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Chapitre 29

Quelques jours plus tard.

Toulaye

Je n'arrive toujours pas à croire que dame belle-mère a voulu que je croupissent en prison. Elle me l'avait avoué la première fois mais là quand Naby m'a dit ce qu'il a découvert j'étais choquée de ouf et aucun son n'est sorti de ma bouche depuis lors.

Il existe vraiment des personnes capables à toutes sortes de méchancetés juste par plaisir et c'est le cas de dame belle-mère. Je ne comprendrai jamais cette haine à mon égard.

Aucunes excuses n'est valables pour justifier ses actes. Elle oublie que tout ce qu'on fait dans cette vie on le payera avant sa mort. Elle paye sa méchanceté en perdant son fils car connaissant Naby il ne va pas lui pardonner même si je le lui demandais.

Je crois que j'ai mérité de souffler un peu avec toutes les révélations de mon cher époux et surtout avec le bébé. Je n'ai pas envie de le perdre en me stressant pour ma belle-mère et je pense qu'elle ne le mérite pas.

Moi : Naby qu'est ce que tu comptes faire?

Lui : j'ai déjà déposé plainte et pour l'amour de Dieu Toulaye ne me demande pas de la retirer car je ne le ferai pas. Ma mère mérite d'être arrêter.

Moi: tu es sûre de toi bébé mine. Je ne veux pas que tu le regrettes.

Lui : oui je suis sûre de moi et je ne veux plus en discuter.

Moi : OK.

J'aurai aimé pouvoir faire quelque chose pour lui mais il a déjà pris sa décision et je me dois de la respecter.

Lui :Toulaye prépare toi nous allons au commissariat.

Moi :OK.

Je me relève du lit avant de m'engouffrer dans la salle de bain. L'eau chaude sur ma peau me fait un bien fou et m'aide à desstresser. Je reprends une respiration régulière en espérant que toute cette histoire sera bientôt terminée surtout avec mon bébé qui grandit de jour en jour dans mon petit ventre.

Je coupe l'arrivée d'eau et sors de la douche. Je me sèche rapidement avant d'enfiler des sous-vêtements propre et une robe ample multi-couleurs accompagné de spartiates .

Moi :je suis prête.

Lui :tu ne te maquilles pas.

Moi :non pas le temps.

Nous sortons de la chambre et arrivée sur les escaliers monsieur me porte comme à chaque fois pour descendre. Il a peur que je me casse la figure donc depuis qu'il appris pour ma grossesse il est devenu beaucoup plus surprotecteur.

Il a déjà préparé une chambre au rez de chaussée pour quand je serai au cinquième mois pour que je ne prenne plus les escaliers. J'ai bien essayé de l'en dissuader mais monsieur ne veut rien entendre.

(***)

Nous arrivons devant le commissariat le même que quand on m'a arrêté. Notre avocat est déjà sur place ainsi que le procureur général.
Nous sommes installés dans une grande salle où il y'a moi, Naby, Mme Ndiaye, mon avocat, le procureur, le commissaire Thiam ainsi que le juge Mbaye.

Ce dernier me regarde avec insistance en se pensant sa langue sur ses lèvres. Je me pose ma main sur la cuisse de Naby pour le calmer sinon il risque de le massacrer.

Mon avocat prend la parole pour débuter l'entrevue.

Mr Diouf : messieurs et mesdames merci de vous être déplacer un dimanche matin mais ce qui nous amène ici est d'une importance capitale.

Ma cliente ici présente a été accusée et arrêtée il y'a un mois de cela par les éléments du commissaire Thiam en ne respectant pas ses droits et de la loi. Par la suite elle a été relâchée mais les charges qui lui sont accusées n'ont pas été abandonnées jusqu'à présent et normalement le procès devait débuter demain.

En bon avocat que je suis j'ai enquêté de mon côté avec l'aide du mari pour éclairsir cet affaire et nous avons fait une découverte assez préoccupante d'où la présence de Mme Ndiaye et du juge Mbaye.

Mr le procureur vous trouverez ci-joint toutes nos découvertes dans le dossier en face de vous.

Le Procureur : j'ai déjà consulté le dossier hier soir.
Après avoir examiné les preuves et elles sont recevables devant la cours et donc commissaire Thiam veillez procéder à l'arrestation de ces deux individus.

Mr Diouf : Mr le procureur, nous voulons que le procès contre mes clientes soit ajourné et qu'à la place que la cours traduise ces deux malfrats.

Juge Mbaye : vous m'accusez de quoi au juste.

Mr Diouf : de corruption et d'avoir reçu des pots de vin de la part dame Ndiaye assise à côté de vous pour truquer le procès ainsi que d'association avec des trafiquants de drogue.

