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.16h56.

Musiques d'inspiration :

All I Want - Kodaline

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J'aime maladroitement peut-être, mais tellement sincèrement
(Anonyme.) 

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Dans le bureau, un ange est passé, il s'est éternisé quelques secondes, flottant au dessus de leurs têtes en répandant un silence tout a fait gênant, et l'ambiance s'est rapidement alourdie. 
La porte refermée, les gonds grinçant presque encore du départ d'Izuku, plus aucun mouvement ne vient froisser l'air, à part peut-être un ou deux clignements de cils prostrés. 
Et encore .. 

Quelque peu sidéré, Katsuki ouvre la bouche sans rien dire, puis la referme juste après, cherchant maladroitement des mots qu'il ne connait pas, perdu sur sa langue sèche et pâteuse à la fois. 
Il ne l'a pas retenu, quand il l'a vu se lever, à vrai dire, il n'a surtout pas su quoi faire face à sa réaction, et le désarroi qu'il distinguait sur son visage le bouleversait un peu trop fort pour qu'il puisse réfléchir. 
Le bilan du médecin tournant encore dans sa tête, il soupire silencieusement en serrant la mâchoire, et son souffle s'entrave dans sa propre poitrine, trébuchant sur son sternum et s'emmêlant dans ses côtes pour s'échapper hasardeusement sous sa peau. 

Il sait qu'il ne peut pas vraiment y faire quelque chose, mais il ressent tout à coup cette culpabilité insidieuse et mordante, le sentiment d'avoir menti à Deku, de lui avoir promis des objectifs inatteignables, une guérison utopique qu'il ne pourra jamais honorer. 
La mission qu'il s'est donné à lui-même apparait subitement irréalisable et, bien plus que les regrets ou la frustration, c'est bien cette culpabilité qui le grignote de l'intérieur. 
Parce que, pour avoir vécu avec Izuku ces dernières semaines, pour l'avoir vu pleurer, trembler, tomber, il sait combien il souffre de sa condition, et à quel point ce compte rendu a pu le percuter de plein fouet. 

En réalité, Katsuki ne craint aucunement le fait de vivre à ses côtés même s'il reste un peu cassé, parfois bancale, ça ne lui fait pas peur du tout, ça ne le rend presque même pas triste. 
Pour être tout à fait honnête, c'est pour Deku qu'il s'inquiète, uniquement pour lui, pour ce qu'il peut ressentir, le poids de la honte qu'il s'impose à lui-même, cette idée stupide selon laquelle il ne vaut plus rien. 
Il ne peut que l'imaginer, sa douleur, mais il est certain de l'effet dévastateur qu'elle a sur lui, à quel point elle le blesse et le brutalise. 

Alors, crispant son dos contre sa chaise, il prend une profonde inspiration en tournant son regard vers Inko, la voyant peu ou prou aussi désemparée que lui, avant de s'éclaircir la voix. 

_ On devrait p't-être aller l'chercher ? 

Parce que Deku ne peut pas aller bien loin, sans les clés de la voiture et avec sa béquille, il ne fuira sûrement pas au-delà de l'hôpital, mais le laisser errer dans les couloirs, son désarroi dans le ventre et potentiellement quelques larmes au visage, le rend tout à fait anxieux. 
Face à lui, Inko demeure immobile un petit instant, le regard tâché d'un affolement à peine dissimulé, et un tremblement nerveux agite tout à coup ses mains quand elle hoche la tête en avalant sa salive. 

_ Sans doute, mais je suis certaine qu'il refusera de revenir ici. Et .. Le docteur a sûrement encore des choses à nous dire. 

Rien que Katsuki ait besoin d'entendre pour prendre une décision, certainement. 
Tout du moins, rien qui ne lui paraisse plus important que d'aller encercler Izuku entre ses bras pour s'assurer qu'il ne pleure pas trop fort, pour le réconforter aussi. 

_ J'vais l'chercher. 

