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Chapitre 66 - Emma

Média : Indiana Evans ( Emma ) & Harry Styles ( Ryan )


Ryan et moi marchons depuis pas mal de temps maintenant. Nous n'avons pas prononcer un seul mot depuis que nous sommes sortis du campus. Après la violente dispute qu'on eu Eddy et Ryan devant mes yeux , j'avais juger bon de nous aérés les esprits en nous baladent au hasard. Marché pour oublier. Marché pour le calmer.

Je suis toujours agripper au bras de Ryan et je suis agréablement bercer par nos bousculades réguliers de notre marche à pied. Ryan frappe le bitume doucement pour faire en sorte que la cadence ne soit pas trop rapide pour mes jambes plus petites que les siennes. Ses poings fourrer dans ses poches , il ne semblent pas perdre l'équilibre alors que je prend de plus en plus appuis sur lui tant je commence à avoir mal aux pieds.

- Où est ce qu'on va je demande au bout d'un moment.

- Tu verra. Il me jette un regard. Tu en à marre ?

- Moi non. Mais mes pieds , oui plaisantai-je pour détendre l'atmosphère.

- Nous sommes bientôt arrivés de toute manière répond t-il en haussant les épaules.

En regardent autour de nous , je constate que les environs sont complètement différent des quartiers chic de New York. Tout au long de notre route , j'avais déjà remarquer le paysage changer au gré de nos pas mais , perdu dans mes pensées , j'avais fini par ne plus y prêter attention.

Nous nous trouvons dans un quartier de classe pauvre si j'en crois les maisons en piteuse état , les par terre d'herbes non entretenue et les arbres défraîchis. Nous croisons même parfois quelques personnes qui ont visiblement l'air déprimer. Je sens mon humeur changer moi aussi alors que nous nous engouffrons dans une rue où toutes les maisons sont dans le même état pitoyable. Je ne comprend absolument pas ce que nous venons faire ici.

- Où est ce qu'on ai ? Je m'agrippe d'avantage à son t-shirt. Qu'est qu'on fait là Ryan ? m'enquis-je.

- Eh bien lâche t-il en soufflant , tu n'a pas une petite idée de ce qu'ai ce foutu endroit ?

Je réfléchi alors que nous ralentissons le pas. Ryan lâche un rire bizarre. Un rire jaune. Le son me parvient mais l'humour qui aurait sensé être présent dans sa tonalité est absent. Son rire sonne faux. Mon cerveaux tourne à plein régime pour tenter de deviner où nous nous trouvons mais aucune idée ne me viens à l'esprit. Comment avons nous pu atterrir ici alors que j'avais dans l'intention d'apaiser Ryan ? Ou tout cela nous mène t-il ?

La posture nerveuse de Ryan , ses yeux sévères et ses muscles contractés me laisse deviner que ce quartier ne présage rien de bon.

- Non répondis-je alors seulement.

Nous nous sommes arrêter maintenant. Mes yeux sont toujours river sur Ryan alors que les siens sont braqués sur une maison blanche juste devant nous et où la peinture jaunis et aux fenêtres brisés lui donne un air de maison abandonnée. Voir même hanté...

- Viens m'ordonne t-il en tirent fermement sur ma mains pour que je le suive. Je veut te montrer quelque chose. 

Je le suivrais n'importe où s'il me donnerais de bonnes raisons mais là tout de suite , rien de ce quartier maudit ne me rassure et Ryan ne laisse aucune indications sur l'endroit où nous nous trouvons. Qu'est ce qui pourrait bien avoir ici de si intéressent que Ryan voudrais me montrer tout de suite alors que je le sens clairement sur les nerfs après l'épisode Eddy ? 

Ryan nous fait contourner la maison par une petite ruelle menant au jardin de la maison juste derrière et je sens ses doigts serrer ma main avec de plus en plus de force. 

- Ryan , je ne suis pas très à l'aise ici.

- Tu m'étonne je l'entend marmonner entre ses dents. 

- On est chez qui ici ? J'évite de justesse une branche sauvage remplie d'épines. Seigneur , s'il y a des insectes je risque de hurler.

