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Chapitre 5

Je jetai mon sac sur le bureau et réduisis les derniers mètres qui me séparaient de mon lit puis je m'effondrai. D'un coup de talon, je retirai mes chaussures et descendis la fermeture éclair de ma robe. Je me tortillai pour l'enlever et enfin en sous-vêtements, je soupirai dans mon oreiller. J'usai de toutes mes forces pour me diriger vers la salle de bain et me décrassai en vitesse en massant mon poignet avec cette impression de sentir la poigne de cet homme encore accrochée.

Séchée, je m'enfuis sous ma grosse couette et écrasai mon bras avec ma tête. Je profitai de cette tranquillité, de ce calme après cette soirée, mais cela ne fut que de courte durée. Hanji arriva en trombe dans ma chambre et sauta sur mon matelas avant de répondre comme si de rien n'était à un message sur son portable.

— Satisfaite de cette soirée ? me demanda-t-elle

Je tirai la couverture jusqu'à mon menton et dessinai un petit sourire à la commissure de mes lèvres.

— C'est plutôt à moi de te poser la question avec ton « vieil ami du lycée ».

Elle cessa son activité sur son téléphone et se tourna sur le flanc, son poing tenant sa tête entourée de ses cheveux mouillés.

— On s'était perdu de vue au lycée. Lui et moi étions trop différents. Il était l'héritier de « Smith & Co » et moi, une pauvre fille sans projets qui sert maintenant des plats qu'elle ne pourra jamais se payer, à des personnes comme lui.

— Vu comment il te dévore des yeux, tu n'as rien à craindre. Tu as juste à foncer.

Ma réponse lui plut en voyant son large sourire naître sur son beau visage pâle. Elle passa ses doigts dans sa mèche humide et m'avoua être au courant de la conversation entre Erwin et Livaï.

— Je suis tout ouïe.

— Erwin va faire affaire avec Livaï, me révéla-t-elle heureuse.

J'arquai un sourcil, essayant de comprendre en quoi cela pourrait m'intéresser étant donné que je ne toucherais pas à son travail et elle poursuivit.

— Erwin veut me voir plus souvent. Je lui ai dit que je travaillais dans le restaurant « Le vieux français » et qu'il pouvait me rendre visite.

— Il va ramener Livaï au restaurant. C'est ça ? devinai-je

Notre petite confrontation une heure avant me mettait dans le bain pour la suite. Pour une première approche, j'y étais peut-être allée un peu fort, mais si je ne l'avais pas fait, c'est lui qui aurait planté ses crocs. Il devait comprendre qui menait la danse et j'espérais réussir à la tenir jusqu'au dernier pas.

— Lundi, ils se donnent rendez-vous au restaurant pour midi.

Je pliai mes jambes, les yeux fixés sur mon plafond et rongeai la petite peau autour d'un ongle.

— J'imagine que tu veux quelque chose en échange ?

Elle caressa mon front en me comblant d'un amour qu'elle seule pouvait me donner. Et les mots que j'avais employés envers Livaï resurgir dans ma tête. Qu'avais-je réussi dans ma vie ?

— Je veux qu'à la fin du contrat, tu acceptes que je t'aide dans n'importe quel domaine. Sans objection.

La fin du contrat. Cet avenir me semblait utopique.

— D'accord, capitulai-je

— Je n'ai rien entendu. Qu'as-tu dit ? s'écria-t-elle en se penchant.

Un rictus étira mes lèvres.

— J'accepte ! C'est d'accord.

Elle sauta du lit, fière d'elle, et s'arrêta à la porte. Lorsqu'elle se tourna, son expression joyeuse se noya dans l'inquiétude.

— Si tu n'arrives pas à le tuer, que comptes-tu faire ?

Je pestai. Je plaquai mes mains sur mon visage et les glissai sous la couette.

— Merci de croire en moi.

— Mon chat...

— J'y arriverai, Hanji. Il est déjà brisé de l'intérieur. Il reste juste à frapper au bon endroit pour détruite cette carapace.

