisante et je suis en train de gagner au Uno contre Nyo.

"Ça c'est ce que tu crois."

Il m'enchaine deux passe ton tour suivie d'un revers, d'un changement de couleur en jaune et me dit d'un ton doux pour me narguer.

"U-N-O"

Je regarde ma carte. Un trois bleu et je soupire de désespoir. J'étais sûr de gagner cette fois. Je pige une carte avec l'air d'un condamné à mort.

Son sourire carnassier reviens et il dépose au ralenti son 8 jaune.

"J'ai ! GAGNÉ !!"

Je rigole de sa réaction enfantine tandis que plusieurs chut nous parviennent.

Bon, c'est vrai qu'il est plus de 11 heure mais quand même. On est pas si bruyant !

...

Si ?

Tant pis.

Je réajuste la lampe de chevet de Nyo pour bien voir toute les cartes et je commence à les rassembler.

Un sergent passe devant notre dortoir et quand il nous voit encore debout nous fait le rappel.

"N'oubliez pas. Couvre feux dans 35 minutes."

Nous lui donnons un signe affirmatif et je donne les cartes à Nyo.

"Je te laisse ranger les carte dans le coffre, moi je dois aller me laver avant de ne plus pouvoir.

- Bonne idée, tu es en train de me faire fondre les poils de nez tellement tu pu.

- Putain mais ta gueule."

On rigole tout les deux le plus silencieusement possible tandis que je prend mes affaires de douche. Soudain Nyo me sort une réflexion.

"Tu trouves pas ça bizarre que l'on voit de moins en moins souvent le sergent Sommet ?

- Pas du tout ! J'en suis même heureux il me faisait chier.

- Bon j'avoue ces méthodes sont un peu... Méchante et brusque, mais c'est un bon Sergent."

Je soupire. C'est compliqué pour moi de l'accepter, mais il a pas complètement tord.

"Je sais pas... Il doit être sur un autre truc.

- Ouais tu as surement raison... "

Je le laisse à ces réflexions et je me dirige vers les douches.

J'ai beau ne pas m'en soucier, maintenant qu'il le dit, c'est vrai que c'est étrange. On ne le voit presque plus, il est souvent absent et il a d'énormes cernes. Je me demande...

STOP. Qu'est-ce que je fou ? Je m'en fiche de ce gars. Alors stop les réflexions.

Je soupire et je reprends ma marche vers les douches.

Arrivé devant l'entrée je m'arrête. Il y a quelqu'un. Et est-ce qu'il est vraiment en train de chanté ?

Je rentre dans les vestiaires des douches silencieusement et je tend l'oreille. J'arrive à entendre ce qu'il chante...

"♪♬  Je vais vous raconter la vérité sur Tonneins ♪♬
♪♬ Les éboueurs corrompus de cette ville de province ♪♬ "

Attend. QUOI ?? C'est quoi cette putain de chansons ?

Je me rapproche pour mieux entendre.

"♪♬ Qui est l'enculé qu'a renversé ma poubelle ? ♪♬"


Hein ?? J'essaie de mieux entendre tout en restant cacher mais je fais soudainement tombé ma bouteille de shampoing.

Merde. Je crois qu'il m'a entendu.

Putain il m'a entendu. Il a arrêté de chanté. Bien que faut se l'avouer, sa chanson était bizarre. Mais pas mauvaise.

Je commence à me déshabiller avec appréhension. De un, parce qu'il y a un autre mec et il sait que je l'ai interrompu. Et de deux, IL Y A UN AUTRES PUTAIN DE MEC ! On va se voir presque à poil !

Pas que je sois pudique ou quoi que ce soit. C'est juste qu'il y a une raison qui fait que j'y vais si tard a la douche. Je préfère avoir de l'intimité.

J'entend des pas se rapprocher quand je me rend compte que je suis tout nu. Je m'empresse d'enfiler une serviette autour de mon bassin. Quand je lève les yeux, je remarque direct quelqu'un d'autre. Le mystérieux chanteur. Fucking Mathieu Sommet.

