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CHAPITRE 43

BONJOUR!
Alors, on m'a dit de sortir une excuse de merde. Mon poisson rouge qui vient d'Antartique est mort ?

Plus sérieusement, je suis VRAIMENT désolée, j'ai eu un énorme blocage sur ce chapitre buuuut here we are.

So. Ca fait deux mois et demi que je vous fait attendre (pire que Kennilworthy (vous comprendrez en lisant)), je ne vais pas vous faire attendre plus longtemps.

Donc, BONNE LECTURE ! (j'avoue ça m'a manqué)

Chapitre 43 : Sous la pluie

-Cassiopeia, attends !

Je courrais dans les couloirs de l'hôpital à en perdre haleine. Ils défilaient, blancs, froids, emplis de gens, effroyablement vides. Mya transplanait petit à petit, tentant de me suivre. Ellen nous suivait également, avec toutefois un peu de mal à cause de sa cheville. Je m'arrêtai brusquement et la cinquième année faillit me rentrer dedans, provoquant le rire de Mya.

-Désolée, soufflai-je.

-Désolée ? demanda Ellen. Tu es désolée ? Bon sang Lestrange, il y a vraiment un truc qui cloche chez toi. Ton coeur est dérêglé c'est pas possible. (Mya lui donna un faux coup de poing) AÏE ! Hé j'ai pas dit que c'était grave. Aïe ! Mais par Merlin Mya, arrête de me taper. Aïeuuuh ! Bon d'accord, heu, Cassi...opeia (elle grimaça : peu importe où notre relation en était, il lui était encore impossible de m'appeler par un surnom), ce que je voulais dire, extrêmement maladroitement je vous l'accorde, c'est que, par tous les sous-vêtements de Merlin, tu n'as aucune raison d'être désolée. C'est eux qui doivent l'être. Et nous. Toi tu es juste... La victime. Un dommage collatéral d'une guerre de pouvoir menée par des personnages bien trop ambitieux et vicieux pour se soucier de toi. Mais nous, on est là. Maintenant, tu peux arrêter de me taper, Delaware ?!

-Non. J'aime bien. souffla Mya.

Cela eut au moins le mérite de m'arracher un rire, qui sembla contenter Mya, puisqu'elle cessa de frapper Ellen.

-Cassiopeia ! Te voilà ! Viens, on va en parler.

Je me figeai, et mon rire se coinça dans ma gorge. J'évitai de justesse la main de mon père qui s'abattait sur mon épaule, et sentit à peine celle de Mya se glisser dans la mienne. En revanche, je ne pus échapper au tournis et à la sensation d'un crochet qui souhaitait faire sortir mes tripes, ni à la dernière réplique d'Ellen :
- A plus, sale lâche d'ornythorinque chauve.

Et nous transplanâmes.

***

-Ne dis pas n'importe quoi Meadowes, elles sont sûrement... Aïe ! lança Vanina

Merry explosa de rire, et je lui sautais dans les bras. Elle se rendit tout de suite compte que quelque chose n'allait pas, et avant même que la question sorte de ses lèvres, j'étais en larmes. Ce furent Mya et Ellen qui expliquèrent la situation aux filles.

-Mon dieu, Cassie... murmura Merry en me caressant le dos.

Vanina se leva d'un bond.

-Venez! s'exclama-t-elle.

Elle saisit Mya par le bras et sortit de la Salle Commune.

-Aller! Suivons là ! souffla Deotille en se levant à son tour.

Les filles se levèrent d'un bond, et sortirent de la pièce. Merry me tendit la main, debout devant moi :

-Cass. Allez ma belle. On va s'amuser tu vas voir.

-J'ai pas envie Merry. J'ai l'impression d'avoir loupé ma vie, j'ai vraiment pas la tête à ça. Je crois... Merry, je crois que je suis passée complètement à côté de mon enfance. Toutes ces années à penser que mon père me détestait, tout ça pour qu'en fait j'apprenne que... Il détestait le fait qu'on l'ait fait changé. Je pense... oui, je pense qu'il était vraiment malheureux, Merry. Il haïssait ce qu'il était devenu, mais en même temps, une part de lui en était fier, et avait honte de celui qu'il avait été. Merry, il est si seul. Personne ne peut comprendre ce qu'il a du et doit vivre. Il est coupé en deux; brisé. Les Mangemorts, la mort de ma mère, Azkaban, sa trahison et le reniement de toutes ses valeurs, de son passé, puis... moi. Il n'est même pas sûr que je sois sa fille, tu imagines ? Est-ce que j'ai le droit de réagir comme ça ? De le détester ? De le faire encore plus souffrir ? Alors que tout ça, c'est déjà à cause de moi... Si je n'avais jamais existé -