Le procureur : Mr Diouf vos preuves m'aident à boucler une affaire sur laquelle je travaillais depuis des années mais faute de preuves le dossier a été scellé.
Grâce à vous nous allons démenteler un important réseau de trafic de drogue et de prostitution.
Le juge Mbaye était déjà mon suspect dans cet affaire et maintenant il va croupir en prison.

Il faut savoir qu'il existe des personnes comme le juge Mbaye qui se disent être les détenteurs de la justice alors que c'est eux même les bandits qui ronge notre société.

Quant à vous Mme Ndiaye vous êtes libre ainsi que votre ami. Je m'excuse au nom de la justice pour tous les désagréments causés.

j'étais comme dans un état second, je ne bougais pas. Je regardais dame belle-mère suppliait son fils de ne pas porter plainte et le procureur qui intervient en disant que ce n'est plus du ressort de Naby et que l'affaire arrivera au parquet.

Naby : on rentre ma chérie.

Moi : euh... Oui mais avant j'ai une chose à faire.

Je sors de la salle. Je demande à un officier de me montrer les cellules. Je longe le couloir et je me retrouve devant une grille.
Les rôles sont inversés cette fois, il y'a un mois c'est elle qui se tenait devant moi et maintenant c'est mon tour.

Moi : je voudrai savoir ce que vous avez obtenu avec toutes vos manigances ?

Elle : je n'en ai pas encore fini avec toi. À ce que je vois tu es encore enceinte.

Moi : je ne vous comprendrai jamais. Toute votre haine à mon encontre est totalement injustifiée.
Vous venez de perdre votre fils à tout jamais j'espère au moins que vous le savez.

Elle : bientôt je te dirai le pourquoi de ma haine mais pour l'heure profite de ta grossesse car je sortirai de cette prison plus vite que prévu.

Moi : adieu Mme Ndiaye.

Elle : au revoir Ramatoulaye.

Je rebrousse chemin jusqu'à hauteur de Naby et je m'effondre dans ses bras.
Pourquoi elle me hait à ce point. Naby m'essuie les larmes avant de me demander de le suivre dehors.

(***)

Une fois à la maison je suis couchée sur le canapé ma tête pose sur les genoux de mon mari. Je suis toujours sous le choc par ce qui s'est passé.

Ndèye vient d'entrer dans le salon nous disant qu'elle veut nous parler à tous les deux. Elle est bizarre ces derniers temps et j'espère que cela n'a rien à voir avec sa famille.
Je l'invite à s'assoir et je me redresse pour l'écouter.

Elle : Je tiens d'abord à m'excuser car ce que j'ai à vous dire me pèse depuis des jours.
Si je suis dans cette maison ce n'est pas pure hasard. Je suis venue travailler pour vous à la demande d'une personne qui m'a chargé de vous surveiller et de lui faire un rapport détaillé de vos faits et gestes.

Au début j'ai joué le jeu en ayant pas de remords mais j'ai appris à vous connaître et....

Je me lève pour me mettre en face d'elle. Comment elle a pu nous faire ça après tout ce qu'on a fait pour elle et sa famille.

Moi : Ndèye ne t'ai-je pas traité comme ma sœur avant de t'avoir considéré comme mon employé et c'est comme ça que tu me remercies en me poignardant dans le dos.

Elle : je suis désolée Toulaye. Je l'ai fait par amour. Tu sais que l'amour nous pousse à faire des folies et moi je n'ai pas réfléchi sur les conséquences.

Naby : Toulaye calme-toi, le stress n'est pas bon pour le bébé.

Moi : OK Naby. Ndèye qui t'a engagé.

Elle: Souleymane Sidibé.

Là je n'arrive pas à le croire. Souleymane n'oserait pas me faire ça. L'homme que je considérais comme mon ange gardien, un frère, la personne qui m'a soutenu quand j'en avais le plus besoin est tout simplement faux.

Je me rappelle de notre dernière discussion, il disait avoir accepter mon amitié et que cela lui allait et que c'était mieux que rien.

Je tombe des nues là. J'ai continué à le voir à lui parlé malgré le fait que Naby me l'a interdît, j'ai désobéi et maintenant j'apprends qu'il a payé une fille pour m'espionner.

Je viens de rendre compte de ma naïveté et dire après Naby il était la personne en qui j'avais le plus confiance.

Moi : donc si je comprends bien tu es amoureuse de Souleymane et c'est la raison pour laquelle tu as accepté ce travail.

Elle : oui mais lui il t'aime toi. J'ai essayé de le résonner mais il n'a rien voulu entendre.

