Chapitre 50 - Ryan
Média : Harry Styles ( Ryan )
Musique de fond : No woman , no cry d'un artiste que je ne connais pas.
Je réprime un fou rire quand j'aperçois les yeux rouge et gonflés d'Olivia me mitrailler des yeux quand je gare ma voiture juste devant elle.
- Ferme la Ryan , je ne suis absolument pas d'humeur.
- Je n'ai rien dit m'exclamai-je en lâchant le volant.
- Non mais tu pence trop fort.
A bon ? Alors a t-elle entendu ce qui ce tramais dans mon esprits trente seconde avant de me garer ? A t-elle entendu a quel point je me délectais du gout que m'a laisser la langue d'Emma sur la mienne ?
Je gigote sur mon siège comme un attarder en redémarrent ma voiture avec plus de puissance que je l'aurais voulu. Je suis aussi excité qu'une puce. J'ai envie de tout balancer à ma meilleure amie de toujours mais j'ai aussi envie de la faire mijoter. Juste un peu... Voir ses jambe trésauté d'impatience ma toujours amusé.
- Bon , accouche.
- Je croyais que je devais fermer ma gueule ?
Olivia me donne un puissant coup de poing dans le bras , ce qui fait dévier ma caisse de quelques centimètres.
- Eyh criai-je. Pourquoi t'a fait ça ?
- Parce que tu te fiche de moi ! Tu sais que je ne suis pas connu pour être patiente.
- Tu n'ai pas connu tout cour je rigole.
- Redit moi ça pour voir ?
Je ferme ma gueule. Olivia à beau ressembler à une asperge sur pattes , elle est doté d'une force remarquable quand il s'agit de botté le cul de quelqu'un. Je garde souvent des bleu dont elle est l'auteur un peu partout sur le corps. Un jour , elle n'a pas apprécier que je compare sa coiffure à une électrocution causer par une prise électrique. Ce jour la , j'ai cru que j'allais perdre une couille.
- C'est bon.
Le reste du trajet se termine en silence. Ce n'ai qu'une fois revenue devant sa fraternité que nous recommençons à parler. Enfin parler est un bien grand mot. Je dirais plutôt que je subit un véritable interrogatoire digne des plus grands filmes policier.
- Bon sérieusement , tu compte me dire ce qui c'est finalement passer ?
- Non feintai-je de bonne humeur.
Olivia croise ses bras sur sa poitrine et s'enfonce dans son siège alors que je me retiens de toutes mes forces pour ne pas éclater de rire. Allez savoir pourquoi , elle à toujours cette moue ridicule quand elle essaye de bouder mais que son subconscient lutte pour obtenir ce qu'il désire et c'est à mourir de rire. Elle ne ressemble à rien.
- Oh aller la poussai-je du coude. Je rigolai. Qu'est ce que tu veut savoir ?
- Est ce que je vais avoir des poches énormes sous les yeux demain matin pour une bonne raison oui ou non lance t-elle indigner. Voila ce que je veut savoir.
- Connais tu quelqu'un capable de résister à mon charme naturel ?
Ses yeux s'agrandissent aussi largement que sa bouche. Attention , cris strident dans : cinq , quatre , trois , deux ...
- OH MON DIEU EST CE QUE TU EST SÉRIEUX ?
Je fronce les sourcils mais je suis incapable de m'empêcher de sourir comme un con. C'est dingue. Complètement dingue. Comment une simple partie de roulage de pelle à pu me rendre dans un tel état d'euphorie ?
- Vous êtes ensemble ? Elle marque une pose et tend les bras sur le mien toujours agripper au volent. Genre , en couple ? Vraiment...
- Respire. Je ne tiens pas à traîner ton cul à l'hosto pour une syncope ou une autre connerie dans le genre.
- Dit moiii. Vous vous êtes mis ensemble ?
Putain de bon Dieu. Si quelqu'un passerais dans le coin , je suis sur qu'il penserais qu'Oli' et moi serions deux commères en train de parler lingeries comme des millier des gonzesses indisposées. Bordel , je suis un mec et les mecs ne parlent certainement pas de ce genre de chose entre eux.
