Chapitre 37
POUR BIEN COMMENCER LE MOIS D'OCTOBRE, VOICI UN AUTRE CHAPITRE (: ET AUSSI PARCE QUE J'AVAIS UNE QUESTION À VOUS POSER.
IL Y A UN CONCOURS DE JEUNES ÉCRIVAINS ET JE ME DEMANDAIS SI ÇA VALAIT LA PEINE QUE JE M'Y INSCRIVE ? CEUX QUI LISENT MES HISTOIRES, QU'EN PENSEZ-VOUS? JE LE FAIS OU PAS ? MERCI, LOVE YA GUYS XX
La précédente "mauvaise chose" anticipée que je croyais qui allait arriver n’a finalement pas eu lieu. Et bien, pas pour le moment. C’était toute fois persistant, se balançant à l’abri des regards. Quelque part dans ma tête, je savais que ça allait arriver, que c’était le calme avant la tempête. Notre bonheur était toujours mince et notre chance disparaissait rapidement. J’avais appris avec le temps de ne pas trop m’habituer au confort ou à l’espoir, puisqu’ils seraient enlevés à la minute où on se permettait d’y croire. Alors je ne me laissai pas berner par le fait que nous avions été choyé par les quelques jours de paix.
Mais je n’en pris pas avantage au meilleur de mes capacités. Parce que mon garde semblait parfaitement ordinaire, ne parlant pas beaucoup, mais m’emmenant où je devais aller. La malfaisance de Mme Hellman était à distance pour le moment et James, Kevin et même Norman avaient gardés leurs distances. Il y avait un arrêt des habituelles afflictions qui nous tombaient dessus.
Et sans mentionner que le paradis dont Harry parlait était souvent ennuagé par des tempêtes de crainte, rendant difficile de croire qu’il pouvait exister. Mais il semblait toujours trouver un moyen de le créer. Peu importe que c’était de s’enfermer dans les placards de matériel, d’attendre jusqu’à ce que les toilettes soient vides pour se voler un baiser ou même poser sa main sur mon genou sous la table durant le repas, il avait toujours une façon de disperser du bonheur. Bien entendu nous ne pouvions pas être ensemble entièrement comme nous le voulions et avions désespérément besoin. Mais il y avait des moyens de satisfaire légèrement notre faim. Harry mettait toujours sur pied un plan pour passer outre la vigilance stricte des gardes; et il semblait le faire assez souvent, semblant ne jamais avoir à passer trop d’heures sans son toucher. Spécifiquement depuis les derniers jours quand une ou deux fois par jour nous nous retrouvions avec nos lèvres l’une sur l’autre, des cheveux entre nos doigts hors de vue.
Vous pourriez collecter nos malicieux moments et y ajouter de la musique pour le transformer en un film romantique pour adolescents. Chaque fois semblait plus excitante et comblé que la dernière.
Hier avait été mon moment préféré.
Tout avait commencé avec Mikayla et son mystérieux livre. Elle était assise lorsque j’étais entré dans la cafétéria, se tenant avachis sur sa chaise en plastique. Ses avant-bras bronzés déposé sur la table. Mais il y avait quelque chose qu’elle tenait entre ses mains, quelque chose qui m’avait grandement manqué depuis que je n’étais plus dans mon appartement et qui m’apportait de la liberté.
"Où as-tu eu cela? ", questionnais-je, intrigué.
"Ça? ", demanda-t-elle, soulevant le livre.
"Oui. Est-ce que tu l’as apporté quand tu es arrivé à l’institution? "
"Non", répondit-elle pendant qu’Harry écoutait notre conversation de sa place à l’autre bout de la table. "Je l’ai trouvé à la bibliothèque. "
"Quelle bibliothèque? ", insistais-je. Un livre semblait être le parfait moyen de m’évader dans un monde différent qui n’était pas aussi confus, éreintant que celui dans lequel je me trouvais.
"Celle qu’il y a ici", dit-elle d’un ton ennuyé. Comme si c’était évident.
"Hey, hey, attends", s’incrusta Harry. "Cet endroit à une bibliothèque? "
"Oui…vous ne le saviez pas? "
"Non", dit-il, presque consterné de ne pas en avoir été informé. "Depuis quand? "
"Je ne le sais pas", dit Mikayla d’un ton monotone. "Ça semble neuf, probablement quelques années. "
"Comment l’as-tu découvert? ", questionnais-je.
