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Chapitre 5


Pdv Luce:

J'étais calmement installée à la bibliothèque, avec Garance, à discuter de nos B.U.S.E.S. qui avaient lieu à la fin de l'année. Je devais aller voir Neville, ça faisait 3 jours que je ne l'avais pas fait, mais avec les professeurs qui nous donnaient de plus en plus de travail, à part discuter avec Garance, je ne faisais aucune activitée qui sortait du domaine scolaire. Nous avions fini de discuter des B.U.S.E.S. et nous commencions donc maintenant à discuter d'un nouveau livre moldu que ma mère m'avait envoyé quelques jours plus tôt, avant qu'un oiseau en papier arrive en volant jusqu'à moi. Je regardais Garance, elle ne comprenant pas plus que moi d'où ce mystérieux petit oiseau sortait.

-Attrape-le, me dit-elle. Juste au cas où…

Je le fis et je le dépliait, remarquant qu'il y avait des écritures dessus. Il y avait écrit :
« Mademoiselle Davies, votre présence est nécessaire tout de suite à l'infirmerie, dépêchez vous de venir je vous prie. Cordialement, le professeur McGonagall.»
Je le lis à voix haute de sorte à ce que Garance sache ce qu'il y avait écrit dessus.

-Bon je dois y aller, dis-je en fermant mon sac.

-Je viens avec toi, me répondit mon amie en faisant de même.

Nous courions alors dans les couloirs, nous dépêchant au maximum et je rentrais dans l'infirmerie, tandis que Garance restait dehors. Je vis que madame Pomfresh était penché au dessus du corps de Neville, la tête de mon ami encore plus pâle que d'habitude. Je m'approchais rapidement de l'infirmière, essayant de savoir ce qu'il se passait. Elle de retourna quand elle vis que j'étais arrivée:

-Miss… Il y a un gros problème il a vraiment du mal à respirer… Je… Essayez de lui parler… Je… Je ne sais pas vraiment ce qu'il faut faire…

Je courus m'asseoir sur la chaise à côté du lit, un torrent de larmes dévalant mon visage.

-Neville s'il te plaît… Réveille toi… Tu peux pas rester comme ça… Tu peux pas me laisser comme ça… Je t'en supplie…

Je fermais les yeux, ne pouvant me contenir. C'était de ma faute, totalement de ma faute.

Soudain, je sentis quelque chose toucher la main, qui était posée sur le bord du lit. Je releva la tête, et je vis Neville relever sa tête, et me regarder droit dans les yeux. Je voulais que ce moment soit éternel, mais il fut malheureusement stoppé par Madame Pomfresh:

-Vite, buvez ça, dit l'infirmière en lui apportant un verre d'eau, affolée.

Neville le but avant de me demander:

-Qu'est ce qu'il s'est passé ?

-C'est vraiment très long à expliquer, dis-je entre le rire et les larmes.

PDV Neville:

Alors c'est ça… Je rêvais vraiment… Rien de tout ce qu'il c'était passé, ou du moins croyais s'être passé n'était pas la vérité…

-Ah…, dis-je, ma voix ne pouvant pas cacher ma déception.

-Qu'est ce qu'il se passe? Je te promets que je t'expliquerai, répondit Luce en séchant les larmes qui avaient coulées le long de ses joues.

-D'accord, dis-je en esquissant un sourire.

Je me rendais compte que toute l'histoire, tout ce que je croyais vrai, tout ce qu'il s'était passé avec Luce n'était rien, en vérité moi même je n'étais rien… Par rapport à elle… Elle est si… Si 200 fois mieux que moi...

-Monsieur, vous nous avez fait une de ces peurs! Ce n'est pas grave tout va bien maintenant, dit Madame Pomfresh en essayant de se calmer, encore sous le choc et stressée. 

-Je ne sais même pas ce qu'il s'est passé, j'ai vu des sortes de rêves. Mais je ne comprends pas vraiment.

-Quelles sortes de rêves?, demanda McGonagall.

Je me sentis rougir, sans même me voir… Je cherchais un prétexte pour ne pas raconter tout ce qu'il s'était passé avec Luce… Les cours de Chourave… Oui les cours de Chourave c'est une très bonne idée…

-Je me voyais à Poudlard, en cours de Botanique plus exactement.

C'est à ce moment que, même si c'était très discret, le sourire de Luce venait de diminuer un peu. Quel boulet! Pourquoi est-ce que j'ai pas tout simplement dit la vérité, je peux être con ma parole!