On se regarde quelques secondes dans les yeux avant qu'il ne détourne le regard. Mon regard louche soudainement vers le reste de son corps sans que je m'en rende compte et putain... Je crois que j'ai une demi molle. Il est putain de sexy sous son uniforme !

Je détourne le regard, gêner.

Putain de merde. D'où je mate le Sergent que je déteste ??

On reste quelques minutes dans un silence malaisant durant lequel je fini de préparer mes trucs pour la douche quand soudain, à ma plus grande consternation, il brise le silence.

"Pour l'autre jour excuse moi. Je sais que j'ai été un peu trop brusque avec toi et j'aurais pas dû."

Je cligne des yeux, surpris. Je m'attendais à tout sauf ça.

Il s'apprête à partir quand je parle a mon tour.

"C'était quoi que tu chantais ?"

C'est à son tour d'être surpris. Il me fait un sourire surnois avant de juste me répondre.

"Youtube

- Attend. Je croyais qu'on avait pas le wifi sur le camp ?

- Qui sais."

Il me fait un clin d'œil  et s'en va en laissant un papier sur le banc. Je m'approche intrigué. Sur le papier il n'y à qu'un mot d'écris. Ou plutôt une suite de chiffres et de lettres.

"Oh putain de merde..."

Je crois que mon séjour va être bien mieux que je le pensais.

Pdv Mathieu

Putain ! Maintenant il va savoir que tu- non que je chante !! Merde....

P. : Si il ose raconter ça dans le camp je le fait trimmer plus dure que tout les autres demain.

Non mais peut être pas à ce point là quand même...

P. : Tu lui a même donner le code wifi. Qu'est-ce qui t'as pris gamin ?

Je- je sais pas ok ! J'ai voulu être sympa avec lui c'est tout. Maintenant fou moi la paix !

P. : Non putain ! Déjà que je me suis tue quand il nous à maté le cul tu veux que je me taise maintenant aussi ?

A-attend, quoi ???

Je deviens rouge tomate et j'accélère de plus en plus pour me rendre à ma chambre.

M.P. : Ouep. Pendant que toi tu faisais tout pour l'ignorer à cause que tu avais honte de moi et mes chansons, lui il en a profité en max pour nous maté le boule.

Je me sens rougir encore plus et je rentre en vitesse dans ma chambre. Je me jette tête la première dans l'oreiller du lit.

P. : Tu vas pas quand même faire ta pucelle ! En y réfléchissant bien... Si il ne dit rien j'en profiterai peut être pour lui donner une récompense~

Q-quoi ??? NON ! Tu ne touche pas aux cadets et au militaire ! On en a déjà parlé !

P. : Roh.. si j'ai même plus le droit de m'amuser.

Tu feras ça durant nos vacances avec tes 5 jours de possession de corps dans tes bordels. Mais pas ici putain. On a une réputation à tenir.

P. : On verra.

*Soupire*
Je m'installe plus confortablement dans mon lit pour m'endormir. Mais juste avant de sombrer dans le sommeil.

G. : Bonne nuit Mathieu

"Bonne nuit Geek... "

*Élipse*

"Bon ! D'ici 7 jours nous allons envahir la zones C pour une embuscade. Nous allons posté nos trois sniper à des endroits stratégiques précis ! Nous allons piégé ces talibans avant qu'il n'ai même l'occasion de vendre leur arme. Sommet, Dalida et Beretta ! Et veux vous voir vous entraîner tout les jours de la semaine avant la mission ! Je veux mes sniper en excellente forme. Est-ce que j'ai été assez clair ?

- OUI CHEF !"

Pdv Antoine

"Bon ! Étant donné que vous avez fait du bon travail aujourd'hui vous êtes libre pour le restant de l'après-midi. C'était du bon boulot. GROUPE ! ROMPEZ !"

