Marie Lorena Tom Jaemin
Nous retrouvons nos quatre héro dans cette salle au sommet d'un des plus hauts immeubles de Paris.
A part eux plus personne ne se trouve dans ces bureaux luxueux alors ils quittent celui dans lequel ils se tiennent et chacun se répartie les taches pour faire le plus de dégât possible le plus rapidement possible.
Tom et Jaemin se précipitent dans le plus grande espace qui se trouvent être celui des parent du premier et s'affairent à tout saccager. Marie prend beaucoup de plaisir à fracasser sur le sol tous les mac hors de prix qui rencontrent son chemin, s'emparant d'une chaise, elle la lance sur une imprimante avant de la reprendre et de la faire tournoyer, envoyant ainsi une étagère s'écraser sur le sol. Lorena quand à elle, s'en prend aux dossiers classé importants qu'elle a pu trouver en les passants dans un outil fort utile nommé broyeuse. Elle finit par arrêter, énervée par le trop grande lenteur de l'appareil et l'envoi rejoindre le bitume quelque cents mètres plus bas en détruisant la vitre.
Tout cela semble beaucoup amuser notre asiatique, qui pour une raison inconnue même de lui se met à chanter la chanson fort connue de la reine de neiges, Libérée délivrée. Il est tout de suite rejoint par les deux filles.
C'est dans ce joyeux chaos sonore et visuel ou volettent un peu partout des feuilles et lambeau de papier que débarquent les hommes d'affaires occupant cet étage, déjà énervés par la fausse alerte de l'alarme.
-Oups ! s'exclame Marie avant de hurler à ses compagnons d'amusement : Dépêchez vous on se tire !
Et nos quatre amis se précipitent vers l'escalier sous les cris des parents de Tom et Jaemin qui ont reconnu leur progéniture. Ceux du premier garçon lui promettent de le déshériter tandis que ceux du deuxième crachent des insultes dans un mélange de français et de Coréen du plus bel effet. Mais c'est trop tard : les quatre fautifs se sont déjà échappés, passant in extremis la sécurité.
Ils courent actuellement dans les rues laissant leurs pas les guider naturellement vers le parc ou une fois arrivés ils s'effondrent sur leur banc, hilares.
La poussée d'adrénaline dans leurs veines les rends euphorique et les empêchent de réaliser ce qui vient de se passer par leur faute. Ils ont détruit pour quelques dizaines de milliers d'euros de matériel électronique et de dossiers importants et peut être bien détruit la carrière des géniteurs de deux d'entre eux.
-On se remet ça quand vous voulez ! Déclare la gothique.
-Eh bien on fait ça tout de suite ! Je te rappelle qu'on doit rendre visite à mon collège
-Carrément ! s'exclame Tom. Mais qu'est ce qu'on pourrait faire ?
C'est une excellente question qui se pose là maisla réponse qui vient après quelques minutes de réflexion et de débat est encore meilleure, c'est une réponse folle, une réponse qui est venue de nombreuse fois à l'esprit de nombreux adolescents mais que eux comptes bien mettre à exécution pour de vrai.
Nos protagonistes se précipitent vers le supermarché le plus proche pour acheter les objets nécessaires à leurs plans s'attirant les regards soupçonneux de la vendeuse qui les fait passer caisse. Mais ils ne s'en préoccupent pas et ils se mettent en route vers l'établissement scolaire qui se trouve être leur cible en ayant bien pris soin avant de récupérer des sac à dos chez Marie pour pouvoir se faire passer pour de simple adolescents se rendant au collège et pour dissimuler les éléments de notre future forfait.
Ils rentrent dans le bâtiment sans aucun problème comme le leur avais promis Marie et se dirigent dans un coin de la cour de recréation pour fignoler leur plan. Ils se demandent à quel endroit du collège ils doivent se rendre pour qu'il se réalise sans encombre, ils arrivent finalement à la conclusion qu'une salle de classe vide conviendra très bien.
- Heu ouais mais comment on va faire pour rentrer ? Les salles doivent êtres fermés à clés non ? demande Tom.
- Vous inquiétez pas je sais crocheter une serrure ! lui répond Jaemin.
Ses camarades le regarde de travers, perplexes et il répond en haussant les épaules d'un air de dire "me demandez pas pourquoi vous ne voudriez pas savoir".
-Bon direction le labo de physique, à cette heure il n'y a personne ! propose Marie
La sonnerie à retentit depuis une dizaine de minute déjà ce qui leur permet de se déplacer dans les couloirs désert sans se faire remarquer et d'entrer par effraction dans la salle de cour en toute discrétion.
Ils y sont enfin, à la fin de leur vengeance, tout est près, ils ont empilé des blouses trouvées dans un coin de la pièce et l'ont aspergé de l'essence acheté plus tôt. Ils n'ont plus qu'un geste à faire et ils le feront, cet acte fou, incroyable. Ils vont le faire, plus rien ne les en empêche, rien du tout. Leur cerveau à tous est en ébullition, ils hésitent à sauter le pas mais savent que ce n'est qu'une question de minute avant qu'il ne passe de l'autre côté de la barrière, la barrière des gens sain d'esprit et bien comme il faut. La barrière entre ceux que l'on nomme les monstres de la société et les vrais monstres de ce monde, ceux qui les ont créés.
C'est Jaemin qui se décide en premier, il actionne la roulette de son briquet, vite suivie par les autres chez qui toute trace d'hésitation à disparue. Ils s'éloignent le plus possible du future bûcher avant de tous lancer en même temps leur petit allume feu et de ce précipiter le plus loin possible de leur méfait.
Ils sont là depuis une petite heure dissimulés derrière des arbres non loin du brasier qu'ils observent, satisfaits. Le feu a dépassé toutes leurs attentes, ravageant le bâtiment très vite et donnant actuellement beaucoup de fil à retordre aux pompiers.
Nos héros sont soudain pris d'un fou rire incontrôlable, ils l'ont fais, ils sont devenue des criminels, des monstres. Mais ils ne le regrettent pas, loin de la. Ils sont plus heureux que jamais, une joie proche de la démence mais bien méritée. Après tout, n'est ce pas eux qui ont progressivement été détruits à l'intérieur par tout ces gens, n'est ce pas leurs vie qui ont été réduites en cendres quand ils ont pénétrés dans leurs établissements scolaires respectifs ?
- Bon ! Fais Lorena. On doit y aller maintenant, il s'agirait pas d'être en retards quand même !
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