- C'est pas la petite bête qui va bouffer la grosse râle t-il en s'immobilisant en plein milieu d'une cour dévaster par de mauvaises herbes. On y est déclare Ryan.

En regardent autour de moi , je remarque immédiatement la clôture métallique rouiller depuis longtemps si j'en crois la couleur rougeâtre des fers entrelacer forment des milliers de petits losanges. Du lierre recouvre certaines parties du grillage.  Je remarque également une cabane en bois démolie au fond du jardin presque entièrement recouvert de feuillages. 

Je lâche doucement le t-shirt de Ryan pour m'engouffrer dans l'herbe afin de m'approcher prés d'un vieux bac a sable surement remplie de bactérie encore non identifier par les scientifiques lorsque ensuite je manque de trébucher sur quelque chose de dure. 

- Aie ! 

Lorsque je me penche pour découvrir l'objet qui a bien faillit me faire tomber , je suis étonner de découvrir un vieux jouet pour enfant. Un camion de pompier si j'en juge par la minuscule échelle blanche et casser percher sur le haut du véhicule rouge.

En main , le jouet me parait en bonne état malgré quelques taches de rouille et l'échelle endommager. Un petit coup de peinture rendrais toute la beauté dont cet objet mérite. Il ferais surement le bonheur d'un enfant. 

- Regarde Ryan , c'est un...

Mon sang se glace instantanément quand je tourne les yeux vers lui. Si bien que je ne parvient même plus à me souvenir ce que j'avais l'intention de lui dire.

Ryan se tient dans l'encadrement d'une porte baie vitré ouverte. Le dos parfaitement droit et tendu. Les poignets aussi rigide qu'une barre de fer et les poings aussi dure que de la pierre. Je ne peut pas distinguer son visage mais je peut cependant sentir toute la tension qui l'habite en ce moment même.

En quelques enjamber , je suis déjà prés de lui , prête à recevoir les foudres de la colère dont la raison reste encore inconnue à mes yeux. Ma main glisse doucement dans le creux de ses reins. Je peut sentir à travers le tissus fin de son t-shirt que les muscles de son dos doivent probablement être douloureux tant ils me semblent tous très tendu. 

Quand il se tient aussi droit , je me sens si petite à ses cotés. Ça en est presque gênant. Je masse minutieusement le bas de sa colonne vertébral pour le détendre lorsque je réalise que je n'ai plus aucun doute. Ryan connait bien cette maison. 

- Ryan fait-je timidement.

- Mhh ?

- Ou est ce qu'on ai ?

Alors que je croyais les muscles de son corps complètement et entièrement contracter , ses derniers se sert encore plus sous mes doigts. La chaire de poule commence a recouvrir la peaux blanchâtre de mes bras.

- On est chez moi lâche t-il comme si cette annonce étais la chose la plus evidente du monde.

Comment un endroit aussi délabré que celui ci pourrait abriter quelqu'un ? Ce n'ai pas possible , cette maison me parait abandonnée depuis des année. Comment est ce qu'il pourrais habiter ici ? Je n'y comprend plus rien.

- Comment ça , "chez toi" répétai-je ?

- Ouais dit t-il froidement. C'est ma putain de maison. L'endroit où j'ai grandit.

Oh !

- Qu'est ce qu'on fait ici ? Pourquoi ta maison est dans cet état ?

Je suis totalement perdue.

- Elle est aussi défoncer car plus personne n'y a foutus les pieds depuis un moment maintenant.  Elle n'ai plus entretenue depuis des lustres. Elle est quasiment abandonnée en faite...

- Quasiment ? demandai-je incrédule. 

Cette fois Ryan me regarde enfin droit dans les yeux. 

Les traits de son visage sont effroyablement tirés. Ses sourcils n'ont jamais étais aussi froncer depuis que je l'ai rencontrer. Les prunelle bleu de ses yeux me paraisse bien plus sombre que d'ordinaire. Ce qui me provoque un long frisson tout le long de mon dos. Le muscle de sa mâchoire se crispe sévèrement alors qu'il sert rageusement les dents.