Oh yes ! Enfin... Ça faisait longtemps que nous n'avions pas eu un après-midi de libre.

"Hey Antoine !

- Nyo ! Nous sommes enfin libre !"

Je fais toute une scène et il rigole. J'en suis presque à chanter Libéré délivré sauf qu'il gâche tout en disant la phrase suivante.

"Ça te dit qu'on aille au champ de tir ?

- Quoi ?! Et tout mon sketch de liberté ? Tu l'as déjà oublié ou quoi ?

- Non pas pour tirer, juste regarder ce que font les autres."

Il me fait un clin d'œil en même temps. Ok j'ai compris. En faite il veut juste se moquer des petits nouveaux qui sont arrivées cette semaine et se moquer d'eux.

On se fait un sourire qui veut tout dire.

On se dirige vers le champ de tir mais on est soudainement très déçu.

"Quoi ? Ils ont annulés les cours de tir pour les nouveaux ? Et jusqu'à Jeudi ??"

Gérald, le gars qui se charge des champs de tir, dit.

"Ouais je sais. Moi non plus j'en revenait pas. Mais ils les ont réservé pour les snipers. Y paraît qu'il y aura une mission importante Vendredi et qu'ils veulent qu'ils soient au meilleurs de leur forme. Donc ils s'entraîne depuis deux jours dans les champs.

- Merde...

- Mais si vous voulez vous pouvez toujours aller voir. Ils sont assez impressionnant à regarder."

Ça change un peu le programme mais on y va quand même. On enfile les lunettes de sécurité et on va se mettre à l'écart pour les observés. Avec les jumelles installer là juste pour ca, j'observe les cibles situé à plus de 200 mètre.

"Putain ! Ils sont doué."

Je passe les jumelles à Nyo et lui aussi est subjugué. Les personnes des stand 3 et 5 ont peut être raté un ou deux tirs, mais ne sont pas moins excellent. Et le premier n'en parlons même pas. C'est un sans faute. Je regarde dans la direction du stand 1 et je suis surpris de constater que c'est notre Sergent attitré, le Sergent Sommet. Et bien maintenant on en est sur et certain. Il s'entraîne pour une mission.

On reste là assez longtemps, au point que deux des trois tireurs sont parti et qu'il ne reste plus que Sommet.

Et c'est toujours un sans faute.

Un autre tir vient quand soudain on sursaute tout les deux face à un son qui n'est pas du tout un tir.

"Putain de bordel de merde ! Non mais le dernier tir en plus ! Merde !"

On le regarde, sans comprendre, ranger rageusement son arme. Il relève le regard vers nous et soudain sursaute.

"Putain... Vous m'avez faites peur. Qu'est-ce que vous faites là ?"

Moi étant le premier à me remettre de la soudaine réaction de notre Sergent, je lui réponds.

" On avait après-midi de libre donc on en a profité pour venir voir les essais de tir. Sauf que finalement c'est vous qu'on a regarder."

Vous ? Ça fait pas un peu bizarre dit comme ça ? C'est pas comme si je regardais spécialement lui non plus. Putain je déteste le vouvoiement, ça donne toujours pleins de problème de ce genre...

"Dite, qu'est-ce qui vous à fait réagir comme ça tout à l'heure ?"

On dirait que Nyo à dégelé.

"Ah ça ? J'ai raté mon dernier tir."

Je prend les jumelles pour observer et...

"Mais c'est à peine de un centimètre des autres !"

Il ne répond qu'en aussant les épaules. Putain il est vraiment doué. En plus d'être sex-

WHAT !! Mais ta gueule cervelle de merde !

"Tant que vous êtes là vous venez ? On a qu'à se diriger au dîner ensemble."

Ok autant refuser ce sera mieux pour tout le-

"Ok pourquoi pas !"

Nyo je te déteste.