-Alors ma vie aurait été bien vide. me coupa Merry. Rien n'est à cause de toi. Pour beaucoup d'entre nous - James, Louis, moi, ton père - tu es la chose la plus merveilleuse qui nous soit arrivée. Bon sang Cassie, tu as souffert, toi aussi. Par sa faute, à cause de ses mensonges ! Tu aurais pu te sentir comprise, acceuillie, aimée, encadrée, mais tu as passé tout ce temps seule, dans cette illusion de haine et de secret qu'est ta famille. Que l'on soit bien claires, je ne suis pas en train de t'inciter à le détester ou à lui pardonner. Ce choix-là, toi seule peut le faire, et personne ne peut te donner son avis dessus, car personne n'a souffert comme toi tu as souffert, de la manière dont tu as souffert, certains ont connus pire, d'autre ont connus mieux. Cette situation, tu es la seule à la connaître. Alors je vais tout simplement te dire cela : écoute ton coeur, Cass. Quelle solution te fais le moins mal ? Purger ta haine en le détestant, ou lui pardonner pour tout recommencer à zéro ? Tu as le droit de faire tous les choix Cass. Mais, c'est à toi de le faire. Pas moi, pas James ou ton père. Toi.

Elle s'arrêta un instant, et me regarda en souriant. Puis elle dit d'une voix remplie d'une infinie douceur :

-Aller, viens t'amuser ! S'il te plaît.

Je saisis la main de Merry, un peu à contrecoeur. Nous sortâmes de la Salle Commune, courant à perdre haleine, cherchant où les autres avaient bien pu partir. Elles nous attendaient en bas de l'escalier, la mine quelque peu soucieuse, mais chacune d'entre elles m'adressa un sourire éclatant lorsque nous descendîmes les marches.

Nous continuâmes de courir dans les couloirs, en tentant de ne pas faire de bruit, ce qui était plus ou moins réussi, nos gloussements raisonnaient sans cesse dans les allées sombres de Poudlard.

Nous débouchâmes tout à coup dans le parc de Poudlard. Il pleuvait et notre petit groupe freina un instant, rendu soucieux tout à coup par le froid environnant. Mais Vanina ne se laissa pas atteindre par notre raisonnabilité, et se mit à courir sous la pluie, en riant à gorge déployée. Très peu de temps après, Merry la rejoignit, tentant de m'emmener dans son sillon - mais j'étais encore trop frileuse pour la pluie hivernale à 1 heure du matin. Ellen agita sa baguette, et un sonographe apparut à côté d'elle, me faisant sursauter.

-Mets "Umbrella". Sous la pluie, c'est une nécessité ! lui lança Deotille.

Elle était étrangement surexcitée ce soir, bien loin de son calme habituel. Elle se mit à se déhancher sur la musique, paraissant connaître la totalité des paroles. Ellen eut une mine contrite pendant quelques instants, puis rejoignit son amie dans sa danse effrénée.

-Elles sont intenables, murmura Mya, un grand sourire aux lèvres.

-Tu n'y vas pas ? demandai-je après un instant.

-Non. Je sais pas...

-Cassie ! cria Merry. Ramène-toi où j'appelle Peter Dorclan

-Pitié NOOOON ! rigolai-je. Où est James quand on a besoin de lui ?

Tout le groupe se mit à rire. Sauf Mya. Elle souffla. Son visage s'était assombri, et son sourire s'était tordu en une grimace incertaine. Ses yeux s'étaient fixés dans le vide, ses pensées à des milliards d'années-lumières de l'instant présent.

-Mya ? soufflai-je.

Elle réagit à peine. Un léger haussement de sourcils. Seuls ses cheveux semblaient vivants ondulants autour d'elle.

-Mya ? Allez, raconte moi.

-Cassie. Je peux te faire confiance ?

