Chapitre 32 - Ryan
Média : Harry Styles ( Ryan )
Comment expliquer la rage qui m'envahi depuis que j'ai ouvert la porte de chez moi et que je suis entré dans le salon ? Comment expliquer que de tout les scénario que je m'étais fait , rien n'étais comparable à la scène qui se déroule sous mes propres yeux ?
Emma est ici. Chez moi , là où je vis depuis que j'ai débarquer ici il y a quelques mois. Ce n'ai pas la première fois qu'elle met les pieds ici mais c'est la première fois cependant qu'elle est si souriante. La première fois qu'elle semble si différente.
J'aimerais pouvoir croire que la raison de son sourir n'ai pas parce qu'un de mes potes la tiens aussi prés de lui. Elle a le dos appuyer contre son torse et le bras d'Eddy est poser sur son épaule a elle.
Il ne font rien de mal. Rien qui porterais à confusion mais il ne fait aucun doute que quelque chose de nouveaux viens de s'être crée entre eux.
Je me sens subitement horriblement con d'avoir cru qu'elle pourrais être n'importe où ailleurs qu'ici. Loin de celui qui a le béguin pour elle. Je pensais qu'elle attendrais sagement prés de chez elle que je soit partie mais non. Elle c'est juste précipité dans ma propre putain de baraque pour passer le temps avec lui.
Je traverse le salon à grand pas. Je prend garde de ne rien laisser paraître. Eddy me salut comme si de rien n'étais quand il me vois passer prés de lui alors que Emma se redresse vivement comme si elle venais d'être surprise en pleine partie de jambes en l'air.
- Si t'a l'intention de la baisé , va dans ta chambre je lance écœurer par leurs rapprochement.
Je n'attend même pas d'entendre sa réponse ni celle de celle qui étais dans ses bras quelques secondes plutôt. Je me bat avec la clef de ma chambre et entre. Je claque la porte de toutes mes forces comme si j'avais le pouvoir d'écraser leurs rapprochement entre la porte et le cadre. Le mur vibre clairement quand les bois entre en contact.
Je ne me laisse pas le temps de réfléchir sur la situation et m'assoit sur mon banc de piano. Les notes viennent sans que je n'ai besoin de calculer les touches blanche et noir. La musique résonne dans la pièce pour ne pas entendre le sons des deux voix que je déteste le plus à présent.
Mes pensées divague vers la journée au lac. Emma se tenais si prés de moi que je pouvais sentir son souffle caresser mon visage. J'avais mes mains d'abord poser sous ses bras puis sur ses hanches. Je ne m'étais jamais senti aussi combler. Quelques chose , a ce moment là avais changer. Quelque chose d'irrévocable mais je ne l'ai compris qu'au soir lorsqu'elle ne se doutais de rien.
Aujourd'hui un nouveaux changement à opéré. Peu importe ce que je commençais à ressentir pour Emma , il faut que cela cesse. Immédiatement.
_____
Je ne sais pas depuis combien de temps je suis assis ici à jouer sur mon synthé mais je sens mon estomac m'insulter de tout les nom. La pièce est bercer par les derniers rayons du soleil alors que j'éteint l'appareil électronique. J'ai un moment d'hésitation quand je me tiens devant la porte. Qu'est ce que je ferais si Emma et Eddy se tenaient toujours dans la pièce d'a coté ? Comment réagirai-je si je découvrais qu'ils serais passer à l'étape supérieur ?
- Putain !
Je réalise soudain que se serais pire pour moi si jamais ils n'étaient plus la. Est ce que Emma serais le genre de fille à coucher le premier soir ? Honnêtement , je n'en ai aucune idée. Après tout , je ne la connais pas depuis assez de temps pour pouvoir connaitre ce genre de détails sur elle.
J'ouvre finalement la porte aussi vite que je chasse cette idée dégoûtante de mon esprit. Je n'ai aucune envie de savoir ce genre de chose. Qu'est ce que cela pourrais me foutre qu'elle baise a droite et à gauche ? Elle n'ai personne , pas plus que je ne suis quelqu'un .
Je suis soulager de tomber nez à nez avec Eddy. Seul.
- Euh , désolé lâche t-il. Je voulais savoir si tu voulais sortir manger un morceau ?
- Tu ne bouffe pas avec l'autre demandai-je soudain énerver contre le monde entier.
- L'autre ? Tu veut parler d'Emma ?
- De qui d'autre sinon ?
Le visage d'Eddy se peint d'une drôle d'expression. Serai-ce parce que je viens ouvertement de dénigrer sa nouvelle copine devant sa gueule ? Qu'il ose me faire la remarque... Sans le vouloir , je n'attend que ça !
- Pourquoi mangerais t-elle avec moi demande t-il.
- J'en sais rien moi dit-je en le contournant pour aller dans la cuisine. C'est toi qui à passer l'après midi avec elle , pas vrai ?
- Ouais et alors ? Elle dois surement manger avec Oli' et ses colocs nan ?
- Je ne sais pas et je m'en fou rétorquai-je en ouvrant le réfrigérateur. Qui à bouffer le putain de reste de macaronis gueulai-je pour que toute les personnes présentes m'entendent.
Eddy fini par venir se poster prés de moi. Trop prés. J'aime assez l'expression de défis qu'il tente d'arborer fièrement. S'il tente de m'intimider , c'est raté. Je referme le frigo et me redresse devant lui. Qu'a t-il pour que ses yeux me lance de tel éclairs de reproche ? N'est ce pas plutôt à moi de lui en vouloir ? Seulement ça , je ne peut pas le lui dire.
- Qu'est ce que tu as demande t-il en croisant les bras devant lui comme pour se protéger. T'es vraiment bizarre ce soir.
- Rien répondais-je en le bousculent pour attraper mes clefs et ma veste. Je sort.
- Ou est ce que tu va ?
- Manger.
- J'en conclue que tu ne veut pas que je t'accompagne dit t-il derrière mon dos.
- Pigé ! T'es tellement intelligent Eddy...
Je claque la porte derrière moi et rejoins rapidement ma voiture. L'air frais du soir ne m'aide en rien à régularisé la température bouillante de mon corps. Mes oreilles bourdonnent tel que je jurerais pouvoir entendre mon sang couler dans chaque veines sous ma peau.
Je roule prudemment , conscient que ce ne serais certainement pas une bonne idée de foutre en l'air quelqu'un. Je ris jaune quand je me remémore le jour où j'ai faillit écraser Emma alors qu'elle sortais de cours d'EPS. Je suis tellement de mauvaise humeur que l'espace d'un instant , je me demande ce que cela aurais fait si ce malheur ce serais passais.
Ouais , je suis vraiment une merde !
J'arrive au drive de mon fast-food préféré plus vite que je ne l'aurais souhaiter. J'ai l'impression que je n'ai même pas eu le temps d'être seul avec moi même alors que je l'ai étais presque toute cette foutue journée.
Je ressort finalement du parking dix minutes plus tard. Je me gare quelques mètres plus loin et mange dans ma voiture , la potière ouverte. Je n'ai aucune envie de devoir passer au lavage automatique à cause d'un putain hamburger gras.
J'ai presque fini quand mon téléphone vibre pour la première fois de la journée. Je découvre le surnom d'Olivia sur l'écran. Je décroche en terminant ma dernière bouché.
- Ouais fait-je.
- Tu a dix minute pour t'amener au parc ordonne sa voix visiblement en colère.
Et merde ! Je n'ai aucun doute sur la raison de cette ordre. Emma est impliquer.
Comme depuis des jours.
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