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Chapitre 25

Toulaye

Les policiers après m'avoir lu mes droits sans que mon mari puisse intervenir ; ils m'ont embarqué vers le commissariat, on m'accuse d'une chose dont je suis incapable de faire, le trafic de drogue est comparable à un meurtre. C'est des actes à eux deux tout aussi répréhensibles mais moi je n'ai rien à voir avec ce dont on m'accuse.
Arrivée au commissariat les deux inspecteurs me mettent dans une cellule et je me laisse tomber par terre. Ça ne finira dont jamais, dès que je résous un problème un autre survient et je veux pouvoir vivre sans me prendre la tête. Ma belle-mère me hait à un tel point qu'elle est prête à tout pour me séparer de son fils. Naby arrive à la cellule avec un visage triste.

Moi : mon amour dis-je en essuyant mes joues.

Lui : bébé mine je te promets de faire sortir d'ici le plus rapidement possible, je vais engager un avocat le plus rapidement possible.

Moi : fais-moi sortir vite mon amour, je n'ai rien fait, je te le jure sur la tête de mes parents.

Lui : je sais mon cœur et je crois à ton innocence ma chérie. Tu ne passeras pas une minute de plus dans cette cellule dit-il en me laissant seule dans cette cellule où ça sent la crasse et l'urine.

Je m'assis en boule sur un coin, en l'espace de quelques heures ma vie a pris une tournure indescriptible. Allah j'ai besoin de vous car ma belle-mère me déteste le pourquoi aucunes réponses ne me vinrent à l'esprit. Peut-être parce qu'elle a le syndrome de la belle-mère, les sources de sa haine me seront méconnues jusqu'à ma mort. Des rires, des rires attirent me font lever la tête et je sais à qui appartiennent ces rires diaboliques.

Elle : tu vois ma chère et tendre belle-fille, je gagne toujours, tu moisiras dans cette cellule et mon fils t'abandonneras dans pas longtemps car j'y veillerai personnellement.

Moi : rira bien la première qui rira la dernière dame belle-mère.

Elle : tu moisiras dans cette cellule ma chère belle-fille dit-elle en sortant et en tapant des mains comme une petite fille contente de recevoir sa surprise.

Naby

C'est quoi encore cette merde dans laquelle ma mère nous a mis. Franchement je commence en à avoir plus que marre d'elle et de ses plans sordides et sataniques. Elle me croît vraiment assez stupide pour laisser ma femme se faire condamner par un crime qu'elle n'a pas commis. Je me dois de mettre mes leçons de droit en pratique pour une fois. Réfléchit vite Naby !!!

Je téléphone à mon avocat et lui explique la situation de ma femme et les circonstances dans lesquelles elle a été arrêté. Trente minutes plus tard mon avocat maître El Hadji Diouf fait son apparition tel une star de cinéma, il fait partie des meilleurs juristes du pays même si des fois il parle beaucoup mais il connait tout de même son travail et c'est l'essentiel pour mois.

Moi : maître Diouf merci d'être venu aussi rapidement dis-je en le saluant.

Lui : ne me remercie pas mon fils, je le fais par vous et pour votre père. Alors elle est où ma cliente demanda-t-il en retirant ses lunettes de soleil.

Moi : suivez-moi svp.

Nous traversons le couloir pour aller au bureau du commissaire. Nous prenons place et attendons qu'il finisse son appel pour qu'il nous explique la situation.

Moi : bonjour Commissaire Thiam, je vous présente l'avocat de ma femme.

Commissaire Thiam : bonjour Mr Ndiaye, Mr Diouf ravie de vous voir.

Mr Diouf : commissaire Thiam alors pouvez-vous nous expliquer la situation de ma cliente et pourquoi elle a été arrêté.

Commissaire Thiam : nous avons reçu un appel anonyme signalant une personne vendant de la drogue alors après avoir reçu l'adresse, nous avons fait une descente au domicile de Aïcha Dasilva. Après une fouille minutieuse mes hommes ont trouvé des sachets d'héroïne dissimulés dans des vêtements. Comme la procédure nous l'exige, nous avons interrogé Mme Dasilva qui nous a confirmé que les vêtements appartiennent à Mme Ndiaye. Nous avons arrêté Mme Dasilva pour complicité mais son mari a payé la caution en attendant le procès.