— Mais une fois cassée, tu pourrais bien avoir envie de la réparer, murmura-t-elle

J'épiai mon amie en pyjama avec insistance et celle-ci entrebâilla la porte.

— Oublie. Dors bien.

La porte claqua et marqua la fin de cette soirée.

***

Le temps pluvieux du dimanche m'incita à rester au chaud à la maison. Je me goinfrai de chocolat avec Hanji pour calmer la fin de mes règles et le début des siennes sur notre vieux canapé en compagnie de Netflix et d'une grosse couette. Je ne pensais plus à la nouvelle semaine à venir jusqu'à ce que mon portable professionnel se mette à vibrer sur notre table basse. Je tendis une main paresseuse et l'allumai avec l'empreinte digitale en sentant mon cœur accélérer.

La vue de ce nom sur l'écran me ramena avec brutalité à la réalité. Mes yeux relurent le message de ce type une bonne dizaine de fois pendant que ma main trembla en tenant l'appareil.

" Il te reste 25 jours et tu seras définitivement à moi."

Je me redressai en vitesse, luttant contre une violente nausée. Je posai mes pieds au sol et des tremblements naquirent dans ma jambe droite. Ma journée détente se termina et Hanji m'attira contre son corps avant de me retirer le téléphone des mains et le balancer sur le siège plus loin.

Elle me bordait dans ses bras et caressait mes cheveux d'une tendresse infinie sans prononcer un mot. Je contrôlais cette crise de panique du mieux que je pouvais, mais la sueur perlait sur mon front et je ne pouvais plus retenir ses frissons dans chaque partie de mes membres.

— Je suis là, mon chat.

Depuis mon aménagement, j'enchaînais les crises. Avant de vivre dans une belle petite maison chaleureuse, illuminée par la lumière naturelle du soleil, j'avais passé mon adolescence dans l'obscurité, la crasse, la violence et le sang en faisant en sorte qu'un lendemain soit possible. Et plus jamais, je souhaitais y retourner.

Hanji m'avait remise dans le droit chemin. Tombée sur cette fille était la meilleure chose qui aurait pu m'arriver. Elle savait calmer mes angoisses et me montrait comment gérer des émotions que j'avais depuis des années refoulées. La première règle que nous, les femmes, apprenions était de savoir cacher nos sentiments et nos émotions. C'était la raison pour laquelle mon boss ne recrutait principalement que des hommes. Les femmes ne tenaient jamais plus d'un mois, à moins d'être la petite protégée.

Je somnolai en respirant son parfum familier. Bientôt, l'odeur qui primera autour de moi sera l'odeur du métal qu'échappait le sang. Et je ferais en sorte que cela ne soit pas le mien.

***

— (T/P) ? On part dans quarante-cinq minutes.

Je quittai mon lit à contrecœur et filai sous l'eau chaude. Je me sapai avec les premiers vêtements qui me tombaient sur la main et gagnai la cuisine pour me servir un café. Je m'accoudai au comptoir, la tête encore endormie, et haussai un sourcil face au va-et-vient de Hanji entre le salon et sa chambre. Elle ouvrait tous les tiroirs, jetait les coussins de notre canapé en l'air en grommelant dans sa barbe et regardait sous les meubles.

— Je peux savoir ce que tu cherches ?

— Mes clefs de bagnole ! s'écria-t-elle énervée.

Je rangeai mon bol dans le lave-vaisselle et enfilai mes chaussures. Je coinçai la bandoulière de mon sac à main sur mon épaule et observai cette jeune femme en panique, habillée sur son 31 pour aller travailler.

— Putain, trouvées ! gueula-t-elle dans la salle de bain.

Elle se rua dans la pièce à vivre et se contempla une dernière fois dans le miroir. Satisfaite de son apparence, nous décampâmes sur le champ. Dans la voiture, elle tapait du pied à chaque feu rouge et accélérait sur les routes droites. Je ne commentais pas sa conduite étant donné que je n'avais pas le permis et me contentai d'apprécier cette petite virée avant d'être confrontée à mon avenir.

