Dabi x OC (Mha)
Bon je vous autorise à me frapper...
Oui je suis en retard T-T
Mon excuse ? Le lycée héhé ! Trêve de plaisanterie jeunes gens, me voici avec un OS ! Cet OS ne m'a pas été demandé par n'importe qui, mais par l'adorable, sublime et fantastique Co_Trflgr ❤️ ! Tu es une superbe découverte et je te fais de gros bisous madame Law !
/!\ À la fin j'aurai besoin de vous pour un sondage please XD
Bonne lecture !
***
Un violent tremblement secoua la terre, au même moment où un jeune homme aux cheveux de jais se redressait, un sourire satisfait aux lèvres. Ses camarades grognèrent tandis que le professeur annonçait la fin du cours. Une quinzaine de minutes plus tard, ce même jeune homme fut rejoint par ses camarades dans les vestiaires.
"Ton alter a beau posséder des inconvénients, tu t'en sers beaucoup trop bien ! Grogna un de ses amis, ce qui fit rire le beau japonais.
- J'ai presque envie de m'excuser, mais que voulez-vous, la perfection ne peut s'excuser d'exister ! Ricana ce dernier, attrapant son sac pour sortir des vestiaires."
Distraitement, il sortit ses écouteurs, repensant à son attaque ultime de tout à l'heure. Cette attaque se nomme Stoneteller, elle permet de changer le sol en pierre, ainsi que les personnes présentes dessus. Il ne pouvait l'utiliser qu'une fois par jour, mais elle était suffisamment puissante pour que cela soit efficace. Il avait un eu certain mal à maitriser son alter Stone Touch, qui consistait à transformer en pierre tout ce qu'il touchait de son index et son majeur, mais à force cela lui avait permit de créer des attaques très puissantes et peu dangereuses. Enfin, il se donnait tout le mérite de la maitrise, mais c'est sa mère adorée qui lui avait soufflé l'idée.
Un sourire se peint sur son beau visage à cette pensée. Il adorait sa mère plus que tout, surtout vu la période et ce qu'elle endurait. Ayana Tishiya était une femme d'une grande beauté, des cheveux blond ondulés accordés à de profonds yeux vert, qui était marié. Le problème était la personne avec qui elle l'était et qui amenait tant de troubles au foyer familial. Touya Todoroki, plus connu sous le nom de Dabi, était le mari en question de la sublime Ayana. Quand l'image de son père vint à l'esprit du jeune homme, un soupir attristé le quitta.
La famille Tishiya était assez compliqué. Dabi était très peu à la maison, fuyant le foyer par culpabilité. Il œuvrait à présent comme héros, mais sa réputation d'ancien vilain compliquait beaucoup les choses. Ses enfants subissaient souvent les moqueries ou regards prudents en raison de ce passé, même en sachant que l'homme a enduré quelques années de prison après son procès. Il se sentait bien trop coupable pour affronter sa famille, qu'il aimait pourtant plus que tout au monde, donc l'homme âgé de la trentaine travaillait sans relâche, allant même jusqu'à dormir au travail. La situation agaçait Ayana, attristait Irina, et inquiétait Kōsuke.
Le jeune homme arriva enfin chez lui après avoir passé le trajet à pieds qui le séparait de chez lui à Yuei. Une quinzaine de minutes étaient peu pour un garçon de sa corpulence, du haut de ses quinze ans, Kōsuke était assez bien bâtit et possédait un visage orné des iris vertes profondes, héritage de sa mère. En bref, ce jeune japonais plaisait beaucoup à la gente féminine, et avait reçu pas mal de demandes malgré que le lycée ait commencé il y a peu.
"J'suis rentré ! Déclara-t-il fortement en entrant."
À peine qu'il avait annoncé son arrivée que des bruits de courses se firent entendre à l'étage. Bien vite, une petite silhouette aux cheveux blond débarqua dans l'entrée, sautant directement dans les bras de son frère.
"Nii-chan ! Tu m'as manqué ! S'exclama joyeusement la fillette, sous le regard attendri de son grand frère.
- Toi aussi princesse, mais dis moi, je rêve ou tu es encore en pyjama ? Tu n'as pas été à l'école ? Demanda curieusement Kōsuke, posant son sac de cours au sol en calant sa petite soeur contre lui.