Pdv Mathieu

On se dirige vers la cantine tous ensemble, sans oublier de passer par le coffre d'arme. J'ai pas envie de me trimballer ça toute le reste de la soirée.

On continue notre chemin assez silencieusement quand soudain le cadet Nicolas Kiernan (Alias Nyo) me posa une question.

"C'est pour ça que vous ne nous entraîner plus ? Vous partez en mission ?

- Vous en avez entendu parler c'est ça ? Et bien oui nous sommes sur une mission mais je peux pas en parler. C'était pas censé se savoir de base mais bon. Il était assez évident que les rumeurs viendraient.

- C'est une mission secrète ?

- Disons simplement qu'on veut être sûr d'avoir l'effet de surprise assuré."

Nous arrivons enfin a la cantine, et durant notre attente dans la file, Nyo me pose une nouvelle question.

"Dis, est-ce qu'on peut vous poser des questions plus personnel ?"

Euh... Je suis pas sûr si je devrais...

P. : Allez gamin, ça va être marrant~

"Oui vous pouvez"

On prend tout les trois un plateau et Nyo commence avec ces questions.

"Ça fait depuis combien de temps que vous êtes dans l'armée ?

- Ça va faire sept années dans un mois.

- D'accord ! Ça veut dire que vous avez... Vous avez quel âge ?

- J'ai 27 ans.

- Attend quoi ?!"

On se retourne tout les deux vers Antoine qui a l'air surpris.

"Euh oui, pourquoi cette réaction ?

- T'es plus vieux que moi de un ans ? Je l'aurais jamais cru. Je veux pas être insultant, mais vous avez l'air pas mal jeune."

Sans savoir pourquoi je me sens rougir très légèrement. Je me retourne vers l'avant pour continuer de me servir et les deux autres font de même.

On se dirige tout les trois vers une table ensemble et ont commence à mangé.

Les deux autres ont pris la pâtée qui est censé servir de viande tandis que moi je me suis servi des pâtes.

C'est Antoine qui brise le silence avec une phrase pleine de sens.

"Beurk. Je pourrais jamais m'habituer à la bouffe horrible. Comment tu fais toi depuis sept ans ?"

Je ne fais pas gaffe au tutoiement et je répond simplement.

"On finit par s'y habituer.

- C'est pour ça que tu as pris les pâtes ? Le seul truc mangeable ici."

Je détourne le regard en faisant semblant d'être gêner ce qui les faits rire.

On continue de discuter comme ça durant tout le repas et c'est vraiment agréable. Et surtout ça faisait un bail que j'avais pas autant ri.

*Élipse*

Pdv externes

Et la semaine continue comme ça. Le duo Nyo et Antoine avance dans leur entraînement et les tâches de leur journée. Dès qu'ils ont du temps libre, ils en profitent pour rejoindre Mathieu, le regardé s'entraîner et passer leur dîner ensemble et même une fois leur soirée.

Du côté de Mathieu, le stress est présent face à la mission qui approche au fur et à mesure. Il sait que c'est important et qu'il ne doit rien gâcher. Mais en même temps, il a de plus en plus de réactions étrange devant Antoine et quand il pense à lui. Il ne comprend pas, contrairement à nous qui lisons cette histoire. ( Ou aka moi qui l'écris ;) )

Et du côté d'Antoine, il passe d'excellents moment avec Mathieu et ressent lui aussi les émotions bizarre. Mais contrairement à Mathieu, lui il a compris, il est simplement dans le dénis. Même si bon, il ne s'empêche quand même pas de maté Mathieu dans les douches de temps en temps.

Et pour Nyo me direz vous ?
Il a tout compris. Il attend juste que ces deux couillons s'avoue ce qu'ils ressentent.

Et finalement, Vendredi arrive enfin.

Pdv Antoine

" Tu crois que tout va bien aller ?

- Mais oui Antoine, ne t'inquiète pas.