Hanji se gara sur le parking des employés. Elle enjamba les trois marches menant au patio et se précipita à l'intérieur sans m'accorder un seul coup d'œil. Après tout, je connaissais le chemin. Elle noua son tablier noir à sa taille et attacha ses cheveux en une queue-de-cheval. Je saluai les cuisiniers, les serveurs, salivai déjà devant les plats gastronomiques et franchis la porte principale.

Les bavardages des clients me parvinrent aux oreilles et l'ambiance chaleureuse de cette salle me fit reprendre du poil de la bête. Je donnai une poignée de main au maître d'hôtel pendant que Hanji entra dans son rôle de barman. Elle servit trois nouveaux clients et essuya un verre en guettant l'horloge sur le mur.

Je m'installai sur une chaise haute et longeai ce restaurant luxueux du regard. Un grand lustre en diamant illuminait les murs noirs, gravés de moulures. Les grandes fenêtres aéraient cet intérieur spacieux et donnaient sur une terrasse en parquet foncé, ouvert au client. Même si je n'avais pas ma place dans un tel endroit, je me sentais bien. Et je regrettais presque d'avoir négligé ma tenue.

— Je me demandai, Hanji, comment as-tu réussi à être embauchée ici ?

Elle déboucha une bouteille de vin et piqua un verre suspendu au-dessus de sa tête. Elle le posa sous mon nez et le remplit en gloussant.

— Disons que je connais quelqu'un, qui connaît quelqu'un, qui connaît quelqu'un...

— C'est bon. J'ai compris, la coupai-je

Je trempais mes lèvres dans ce liquide bordeaux et avalai une petite gorgée. Hanji me parlait de son entretien avec le patron, de son travail en tant que serveur avant d'être assignée au bar. Puis, pendant qu'elle me racontait la prise de tête avec un client, elle s'arrêta de parler et un large sourire éclaira son visage rougi.

— Erwin, le salua-t-elle

— Hanji, je suis heureux de te revoir.

Erwin l'embrassa par-dessus le comptoir en marbre noir et fit de même avec moi avec plus de retenue. Je le gratifiai d'un sourire et me reconcentrai sur la dégustation de mon vin. Hanji s'attardait sur l'essuyage de son verre, bien sec depuis déjà deux minutes et ne quittait plus son beau blondinet.

— On va t'amener à ta table, parla-t-elle

— Super, je te remercie. Livaï ne devrait pas tarder. Il est toujours très ponctuel.

La barmaid appela un maître d'hôtel et lui demanda de bien vouloir le diriger à sa table. Le PDG, mallette en main, accorda un dernier sourire à cette dernière et suivit le jeune homme dans son costume noir.

— Comment tu vas procéder ? m'interrogea mon amie.

— Avec de la patience.

— Raisonnable, acquiesça-t-elle

Elle se remit au travail après un rajustement de sa queue-de-cheval et s'activa dans ses tâches pendant que je tournoyais mon vin dans mon verre. Cul sec, je le fis disparaître dans le fond de ma gorge et me raidis à l'entrée de Livaï Ackerman dans le restaurant. Intimidant fut le premier mot qui me traversa l'esprit. Dans un geste fluide, il glissa sa veste noire le long de ses bras musclés emprisonnés dans un simple pull noir qui néanmoins, devait couter plus cher que l'ensemble de mes vêtements. Il l'abandonna au bras du maître d'hôtel et rejoignit Erwin avec une assurance déroutante.

Un vent sur ma joue me détourna de mon observation. Hanji me dévoilait toute l'étendue de sa dentition, des paillettes plein les yeux.

— Tu mates encore, mon chat.

— Des clients attendent d'être servis, lâchai-je

Elle haussa les épaules et me versa à nouveau du vin. J'apportai mes lèvres au buvant et manquai de tout recracher à la prononciation de mon prénom, haut et fort dans ce restaurant.

