169 Bateau de mer
La voile se gonfle dans le ciel azuré,
Au bleu lumineux de nuage apuré,
Le vent se soulève, la toile se tend,
La brise câline avance à pas lent.
Les vagues caressent les flancs du bateau,
Enlaçant la proue qui glisse sur l'eau,
Remontant les algues qui viennent dansantes,
Caresser à leur tour le voilier qui chante.
L'écume de mer à la surface des flots,
Avance à son tour le long du bateau,
Léchant de sa mousse, caressant la joue,
Comme embrassant le voilier qui joue.
Là-bas, le rivage et son doux sable doré,
Qui monte sur la dune comme pour l'honorer
Se berce tranquille aux lueurs du soleil,
En attendant la marée pour lever son sommeille.
Et la voile toujours se gonfle dans l'air,
Que souffle du ciel une brise légère,
Où le bleu de l'azur jusqu'à l'horizon,
Envahit de bonheur jusqu'aux lames de fond.
Les mouettes virevoltent au nez du bateau,
Tournent au mât, se posent sur l'eau,
Se parlent entre elles les vagues scintillent
Se parlent entre elles et le soleil brille.
Là-bas, le silence sur la plage rêveuse,
Les pins qui balancent leur tête joyeuse
Valsent dans l'air leur corps de verdure
Ombres du ciel sur la clarté de l'azur.
Et le voilier qui s'éloigne sur la mer infini,
Laisse dans la trace à mes yeux éblouis,
La douceur vagabonde et l'odeur iodée,
De la mer magnifique, et mes rêves inondés.
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