-Mya ! Evidemment ! Je veux dire, on est amies non ? Je suis peut-être plus proche de Merry, et toi tu es sûrement plus proche de Vanina ou même Ellen, mais on reste des amies. De proches amies.

-A vrai dire... Je suis pas sûre d'être tellement plus proche de Vanina. Ou d'Ellen. Ou de toi. Je suis pas sûre d'être vraiment proche de quelqu'un ici. Je veux dire...

Mya avança de quelques pas, et se mit à regarder le ciel, songeuse. La pluie dégoulinait à présent sur son visage, comme des larmes froides et impersonnelles. Comme si la nature souhaitait que Mya se libère de toutes ses émotions qu'elle gardait indéfiniment en elle, remplaçant ses larmes qui ne voulaient pas couler par les gouttes de pluies.

-Mya, tu es mon amie.

-Tu me connais à peine. Je ne sais pas qui est "Peter Dorclan" ni ce que James vient faire là-dedans. Je ne sais même pas si tu as des frères et soeurs, ce que tu veux faire dans la vie, quelles sont tes rêves et tes passions. Je ne connais pas ton passé, ni tes aspirations pour le futur. J'ai un peu appris de Vanina, mais je n'en sais pas plus sur Ellen. Les amies ne sont-elles pas sensées se dirent ce genre de choses ?

-Mais... Mya... Nous sommes amies. Nous sommes amies parce que quand nous sommes ensemble nous rigolons comme des idiotes. Nous sommes amies parce que nous nous battons côte à côte. Parce que nous avons la même envie de comprendre les choses, parce que nous nous comprenons. Alors oui, c'est une amitié nouvelle. C'est quelque chose en construction. Ce n'est pas l'amitié que j'ai avec Merry qui dure depuis 4 ans. Je ne te connais pas depuis aussi longtemps que je connais Vanina et Ellen, mais laisse moi te dire une chose. Avant toi, ça là, jamais ça n'aurait pu arriver. Avant toi, je n'aurai jamais demandé de l'aide à Ellen Snyde. Bon sang, je n'avais pas aligné trois phrases avec Vanina avant de te rencontrer. Si on est toutes là, à danser sous la pluie, ensemble, c'est grâce à toi. C'est pour toi. C'est pour être avec toi, qu'on accepte d'être avec les autres, que Merry et Vanina rient ensemble. Que Ellen et moi sommes devenues amies. Tout simplement pour être avec toi. Bon sang, tu as même réussi à rassembler Flynn et James. Même moi, je n'avais jamais fait ça. Et toi, en quelques mois, tu nous rassembles, on devient tous amis. C'est... incroyable. Tu es incroyable, Mya. Ne doute jamais de toi. Et plus que tout, ne doute jamais de nous.

Deotille vint nous voir.
-Vous venez ?

Mya eut un sourire. Elle prit ma main et m'entraina sous la pluie battante, en riant. Je ne sus dire si les gouttes qui coulaient sur ses joues venaient vraiment du ciel, à présent.

***

-Ellen ! Ce n'est pas le bon étage !

Trop tard, elle était déjà entrée dans la chambre d'hôpital. Mya nous avait ramené, il devait être près de 3 heures du matin.

Une voix nasillarde s'éleva de la chambre :
-Qui est-ce ?

-Pardon, je me suis trompée de chambre, murmura Ellen.

Mya murmura : "regarde, elle s'appelle Hariet Bacon"

Ellen sortit de la chambre, très blanche.

-Mon dieu, elle est toute brulée. De partout. C'était affreux.

-On dirait qu'ils ont laissé trop longtemps le bacon dans la poêle.

-Mya ! m'exclamai-je.

Nous éclatâmes de rire, montrant à Ellen du bout du doigt le nom de la sorcière écrit sur l'écriteau de la porte. Ellen et Mya sortirent une suite de blagues sombres, du genre "Je ne veux pas voir la tête de Monsieur Toast" ; "Je me disais aussi qu'il y avait une odeur de petit-déjeuner" ; "Je suis sûre que depuis elle n'a touché qu'à du bacon cru. Tu veux dire pas de bacon fumé ? Non, que du bacon à la fumée.". La fatigue aidait beaucoup à les rendre drôles.