- J'y viens parfois. Mais je n'y étais jamais entrer avant.

- Alors... Je ... Enfin , pourquoi m'avoir emmener ici ?

Je l'entend et le vois prendre une profonde inspiration avant de le sentir me tirer la main une nouvelle fois. Nous nous éloignons de l'entrer arrière. Je m'attendais à ce qu'il prenne l'initiative d'entrer à l'intérieur mais je suis soulager de voir que ceci n'ai pas prévu dans son programme. 

Je me sent tellement mal à l'aise ici , dans son jardin d'enfant que je ne me sentais pas le courage d'entrer dans la maison qui à sans aucun doute étais le témoin des atrocités que lui faisais subir son père. 

- J'en sais rien lâche t-il en shootant dans un bouchon en plastique abandonné lui aussi. J'avais envie... J'avais besoin que tu vois. Je ne serais pas foutu de t'expliquer avec des mots.

D'ici , je remarque une roue rouiller et voiler d'un vélo engloutie par les mauvaise herbe. Je me précipite pour la sortir de terre , heureuse d'avoir trouver un nouvelle objet appartenant à celui que j'aime. A celui qui me semble beaucoup trop tourmenter à ce moment précis.

- Est ce que c'étais à toi je demande en arrachant bon nombre de feuilles morte du vieux vélo Bike. Tu sais rouler ?

- Qu'est ce que tu crois ris t-il nerveusement en me regardent me débattre avec les rayons de la roue voiler. Pourquoi diable est ce que tu crois que j'avais un vélo si c'étais simplement pour le foutre la ? 

- J'en sais rien dit-je à mon tour. J'enfourche le vélo après avoir vérifier par deux fois qu'aucune araignée n'y avais élue domicile. J'ai juste du mal à t'imaginer sur un vélo je glousse.

J'ai juste du mal à t'imaginer avoir vécu ici ai-je envie de lui avouer. 

- Quand j'étais petit , j'avais taper une crise pour que mon connard de père m'achète une bicyclette. Il pose son pied sur un des boulons de l'arc noirci. Bien sur , il à refuser. Alors je l'ai voler. 

- Et ?

- Et ... Et tu ne devrai pas savoir ce qui c'est passer ensuite. Je trésaille automatiquement.  Seulement , mon père ne m'a pas obliger à rendre le vélo alors je l'ai garder. Tout les jours , je me disais que si un jour  je partirai d'ici , je l'emmènerais avec moi.

- Tu ne la pas fait compris-je.

- Ouais. Je l'ai pas fait répète t-il tristement. Je me suis barrer tellement vite , que je n'y avais même plus penser. 

Je ne trouve rien à répondre à cela. Que pourrai-je bien dire qui puisse être approprier à la situation de toute façon ?

- Tu vois , le truc reprend Ryan. C'est que le jour où j'ai enfin eu les couilles de me barrer , je n'étais ni soulager , ni heureux de quitter cette maison de merde.

- Ah non ?

- Non. J'avais juste... La haine crache t-il. J'avais la haine comme jamais je ne l'avais ressenti. J'étais furieux sur ce connard d'avoir gâcher mon enfance et de m'avoir forcer à agir ainsi. 

La portée de ses révélation me pétrifie sur place. J'ai le sentiments que Ryan ne devrais pas me raconter ses souvenirs si intime pour lui. Même si je suis heureuse qu'il est suffisamment confiance en moi pour me les révélés , je suis horriblement gêner. Je ne suis pas sure d'être capable d'en entendre d'avantage de sa bouche. Je ne suis pas prête. Je n'ai pas le cran...

- Pourquoi est ce que tu me raconte tout ça demandai-je enfin.

Ryan se rapproche de moi. Ses yeux bleu se plante intensément dans les miens. J'ai presque l'impression de pouvoir voir au fond de lui tant je me perd dans l'océan de ses iris envoûtantes.

- Parce qu'avant aujourd'hui , je n'e m'étais jamais autant sentie nerveux que depuis ce jour Emma. Tout à l'heure , j'étais tellement furax après Eddy que j'ai du méchamment lutter pour ne pas lui refaire le portrait.  