Naby : je t'avais dit que ne pas donner ta confiance à n'importe qui mais tu ne m'écoutes jamais, résultat on t'a berné.
Monte te reposer je m'occupe de cet affaire.

Pour la première fois j'obéis sans broncher. Souleymane tu m'as vraiment surpris et déçu par son comportement.

J'arrive dans ma chambre et avale mes cachés anti-stress. Je m'allonge et j'ai tout à coup les paupières lourdes.

Naby

J'avais raison comme toujours de demander à Toulaye de ne pas accorder facilement sa confiance mais elle ne m'écoute jamais.
Les gens sont faux et à la moindre occasion ils te font un coup tordu et cela je l'ai appris grâce à la femme que je considérais comme ma mère.

Je regarde cette fille et j'ai envie de la trucider mais je sais malgré tout qu'elle regrette ses actes sinon elle aurait gardé le silence.

Moi : je comprends maintenant. Quand Toulaye a perdu les bébés la première fois c'est toi qui a prévenu Souleymane pour qu'il soit avec elle.

Elle fait oui de la tête. Je commence à rassembler les pièces du puzzle. A chaque fois que nous avions un problème il y'avait toujours Souleymane dans les parages la minute qui suit.

Moi : OK va préparer tes affaires. Je ne veux plus te voir près de ma femme et si jamais je te revois à moins cinq d'elle, je te ferai arrêter.

Elle : je suis sincèrement désolée Naby et dit à Toulaye de me pardonner.
Je m'excuse encore une fois.

Je ne réponds pas et monte les escaliers pour discuter avec Toulaye.
Je sais maintenant qu'elle continue à voir Souleymane dans mon dos et j'aimerai qu'elle m'écoute juste pour une fois.

Je la retrouve coucher sur le lit. Je remarque une tâche de sang sur sa robe et je la soulève rapidement.

Je l'amène sans tarder à la clinique de Abdou Fatha.
Une fois là-bas elle est prise en charge par son équipe.

Je patiente depuis bientôt une heure. J'aperçois Absa, cool il ne manquait plus qu'elle.

Elle : Naby chérie qu'est ce que tu fais là.

Moi : ça ne te regarde pas.

Elle : et ta femme, ma cousine adorée.

Moi : elle va bien.

Elle : puisque tu es seul, je me disais que l'on pouvait rattraper le temps perdu. Qu'est que tu en dis.

Je la regarde de haut en bas en réprimant de la frapper. J'enlève sa main de mon entrejambe avant de me lever de ma chaise.

Moi : Absa j'ai une femme que j'aime de tout mon être et je ne vais pas la quitter pour toi ni pour une autre alors remballe.

Elle : mais moi je t'aime.

Moi : et moi je m'en fou.

Elle : donc tu l'aimes vraiment.

Moi : c'est une évidence.
Tu sais quand tu m'as quitté pour Souleymane je t'en voulais mais j'ai rencontré Toulaye par la suite et j'en suis tombé fou amoureux et je ne peux que te remercier car c'est grâce à toi que je suis rentrée au pays en quelque sorte.

Elle : OK donc je m'avoue vaincu Naby.
A la base j'étais revenue de pour te reconquérir mais tous mes approches ont échoué.
J'aimerai te prévenir quand même d'une dernière chose.
J'ai eu vent par un ami que Diama Sidibé veut en finir avec ta femme donc protége la car d'après les rumeurs cette fille est folle et obsédée par ta personne.

Moi : ne t'inquiète pas je ne laisserai personne s'en prendre à ma femme.

Elle : OK bonne chance Naby et si ça ne marche plus avec ma cousine tu sais où me trouver honey.

Je rigole avant de la remercier. Malgré ses airs de fille frivole Absa est une bonne personne et je lui en suis reconnaissante de ne pas insister.

Au retour de la maison je vais engager des agents de sécurité pour la maison et je peux dore que ce sera la dernière fois que Toulaye aura le nez dehors sans moi.

Abdou vient vers moi et je m'attends au pire des nouvelles avec son visage crispé. J'ai l'impression de revivre la dernière fausse couche de Toulaye.

Mon dieu ayait pitié de nous.


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Bonjour!!!

Vous m'avez manqué de ouf. J'espère que vous allez bien car moi ça va 😊😊😊😊.

Info : la chronique va bientôt se finir et pour le coup j'ai écris tous les chapitres restants.

Bravo 👏👏👏👏 moi😂😂😂😂

Donc je posterai chaque jour une partie jusqu'à la fin en espérant que la fin sera à la hauteur de vos attentes.

J'ai hâte waye😉😉😉😉.

Donnez vos avis sur le chapitre.

À demain inchaAllah.

Merci

Deekha15

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