- Maman a dit que je pouvais rester à la maison..., Marmonna la petite blonde, baissant les yeux d'un air gêné."
Son frère soupira, comprenant que sa mère n'avait encore une pas pu résister aux pleurs de son adorable cadette. En même temps, il la comprenait, la fillette se disputait très, trop, souvent avec ses camarades à propos de son père. Et depuis que son alter, similaire à leur père, était apparu, elle pouvait faire ravages une fois énervée.
Frère et sœur arrivèrent dans la cuisine où Ayana préparait le goûter, mettant sur la table le pain et les tartines pour ses enfants.
"Tu es rentré chéri, ça s'est bien passé en cours héroïque aujourd'hui ? Lui demanda la femme blonde, un grand sourire aux lèvres.
- Ouais, j'ai expédié l'exercice grâce à Stoneteller, elle déchire vraiment cette attaque ! S'exclama le jeune homme, un sourire fier aux lèvres. Ah au faite Maman, Irina n'a pas été à l'école aujourd'hui ?
- Je sais qu'on devait la faire essayer et résister quand elle fait un caprice, mais je n'arrive pas... regarde moi cette bouille de chaton en même temps ! Qui ne voudrait pas la croquer ?! S'écria la japonaise, prenant sa fille des bras de son frère pour l'asseoir sur sa chaise, un air attendri au visage."
Le noiraud leva les yeux au ciel, amusé, puis s'assit face à sa sœur pour goûter. La petite famille se mit à manger en discutant de leurs journées, ponctués par les rires et interruptions adorable de la petite Irina. Ils se séparèrent après, l'ainé partant faire ses devoirs, et la petite dans sa chambre pour que "le vilain-héros sauve la zentille dame blonde". Elle avait un peu de mal avec les "g", ce qui n'arrêtait pas d'attendrir sa mère qui n'arrivait pas à y résister.
Cette dernière partait d'ailleurs aux fourneaux, se mettant une petite musique d'ambiance pour se motiver. Tout en se déhanchant sur un rythme rapide, la jolie mère découpa les légumes. Son esprit s'égara bien vite sur son mari, au boulot, travaillant depuis trois jours déjà sans être revenu. Elle comprenait bien sa culpabilité, mais avait-il vraiment besoin de se démener ainsi pour un rôle qu'il ne souhaitait même pas porter à l'époque ? À cette pensée, un soupir lui échappa et des souvenirs lui revinrent, notamment ceux de leur première rencontre.
***
Un océan de flammes glacé se rependait à mes pieds, et pourtant j'étais vivante. Vivante, au milieu de personnes qui ne l'étaient plus. Mon regard vert émeraude se fixait dans celui de l'homme face à moi, un homme aux iris semblables à ses flammes.
"Et que vas-tu faire maintenant que tu les as vu crever, hein ? Pleurer ? P'têtre que si tu me laisses te baiser, tu pourras t'enfuir. Ricana le vilain, les bras croisés sur son torse, appuyé contre le mur derrière lui.
- Je t'ai pas demandé à ce que tu me laisses partir, mais j'avoue que si je pouvais t'en coller une, je le ferais. Répliquais-je, levant les yeux au ciel face à son rire gras.
- Pardon ? S'étonna-t-il, se redressant avec surprise, je compris donc que ma réaction était loin de celle auxquelles il était habitué.
- Bah quoi ? Tu ne me fais pas ton speech de vilain torturé ? Lui demandais-je, amusée par son manque soudain de répartie."
Le susnommé "Crématorium" me transcenda de son regard bleu saphir quelques instants, puis un sourire en coin se peint sur ses lèvres.
"J'pensais pas que les sans-alter avait hérité d'un truc que certains héros n'ont pas. Commença le jeune homme, s'avançant vers moi.
- De quoi tu parles ?
- De couilles. Dit-il simplement, m'arrachant un rire spontané."
Le vilain profita de ma soudaine hilarité pour m'embarquer sur son épaule droite. Je ne bougeai même pas une fois dessus, après tout je savais très bien qu'il ne me ferait rien. S'il avait voulu me tuer, il l'aurait fait dans cette ruelle où je l'avais surpris cramer les corps de ces hommes d'affaires. Je ne sais pas ce qui l'a empeché de le faire tout de suite, mais ce que je sais, c'est que cette rencontre est loin d'être normale, mais surtout qu'elle ne sera pas insignifiante.
