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Fried x reader

Dans le bus pour la journée de la défense et citoyenneté , je me remémorait les mots de ma mère :

"Fait pas ta mauvais tête , si ça se trouve tu vas rencontrer ton futur copain."

Comme si j'allais le rencontrer ici , c'est ridicule , tout ce que je vais faire c'est m'ennuyer et ne pas parler. Surtout ne pas parler.

- alors , on va commencer par ce présenter chacun notre tour pour mieux se connaître.

Je suis maudite , chaque fois que je disais que je ne voulais pas qu'un truc arrive , il arrivait forcément ! Bon , je suis la numéro 26 donc je vais pas passer tout de suite mais quand même....

- je m'appelle Anaïs , j'ai 17ans , Terminal s et j'aime trop le sport !

Après une dizaine de présentation dans ce style , c'était à mon tour.

- (t/p) , 16 ans , 1er S , j'aime lire , des histoires d'horreur en grosse partie et écrire.
- écrire ?
- des histoires.
- horreurs aussi ?
- principalement.

Voilà , j'avais posé les bases , de toute façon ils m'avaient tous regardé bizarrement. Ce qui voulais dire que personne ne m'approcherais et c'était absolument parfait. Le tour continua , personne n'avait attiré mon attention , tous des fan de sport hyper conforme à la société moderne. Puis un gars se presenta , pas de sport dans sa tirade , mais autre chose qui attira mon attention.

- bonjour , je m'appelle Fried.  Je suis écrivain professionnel , j'aime beaucoup le piano aussi.

Écrivain ? Professionnel ? Intéressant... J'avais qu'une idée en tête lui poser des questions sur son métier , mais vu ma timidité , à la pause de midi , je ne lui avais toujours pas adressé la parole... Observer oui , parler non. C'était un peu agaçant car écrivain c'est ce que je voulais devenir mais bon , la timidité est plus forte que la passion...

J'avais mangé seul , ça ne me dérangeais pas. J'avais même recaler une fille voulant se mettre face à moi , mon attelle au genoux m'avez donné le parfait alibi. Elle avait eu l'aire déçu mais qu'importe , je n'étais pas là pour sociabilisé , seulement par obligation. J'avais quand même eu un groupe de pote autour de moi qui discutait sous mon nez alors que les table à derrière et devant moi étais totalement libre. Des gros con en somme. Je suis dur je sais mais j'aime pas les gens et en général , les gens m'aime pas. Bref , le problème n'étais pas là , le problème était mon manque total de la moindre parcelle de courage dans le petit corps de lache qui était le mien. Fried était en face de moi , sur une autre table , tout seul. Bah j'avais pas été le voir... On c'était regardé un million d'années mais aucun de nous deux n'avais ouvert la bouche. Autant dire que c'était fortement gênant.

L'après midi , on c'était fait chier ,étonnant n'est-ce pas ? On avais fait un tour d'avion , littéralement , on avais fait le tour de l'avion. Fort peux intéressant. Sauf à un moment , quand on avais bouger de devant à derrière l'avion , Fried c'était rapproché de moi , c'est long cheveux vert avait frôlé ma main. Il avait fait comme si ne rien n'était , peut-être que c'était le cas pour lui après tout... Tout le reste de l'après midi , on avais écouté des gens parler. À la fin , vers 16h30 , la meuf du début est revenu , ce qui annonçait clairement qu'on était presque libre. Elle nous a fait un teste pour voir qui pourrait les rejoindre , j'ai répondu "pas intéressé" à toute les questions.

Puis après ça , la délivrance , on avais repris le bus. Avant que je rentre dans le bus , quelqu'un m'avait attrapé la main et à glissé un papier dedans , j'avais à peine eu le temps de regarder que je vis les cheveux vers de Fried partir vers le deuxième bus. Plus tard , j'avais regardé le papier , c'était un numéro de téléphone , le sien j'imagine.
J'avais pas osé envoyer un message tout de suite , j'avais attendu deux ou trois jours.