Rapidement, il se redresse sur ses jambes en ignorant la présence d'un médecin en face de lui, oubliant de s'excuser pour son départ, avant de rejoindre rapidement la petite porte en bois. 
Traversant le bureau sans rien ajouter de plus, il ouvre l'accès vers le couloir, plissant le front en espérant retrouver Deku sans avoir à parcourir la moitié de l'établissement, et un brin d'agitation à quelques mètres de lui attire son attention en premier. 
Arquant un sourcil, la main encore posée sur la poignée, il incline la tête sur le côté en essayant de déterminer ce qu'il voit, son instinct de héros se réveillant malgré lui face au mouvement inquiet qui se profile devant lui. 

Quelques infirmiers, aides soignants peut-être aussi, semblent se réunir près de l'ascenseur, s'entassant à quatre ou cinq les uns à côté des autres, et un éclat de voix perce la foule pour demander l'assistance d'un médecin. 
Par réflexe sans doute, une inquiétude sourde accélère son rythme cardiaque, l'appréhension se frayant machinalement un chemin dans son ventre alors qu'il s'interroge sur ce qu'il peut bien se passer au milieu du cercle humain près de l'ascenseur. 

Près de lui, Inko et le médecin semblent capter la situation anormale et, par devoir, l'homme abandonne son porte à l'arrière du bureau pour rejoindre Katsuki à sa hauteur. 
Jaugeant la situation, il s'empresse finalement de traverser le couloir pour venir à la rencontre de ses collègues et, emboitant ses pas, Katsuki le suit mécaniquement sans vraiment y réfléchir. 
Leurs pas résonnant sur le lino, une étrange impression d'urgence les forçant instinctivement à accélérer la cadence, il reste légèrement en retrait quand la foule se perce pour laisser passer le médecin. 

Et il s'étouffe avec sa salive. 

Un éclair de panique lui tord le ventre, son rythme cardiaque s'emballe, se distend, devenant graduellement chaotique, et tous ses muscles se froissent en même temps. 
Tendu comme un arc, les pupilles rétractées par l'affolement, il bondit machinalement sur lui-même, s'avançant d'un seul coup vers Izuku encore étendu sur le lino du couloir. 
Ses gestes s'embourbent, ses bras tremblent, sa voix se bloque dans sa gorge et, comme s'il venait prendre un coup juste sous le sternum, un hoquet lui brise les côtes. 

Par terre, le médecin s'agenouille près de sa collègue déjà occupée sur place, prenant compte de la situation en lui posant quelques questions et, même si la foule se dissipe déjà, l'affolement de Katsuki ne fait que s'accroitre un peu plus à chaque demi seconde. 
L'angoisse l'emporte en avant, l'obligeant à se rapprocher davantage, et un sentiment de culpabilité écrase son estomac quand il se tient tout près de Deku, détaillant son corps toujours étendu sur le lino, ses yeux encore fermés, et ses joues imbibées d'eau. 
Rougis pas les larmes, des sillons traversent ses tâches de rousseur, trahissant des pleurs trop violents, et Katsuki l'imagine d'ici, dévoré par sa détresse jusqu'à en faire un malaise au milieu de l'hôpital. 

Il n'aurait pas dû le laisser sortir tout seul, ni perdre autant de temps avant de se décider à aller le chercher.
Son cœur s'emballe encore un peu plus, d'inquiétude évidemment, de colère aussi, contre lui même, et ses intestins se nouent jusqu'à déclencher une douleur vive et brûlante à travers son abdomen.
Les dents du stress, sûrement. 

Devant lui, le médecin s'affaire à quelques manipulations de formalités, parlant doucement pour apaiser l'agitation de Katsuki derrière lui, avant de lever légèrement le regard pour lui intimer de rester tranquille. 

_ Il va bien, ne paniquez pas. On va l'admettre dans une chambre pour lui laisser le temps de se réveiller tranquillement, mais ça devrait aller. Ce sont des choses qui arrivent, l'angoisse peut être très difficile à gérer dans des moments comme celui ci, et c'est pas la première fois que je vois un patient faire un malaise après une journée comme celle ci. Vous voulez bien prévenir sa mère ? On va s'occuper de le déplacer. 