Sa main se pose sur mon bras engourdi. Il reprend :

- J'étais dans un tel état d'énervement que je suis presque persuader que si tu n'avais pas étais la , j'aurais pu envoyer Eddy à l'hôpital. Je suis sérieux reprend t-il alors que je déglutie difficilement. J'aurais vraiment pu lui faire mal. Beaucoup de mal...

- Tu ne l'a pas fait essayai-je de le rassurer.

- Mais j'aurais pu. J'en étais capable. J'en avais envie.

- Qu'est ce que ça change ? Tu est ici , avec moi et tout le monde se porte bien. Pourquoi s'attarder sur ce qui ne c'est pas produit ? 

Avant que je ne m'en rende compte , le vélo est lâchement abandonné sur l'herbe et je me retrouve emprisonnée dans les bras puissant de Ryan , mon visage à quelques centimètres du sien. 

- J'avais tellement peur qu'en l'écoutant , tu t'aperçoive que tu serais mille fois mieux avec un type comme lui m'avoue t-il. Il est l'opposé de moi même. Il n'ai pas violant pour deux balles. Ses doigts s'enfoncent dans ma chaire. Moi je ne pourrais jamais te promettre de ne pas l'être. 

Mon cœur rate un battement. Est t-il en train de me dire qu'il pourrais un jour lever la main sur moi comme il avais eu l'envie de le faire avec Eddy ? 

Comme s'il avais entendu mes intégrations mental , il répond de lui même à ma question.

- Je ne te ferais jamais de mal physiquement Emma. Putain , jamais je ne ferais ça ! Mais je ne pourrais pas te garantir de t'en faire moralement. Parce que je ne suis pas comme lui. Il t'aime bien , c'est un mec gentille...

- Arrête ça fait-je en baissent les yeux sur les veines de son coup qui remue légèrement aux rythme de ses paroles. Je m'en contre fiche qu'il soit adorable ou non. 

- Attend me coupa t-il d'un doigts ferme devant mes lèvres. J'ai eu peur que tu me quitte a cause de mon tempérament. Il prend quelques secondes pour réfléchir à ses paroles. Tout ça , là... Cette maison est directement liée à mes crises. Je ne serais jamais aussi gentille que les autres mecs du campus. Car on ne m'a pas appris à l'être. 

Je baisse les yeux. Parce qu'au fond de moi , chaque parcelles de mon organisme lutte pour ne pas me laisser submerger par les émotions qui m'envahissent. Je suis partager entre le bonheur de la confiance qu'il place en moi et par le tiraillement qui le ravage. Tout ces sentiments forment un mélange de sensation beaucoup trop intense pour mon cœur. 

- Mais tu est rester ajoute t-il en écrasent sa bouches sur mon front. Tu est rester avec moi alors que tu me savais capable de frapper qui que ce soit qui s'interposerais entre moi et mon amour pour toi et tu m'a détourner de ma rage. 

- Je suis la dit-je timidement alors qu'une larme roulent sur ma joue

- Tu est la chuchote t-il en semant des centaine de petit baisé sur le sommet de mon crane. Mais tu dois savoir une chose Emma.

Je relève brusquement la tête. Je suis tout d'un coup horriblement angoisser à l'idée de ce qu'il pourrais encore me révéler. Mon imagination se fait déjà un filme où un cadavre serais enterrer quelque part par sa faute.

- Je t'écoute balbutiai-je.

- Si tu veut rester avec moi , tu dois savoir qu'il y aura certainement d'autres foutus moments où tu sera amener à devoir me calmer. Sa main descend dans le creux de mon dos comme pour m'empêcher de m'enfuir. Il y aura forcement des moments où j'aurais envie de frapper quelque chose ... Quelqu'un... Parce que je suis fait comme ça.

- Pourquoi moi fait-je sans que je ne réfléchisse à la question.

- Parce que depuis des années , tu à étais la seule à savoir me détourner de ma violence Emma. La seule...

Mon cœur s'arrête.

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