-Bien. Vous vous sentez bien?, demanda la directrice de la maison Gryffondor.

-Parfaitement! Il faudra quand même que je comprenne ce qu'il s'est passé, dis-je en adressant un sourire à Luce qui me regardait.

-Monsieur, étant donné le temps que vous avez déjà passé ici, je pense que Poppy ne verra pas d'inconvénients à ce que vous rejoigniez une autre chambre. N'est ce pas, dit-elle en lançant le regard sévère qui la caractérisait bien à Pomfresh qui lui lançait un regard désapprobateur.

-Non… Mais vous ne pouvez pas rester tout seul… Cela faisait quand même 1 mois et demi que vous étiez dans le Coma… Excusez nous 2 secondes s'il vous plaît.

L'infirmière partit avec McGonagall jusqu'au fond de la salle et elles parlèrent quelques dizaines de secondes tandis que Luce et moi nous regardions dans les yeux.

-Nous proposons, Poppy et moi, de vous laisser gagner une autre chambre, nous ne savons pas ce qu'il peut se passer après le traumatisme que vous avez reçu… Mais vous ne pourrez pas rester tout seul dans cette chambre, il faut que quelqu'un en qui nous et vous avez confiance, et nous avons pensé, évidemment si vous l'acceptez, rien ne vous y oblige, que ce soit vous, dit la professeur de Métamorphose en regardant Luce.

PDV Luce:

Je regardais le professeur et l'infirmière, et gardant un air sérieux, alors qu'en réalité je bouillonnais de l'intérieur, de joie et d'excitation, je dis:

-Je suis d'accord.

-Bien. Je vais donc aller demander au professeur ou "grande inquisitrice de Poudlard" Madame Dolores Ombrage, commença McGonagall en étant sarcastique alors que je ne l'avais jamais vu l'être auparavant, si elle nous autorise à utiliser une des chambres pour les anciens préfets inoccupées. Et si elle n'accepte pas je lui proposerai en échange de choisir le roi et la reine du bal de Noël cette année, si elle nous autorise à le faire bien évidemment…

-Acceptez vous, Monsieur Londubat (NDA: De prendre Luce Davies pour épouse… Pardon je m'emporte…)?

-Bien sûr.

-Dans ce cas venez mademoiselle Davies, j'ai 1 ou 2 choses à vous expliquer.

Je partis avec elle au fond de la salle, alors que Neville discutait avec McGonagall… De quoi, je ne sais pas… Mais il ne cessait pas de me lancer des petits regards.

-Luce, je pense que ce ne sera pas compliqué pour vous… Il faudra juste que vous vérifiez que tout aille bien… Je ne pense pas qu'il y aura de problème… Mais avec ces choses moldues on est jamais sûr… D'après ce que j'ai entendu il peut y avoir des rechutes, il ne tomberait pas à nouveau dans les Coma, mais dans une… Mince… Comment est-ce qu'ils appellent ça déjà… Ah oui, dépression… Et je n'ai pas envie que cela arrive, donc il ne faut pas laisser monsieur Londubat trop seul… J'avais besoin de savoir une autre chose, est-ce que vous arrivez à produire un patronus ? Je sais que vous ne l'avez pas travaillé mais en cas de problème c'est le moyen le plus rapide pour nous avertir d'un danger. Vous savez comment le produire?

-Il faut penser très fort à un souvenir heureux, c'est ça?

-Oui, et ensuite prononcer la formule "Expecto Patronum". Essayez…

Je me concentrais, ou du moins essayais, et penser à un souvenir qui n'en n'était pas un, un rêve que je n'étais même pas sûre d'avoir fait. Et là, je vis un magnifique faucon, qui plus est un faucon pèlerin, comme l'espèce de directrice d'une maison d'enfants aux pouvoirs surnaturels d'un de mes livres moldus préférés. Il continuait de voler, tournoyant autour de moi, et partout dans la salle. Je voyais Neville me regarder avec les yeux ébahis.

-Whaou… C'est vraiment super beau…

-Je suis d'accord, dit Neville.

Je lui souris, ne voulant pas rompre ce contact visuel.

-Bon dans ce cas tout va bien… Tous vos objets vont être déplacés dans la nouvelle chambre, ne vous en préoccupez pas… Maintenant je suppose que Luce vous pourriez expliquer toutes les choses qui se sont passées en 6 semaines, je crois que vous et Monsieur Londubat avez pas mal de choses à vous dire.