Muet, parce que sa voix reste coincée derrière le nœud de sa gorge, il se contente d'hocher frénétiquement la tête en silence, son cœur battant dans ses oreilles et résonnant à travers tout son crâne comme une menace. 
Reculant d'abord d'un pas, peinant à détourner son regard d'Izuku à ses pieds, il avale sa salive en cherchant son souffle, s'efforçant de trouver la force d'inspirer, et l'urgence le pousse finalement à s'élancer dans le couloir. 

Même sans avoir la moindre idée de ce qu'il va pouvoir dire à Inko, se sachant incapable de trouver les mots justes quand la situation l'impose, il regagne le bureau mécaniquement, la poitrine palpitante et un vertige d'inquiétude pesant sur son front.  
Ses pensées s'émiettent en s'entrechoquant, mélangeant ses réflexions jusqu'à l'empêcher de s'entendre réfléchir et, en entrant de nouveau dans la petite pièce, il jure que son affolement se lit sur son visage. 
Malgré ses efforts pour rester à peu près calme, il se sait complètement paniqué, et la réaction d'Inko en face de lui ne peut que lui confirmer ses doutes. 

Subitement, elle se redresse sur ses jambes, poussant la chaise sur laquelle elle se trouvait, et son expression se couvre immédiatement d'une inquiétude folle, alors qu'elle plisse le front en s'approchant rapidement de lui. 

_ Qu'est-ce qu'il se passe Katsuki ? 

Inspirant lentement, il serre les dents pour s'obliger à peser ses mots, espérant réussir à faire un effort d'élocution, au moins pour une fois, et sa bouche s'assèche encore plus, collant sa langue à son palais. 

_ Il est avec le médecin, il dit que ça va. Il a juste fait .. un malaise ? Mais il-

_ Il est où ? 

Nerveusement, il gratte la peau de son coude, voyant Inko s'agiter complètement en face de lui, et le nœud dans son ventre double de volume. 
Dévoré par l'impuissance et son sentiment irrépressible de culpabilité, il avale la salive acide qui baigne ses dents, et un réflexe le pousse à s'avancer d'un pas, cherchant mécaniquement à bloquer la route à la femme en face de lui. 

_ Ils vont le mettre dans une chambre, le temps qu'il se remette. 

_ Tu l'as vu ? Qu'est-ce qu'il s'est passé ? J'espère qu'il ne s'est pas fait mal .. J'aurai pas dû le laisser sortir .. 

Puis, frottant ses mains contre son visage, tentant de reprendre contenance en soufflant dans ses paumes, il détend ses épaules en vidant bruyamment l'air de ses poumons. 

_ Oui je l'ai vu, euh .. il est tombé près de l'ascenseur mais .. je crois qu'ça va. 

Pas convaincu de son propre mensonge, parfaitement conscient que ça ne va pas du tout en réalité, il se racle la gorge par automatisme et détourne le regard vers un coin de la pièce, bien incapable d'assumer la peur dans les yeux paniqués de son interlocutrice. 

_ J'aurai dû m'attendre à ce qu'il se passe quelque chose, je m'en veux, il .. Comment allait-il ce matin ? Il m'a dit qu'il allait bien quand je suis arrivée tout à l'heure, mais j'ai bien vu que ce n'était pas tout à fait vrai. 

_ Il est tombé ce matin. Il était déjà stressé, mais j'crois qu'ça l'a découragé encore plus. 

_ Pourquoi tu ne m'as pas appelé ? 

Les yeux écarquillés, Katsuki ouvre la bouche sans rien dire, quelque peu déstabilisé par sa question, et il reste planté devant elle pendant quelques secondes, papillonnant des cils en silence. 
A vrai dire, contacter Inko ne lui a même pas traversé l'esprit ce matin, quand il a relevé Deku, et encore moins quand il l'a embrassé, il avait bien d'autres choses à penser, pour être véritablement honnête. 