***
Déjà à l'époque Dabi se montrait indomptable, ne faisant seulement que ce qui lui plaisait. C'était cela qui avait attiré en premier la blonde, elle qui contrôlait sa vie de A à Z même sans posséder d'alter, elle adorait le fait que lui, jamais elle ne pourrait le contrôler. Cependant, il y avait des instants où elle détestait l'idée de ne pas pouvoir l'amener à faire certaines choses, comme en cet instant précis où malgré ses tentatives de lui en parler, il refusait de se relâcher au boulot. Si ses patrons étaient satisfaits, ce n'était pas le cas de la mère de famille. Cela la démangeait de faire un article dessus.
Le bruit de la porte d'entrée qui s'ouvre la sortit de ses pensées. Elle se reprit et continua à couper les légumes en haussant la voix pour demande à son fils où est-ce qu'il allait.
"Parce que le gamin a le droit de sortir quand il veut maintenant ? T'as de la fièvre bébé ? C'est pas la mère poule que t'es qui laisse faire ça normalement. Déclara soudainement une voix grave et trainante dans son dos, interpellant la blonde qui se retourna d'un coup.
- Dabi ! S'exclama-t-elle, un grand sourire aux lèvres en se ruant dans la direction de son mari."
Sans même s'en rendre compte, et par habitude surtout, la femme l'avait appelé par son nom de vilain. Bien que cela amusa quelque peu l'ancien vilain, cela lui rappela également la raison de son travail acharné. Mais il oublia bien vite ses remords quand sa magnifique épouse se dressa sur la pointe des pieds, l'attrapant par le col pour l'attirer à elle et l'embrasser. Un petit rire grave échappa au héro qui enroula ses bras musclés autour de sa taille, ne perdant pas de temps pour l'embrasser passionnément en titillant sa langue de la sienne.
Leur étreinte enflammé fut interrompu par un bruit de dégoût bruyant en provenance de leur fille. Ayana ria de la bouille boudeuse de sa fille quand elle se sépara de son cher et tendre, laissant leur petit monstre foncer vers son père. Le noiraud se mit accroupi pour accueillir sa fille entre ses bras, la soulevant en l'air avec un air neutre. Sa femme savait qu'il retenait une de ses célèbres railleries, et si ce n'était pas leur enfant entre ses bras, elle l'aurait encouragé à la dire pour rire.
"Papa ? S'étonna Kōsuke en entrant dans la cuisine, souriant à son tour avec éclat.
- Qui d'autre veux-tu que ce soit, morveux ? Répliqua Dabi, levant un sourcil en l'air, ce qui sembla amuser son fils possédant le même humour tordu que son père.
- L'amant de Maman ? Rétorqua à son tour l'ainé, tirant un petit pouffement de la part de sa mère.
- Tu vas voir, sale gosse. Déclara le nouveau héro, posant sa fille au sol pour se chamailler avec son fils.
- Les zarçons sont pas trop calme, hein Maman ? Pouffa Irina, levant la tête vers la blonde qui regardait son mari et son enfant chahuter avec tendresse.
- Non, ils ne le sont pas chérie. Répondit-elle, se détournant de cette scène pour retourner aux fourneaux."
La famille, à présent au complet, mangea le repas dans les taquineries et petites disputes du père et du fils, l'un clamant à quel point les pierres étaient puissante, et l'autre que c'était les flammes. Le débat prit fin quand Irina vint ajouter son grain de sel, clamant que les flammes faisaient fondre la pierre et qu'en plus : "Elles sont troooop belles !".
Après le repas, les enfants furent mit au lit, dans leurs chambres à l'étage, tandis que le couple alla dans leur chambre en bas. Une fois seuls, Ayana sentit très bien son désir pour l'homme qui avait prit son cœur il y a de ça longtemps déjà, mais elle devait lui parler. Et il le comprit très bien, s'installant sur le lit face à sa femme.
"Touya, j'aimerais que tu sois un peu plus à la maison... Au moins pour les enfants, je sais que tu t'en veux pour le fait que notre famille suporte ton passé de vilain, mais prends toi en main et arrête de penser égoïstement. Déclara la jolie blonde, d'une voix douce qui contrastait avec ses paroles franches."