Devrai-je lui parler de la paire de couilles qui dort dans mon froc ?
- Sortir ensemble est un bien grand mot.
- Comment ça demande t-elle en perdent tout l'enthousiaste qui illuminais son visage sous la faible lumière de ma voiture.
- On ses rouler quelques pelles. Mais on ne sais pas vraiment dit ce qu'on étais l'un pour l'autre , tu vois ?
- Et alors ? Il te faut un papier attestent que vous vous unissez l'un l'autre ?
Je rigole en tripotent nerveusement mon levier de vitesse. Je n'ose pas lui dire que me considérer comme " en couple " m'effraie. Je ne suis pas un con , je sais ce que cela veut dire mais c'est justement ça le problème.
Parfois , des personnes se cherchent pendant x temps avant de se décider à se foutre ensemble. Parfois c'est beau et parfois ça nique tout. Toute la magie des premiers rencart s'évaporent aussi vite qu'elle s'étais installer.
Et si tout changer entre elle et moi ? Et si , plus rien n'étais pareille ? Et si plus rien n'avais le même gout prés d'elle ? Je ne veut pas que les choses s'officialisent si c'est pour qu'une sortent de routine s'installe entre nous. Aujourd'hui c'est encore frais. C'est beau. Mais sera t-il encore le cas lorsque les choses deviendrons sérieuses ?
Sans parler que je suis quelqu'un de jaloux même si je ne lui avouerais jamais. Si Emma persiste à vouloir fréquenter Eddy alors qu'elle sais pertinemment qu'il crève littéralement après son cul , les choses risquent de mal se passer pour chacun de nous.
Je regarde la porte de leurs maisons comme si Emma allais en sortir à tout moment mais vu l'heure , je suis quasiment sur qu'elle doit dormir. Rêvera t-elle de moi ?
Bon sang. Ça ne fait même pas trois heures que nous nous sommes quitter et me voila déjà en train de réagir comme une pucelle...
- On ne peut pas juste ... voir comment les choses se passent ?
- C'est une question sourit Olivia.
- J'en sais rien. C'est juste que je me vois mal lui balancer " Eyh , officialisons les choses , sortons ensemble ! " braillai-je avec une voix de merde. Plutôt crever.
- Peut être que si tu réfléchie , tu trouvera une autre façon de lui faire comprendre que tu veut être avec elle. Exclusivement.
Exclusivement pensai-je.
- Ok alors , je lui demande directement qu'elle me coupe les couilles et qu'elle tatou son prénom directement sur mon front. Ça ira plus vite.
- Qu'est ce que tu veut dire à la fin s'impatiente t-elle.
Je souffle en choisissent précautionneusement mes mots.
- Rien. Juste , maintenant que j'y pence. Je me demande si c'est une bonne idée.
- Mais pourquoi ? Cette fois ci , elle est vraiment énerver. Si tu l'apprécie tant que tu me la raconter hier , pourquoi est ce que tu ne te mettrais pas avec elle ?
- Parce que j'ai pas envie de tout foutre en l'air Oli' m'énervai-je à mon tour. Tu comprend pas. Elle est spécial.
Elle reste silencieuse , attendant que je poursuivent mes explications. Ma voix tremblent , mon cœur palpites. Je ne sais pas ce qui m'arrive.
- Ça fait des jours que je pence a elle comme un dingue. Et puis je la connais même pas cette nana. Elle m'a fait chier comme pas permis et pourtant je continue à avoir envie d'être proche d'elle. J'arrache un bout de cuir du volant. Je ne suis jamais vraiment sortie avec une gonzesse à proprement parler. J'ai passer mon temps à baiser tout ce qui bougeait dés que j'ai appris que ma bite ne me servait pas seulement à pisser. J'ai jamais ressentie de sentiments pour qui que ce soit. Vos putains de coups de foudres comme vous aimez les appelais , vous les filles , je ne les connais pas. Parce que je n'en ai jamais eu. Des coup d'un soir , ça ouais , ça me connais mais tu me demande de plonger tête la première dans l'inconnue et je t'avoue que je suis pas complètement rassuré à cette idée. Je prend une grande inspiration. J'ai peur d'aller trop vite , de tout niquer. J'ai peur de faire le con et de la perdre Oli'.