_ Euh- Ca m'a pas paru nécessaire. Il est juste tombé mais- 

_ Tu aurais au moins pu me passer l'info, je l'aurai pris en compte quand je suis arrivée, je- Je suis quand même sa mère, je voudrais que me le dises quand il ne va pas bien. 

L'impression désagréable d'être en train de se faire engueuler le dérangeant, il arque un sourcil en croisant ses bras sous sa poitrine, durcissant les traits de son visage en inclinant la tête sur le côté. 
Même s'il conçoit, Katsuki déteste se faire remettre à sa place. 

_ C'était rien de grave, il est pas blessé. 

_ Bien sûr que c'est grave, même s'il ne s'est pas fait mal, il est fragile. 

Et c'est justement ce qu'il ne veut pas, être celui que l'on traite comme un enfant en danger perpétuel, Katsuki le sait, et c'est sans doute pour ça qu'il se braque instantanément face à elle, haussant le ton par contrariété. 

_ C'est que dalle de tomber, ça nous arrive tous ! Et ça sert à rien d'le surprotéger, il aime pas ça et ça l'met mal à l'aise. 

_ Tu ne vas pas m'apprendre à être une mère en plus ! La prochaine fois, je veux que tu me le dises, ou alors je retire mon accord. 

_ Ca va ! J'vous l'dirais ! 

Soufflant bruyamment avant de claquer sa langue à son palais, il pivote sur lui-même pour lui tourner le dos, vexé et agacé de se faire remonter les bretelles, et sa nuque se contracte de frustration. 
Gardant ses bras croisés sous sa poitrine, piétinant machinalement dans la pièce, il mordille l'intérieur de ses joues pour contenir son stress, un grondement de colère sous le diaphragme. 

Le silence reprenant ses droits, quelques secondes pesantes et tout à fait gênantes retombent sur l'atmosphère et, à son tour, Inko soupire en reprenant place sur sa chaise. 

_ Désolée. Je suis inquiète et j'ai mal réagis. J'aurai pas dû m'énerver. Je suis sûr que tu t'occupes bien de lui. 

Sans répondre, il fixe simplement son regard sur la porte encore ouverte, surveillant le bout de couloir devant lui et, sans qu'il n'intervienne de quelque manière que ce soit, elle renchérit derrière lui. 

_ Je t'ai vu prendre sa main. Je peux savoir s'il se passe quelque chose avec mon fils ? 

Tout à coup gêné plus qu'autre chose, la colère laissant la place à une forme de malaise particulièrement dérangeant, il décroise ses bras pour plonger ses mains dans ses poches, adoptant sa fameuse posture de défense psychologique, et son dos se crispe instinctivement. 
Croquant dans sa langue, il plisse le front en grimaçant, et l'inconfort lui chatouille la peau. 

Parler de ça avec elle, c'est un peu comme raconter ses amourettes à sa mère, il préfère encore n'avoir jamais à le faire. 
Ceci dit, il conçoit qu'Inko puisse s'interroger sur ce qu'il se passe entre lui et Izuku quand ils se retrouvent seuls dans la maison et, sans doute, se pose t-elle des questions sur ce qu'ils fabriquent de leur intimité. 
La nuit. 

Bien qu'en réalité, il ne se passe rien de particulièrement transcendant, Katsuki mentirait très fort s'il disait qu'il n'en a pas rêvé une bonne dizaine de fois. 
Pas plus tard que ce matin à vrai dire, quand il mettait sa bouche sur ses lèvres en pensant à tout ce qu'il pourrait faire une fois le soir venu. 

_ Tu sais, je n'ai aucune raison de m'y opposer, s'il y a quelque chose. Mais .. J'aimerais bien le savoir, c'est quand même mon fils et .. je peux pas m'empêcher de veiller sur lui, tu comprends. 

_ J'comprends. 