Dabi esquissa un sourire à l'entente des mots de son épouse. Elle avait toujours eu du mal avec le tact et la délicatesse, elle avait donc bien choisi son homme. Il était bien loin de la tendresse dans ses mots, trouvant cela inutile. S'il voulait être tendre, il le ferait avec des gestes. Cependant, son manque de tact avait beau l'amuser, il tourna les paroles de la mère de ses enfants face à lui, comprenant que c'était un reproche.
"Bébé, le prends pas mal, mais j'ai beaucoup de travail et le métier d'héros n'est pas celui de journaliste. Rétorqua le noiraud de sa voix grave, décidant de clore cette conversation en s'allongeant."
Ayana le regarda avec un brin de déception, mais elle se doutait qu'il réagirait ainsi. Cet idiot été capable de mettre ses sentiments de côtés pour suivre ce que son esprit lui disait, et ce peu importe que cela lui fasse mal. Leur nuit fut donc bien loin de celle qu'attendait la blonde, attristée de le voir aussi hermétique à ce sujet.
Le lendemain arriva bien trop vite au goût de la jolie blonde, se réveillant dans un lit froid de la présence de son mari, comme elle s'en doutait. Il était pire que têtu parfois. Elle se leva avec regret, peu motivée pour la suite de la journée.
Le moral à zéro, la seule chose qui conforta la femme en ce début de journée, fut le rire et sourire de ses enfants. Elle déclara après avoir effectué la routine matinale, qu'il était temps de partir. Le jeudi était toujours le jour où elle amenait les deux à l'école, et comme son bureau était non loin de Yuei, c'était parfait pour amener son fils qui commençait à la même heure que sa mère et sa sœur.
Sur la route pour l'école d'Irina, la japonaise remarqua une certaine tension, comme si quelque chose allait arriver. Mais elle préféra oublier cette sensation, ça ne servait à rien d'inquiéter ses enfants pour rien. En tournant à une intersection, elle pila net en remarquant l'immense cercle de piques noir qui barraient la route. Il suffisait de voir le bout et la taille pour comprendre que c'était dangereux et qu'un vilain semblait être dans les parages. Avec un calme hors du commun, Ayana se tourna vers ses enfants.
"Kōsuke, prends ta sœur, on va sortir de la voiture et faire demi-tour. Des héros sont sûrement entrain de s'occuper de ce vilain monsieur, donc on va juste partir pour les laisser faire leur métier. Ordonna gentiment la blonde, prenant ses clés de voiture pour sortir."
Face au calme de leur mère, les enfants ne purent qu'hocher la tête. Ils exécutèrent les ordres que la journaliste leur avait posé, et tous trois furent dehors en un rien de temps. C'est presque calmement qu'ils commencèrent à se diriger vers l'autre côté de la rue, mais les choses ne sont jamais simples.
Le sol vibra furieusement, au même moment où tout une rangée de piques noir jaillirent du sol. Ayana se retourna brusquement en direction du vilain, se plaçant sans même réfléchir devant ses enfants.
"Eh bien, ne serait-ce pas les rejetons et la pute de Crématorium ? Railla un homme à la peau violette et aux yeux noir, un sourire mauvais déformant son visage.
- Pouvez-vous surveiller votre langage face à mes enfants ? Irina n'a que cinq ans. Ironisa la jolie blonde, surprenant le vilain face à eux.
- Vous êtes face à la mort, et tu me parles de langage ? Mais t'es complètement conne ! S'insurgea l'homme, faisant lever les yeux au ciel à la femme.
- Maman, laisse moi m'en occuper, je te promets que...
- Tu ne bouges pas Kōsuke, laisse le vilain monsieur faire son speech d'homme tourmenté par la vie. Donc vous, c'est quoi le problème avec mon mari ? Le coupa la journaliste, se tournant vers le vilain à la fin de sa phrase.
- Je... Ton mec m'a foutu en taule, c'est lui qui a balancé mon nom aux flics ! S'exclama l'homme à la peau violette, essayant de se reprendre face à la mère bizarre.
- Ah, coup dur. Je m'attendais à mieux. Soupira la blonde, se tournant pour partir."