- Mais et si-

- Pas de ''Et si''. Mathieu nous a expliqué qu'ils partaient ce matin vers l'endroit dit "inconnu" qu'ils s'installerais pour effectuer la mission à l'aurore et qu'ils reviendrai pour demain. Donc je sais que tu t'inquiète, mais après cinq explications je crois que c'est suffisant. Donc s'il te plaît, je t'en pris, tait toi."

Bon d'accord. J'ai peut être un peu exagéré. Mais je m'inquiète pour lui ! C'est mon "ami" maintenant. Je veux pas le perdre.

*Élipse*

Pdv Mathieu

"Sierra, Mike. Rapport de situation.

- November, India. Rien à signaler."

Je suis posé sur la dune la plus éloignée. À prêt de 400 mètre de distance de l'endroit où serra la cible. Mais étant donné mon niveau en tir, ça ne change rien.

Je porte un uniforme de camouflage spécialisée pour les missions dans les déserts. Je suis presque invisible.

M.P. : Moi je dis toujours qu'on serait plus invisible si on se cachait un peut plus dans le sable, mais non. Personne ne m'écoute ici !

P. : T'inquiète pas la peluche. De toute façon ils n'arriveront jamais jusqu'à nous.

C'est quand même étrange... Ils ne sont toujours pas là et le soleil est presque entièrement coucher. D'après moi il y a quelques chose qui cloche.

G. : Mathieu ! 200 mètres à droite de l'endroit supposer de la cible !

J'arrange direct l'angle vers la position où il m'a indiqué.

Merde.... I-ils sont en train de nous prendre en embuscade lors de notre embuscade pour les prendres... ?

M.P. : Vite ! La radio ! Averti les !

"Ici Sierra Mike ! Ils sont en train de vous encerclé !"

Seul le grincement de la radio me répond...

P. : Merde ! Ces connards doivent avoir un brouilleur d'onde. Faut aller les avertir.

G. : Mathieu ! La fusée de détresse ! Utilise la pour les avertir. Si on y va à pied on aura jamais le temps.

"Putain t'as raison Geek ! Faut que je t'écoute plus souvent."

Je sors en vitesse la fusée de détresse. Je tire un coup en l'air pour les avertir, et un autre vers la direction de ceux qui les entoure.

J'espère que j'ai réussi... Je commence à entendre des coups de feux mais je ne sais pas de quel côté ça viens.

H. : Faut bouger gros

Ouais pas bête. Je ramasse en vitesse mon équipement, sans ranger mes armes. Go on va les rejoindre.

M.P. : À GAUCHE !!!

J'ai a peine le temps de me retourner que je sens un coup sur ma tête.

J'ai la tête qui tourne...

Au moment où je sens que je vais partir, j'entends le patron dire.

P. : À mon tour de riposter...

Pdv Patron

Oh yes.
Enfin à moi le contrôle.
Ce mec va regretté d'être né...

Je me relève d'un bon.

J'enlève un peu de sable de sur notre tenue. Le suicidaire en profite pour me foncé dessus. Je l'évite et d'un même mouvement je le fait trébucher au sol.

J'en profite qu'il soit temporairement immobile pour sortir mes lunettes de soleil et enfin être complet. La cigarette attendra. Là, j'ai ce gamin à tuer.

"يموت؛"

"Je comprends rien à ton charabia, mais tu va mourir~"

(Nda. Sorry j'ai fait un cliché. J'ai rien contre les Arabes, sauf que c'est le cliché par excellence pour ce genre de truc. Sorry. (Ps. Ça veut dire "Meurt !"))

Et dans un scène vraiment badass tu peu m'imaginer moi, the sex symbol, contre, le méchant de seconde zone. En fond sonore des tir de fusil au loin. Sauté l'un sur l'autre. Chacun armé d'un couteau et d'arme à feux. Pour une bataille épique. Que je remporte bien évidemment.

Je suis le Patron rien ne peu venir à bout de moi.