Nous entrâmes dans notre chambre, un étage en dessous. Mya sauta sur son lit, et s'endormit en l'espace de quelques instants. Ellen et moi n'eurent pas cette chance. J'allumai ma baguette au bout d'une demi-heure, avec l'étrange impression d'avoir oublié quelque chose. Ellen se leva de son lit, et vint s'asseoir à côté de moi.

-Il y a un truc qui cloche pas vrai ? lui dis-je

-Le journal !  s'exclama Ellen tout à coup. L'édition du soir !

Nous nous précipitâmes dans le hall d'accueil de l'hôpital. La sorcière de garde nous regarda étrangement un instant. Nous lui demandâmes si elle pouvait nous prêter son journal.

-Gardez-le. murmura-t-elle.

-Merci. fis-je avant d'entraîner Ellen dans le couloir.

- Et, les filles ? s'exclama l'infirmière, tandis que nous nous retournions. Ne prenez pas tout ça pour vous. La plupart d'entre nous savent ce que vaut Kennilworthy.

Ellen la remercia pour nous deux, car j'étais transie de peur, mes yeux parcourant les premières lignes de l'article.  Voyant que je ne pouvais pas avancer plus, Ellen m'arracha le journal des mains et m'netraina à sa suite.

Les quelques mots que j'avais lus m'avaient terrifiée : "... l'histoire la plus extravagante, la plus effroyable et la plus déshonorante qu'il ait été donné à raconter..."

Une fois arrivée dans la chambre, nous nous assîmes sur le lit d'Ellen, dos à la fenêtre. Ellen commença à lire à voix haute :

"Lord Draco Malefoy, ou les liaisons dangereuses"

Mon coeur accélera, malgré le soulagement qui m'envahissait. J'avais eu peur, pendant un instant, de voir dans ses lignes révélées mes origines. J'avais eu peur de connaître enfin la vérité. Peur de cette vérité, comme si ne pas la connaître la rendait moins vraie.

Ellen continua :

"Laissez-moi vous conter l'histoire la plus extravagante, la plus effroyable et la plus déshonorante qu'il ait été donné à quelqu'un d'écrire sur la soit-disant vénérable famille Malfoy.

Tout commence le premier Mai 1998. Faut-il vraiment expliciter le contexte ? Vous-Savez-Qui vient d'être défait par Harry Potter et ses acolytes : Hermione Granger, Ronald Weasley, Neville Londubas et de nombreux autres vaillants combatants de la célèbre bataille de Poudlard. Draco Malefoy pour sa part, s'en sort sans trop de dégats, aucun membre de sa famille n'est envoyée à Azkaban, malgré le témoignage de Harry sur Malefoy père : Lord Lucius. Draco retourne donc à Poudlard durant l'année 1999 pour obtenir ses ASPICs, qu'il réussit avec brio.

C'est durant cette dernière année dans notre très chère école, que M. Malefoy recontre la délicieuse Astoria Greengrass, avec laquelle il entretiendra une relation jusqu'en 2002. En février 2002, la jeune sorcière décide en effet de partir faire un tour du monde, alors que Draco Malfoy venait de lui faire sa demande en mariage.

C'est alors que commence l'errance de notre Lord qui - comme chacun sait - devient major de sa promo de l'Institut National de la Médicomagie en août 2002. Il semble donc décidé à oublier notre belle Astoria, se réfugiant dans le travail, enchaînant les interventions, publiant des livres, écrivant des lois, durant la période la plus prolifique de sa carrière.
C'est à la même époque - à l'apogée de sa gloire - qu'il décide de remettre le bout de son nez dans la haute société, de laquelle - hors des bal de Noël traditionnel des Malfoy - il avait complètement disparu.

Et nous arrivons petit à petit à août 2003. Le 28 août 2003, dans le très réputé restaurant "Ecailles de Dragons". Le médicomage fête avec quelques amis son prix de Médicomage de l'année 2002, grâce à sa découverte d'une mixture révolutionnaire contre la dragoncelle. Draco Malefoy est ainsi accompagné par Blaise Zabini et son ami Dorian Cadwallader-..."

-Cadwallader, comme Alfred Cadwallader ? coupai-je Ellen

-Son oncle, si j'ai bien suivi ce qu'il m'a raconté...

-Wow, tu connais déjà sa famille. Les choses vont vites entre vous.