Cela dit, comprendre ne l'aide pas franchement à savoir ce qu'il doit lui dire exactement. 
Parce qu'il demeure dans l'incertitude en ce qui concerne l'état de leur relation et, lui dire qu'ils sortent ensemble sans en avoir la confirmation d'Izuku risquerait de le faire passer pour un énorme con s'il venait à se tromper. 
Après tout, rien ne prouve que Deku se sent prêt à rendre quoi que ce soit officiel. 

_ Alors ? 

En même temps, il ne se voit pas vraiment lui raconter qu'il l'a embrassé ce matin, c'est sans doute un tout petit peu trop intime comme discussion, en particulier avec elle, et le malaise qui grandit dans sa poitrine l'empêche de chercher correctement ses mots. 
Il patine. 

_ Je sais pas si on peut dire qu'on est .. ensemble. Mais on .. s'aime ? 

_ C'est à moi que tu poses la question ? 

_ Euh- Non ! Non, c'est pas une question. Je l'aime. Vraiment. 

Dos à elle, il ne peut pas deviner l'expression de son visage, et elle pourrait tout aussi bien être entrain de sourire que de grimacer sans qu'il ne le sache vraiment. 

_ Vraiment ? 

_ Oui, vraiment. 

_ Je vois. 

Un bruissement derrière lui attire son attention, trahissant les mouvements d'Inko derrière lui, et il la devine en train de se relever, abandonnant sa chaise pour venir se poster plus près de lui. 
Atteignant sa hauteur sans pour autant lui faire complètement face, elle se racle la gorge près de son épaule, avant se faire siffler l'air entre ses dents. 

_ Mon instinct de mère m'empêche de faire une croix sur ce qu'il s'est passé entre vous, quand vous étiez plus jeunes. Alors j'espère que tu ne m'en voudras pas trop de garder toujours une part de méfiance, c'est plus fort que moi je n'y peux rien. Mais .. Je n'ai aucunement le droit de m'interposer dans ce genre de relation, je veux dire, tant que tout va bien. Tout va bien n'est-ce pas ? 

_ Oui, tout va bien. 

Bien sûr, il aurait pu se douter qu'elle dirait quelque chose comme ça. 
Si Izuku craint de ne jamais se défaire de son image de faible, Katsuki ressent la même chose à l'égard du portrait tyrannique qu'il a dressé de lui-même pendant des années. 
Toujours, même inconsciemment, il restera celui qui cause le mal, celui dont on se méfie. 
Et c'est sans doute très paradoxal, que le méchant passe ses nuits à enlacer le trop gentil dans ses bras. 

A vrai dire, il ne l'aurait pas prédit, il y a quelques années de ça. 
Il en aurait même grassement rit, si on lui avait dit. 

_ Alors, vous allez continuer de vivre ensemble, même après ? 

_ Je .. J'en sais rien. J'veux dire, j'sais pas si Deku est d'accord. 

Enfin, il l'espère très fort en tous cas. 
Parce qu'il n'imagine pas franchement reprendre sa vie de tout seul, dans sa maison vide de toute animation et son quotidien tout pâle de solitude. 
Izuku berce son existence, en plus de la combler, et il craint de ne plus savoir se débrouiller sans lui.
Au final, il ne saurait pas vraiment dire lequel des deux est dépendant de l'autre. 

_ Tu n'en as pas encore parlé avec lui ? 

_ Pas beaucoup. 

Puis, coupant leur conversation, l'arrivée du médecin dans le bureau les pousse à se tourner immédiatement vers lui, leurs regards littéralement avides d'informations alors qu'il se présente tranquillement dans l'entrebâillement de la porte, un fin sourire rassurant collé à son visage. 

_ Désolé pour l'attente, j'ai quand même préféré pratiquer un petit examen pour m'assurer qu'il ne s'est pas blessé. Il va bien, il est déjà réveillé. On va le garder une heure ou deux par mesure de précaution mais pas d'inquiétude, il sera de nouveau libre ce soir. Vous pouvez aller le voir si vous le souhaitez. 

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Le chapitre suivant dans la foulée 😘👇

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