Son comportement et sa phrase agaça le vilain qui tapa du pied, créant un prison de pique autour de la petite famille. Irina cria et Kōsuke retint son souffle. Malgré son calme apparent ainsi que ses répliques ironiques, Ayana était paniquée et cherchait coûte que coûte une sortie à cette situation. Il était hors de question que ses enfants soient mis en danger, elle devait les sortir de là, ou plutôt elle allait les sortir de là.
Mais sa détermination à trouver une échappatoire fut interrompu par d'autres piques se dressant autour d'eux, ainsi que d'autres se créant à la chaine. C'était clairement une menace, et si elle ne faisait rien, ils se feraient embrocher.
"Kōsuke, prends ta sœur et...
- Je m'en charge Maman ! La coupa le noiraud, posant son index et son majeur sur un pique pour le changer en pierre et donner un violent coup de pieds dedans."
Il répéta l'action jusqu'au dernier pique, ordonnant à sa mère et sa sœur de s'écarter. La famille apparut aux yeux du vilain quelques secondes après, laissant ce dernier estomaqué. Une colère bien plus profonde s'installa dans ses yeux noir, et avec fermeté, il leva le pied pour l'abattre au sol. Ayana voulut s'écarter pour entrainer son fils et sa fille loin de ce cinglé, mais un mur de flammes bleu qu'elle connaissait bien l'arrêta. Le vilain se retrouva entouré des flammes, paniquant en voyant l'ex vilain débarquer. Sa démarque indiqua à sa femme qu'il était furieux, et elle savait que si cela s'était passé il y a dix ans, cet homme aurait été tué froidement par Dabi.
En même pas quinze minutes, le vilain se retrouva dans une voiture de police, assommé. Les policiers discutaient avec le sauveur de la situation, bien que ce dernier semblait vouloir retourner auprès de sa famille. Il le put après avoir écourté la discussion, se ruant vers eux.
"Putain, vous allez bien ?! S'exclama le noiraud, regardant ses enfants avec inquiétude, puis sa femme, attrapant son visage entre ses mains brulantes.
- Tout va bien Touya, on est sain et saufs. Sourit Ayana, cherchant à le rassurer."
L'héros la fixa quelques secondes, puis soupira. Toutes ces semaines passés loin d'eux, d'elle, étaient inutiles. Cela ne servait à rien de les éviter pour rembourser sa culpabilité, il comprenait enfin que s'il voulait les protéger, il devait être avec eux et non loin de sa famille. Sa décision fut prise en une seconde, Dabi indiqua qu'ils devaient emmener les enfants à l'école.
Une demi-heure plus tard, les enfants étaient en cours, et le couple à la maison. L'ancien vilain faisait face à sa femme avec un air neutre, laissant cette dernière perplexe. Elle attendait que son époux parle, elle savait très bien que ça ne servait à rien de le faire en première puisqu'il ne répondrait pas.
"Ok, j'ai merdé. Commença soudainement l'homme, arrachant un petit sourire à la blonde.
- C'est le cas de le dire, mais si tu le reconnais, c'est que tu vas arranger les choses. Déclara la journaliste, faisant sourire son mari à son tour."
Ils se regardèrent alors intensément, se comprenant sans avoir le moindre besoin de parler. La blonde se sentit rassurée, elle connaissait son homme et savait très bien que d'ici demain, elle le reverrait bien plus souvent, prêt à assumer son rôle de père et celui d'époux. D'ailleurs, en parlant de son rôle d'époux...
La femme se mordilla la lèvre inférieur, sentant une douce chaleur s'installer au creux de son bas-ventre. L'ayant très bien compris, Dabi se leva, se dirigeant vers la blonde avec un sourire au coin des lèvres. Il la fit se lever en attrapant son menton, l'incitant suivre le mouvement pour se faire face. Avec bien moins de tendresse, il posa ses lèvres sur les siennes, l'entrainant directement dans un baiser aussi brûlant que ses flammes.
L'héro souleva sa femme, glissant ses mains sur ses fesses pour qu'il puisse coller leurs corps. La journaliste gémit discrètement en sentant son érection contre son intimité, faisant sourire le noiraud. Il adorait entendre ce genre de sons sortir de sa magnifique bouche.
Sans même se préoccuper de ce qui les entourait, Dabi colla Ayana au mur derrière, s'amusant à lui tirer des gémissements en frottant son érection contre l'intimité de sa femme. Il sentait très bien qu'elle mourait d'envie de lui, attendant depuis bien trop longtemps qu'il la décharge de son désir. Alors pour lui faire plaisir, il la cala entre le mur et son corps, puis descendit son pantalon et la jupe crayon de son épouse.
