Chapitre 48 - Emma
Média : Harry Styles ( Ryan) et Indiana Evans ( Emma )
Musique de fond : One Direction - Irresistible
- Co , comment ça bégayai-je.
- Tout. Tout à changer me répond Ryan. Je te détestais et ce n'ai plus le cas maintenant.
Jésus Marie Joseph. Est ce que Ryan Stella alias mon pire ennemi depuis deux semaines viens t-il réellement de m'avouer que ce temps est maintenant révolue ? Ils nous aura juste fallu passer une nuit innocente dans un endroit isolé pour dépasser ce stade ? Pourquoi les choses me semblent être beaucoup trop facile tout d'un coup ?
Ryan se relève , les mains dans les cheveux puis déboutonne le premier boutons de son débardeur laissent apparaître les becs des deux oisillons tatouer à l'encre noir sur sa peau. Je le vois faire quelques pas de gauche à droite pour enfin venir s'asseoir à coté de moi , sur mon lit.
- Dés le premier moment où je t'ai vu , j'ai compris que tu aller me faire chier commente t-il.
Le faire chier ? Ok. Ce n'ai définitivement pas ce a quoi je m'attendais de sa part après m'avoir dit qu'il ne me détestais plus...
- C'est gentille dit-je de plus en plus nerveuse.
- Nan , enfin... C'est pas ce que je veut dire reprend t-il en froncent les sourcils.. En faite , ce que j'essaie de te dire c'est que quand tu est arriver ici en m'ordonnent de foutre mes pieds ailleurs que sur ton lit , tu m'a semblais si prude que ça m'a tout de suite foutu les nerfs.
- Et donc ?
- Et donc , comme tu le sais déjà , j'ai vraiment voulu t'emmerder parce que je te trouvais chiante.
- Tu me l'a déjà dit fait-je en regardent partout sauf en direction de ses yeux vert qui me font tant craquer.
Ryan se relève et me toise de toute sa hauteur. J'ai envie de me lever moi aussi pour pouvoir être sur la même hauteur d'égalité mais me ravise quand je le voix souffler dangereusement.
- Putain ... Et tu continue parfois de l'être en plus.
Quoi ?
- Tu ne peut pas juste... te taire et m'écouter pour une fois ?
Oh mon Dieu. Le voila qu'il me cris dessus maintenant ! J'aimerais rapetisser au point de disparaître. Etre une petite sourie. Non , une poussière. C'est plus petit encore une poussière...
- Je t'écoute murmurai-je en me levant maladroitement.
Ses yeux se plantent dans les miens et tout d'un coup plus aucun son ne franchis la barrière de ses lèvres comme coincer dans sa gorge. Plusieurs fois , il ouvre la bouche pour dire quelque chose mais le silence continue de régner pendant de longues secondes. Des secondes qui me semble interminable de mon point de vue.
Va t-il enfin se décider à parler et mettre fin à mes supplice ou attend t-il que ce soit moi qui parle la première ? Non , impossible. Il m'a maladroitement prier de fermer mon claper. Il l'aura voulu. Je ne l'aiderais pas même si je dois changer de couleur de la tête aux pieds.
- Je n'arriverais à rien si tu continue à me regarder comme ça , tu sais ?
- Te regarder comment ?
- Comme ça fait t-il en balayant mes yeux de sa main. On croirais que tu aurais envie de m'ouvrir la cervelle pour pouvoir lire mes pensées.
Oh Ryan , si tu savais comme c'est le cas...
- Oui.
- Oui ?
- Oui répétai-je. Souvent , je me demande à quoi tu pence ... ce que tu cache....
Il se rapproche. Je recule. Nous sommes devenus deux aimants à face retourné. Nous nous séparons par la force de la répulsion. Il fait un pas en avant , je fait un pas en arrière. Je suis bientôt coller au mur. Je ne peut plus fuir. Il l'a remarquer. C'étais son plan , j'en suis quasiment certaine !
- Si tu pouvais voir tout ce à quoi je pence depuis que tu a foutu les pieds ici , tu te casserais en courant.
- Et si je ne le faisais pas osai-je lui demander.
- Alors tu serais complètement stupide lâche Ryan sans aucune once de doute dans la voix.
Il est si prés de moi que je peut sentir l'odeur de son parfum sans problème. Son souffle mentholé chatouiller mes joues. Je peut presque voir les battement de son cœur cogner sous son t-shirt. Je peut voir chaque centimètre carré de son visage. Chaque détails m'apparaît sous la lumière doré du couché de soleil qui illumine la pièce.
Mes jambes sont devenus coton et mon cœur aura probablement bientôt besoin d'un défibrillateur s'il continue à s'approcher comme il ne cesse de le faire depuis que je ne peut plus reculer.
Ryan lève un bras et le pose contre le mur peint de blanc tout prés de mon visage. Je suis devenue prisonnière de sa présence. Il ne manquerais plus qu'il plaque son autre bras de mon autre coté et je ne pourrais plus rien. Je n'aurais plus aucune alternative. Plus aucun échappatoire...
- Je... commençai-je sans même savoir quoi dire.
