Meg (partie 1)
En cette fin de journée douce et chaude de printemps, Meg rentre chez elle.
La moiteur de l'air fait coller ses habits à son corps, sa robe blanche la serre et l'on peut deviner au travers du tissu les sous-vêtements très affriolants qu'elle porte.
Elle se dépêche de retourner à son appartement, lorsqu'elle arrive sur le palier, elle entend son amour jurer auprès de l'arbitre, elle se souvient que c'est soirée foot et son salon est rempli de potes de son homme.
Elle rentre, salue son amour et les autres gars qui ne voient rien et elle se précipite dans sa chambre.
Elle ouvre la fenêtre et admire les toits de la ville. Le fond de l'air est toujours chaud, mais de moins en moins, elle allume une petite lumière tamisée et laisse glisser ses vêtements au sol, se dirige vers la salle de bain attenante à sa chambre.
Elle fait couler l'eau de la douche et glisse sous celle-ci, l'eau la fait frissonner, elle continue de regarder en direction des toits et rêve, fantasmes à de doux plaisirs, mais seuls les cris du salon lui parvient et lui gâche son moment de détente, elle arrête l'eau, se sèche et se dirige vers son armoire.
Toute nue, elle se met sur la pointe des pieds et attrape un carton posé au sommet du meuble, carton qu'elle n'a plus ouvert depuis son aménagement ici, il renferme son trésor à plaisir…
Elle pose délicatement sont bien précieux sur le lit, l'ouvre et sort un sublime harnais fait de fines lanières de cuir rouge. Elle le porte à son visage et respire son odeur qui lui provoque une vague de chaleur dans son bas ventre.
Meg le met et une fois installé sur elle, s'admire dans son grand miroir, ses doigts parcourent les lignes de sa tenue, se caresse, les frissons lui parcourent son corps, mais aux bruits effroyables du salon la rappellent à la réalité des hommes déchaînés dans la pièce à côté.
Elle enfile une longue chemise, attrape un petit sac de velours vert qui est dans le carton et sort par la fenêtre. Elle passe de balcon en balcon pour monter sur les plus hauts toits.
Légèrement essoufflée, elle admire la ville et écoute les bruits qui viennent d'en bas, s'allongeant sur la terrasse sur laquelle il fait encore chaud de cette belle journée. Dans l'ombre, un regard suit la scène.
Meg ouvre sa chemise, la lueur de la pleine lune éclaire sa peau. Elle passe ses mains sur son corps, se caresse la nuque, le cou, les clavicules et viennent sur ses seins.
Elle attrape ces tétons qu'elle pince doucement et de plus en plus fort jusqu'à râler de plaisir. Meg les relâche, continue de descendre avec ses mains sur son ventre. Elle effleure le mont Vénus, ces doigts font le tour des grandes lèvres gonflées de désir.
Ces mains passent à l'intérieur de ces cuisses, elle frissonne, continue de descendre jusqu'à ces chevilles. Elle les attrape, bascule en arrière, les talons contre ces fesses.
Les jambes écartées, sa fleur s'offre à la lune, elle caresse les grandes lèvres, un doigt chemine au milieu, vient jusqu'à son bourgeon d'amour.
Meg le touche, appuie dessus, le pince et donne des tapes avec le plat de la main. Ces râles deviennent des murmures de plaisir.
Avec sa main libre, elle ouvre le sachet de velours et en sort un god en verre qu'elle amène à sa bouche. Meg le lèche, le suce, le prend en pleine bouche et elle vient le poser à l'entrée de son intimité.
Dans un mouvement lent de va-et-vient, elle le fait rentrer toujours plus profondément, centimètres par centimètre, murmure de plaisir jusqu'à des cris étouffés de plaisir.
Meg accélère le rythme pour arriver à une première jouissance. Elle ressort le god, le met dans sa bouche pour goûter son plaisir d'un arôme sucré légèrement au goût de pêche.
La respiration toujours rapide de sa première jouissance, les yeux fermés, elle sent deux fines mains venir se poser sur ces hanches. La chaleur d'une langue envahit son sexe, des frissons parcours tout son corps.
Meg s'offre, ouvre encore plus ses jambes, son sexe rempli de cyprine coule dans la bouche qui s'est plaquée contre elle.
Cette langue experte qui fait des va-et-vient en elle, les mouvements sur son clitoris et autour la font se cabrer.
Son extase est totale lorsque deux doigts viennent en elle. Entre le jeu de langue et les doigts, Meg jouit une deuxième fois.
Son corps tremblant est parcouru par cette bouche inconnue qui remonte sur son ventre, passe entre les seins, vient sur le téton d'un des deux, le prend entre les lèvres, le suce, l'aspire et le mordille.
Ces lèvres relâchent le bouton de chair, cette bouche continue son chemin jusqu'aux lèvres de Meg. Elles sont douces et fines, Meg ouvre ses yeux pour voir cette jolie jeune femme rousse.
Le baiser est intense, profond et chaleureux, les doigts de la jolie rousse reprennent leurs jeux entre les jambes de Meg. Les respirations sont fortes et elles doivent s'écarter pour reprendre leurs souffles.
Meg se cambre sous les assauts, les caresses et les va-et-vient des doigts dans son sexe et sur son clitoris. Elle ne peut retenir un orgasme et ces cris raisonnent sur les toits.
Les minutes passent, Meg redescend de son orgasme, elle ouvre les yeux pour constater qu'elle est toute seule sur ce toit. Elle se demande si elle a rêvé, elle réajuste sa chemise et retourne dans son appartement.
Meg se déshabille, se couche nue et s'endort avec le bruit des garçons qui fêtent la victoire de leur équipe.
Le lendemain dans l'après-midi, Meg s'arrête comme à son habitude dans un petit café deux rues à côté de chez elle. C'est sur la terrasse qu'elle avait pris du plaisir la veille au soir.
Le nez plongé dans son livre, Meg ne fait pas attention à la jolie rousse qui vient s'asseoir en face d'elle. Elle ne lève son regard que lorsqu'une pochette en velours vert est posée sur son livre.
Meg rougit instantanément devant l'objet et le joli sourire de la jeune femme.
"Hier soir, lorsque je suis revenue, vous avez oublié ceux-ci."
Lui dit la jeune femme.
Meg murmure un merci et invite la jeune femme à prendre place auprès d'elle.
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