*Élipse*

Pdv Antoine

"Nyo ! Ils sont enfin revenu !"

J'accourt vers l'entrée d'où arrive les rescapés de la mission. Depuis trois jours qu'ils sont partis.

Nous avons appris hier qu'il y avait eu des contretemps. Mais nous avons tous compris ce qu'ils voulaient dire par là.

Il y aurait des morts. Plus qu'à espérer que Mathieu irait bien.

Je m'approche d'eux et je me rend compte que seulement trois des dix personnes parmis la troupe sont là. Mathieu n'en fait pas parti.

Mon cœur lâche suite à cet constatation. C'est pas possible...

"RÉUNIONS DANS LA COURS IMMÉDIATEMENT ! REJOIGNEZ NOUS DEVANT L'ESTRADE ET VOUS AUREZ DES EXPLICATIONS !"

Nyo m'entraîne à sa suite car je suis comme paralysé.

Nous arrivons bien vite devant l'estrade. Dès que le silence est obtenu, ils commencent.

"Déjà, pour vous rassurer je peut vous annoncer que le lieutenant Nemours, le Sergent Beretta et le Sergent Sommet sont sain et sauf."

OH PUTAIN ! C'est comme si j'étais en train de revivre. J'ai eu la peur de ma vie !

"Par contre j'ai bien peur de devoir vous annoncer que le Sergent Sommet ne reviendra pas au camps. Je ne donnerai pas plus de détails, mais c'est pour problèmes médicaux."

Attend quoi ???

2 ANS PLUS TARD

Pdv Mathieu

"Hum... Qu'est-ce qu'on se prend pour dîner ?"

M.P. : Du Bambou ! Ça fait des lustres qu'on en a pas manger !

"Oui mais la dernière fois on est tombé malade, car seul toi peut en manger. Si tu veux on se rajoute des légumes au menu mais sans plus."

M.P. : Mais-

P. : Pourquoi pas un bon morceau de viande ? Je vois cette belle poupée droit devant je pourrais la dévorée toute crue~

"Aucun commentaire. Toi Geek, des propositions ?"

G. : Une pizza ?

"Ouais c'est encore mieux comme ça. Bonne idée."

On part se chercher un pizza pré faite ensuite on passe dans la rangé alcool.

"Bière ?"

Tous (sauf geek): Ouais

On s'en prend un pack quand soudain une voix nous interpelle.

"T'as l'air plutôt bien pour quelqu'un qui est parti pour problèmes médicaux."

Je me retourne d'un bond et je tombe sur Antoine. Putain... Il est toujours pareil avec ces lunettes et ces cheveux en pagaille, mais avec quelques muscles en plus.

Quand je fini de le maté, ce qu'il à profité de faire lui aussi, je prend compte de ce qu'il à dit.

"C'est pas vraiment à cause de problème physique. Après la mission j'avais une balle dans l'épaule et quelques égratignures. Presque rien en sommes.

- Pourquoi t-on t'il sortie alors ?

- Pour un secret que je garde depuis toujours. Et que j'ai pas voulu soigner."

On reste là, à se fixer sans en dire plus. Il attend une réponse c'est certain. Mais je ne pense pas que je vais lui donner tout de suite.

Déjà nous sommes dans l'allée d'un supermarché et ensuite j'ai une autre idée.

P. : Pour une fois gamin je te l'accorde c'est pas un mauvais morceaux que t'as dans le viseur. J'aurais plus pris la blondasse mais la brosse à chiotte est tout aussi bien~

Je prend pas la peine de répondre et je propose juste.

"Ça te dirait d'en parler autour d'une bière ?"

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

Rebonjour !

Vous avez apprécié votre lecture ?
J'espère bien. ^^

Je trouve la fin un peu raté mais je ne la voyais pas autrement... ^^'

Vous pouvez laisser vos commentaires positifs ou négatif. Tant qu'ils sont constructif ça me va !

Bref, à plus !

Teii

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