Quand le derniers mot franchi la barrière de mes lèvres , je me rend compte que je ne parle plus. Je hurle. C'est comme si mon cerveau s'étais complètement endormie et avais laisser les directions à mon cœur. C'est comme si tout mes sentiments ne demandais qu'a sortir depuis des jours . Je dégueule un flot de paroles incohérente à ceux qui n'habite pas mon âme.
Je ne regarde pas Olivia. Je garde les yeux fixé sur mes ongles. Je n'ai tenue des propos pareille pour une fille. Encore moins devant ma meilleure amie. Je ne connais pas le genre de réaction qu'elle pourrais avoir devant mes aveux. Elle pourrais très bien se foutre de ma gueule comme me traîner par les cheveux jusque dans sa chambre pour avouer tout ça à sa colloc.
Je tourne finalement ma tête et ma respiration s'arrête net. Oli' sourit , le cœur au bord des yeux.
-Ben... Qu'est ce qu'il t'arrive je demande choquer en me penchant vers elle.
- Est ce que tu t'es entendu Ryan ?
Est ce possible de parler sans s'entendre soit même ?
- Ouais...
- C'étais tellement beau. Elle renifle.
- Tu pleure ? J'effleure sa joue du bout des doigts. Sérieusement Oli' m'étonnai-je. Tu chiale vraiment !
J'allume la petite lumière du plafonnier en moquette grise pour mieux l'observer. Seigneur , ses yeux sont encore plus bouffie que tout à l'heure et encore plus rouge. De grosse larmes débordent de ses cils pour rouler sur ses joues jusqu'à tomber sur son chandail beige. Elle est toute rouge bordel !
- Arrête de me regarder comme ça , crétin pleurniche t-elle. J'ai un cœur , en cas ou tu ne l'aurais pas remarquer. Elle glousse en passent sa manche sous ses yeux. Je suis émue , c'est tout.
Je n'en revient pas...
- Et alors ? Je ne t'ai pas annoncer que j'allais me marier.
- Non mais ... Seigneur , ferme la Stélla crache t-elle en ouvrant la vitre de sa porte pour laisser l'air sécher ses larmes.
Je reste sagement silencieux le temps qu'elle cesse de pleurer pour un truc aussi... Bizarre. J'ai souvent vu Olivia pleurer durant toutes les années passer avec elle mais jamais parce qu'elle considérer mes paroles romantiques. Jamais parce qu'elle me trouvais émouvant.
- Il faut que tu arrête de paniquer pour ça Ryan. Elle me regarde droit dans les yeux. Je suis sérieuse. Elle te change. Dans le bon sens , j'entend. Prend ton temps si tu veut mais laisse les choses se faire d'elles même. Elle souris. Si tu l'aime comme je le crois alors tout ira bien. Je te le promet.
Je suis mal à l'aise mais je sourie tout de même. Je crois que je suis en train de rougir. Mes joues me brûlent. C'est donc ça la timidité...
- Je vais y aller dit-je pour couper cour à cette étrange sensation.
- D'accord. Pense y , Ok ?
- Ouais.
Sur ce , Oli' se penche et me sert dans ses bras. Je me laisse faire et pose juste ma main à la hauteur de son épaule dans un geste doux. Nous restons ainsi quelques minutes avant de nous dire au revoir.
Je la regarde attraper son sac en prenant une grande inspiration puis sortir en me souriant encore.
- Je n'arrive pas à croire que tu devient un homme.
Je cesse immédiatement de sourir. Je serais réellement vexer si je ne savais pas qu'elle me charrie. La garce.
- Va te faire voir espèce de pleureuse.
Nous rigolons tout les deux en même temps avant qu'elle ne referme la portière pour partir.
Je démarre la voiture en attendant qu'elle referme la porte de la maison. Quand je regarde dans le rétroviseur en terminant mon demi-tour , je jurerais avoir vu le rideau d'une des fenêtres d'en haut se refermer doucement.
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