Cette dernière glissa ses doigts dans ses cheveux, profitant de ces quelques secondes de calme pour le regarder droit dans les yeux.
"Touya... S'il te plait, ne fais plus ton égoïste, tu m'as manqué. Déclara la jolie blonde, souriant avec tendresse.
- Je t'ai manqué, ou ma bite t'a manqué ? Lui rétorqua-t-il d'un air moqueur qui fit rire sa femme."
Il la fit taire d'un coup de bassin, remplaçant son hilarité par un gémissement. Le reste de leur journée risquait d'être enflammé...
En rentrant de l'école avec sa petite sœur, Kōsuke eut la surprise de constater sa mère endormie dans le canapé, portant seulement un t-shirt trop grand à leur père, et un legging. Sa surprise s'agrandit en voyant son père dans la cuisine, préparant le goûter.
"Alors les morveux, c'était une bonne journée ? Leur demanda leur père, étonné de voir des sourires béats sur les visages de ses gosses.
- Excellente à présent, t'as fini de te la jouer solo, Papa ? Lui répliqua son fils, enthousiaste.
- T'excite pas le mioche, j'vais te calmer sinon.
- Papaaaaaa ! Dis, demain je peux rester avec toi alors ? S'exclama Irina, courant s'accrocher aux jambes du noiraud.
- Je céderais pas gamine, j'suis pas ta mère."
Sa remarque eut le don de faire bouder la petite blonde, mais elle oublia bien vite le refus quand il la souleva pour la mettre sur la chaise avec un petit baiser sur le crâne. Un bâillement se fit entendre à l'entrée de la cuisine, attirant le regard des trois personnes sur Ayana.
"Tu es fatizuée, Maman ? Pourtant, t'as pas travaillé aujourd'hui..., Marmonna la petite blonde, arrachant un sourire à ses parents."
Ces derniers échangèrent un regard malicieux, puis pendant que la journaliste prenait place à côté de son mari, l'homme décoiffa sa fille pour lui détourner l'attention. Kōsuke qui sembla comprendre grimaça puis leva les yeux au ciel. Enfin, il avait beau se donner un genre, mais il était plus qu'heureux que les choses se remettent en ordre. Ils allaient enfin former une vraie famille, et l'apprenti héro qu'il sera, allait être fier de suivre les traces de son père. Finalement, les autres pouvaient bien cracher sur le passé de son paternel, les enfants Tishiya-Todoroki étaient fières de leur mère sans alter, et leur père ancien vilain.
Enfin, ils en étaient fières jusqu'à ce que Dabi et Ayana se pointent à la réunion parents-profs et remballent leurs enseignants avec des railleries et remarques bien à eux. Ainsi était composé la famille : une petite fille capricieuse mais adorable, un adolescent au physique de tombeur et à l'humour douteux, une mère ne possédant aucun tact et aux remarques incroyables, et enfin, un père un peu idiot et qui avait les railleries et sa femme dans le sang. Une famille tout à fait normale, en somme.
***
Et voilà héhé ! Bon je doute un peu là, l'OS a l'air passable XD
D'ailleurs, désolée d'avoir changé quelques détails par rapport à ta commande ma chère miss Law ^^'
Ah au faite ! Tenez, voici le travail incontournable de cette fantastique misse Law ! Voici la famille Tiyisha-Todoroki :
J'espère que tu ne m'en voudras pas de mettre ton tes chefs-d'œuvre ici ! Mais en tout cas, je suis fan *^*
Oh et donc le sondage ! Ma chère miss Law adorée m'a proposé son talent et a réalisé de couverture sublime pour ce recueil ! Donc comme je n'arrive pas à me décider, vous pourriez le faire ? Merci d'avance à ceux qui me donneront leur avis ^^
Je suis tellement fan *^* c'est trop dur de choisir bon dieu T-T
Bon sinon voilà, j'espère que cet OS vous aura plût ! N'hésitez pas à me dire le contraire en commentaire ;)
On se retrouvera avec un géant x reader, qui sera assez drôle normalement XD
À la prochaine les loulous !
Leawifeoftodoroki
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