— Oh (T/P) !

Je ne pouvais pas écarquiller mes yeux plus qu'ils ne l'étaient déjà. Mes membres se paralysèrent sur cette chaise et je me dépêchai de reposer mon verre avant de le briser. Je déviai mon vis-à-vis de ce rouge sombre vers la porte principale où un homme à la barbe prononcée avança, les bras grands ouverts à mon approche.

— Ne fais pas ta timide, chérie. Allez, un bisou ! s'exclama-t-il

Sa carrure dominante cachait la lumière de la porte d'entrée à mesure qu'il s'approchait. Il me plongeait dans les ténèbres et me rappelait ce qui m'attendait.

— Garde tes distances, Franck.

Je le repoussai en me confirmant la dureté de ses abdominaux et tournai ma tête avant qu'il arrive à m'embrasser. Son éclatant sourire illumina son visage et sa voix de baryton résonna dans mes tympans en captant l'attention de toutes les demoiselles dans la salle. Celui-là ne passait pas inaperçu avec sa taille imposante, sa barbe noire et ses cheveux rasés d'un côté. Le tout vêtu d'un costume noir cachant ses nombreux tatouages, il était l'archétype du mauvais garçon. Mais sans une once de gentillesse possible en lui.

— Plus tu me repousseras, plus j'aurai envie de toi.

Ses doigts survolèrent mon profil et dans la seconde, je capturai son poignet. Je le retournai, plantant mes ongles dans le tissu de sa veste noire et il me l'arracha pour prendre place sur la chaise à ma gauche. Je soufflai en levant les yeux au ciel et le fusillai.

— Je vais prendre un scotch, ma jolie.

Hanji s'en occupa à toute vitesse. D'un coin de l'œil, elle haussa le menton en me demandant silencieusement qui c'était. Je hochai la tête de droite à gauche et Franck lui remercia de son sourire ravageur une fois le scotch préparé. Ma colocataire se força à sourire et me surveilla en s'occupant des autres clients.

— J'adore quand tu me regardes comme ça, lâcha-t-il en savourant ce liquide ambré.

— Comme quoi ? grognai-je

— Comme une femme qui veut m'égorger.

Je martyrisai l'intérieur de mes joues. Ma jambe droite tremblait de nervosité. Il gardait le silence, attendant que je pose les questions qu'il devinait déjà. Je pris une bouffée d'air et réalisai son rêve.

— Qu'est-ce que tu fais là ?

Ses dents se dévoilèrent à travers cette couche de poil. Il essuya sa bouche d'un revers de la main et jeta un regard sur sa droite.

— Je bosse, pardi. Je ne vais pas mettre un costume qui me coupe les couilles juste pour faire beau. Tu m'as vu ? Je porterai n'importe quoi que je ferais quand même mouiller des strings. Regarde-les à se dandiner sur leur chaise.

Son franc-parler me donnait la nausée. Je n'ajoutai aucun commentaire et il se reprit d'une voix plus sérieuse.

— Mon contrat est ici.

Pendant un instant, mon ventre se tordit de douleur à l'idée que nous ayons la même cible. Pourtant, cela pourrait m'être bénéfique. J'en aurai fini plus tôt avec ce contrat et mes problèmes seraient résolus.

— Le tien aussi. Toujours dans le suicide ? Tu ne voudrais pas un peu de mon aide ? Une balle dans la tête, c'est tellement plus simple, me proposa-t-il

— Si c'est tellement plus simple, qu'est-ce que tu fous là ?

— Contrairement à toi, chérie, j'ai tout mon temps pour mener mon travail à terme.

Un râle gratta ma gorge. Je claquai ma langue dans mon palais à sa remarque et avalai ma boisson d'une traite. Il tourna sur sa chaise et jeta un regard sur le panorama du restaurant. Je l'imitai et adossai mon dos au bord du comptoir. Je relevai mon attention, perdue, vide et déglutis en tombant sur l'intensité poignante du bleu de ces iris. Mes tripes se nouèrent et je compris plus tard que ce regard noir n'était pas porté dans ma direction. Mais à l'homme à mes côtés.