Mr Diouf : commissaire Thiam c'est ça. Vous accusez ma cliente de possession et trafic de drogue et je me demande ; il ne vous est pas venu à l'esprit que la drogue en question pouvait être placée là par une tierce personne. Et au cas où j'aurai oublié mes leçons de droit avant d'embarquer une personne il vous faut un mandat d'arrêt humm et d'après le mari de ma cliente vos limiers n'ont pas respecté cette procédure et même pour la descente vous n'avez pas présenté un mandat de perquisition pour fouiller sa maison.

Mr Thiam : Mr Diouf quand nous recevons un appel anonyme pour trafic de stupéfiant, nous faisons une descente sans mandat.

Moi : ce qui n'est pas normal alors vous embarquez des personnes innocentes sans mandat sur la base d'un appel anonyme.

Mr Diouf : Mr Thiam veillez relâcher ma cliente et abandonner les poursuites sinon nous portons plainte pour détention abuse et non-respect des droits élémentaires de mes clientes car maintenant je représente aussi Mme Dasilva.

Non Mr Diouf est fantastique jubilais-je intérieurement, j'ai envie de rigoler face à la tête du commissaire et bam prend ça sale con.

Mr Thiam : je ne peux pas abandonner les poursuites comme ça, comment vais-je expliquer ça à mes supérieurs et surtout au procureur.

Mr Diouf : Débrouillez-vous mais mes clientes seront libres si tel n'est pas le cas vous recevrez ma plainte.

Mr Thiam : ok mais nous poursuivrons notre enquête.

Mr Diouf : oui faites donc votre enquête en respectant cette fois les lois, veillez faire sortir ma cliente svp.

Le commissaire téléphone au procureur pour son aval et demande à un de ses lieutenants pour libérer ma femme. Hamdoulillah, merci mon dieu ma femme n'ira pas en prison. Je sors du bureau à la hâte et tombe sur ma mère non rectification ma ''ex mère''.

Moi : maman s'il te reste un milligramme d'amour pour moi alors arrête cette mascarade et reste loin de nous et les deux pantins que tu as soudoyés, ils vont regretter d'avoir accepté de faire ta sale besogne. Tu me pensais assez stupide pour croire ma femme capable de dealer de la drogue.

Elle : je n'ai rien fait mon fils ; les policiers sont venus me voir pour avoir des informations et en tout bon citoyen je n'ai fait que donner ces informations.

Moi : oui à d'autre...réfléchis bien car si par malheur ma femme se retrouve en prison par ta faute, je te jure que tu le regretteras amèrement la prochaine fois que l'on se verra ; ce sera dans des circonstances pas très plaisantes car je porterai plainte.

Je la contourne et pars en direction des cellules. Sérieusement ma mère ne manque pas de toupets et d'imaginations, je dois vraiment lui tirer mon chapeau sur ce coup face à elle la méchante belle-mère de Blanche Neige est une sainte.

J'entre dans la cellule où se trouve ma femme chérie ; je m'avance vers elle. Je la relève avant de l'embrasser fougueusement, j'inhale son odeur pour retrouver ma force et me calmer un moment.

Elle : je ne vais plus en prison demanda-t-elle, je souris avant de faire non de la tête.

Moi : tu n'iras pas en prison sauf dans la mienne bien sûr plaisantais-je avant de la serrer dans mes bras.

Je pose ma tête sur le sommet de sa tête en extirpation tout l'air que j'avais retenu, j'avais vraiment peur, peur de voir ma femme derrière les barreaux.

Elle : ta mère me déteste non elle me hait à un tel point qu'elle est prête à toutes sortes de plans aussi tordus les uns que les autres pour me séparer de toi.

Moi : ne t'inquiètes pas mon cœur, avant tu étais seule à te battre pour notre amour maintenant nous sommes deux et nous formons une équipe pour toujours et à jamais.

