Media : Harry Styles ( Ryan )

Putain , il fait une chaleur a crever ici. J'ai l'impression d'être un poulet rôti en papillotes. Les draps me collent à la peau et je déteste ça. J'ouvre finalement un œil après avoir trouver la cause de cette chaleurs étouffante. 

Emma à pris toute la place dans le lit toute la nuit et elle ne c'est pas gêner pour se coller à moi. Non pas que ça me déplaise mais la voir ainsi , en étoile de mer dés le matin m'amuse beaucoup. Ce n'ai pourtant pas comme si elle m'avais enlacer ou tripoter mais tout de même , son inconscient la rapproche de moi.

J'entreprend doucement de sortir de lit avant que je ne puisse empêcher mes mains de découvrir ce que ce cache sous ces vêtements. Comment Diable à t-elle fait pour dormir toute habiller alors que nous cuisons dans cette baraque ?

- Bonjour lance Emma dans mon dos. 

- Merde . Je ne voulais pas te réveiller.

- Qu'elle heure est t-il ? demande t-elle ensommeillée.

- Neuve heure. Je remet mon pantalon de la veille et m'assoit pour mettre mes chaussures. Tu veut un café ? 

- S'il y en a , oui s'il te plait. J'arrive. 

Quand je me lève pour enfiler mon t-shirt , je constate qu'elle n'a pas bouger d'un poil.

- Tu ne compte pas te rendormir , hein ?

- Non.

- Bin alors ? je demande en haussant les sourcils. Debout ! 

- Oui souffle t-elle. J'arrive dans cinq minutes.

- Putain , mais tu a la gaule matinal ou quoi ?

- La gau... N'importe quoi.  J'aimerais juste pouvoir aller me rafraîchir si tu vois ce que je veut dire. Elle se lève en portant automatiquement ses bras à sa poitrine. Mais merci pour ta discrétion. J'apprécie.

Oh ! 

J'ouvre la bouche pour parlé mais j'en convient qu'il est inutile de m'enfoncer plus que je ne l'ai déjà fait. Les filles et leurs foutus rituelle de toilettes.. Nous les mecs , si nous n'avons pas les moyens de prendre une douche convenablement , un simple gans de toilette , un peut de savons et cela suffit à nous laver les couilles et les autres parties intime. 

Si Emma revient dans une demi heure toute pomponner alors que j'attend comme un con , je jure que je lui plonge la tronche sous le robinet d'eau froide. Elle dois être habituée maintenant , non ?

Je profite de son absence pour me faire moi aussi un petit brun de toilettes ultra rapide dans la cuisine en empruntant un vieux torchon que la famille de Max à laisser traînée la sur le plan de travaille. Dieu merci , il ne porte pas l'odeur de cuisine qui aurais pu faire sentir ma queue l'oignon ou d'autre merde dans le genre. Il est propre. 

Je rigole tout seul en m'imaginant que j'aurais très bien pu utilisé leurs éponge à vaisselle mais je ne suis pas tant un connard que ça. Mais ça aurais pu être foutrement drôle quand même riais-je encore. 

Une fois cette tache effectuer dans les plus brèves délais , j'entreprend de mettre du café en route. Je fouille dans les placard de la cuisine pour trouver de quoi manger mais je ne trouve rien d'autre que des biscotte dé sécher et des petits pots individuelle de confiture à date de péremption éloigner. Ça fera l'affaire pensai-je. Je dispose le tout prés de la cuisinière et attend. Encore. Je regarde ma montre. Elle n'a que deux petite minutes de retard. Ce n'ai pas la mort. 

J'attend encore quelques minutes et je fini par perdre patience. Je me place en bas de l'escalier et gueule comme un taré.

- Qu'est ce que tu fou putain ? Le café va être froid. Je tend l'oreille quelques secondes. Pas de réponse. Si tu ne décent pas dans les trente secondes je viens te chercher que tu soit rafraîchie ou pas ! 

Toujours aucune réponse. Très bien. 

- 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10....

Mais je n'ai pas terminé de compter jusqu'à trente que j'entend une porte s'ouvrir et des pas se rapprocher de l'escalier. Enfin ! 

- Seigneur , ce que tu peut être exécrable le matin. 

- Si c'est seulement le matin que tu me trouve chiant . Imagine moi quand je suis en manque de ...

Elle s'arrête net dans les escaliers , un pied toujours suspendu dans le vent dans l'attende de mon dernier mot. Je comprend qu'elle aimerais que je trouve n'importe qu'elle autre mot que " sexe ".  Doit-je mettre fin à son supplice ou bien attendre que sa cheville sur la quelle elle repose ne se pète ? 

- De ?

- De nourriture dit-je précipitamment.  J'ai faim et t'attendre n'arrange rien alors grouille ton cul !

- Je suis la maintenant alors du calme.

Mais je suis calme bordel ! 

Nous déboulons tout les deux dans la cuisine et me précipite sur mon café encore fumant. Elle fait de même mais avec plus de retenue. 