— Ce monde me débecte.

Des milliardaires réunies à des tables mangeant des plats hors de prix qui pour eux sont ordinaires pendant que des enfants, des adultes subissent la misère de ce monde. Oui, ce monde m'horripilait. Nous n'étions pas à notre place ici.

Franck redemanda un verre à Hanji et j'en fis de même. Il me parla de son ancien contrat sans que je l'arrête. Il avait besoin de se confier à quelqu'un et je devinai que dans l'entrepôt personne ne voulait jouer les psychologues. Franck manquait de quelque chose. Tous les hommes en bas manquaient de cette chose. Une présence apaisante. Une oreille près à l'écoute. Une tendresse, une douceur. Un moment de calme entre deux contrats. En d'autres termes, la compagnie d'une gentille femme qu'ils respectent. Aujourd'hui, Franck voyait cette femme en moi. Et pour être franche, je m'en moquais totalement. Du moment qu'il me laissait tranquille, il pouvait tout me dire. Tout rentrera d'une oreille et sortira dans l'autre.

Nous grignotâmes des cacahouètes, mais à mesure que les heures avançaient, mon ventre avait faim de vraies nourritures. Franck enchaînait le scotch et ne semblait pas pour autant atteint par l'alcool. Il carburait à ce breuvage depuis des années et je ne l'avais jamais bu boire de l'eau.

Les clients quittaient le restaurant à tour de rôle et les bavardages diminuaient. Livaï et Erwin conversaient toujours avec l'ordinateur portable sur la table. Ils commandèrent un thé et un café et poursuivirent leur petite réunion d'affaires.

— Vous avez faim vous deux ?

Hanji s'interposa entre nous, attirant l'attention de Franck. Il s'accouda au comptoir, les épaules larges en avant et planta ses yeux marron dans ceux de la barmaid.

— Je meurs de faim, répondit-il

Je crus halluciner en entendant un gloussement de la part de ma colocataire. Elle ne pouvait plus retirer son sourire de son faciès. Elle coiffa une mèche derrière son oreille avec des doigts fins et partit vers la cuisine.

— Tu t'approches d'elle, tu tentes de communiquer avec elle, tu es un homme mort, le prévins-je

— Ne sois pas jalouse, chérie. Tu auras toujours une place importante dans mon cœur, se moqua-t-il

J'ignorai ses dires et une dizaine de minutes après, Hanji arriva avec deux plateaux-repas dans les mains. Elle glissa sous nos nez un magret de canard assorti de légumes et je la dévisageai.

— On a le droit ?

— Bien sûr. Pas de gaspillage dans ce restaurant.

Franck perdit sa langue après deux heures à parler. Il fixait la nourriture avec des étoiles dans les yeux et j'étais sûre d'adopter la même réaction.

— Bon appétit ! s'exprima Hanji

Mon collègue se jeta sur la nourriture et un gémissement de plaisir traversa ses cordes vocales.

— Putain que c'est bon ! s'extasia-t-il

— Ça change du potage qu'on nous servait..., parlai-je

— Rassure-toi, on nous le sert encore. Et c'est toujours aussi infect.

Je rigolai en reposant aux cantinières qui se démenaient jour et nuit pour nourrir des hommes de plus de cent kilos de muscles trois fois, voire cinq fois par jour. C'était des morfales et même s'ils n'aiment pas, ils léchaient leurs assiettes jusqu'à la dernière miette.

— Et ton sourire est toujours la première cause de mort brutale, ajouta-t-il

Je croisai le marron foncé de ses iris et fronçai les sourcils. Je piquai ma fourchette dans un morceau de magret et son timbre vibrant perdit de son amusement.

— On tuerait pour qu'il nous appartienne.

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