Nous sortîmes, après cette autorisation du professeur McGonagall, et je vis Garance qui m'avait attendu tout ce temps partir en me faisant un clin d'oeil avec une tête du genre 😏. (Si quelqu'un arrive à faire une phrase pour décrire cette tête je lui en serais éternellement reconnaissante).

-Bon, alors reprenons depuis les début… Qu'est-ce qu'il s'est passé… Parce que je t'avoue que je suis perdu là, dit-il en riant.

-D'après ce que je sais, pour la base de la base, c'est à cause d'un sort de Drago. Il t'a projeté contre un mur et tu t'es tapé la tête.

-C'est pour ça que je me souvenais de rien?

-Oui… Et tu es resté 6 semaines comme ça…

-Oula ça a fait long… Il s'est passé quoi durant ces 6 semaines?

-Pas grand chose… Ombrage continue de s'occuper de ce qui ne la regarde pas… Et sinon bah rien d'autre…

-Mais sinon ça va toi?

-Oui oui t'inquiètes de toutes façons c'est pas moi le sujet

-Peut être mais ça m'intéresse… Tu es sûre que ça va? McGonagall m'a dit que ces dernières semaines avaient été assez difficile pour toi, alors si tu veux qu'on en parle n'hésite pas, dit il en me regardant droit dans les yeux.

-Non, euh… C'est pas la peine, dis-je en détournant le regard.

-T'es sûre? Non en vrai, réellement, qu'est-ce qu'il se passait ?

-Je… Je me suis sentie coupable pour ça qu'il t'es arrivé… En… En même temps c'est un peu, même beaucoup de ma faute…

-Mais non, arrête de dire ça ce n'est pas vrai… Les seules personnes fautives ce sont moi, pour ne pas avoir réagi et essayé de me défendre, et Malefoy…

-C'est moi qu'il l'avait menacé de révéler son secret s'il ne te laissais pas tranquille…

-Et justement je t'en remercie. Sinon tu es sûre que ça ne te dérange pas d'être mon "infirmière" entre guillemets ? Parce que faut pas te sentir obligée.

-Non, ça me fait plaisir.

-À moi aussi.

-Tu veux qu'on aille voir Harry et tout le groupe?

-Non, pas nécessairement… Je… Est-ce qu'ils sont venus me voir?

-Pas vraiment… 1 ou 2 fois seulement…

-Tu es sûre?

-Ils sont pas venus… C'est pas super cool…

-Oui…

-Mais après c'est pas entièrement de leur faute, Ombrage les fait vraiment baver…

-J'en suis sûr.

-Alors on va pas les voir ?

-Non, on est bien là… À discuter…, dit il en rougissant.

-Oui…

-Tu… Je te remercie d'être venue me voir quand j'étais dans le… Ah mince comment ça s'appelle ?

-Coma?

-Oui… Merci…

-De rien, c'est normal… Mais comment tu le sais?

-Je t'ai entendue… McGonagall avait raison, on peut entendre, et sentir aussi…

-C'est comment ? Enfin je veux dire tu ressens quoi comme impression ?

Je me rendis compte, relevant les yeux de mes pieds, que nous avions marché, inconsciemment, et nous nous étions rendus près du lac.

-C'est assez bizarre, tu entends tout, tu sens tout, mais tu ne peux ni parler ni bouger… Ah oui, aussi tu fais des sortes de rêves…

-Des rêves prémonitoires?, demandais-je en me rappelant de Horace qui était un personnage de mon livre moldu préféré.

-Je ne pense pas… Enfin j'aimerais bien mais je pense pas…, dit il en esquissant un sourire triste.

-Ah… J'espère pour toi alors, répondis-je en pensant très fortement qu'il faudrait que je découvre quels étaient ces rêves.

-Et l'AD, vous vous êtes pas fait trouver?

-Non… Je ne pense pas…

-Comment ça tu ne pense pas?

-Je… Je n'y suis pas allée depuis que Malefoy t'as attaqué…

PDV Neville:

Je ne pensais pas que ce qu'il m'était arrivé avait fait autant de mal à Luce… Le professeur McGonagall me l'avait dit pendant que l'infirmière expliquait à Luce le rôle qu'elle aurait à tenir... Mais je ne pensais pas que c'était à ce point… Je ne suis qu'un simple ami après tout…

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