- Je n'ai trouver que ça. On s'arrêtera en route pour acheter de la bouffe si tu veut. 

- Ça ira très bien fait t-elle. Je n'ai pas très faim.

- Ouais bah... Tu devrais. Je la regarde de bas en haut. 

Elle manque de étouffer avec la biscotte toute sèche qu'elle venais d'avaler. Je savais bien que ces truc déshydrater étais de la merde.

- Eh , ça va je demande en tapant un peu trop fort dans son dos.

- Oui ... Hum Hum tousse t-elle. Mais , qu'est ce que tu a dit ? 

- J'ai demander si tu aller me laisser ramener ton cadavre a Olivia ou si tu arriverai à manger correctement. 

- Non pas ça crétin m'insulte Emma. Tu a insinuer que je devrais manger.

- Ouais , et alors ? 

- Pourquoi tu a dis ça ? Tu t'inquiète pour ma santé maintenant ?

Doit-je lui dire que ma remarque n'avais aucun rapport avec sa santé ? Bien que maintenant qu'elle le dit , il est vrai qu'elle doit surement avoir des carence alimentaire vu le point plume qu'elle est. Mais pour être franc , je pensais en premier lieu à son corps qui est déjà très mince. Trop à mon gout. Quelques kilos par ci par la ne lui ferais aucun mal. Bien au contraire. 

J'ai toujours aimé les filles avec des poitrine généreuse pour pouvoir y enfouir mon visage ou bien d'autre choses. Des hanches voluptueuses pour y enfoncer mes ongles dans des parties de jambes en l'air sauvage et des jolies petits culs rebondis pour le plaisir des yeux. Et de mes mains par la même occasion.

Les filles trop maigres n'ont rien d'agréable. Il n'y a que les chiens pour ronger des os...

- Parce que tu est très mince. Tu devrais prendre un peu de poids.

Elle me regarde et lâche sa biscotte aussitôt. 

- Je n'ai pas besoin de prendre de kilos. Je suis très bien comme je suis et tu est bien le premier garçon à me dire ça...

Parce que d'autre que moi ont eu l'occasion de constater à quelle point son corps est mince sans les tonnes de vêtements qu'elle s'entête à porter ? Je boue rien qu'a l'idée.

- Eh bien peut être que tu devrais fréquenter d'autres mec.s Des mecs qui savent de quoi ils parlent.

- Des gars comme toi par exemple ?

Ouais ! J'ai envie de lui crier ce mot sur le champ mais je ne sais même pas encore si c'est parce que je ressent de l'attirance physique pour elle ou si c'est parce que c'est autre chose. 

- Ouais. Pourquoi pas lâchai-je en haussent les épaules.

- C'est vrai que tu y connais un rayons sur les filles. Sa tasse de café rejoint la biscotte un peu plus loin. 

Merde ! Piéger. Mon conseil me retombe dessus comme une main en pleine gueule. Je suppose qu'elle tiens cette informations d'Olivia. Traîtresse...

- Au moins je suis capable de reconnaître quand une fille serais plus jolie avec des kilos en plus ou en moins. 

Elle fronce les sourcils. Mauvaise signe. Bordel mais pourquoi diable prend t-elle tout ce que je dis comme une attaque. C'étais simplement un putain de conseille. Je lui est même si qu'elle serais plus jolie qu'elle ne l'ai déjà a l'origine. Elle n'a donc pas écouter un putain de mots ? 

- Bon fait comme tu veut. J'abandonne mon petit déjeuner sur la table. Je vais préparé nos affaires. On s'en va. 

 Je  retourne dans la chambre récupéré nos effets personnelles pour ne rien oublier sur place. Il n'y a rien dans ma chambre a part mon portable mais quand je retourne dans celle que Emma à emprunter j'y trouve une plaquette avec ce qui devais contenir vingts sept petites pilules rose si j'en crois mon expérience avec les gonzesse. Sur celle ci , il n'en reste plus que dix.

Je trouve aussi son fin foulard blanc et sa veste en jeans. Je m'apprête à foutre le tout dans mon sac mais quand je remarque que la veste en jeans est plus lourde qu'elle devrais. Je repose le sac sans ménagement et fouilles ses poches. Aurais t-elle foutu une bombe lacrymogène en cas ou ? 

Oh ! Le portable d'Emma. J'appuis sur une touche au pif pour déclencher l'écrans d'accueil. MERDE ! Elle a foutu un code de sécurité. Une foule de question font irruption dans ma tête en même temps que Emma ouvre la porte. J'ai a peine le temps de le remettre à sa place quand elle me dit qu'elle a tout nettoyer en bas.

- Qu'est ce que tu faisais ?

- Je rassemblais tes affaires dans un sac pour gagner du temps. Je lui tend sa veste. On peut y aller ? 

Elle ne semble même pas avoir remarquer que la lumière de son écran d'accueil dépasse de sa poche. Pire. Elle ne vois pas ce que moi j'ai remarquer... 

Le nom d'Eddy est apparut en fond d'image. Il lui a envoyer un message...Que peut t-il bien lui vouloir ?