Nous sortons mains dans la main plus unis que jamais, ma mère ne sait pas qu'elle a retissé et fortifié les liens qui m'unissent à Ramatoulaye. Je nous conduis chez nous, Toulaye a sa tête posée sur mon épaule et me caresse le torse de bas en haut.

Moi : Toulaye arrête tes caresses si tu ne veux pas que l'on ait un accident.
Elle : tu veux vraiment que j'arrête, ma petite expérience derrière les barreaux m'a appris une chose aujourd'hui la vie est beaucoup trop courte alors je veux en profiter à max avant qu'il ne soit trop tard.

Moi : humm ce qui veut dire demandais-je bêtement.

Elle : ce qui veut dire que j'ai envie de te toucher là, par-là ainsi que... Hummm beaucoup plus bas dit-elle en posant sa main sur mon entrejambe. Je frissonne malgré moi, j'essaie de me concentrer sur la route, elle joue avec le feu et elle risque se brûler.

Moi : Toulaye, Toulaye murmurais-je ; stp ma chérie stop avec tes caresses ah...

Sa main s'est infiltrée dans mon pantalon et cette fois je durcis comme un roc, elle me fait une fellation alors que je conduis, putain c'est si bon.

J'accélère tel Lewis Hamilton sur sa Mercedes au circuit du grand prix de Monaco pour vite arriver chez nous parce que cette fois-ci nous finirons ce que nous avons interrompu tant tôt. Une fois à la maison je la porte dans notre chambre à l'étage.

Moi : à nous deux et cette fois-ci pas de larmes stp dis-je en me déshabillant.

Elle : aucun moyen pour que je pleure cette fois fait-elle malicieuse...

(...)

Mme Ndiaye

Il n'y a que des incapables à mon service ; j'avais tout calculé au millimètre près. L'appel anonyme, la fouille, la drogue qui sera déposée par l'un des inspecteurs et l'incarcération de cette fille. Qu'est-ce qui n'a pas marché dans mon plan ??

Ces incapables que le juge Mbaye m'a mis en rapport sont des idiots et à cause d'eux mon fils veut porter plainte contre moi sa propre mère. Quel genre de fils ferait une chose pareille ? un fils qui a le cerveau tout retourné par une stupide fille sans classe, sans vergogne.
Tout était parfait non impeccable mais il faut croire que le destin ne veut pas me laisser accomplir ma vengeance. Cette fille je la déteste non je la hais de toutes mes forces, depuis qu'elle est apparue dans la vie de mon fils, il ne me considère plus et j'ai perdu le peu d'amour qu'il me portait de ce fait je la hais.

Moi : juge Mbaye tu n'es qu'un incapable. Avec tout l'argent que je t'ai versé tu ne pouvais pas faire emprisonner cette fille.

Lui : bonjour Mme Ndiaye, ce n'est pas de ma faute si les policiers n'ont pas respecté les procédures.

Moi : oui ils n'ont pas été intelligent mais toi tu aurais pu refuser de la relâcher. Débrouille-toi pour que l'enquête soit poursuivie.

Lui : Sheu... Mme Ndiaye qu'allait dire le procureur si je lui avais demandé de ne pas relâcher la femme de ton fils...hummm j'ai tout calculé.
Il faudra augmenter ma paye et nous devons revoir les termes de notre accord ma chère.

Moi : que veux-tu encore.

Lui : je veux la fille.

Moi : qu'est-ce que vous lui trouver tous ??

Lui : humm ce ne sont pas tes affaires alors nous sommes ok.

Moi : oui, oui we have a new deal juge Mbaye. Et faites bien votre boulot.

Lui: don't worry, tus me remercieras à la fin du procès.

Je ne trouverai pas de repos tant que je ne ferai pas souffrir cette fille. J'ai envie de la voir souffrir, de la voir me supplier, de la voir me demander pardon.

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Bonsoir à vous!!!!

Alors comment trouvez-vous ce chapitre ????

MERCI DE VOS VOTES ET COMMENTAIRES.

LES GHOSTS 👻👻👻 MANIFESTEZ- VOUS nakk.

BONNE NUIT.

SEE YOU SOON.

DEEKHA15.

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