- Tu ressent ça ?
- Ça quoi dégluti-je
- L'attraction qui nous attirent ?
Comment ne pourrais-je pas la ressentir ? Depuis que nous sommes revenue de chez Max , mes pensées sont obnubilé par lui seul. Je n'arrive plus à me concentrer. Je me demande sans cesse ce qu'il fait , ou il est. Ce qu'il pense et pourquoi. Ryan c'est transformer en une énigme don j'ai besoin d'en découvrir le secret.
Tout ceci est en total contradiction avec l'instant d'avant. Le moment où mon cœur de lui seul avais décider de reculer quand le sien avançais. Ce moment est exactement comme nous deux.
Deux opposés.
- Je la ressent.
- Et ?
Comment ça et ai-je envie de lui demander. Je suis juste , complètement attirer par son être tout entier depuis des jours ! Est ce ça qu'il veut que je lui dise ?
- Et je trouve ça complètement fou.
- Fou ?
- Oui.
- Dans quel sens demande t-il. Genre , fou ... c'est cool ou fou genre... complètement bizarre.
Je n'ai même pas besoin de réfléchir à la question...
- C'est fou dans les deux sens.
- Pourquoi ?
Pour des centaines de raison Ryan ...
- Parce que , on ne savais pas se saquer. On passais notre temps à se chercher ou s'engueuler et du jour au lendemain , je me met à ressentir des choses que je ne devrais pas.
- Comme quoi ? Il plaque sa deuxième mains a cinq centimètres de mon visage juste derrière moi.
- Comme... Je commence à apprécier. Genre , vraiment.
J'ai l'impression qu'a chacun de nos mots , l'attraction qui nous attirent perd en espace vitale. S'il continue à se rapprocher , je serais contrainte de loucher pour maintenir son regard.
Instinctivement , je baisse les yeux , peu envieuse qu'il voit mes yeux se saluer mutuellement.
- Tu est gênée hein ?
- Oui avouai-je. Comment ne pas l'être ? Je suis coincer contre un mur avec celui qui m'a emmener à des kilomètre d'ici. Avec celui qui m'a déjà embrasser alors que je ne sais même pas ce qu'il ressent pour moi.
- Je ne t'ai pas embrasser ! TU l'a fait me corrige t-il.
Ferme la Emma. Ferme la !
Ryan rigole un peu et ses fossettes se creuse tandis que je fond. Il cesse finalement de rire mais pas de sourir en grignotant encore quelques centimètres. Si je bouge , nos nez se toucherons et je ne serais plus responsable de ce qui pourrais se produire.
Va y Emma , bouge hurlent en cœur mes hormones.
- Et je crois que j'ai envie de recommencer.
- Quoi ? Qu'est ce que tu a dit ?
Salopard ...
- J'ai dit que j'avais envie que tu m'embrasse dit-je plus fort. Encore.
Pour la deuxième fois depuis que tout à commencer. Ryan se colle complètement contre moi et m'embrasse de façons la plus fougueuse qu'y m'ai étais donner de voir dans les films romantique. Ca en est presque douloureux.
D'abord nos lèvres s'écrasent l'une contre l'autre puis devienne de plus en plus humide. Ryan m'aspire puis me relâche en faisant de minuscule bruit de succions. C'est littéralement le son le plus mignon qu'il est fait depuis notre rencontre.
Très vite , sa langue force le passage de ma bouche pour venir caresser plus doucement la mienne. Ses mains commence à posséder mes hanches , puis mon dos pour terminer leurs courses sur mes fesses. Ses doigts exercent de légers pression à intervalle réguliers. Je sens mon ventre se crispé a son audace. Un son rauque s'échappe de sa gorges ce qui me donne un énorme frissons le long des cuisses.
Enfin nos lèvres se décollent et je peut enfin respirer. Mais sa bouche n'en a pas terminer avec moi. Ryan enfouis sa tête dans mon coup et m'offre une cascade de baiser sous l'oreille jusqu'à ma clavicule en remontant très doucement ses mains plus haut . Bientôt elles serons sur mes cotes.
Il n'y a qu'un pas entre l'envie et le besoin. Qu'un pas entre maintenant et ce qui pourrais m'être irréversible...
- Stop réussi-je a articulé.
- Quoi demande t-il en se redressent.
- Doucement dit-je alors hors d'haleine.
Son front se collent au miens . Nos respirations sont mutuellement inhalées. Je ferme les yeux. Je crois qu'il en fait de même.
- Ouais lâche t-il en replacent ses mains dans mon dos. Désolé. Je me suis laisser emporter par un putain d'élan.
- Nous sommes deux gloussai-je sans pouvoir me retenir. Mais , vraiment ... Doucement dit-je plus sérieusement.
- Ouais cède t-il en sourient juste un peu avant de déposer un doux baiser sur mon front.
Juste à la frontière de mes cheveux. Je jurerais l'avoir entendu respirer mon odeur...
TA DAAAAAAAAAAAM !
Allez y je suis prête à recevoir vos bouquets de fleurs et vos compliments .... MDR !
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