Le lendemain , je m'étais senti bête , on avais pas prévu d'heures ! Donc je lui avais renvoyé un message et on avais convenu 15h. À 15 h , je sortais de chez moi , bien coiffée et avec une tenue convenable. Maquillé ? Non , je n'aimais pas cela. Dans ma tête c'était un rendez vous avec un garçon qui me plaisait et j'avais le trac. J'étais accroché à mon petit sac dans lequel se trouvait mon porte-monnaie , un stylo et un carnet déjà presque plein. C'était en quelques sorte mon sac de survie en millieu hostile , à l'extérieur en gros. Une fois devant la grande bibliothèque , j'ai hésité à rentrer , il étais là , sur une table , penché sur son ordinateur , ses longs cheveux vert était ramené en queue de cheval haute qui découvrait son magnifique visage. J'avais eu envie de faire demi tour et de partir et c'est ce que je m'apprêtais à faire quand il avait levé la tête et m'avait souris. J'avais pris trois teinte de rouge sur le coup. Déjà qu'il était beau , en plus si il avait un sourire splendide. C'était à ce moment là que je m'étais décidé à rentrer. Je n'avais plus le choix , il m'avait vu de toute façon. Je me répétait en boucle : « pense au Rake , pense au Rake» celui ci me faisant terriblement peur je perdit la teinte de rouge. Enfin , pas pour bien longtemps , quand j'étais arrivée près de lui , il m'avait fait la bise et je m'étais enflammé de nouveau. J'étais pas du tout prête pour ça ! Et en me voyant rougir il avait rougis aussi , il étais trop craquant ! Il m'avait ensuite à m'assoire près de lui , ce que j'avais fait sans hésiter. Il avait sauvegarder son écrit et j'en avais profité pour lire une phrase juste avant qu'il le ferme : « la voilà , entrant dans ma librairie , elle était magnifique avec ses ailes de cristal rassemblé dans son dos, j'étais subjuguée...» . Je n'avais pas pus en lire plus , l'écran se rabattant sur le clavier. Je ne savais pas de quoi parlais le livre mais j'avais déjà envie de le lire ! On passa un moment à discuter , c'était vraiment agréable , au fur et à mesure j'étais moins stressée , plus normal et même parfois drôle.

Toute les semaines depuis notre rendez-vous , nous nous rendions à la bibliothèque chaque samedi. Nous avions toujours des choses à ce dire même si nous avions de nombreuses conversation téléphonique. Et j'aimais ça. Plus d'une fois , nous avions pris l'un des poufs pour nous allonger dessus dans les bras l'un de l'autre. Il me caressait les cheveux et j'avais les mains posées sur son torse. On restait silencieux dans ces moments là , on profitait seulement. J'aimais notre amitié , j'aimais nôtres relation ambiguë , je l'aimais tout simplement.

Un jour , alors que je me promenais dans une librairie , j'avais vu le dernier livre de Fried. Je ne savais même pas qu'il était sorti. Il devait avoir oublié de me le dire. Je l'avais tout de suite acheté et l'avais lu toute l'après midi. La relation entre la fée et le mage était très intéressante. De plus , je trouvais que le mage lui ressemblais étrangement. Il avait seulement changé la couleur de ses cheveux, passant du vert au noir. La fée , elle me faisait penser à moi, dans tous ses détails , caractériel ou physique. Le lendemain , alors que je m'apprêtais à lire le dernier chapitre , et à enfin savoir si la fée allait sauver le mage, mon téléphone se mit à sonner. Je répondis tout de suite , sachant que c'était Fried , seul lui m'appelais.

- Salut petite fée , tu fais quoi ?
- Je lis ton livre.
- Ah...
- Tu ne m'avais pas dit qu'il était sorti !
- Ça m'étais sorti de la tête...
- Humm , j'aime beaucoup. En tout cas , j'ai trop envie de savoir si Millie sauve Rosenward ou pas !
- Tu en es déjà là ?
- Plus que le dernier chapitre !
- Je te laisse alors , lis les remerciements surtout !
- oki , je te rappelle quand j'ai fini , promis.

Je reposai mon téléphone et continuai ma lecture. Arrivée aux remerciements , je vis mon prénom apparaître :

«À ma (t/p) , merci d'être là pour moi, tu as été ma Millie à moi. J'espère sincèrement que , comme Rosenward , j'aurai le droit à ton amour. Je t'aime (t/p).»

Oh. Mon. Dieu. Wow , il avais attendus que je lise son livre pour m'annoncer ses sentiments. C'était la meilleure façon de le faire au monde ! J'étais tellement contente que je l'avais appelé tout de suite. Et qu'à peine avait il décroché, que j'avais crié "Moi aussi Fried !". Il n'avait pas compris tout de suite alors j'avais ajouté " Laisse moi être ta Millie". Et là il avait raccrocher. J'étais un peu perdue, pourquoi m'avait il raccroché au nez ? Je n'avais pas eu le temps de beaucoup réfléchir. Que ma porte d'entrée s'ouvrit avec panache. J'avais été voir , c'était lui , il étais entré avec son double des clefs. Il s'était jeté dans mes bras. J'étais à la fois confuse et heureuse , un peut comme ma mère , qui se trouvait à côté. En se fichant royalement de cette présence parentale , il m'avait embrassée subitement , me murmurant tout de suite après "je t'aime". Ma mère m'avait alors lancé un "je te l'avais dit que t'y trouverais ton copain". Elle avait tord , j'avais rencontré l'homme de ma vie.

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