Ellen se contenta de rouler des yeux avec tout le dédain que ses pommettes rougies lui avait laissé, et reprit sa lecture :

"... ainsi que Gregory Goyle et... Pansy Parkinson"

-Oh, non. s'exclama Ellen. Non, non, non, non. Ne me dis pas que...

-Quoi ? demandai-je, mais déjà, Ellen avait repris sa lecture.

"Comment vous décrire la soirée, chers lecteurs ? Ce que je m'apprête à vous révêler m'a tellement surpris que je ne sais quels mots employer. Les meilleurs sont les plus simples, je me lance :
La soirée fut conviviale et festive, couverte de Wisky-Pur-Feu et de rires. Les cinq amis quittèrent le restaurant vers dix heures et demie, et chacun rentra chez soi, de son côté. Ou plutôt, il aurait été préférable que cela se passe ainsi.
Mais c'était sans compter sur Pansy Parkinson.

Pour ceux qui ne connaissent pas Mademoiselle Parkinson, elle peut se résumer à deux charactéristiques : bête comme ses pieds, et amoureuse depuis l'enfance et  jusqu'à la mort de notre ami, le Lord Malefoy.
Et c'est là que gît le niffleur, comme on disait dans le temps. Pansy invite Draco à boire un dernier verre chez elle, et le sieur Malefoy ne ressort que le lendemain matin de l'appartement londonien, si vous voyez ce que je veux dire.
"

-Non, non, non, non. reprit Ellen. Pitié non.

Avant que j'ai pu la questionner, elle reprenait déjà :
"Et là, vous vous demandez pourquoi votre journaliste, jusqu'alors toujours rigoureux et ne dévoilant jamais les vies privées de manière désobligeante, se met à écrire un article qui aurait facilement sa place dans l'un de ces magazines people bien peu portés sur le respect des individus, pas vrai ? Chers lecteurs, permettez moi de vous demander encore un peu de patience, la surprise n'en sera que meilleure. Sachez simplement que votre dévoué journaliste n'a pas écrit son dernier mot sur cette histoire.

Revenons à la délicieuse - mais néanmoins tête en l'air - Pansy Parkinson. Il est des sorcières - sachez-le messieurs - qui oublient de prendre leurs potions périodiques. La malheureuse Pansy étaient de celle-là.
Cependant, elle ne s'aperçut de sa grossesse qu'en Mai 2004, puisqu'elle a fait ce que l'on appelle communément un déni de grossesse. Elle met au monde le 17 Mai 2004, une petite fille portant le nom de Emilyana Melissandre Malefoy-Parkinson."

-Ohh non. souffla Ellen

Encore une fois, elle lisait avant que j'ai pu lui poser une question.

"Durant l'accouchement, elle fait appeler Lord Malefoy, le père de la sorcière qui pointait lentement mais sûrement le bout de son nez.
Seulement devinez qui est repparu depuis Noël 2003 dans la vie de Draco ? Cette chère Astoria Greengrass, qui venait en Mai 2004, d'accorder sa main à Lord Malefoy, enceinte depuis peu de l'enfant qui s'appellera par la suite Scorpius.

Et voilà le tableau : le jeune Draco, âgé de 24 ans seulement, et déjà sur la voie pour être père de deux enfants dans deux familles différentes.

Pansy Parkinson, dans son infini générosité pour son amour de toujours Lord Malefoy, décide, en apprenant le retour de Madame Greengrass dans le coeur et le foyer Malefoy, de tout lui cacher. Elle fuit en France avec sa fille tout juste née et-
"

Mya remua dans son lit, et Ellen se retourna brusquement, vérifiant qu'elle n'était pas réveillée. C'est là qu'un doute horrible, irrépressible, s'insinua dans mon esprit : se pourrait-il que ...?

-Ellen, continue. murmurai-je.

-Tu as enfin compris. murmura la Serpentarde.

Ellen continua sa lecture, mais nous savions toutes deux ce que le scribouillard s'apprêtait à nous révéler après des tours et des détours.



____
ALOOORS ?

Qu'en pensez-vous ? Vous avez compris ?
Cette révélation est une des premières scènes que j'ai imaginée. Je suis super heureuse de l'avoir ENFIN écrite.

Tam_Hope du coup, c'est bien O_Souiker qui va devoir payer le McDo. :)

Aller, à dans deux semaines (normalement)

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