Tu t'es joué de moi, de mes sentiments.
Tu ne m'as rien promis explicitement et encore heureux, mais ton comportement avec moi était si contradictoire face à tes paroles. Tu ne peux pas le nier, tu étais différent en ma compagnie. Moi qui pensais qu'on aurait une chance ensemble.
Mais la vérité m'a rattrapé.

Tu t'es bien foutu de moi avec tes gestes et tes messages.
Je t'aimais, j'avais de réels sentiments pour toi.
Au lieu de faire en sorte que mes sentiments pour toi ne s'accentuent pas, tu m'a jeté dans la gueule du loup directement.
Tu aurais pu me dire que tu es en couple et qu'il faut qu'on mette des limites, mais non. Tu m'as fait craquer, je t'ai montré mes faiblesses, tu as percé ma carapace, comme tu l'as si bien dit.
Aimer quelqu'un ne se décide pas, on a beau essayer de se forger un mur, d'être aussi froid que de la glace et autant dur que du béton, lorsque que notre regard traverse celui de cette personne nous n'y pouvons plus rien.

Cette photo de toi et ta copine au bord de la piscine, sa main vernis sur ton torse dénudé, m'a tué. Ce n'est pas de la jalousie parce que vous étiez en maillot et qu'elle te touche le torse, mais plutôt que vous vous voyez alors que peu de temps avant tu m'avait dit que tu avais pensé à moi lors de l'orage.

Ah ! J'ai envie de rire de cette situation.

Notre relation n'est pas définissable.
Je ne sais même pas si je peux te qualifier comme ami ?
En réalité, je ne sais pas qui je suis pour toi. Tu ne m'as jamais dit ce que tu pensais.

Triste vie !

À présent, j'aimerai te supprimer de tous les réseaux sociaux mais je n'en ai pas le courage, alors je t'ignorerai simplement.

J'attendrai ton message.

À dans deux mois toi.

EcritUnMonde