"Hey, calmez-vous", dit-elle dramatiquement en levant ses mains dans les airs. "J’ai seulement demandé à mon garde s’il y avait des livres ici et il m’a amené à la bibliothèque. "
Les yeux d’Harry devinrent brillants d’excitation. "Et merde, j’y vais tout de suite. "
"Attends après le repas", dis-je, incapable de refreiner mon sourire. "Je veux aussi y aller". Je tirai une chaise juste aux côté d’Harry et m’y assis.
"Merci seigneur, il y a une bibliothèque", dit-il à quiconque écoutait, ignorant ma demande, mais se rasseyant tout de même sur sa chaise. "J’étais tellement ennuyé dans ma cellule. J’ai besoin de lire quelque chose. "
"Oh alors qui est l’intellectuel maintenant? ", l’agaçais-je, repensant à cette première semaine où j’avais rencontré Harry et qu’il se moquait de moi constamment. J’allais dire quelque d’intelligent et il allait me le renvoyer en pleine figure.
"Toujours toi", répondit-il. "Comme avant. "
"Alors tu restes toujours le con? "
"Et tu es toujours la fille de vingt ans qui n’a encore jamais eu de sexe", dit-il, introduisant une cuillère pleine de nourriture dans sa bouche.
Ma mâchoire tomba, mais je ne pouvais empêcher les coins de ma bouche de se retrousser dans un sourire. "Intellectuel", l’appelais-je.
"Vierge", sourit-il, essuyant de la nourriture sur le coin de sa bouche à l’aide de son pouce. Je respirai fortement à ses mots tandis que ses yeux brillaient d’une lueur malicieuse. "Ne t’en fais pas, je vais changer ça le plus rapidement possible. "
Il y eu un raclement de gorge, puis Harry et moi nous retournâmes vers la source du bruit. Mikayla était assise inconfortablement devant nous, faisant remarquer sa présence en cas que nous l’avions oublié. Et c’était bien le cas. Ou du moins, j’avais oublié. Parce que j’étais tellement plongé dans la nouvelle information concernant la bibliothèque, Harry et le fait que les choses vont plutôt bien pour nous que des choses passèrent inaperçues. Tel que l’absence de Jane à la table.
La pensée sortit rapidement de mon esprit lorsque je demandai à mon nouveau garde si je pouvais visiter la bibliothèque. De plus, Jane était probablement à une session de thérapie ou à l’infirmerie. Ce n’était pas comme si je devais m’inquiéter.
Alors je ne le fis pas et je regardai plutôt sur les couvertures des livres avec des titres imprimés sur les côtés. J’étais dans une partie plus reculé de la pièce, loin des regards des gardes qui ne manquaient jamais d’infester chacune des pièces de l’asile. Il n’y avait personne d’autre entre les deux étagères de livres au centre desquelles je me tenais. Les autres criminels à la recherche de livres étaient à l’avant avec les nouveaux livres, me laissant chercher en paix.
Mais cette paix ne dura que quelques secondes. Je venais de commencer "The Grapes of Wrath" lorsque j’eus soudainement le sentiment de ne plus être seule. Une certaine présence invisible, mais ressenti flottait dans les airs derrière moi. Avant que je ne puisse me retourner pour trouver le suspect, je sentis deux bras s’enrouler autour de ma taille. Je criai et échappai mon livre, me retournant vivement dans leur étreinte. Soudainement, ce fut le doigt d’Harry qui se pressait contre mes lèvres, un de ses puissants bras toujours enroulé autour de ma taille. "Shhh", dit-il à travers un rire.
Je soupirai de soulagement, mon dos contre l’étagère alors que je riais avec lui. Entre nos rires, nos ricanements et nos sourires on ne put s’empêcher de connecter nos lèvres de la façon dont on était devenu si accoutumé pendant nos moments secrets. Mais je crois que je ne pourrai jamais devenir accoutumé à la douceur de ses lèvres et de la manière dont elles bougent tendrement avec les miennes. La façon dont sa large main était déposée sur ma hanche, l’autre sur ma mâchoire pendant que les miennes étaient dans ses cheveux.
Le baiser n’avait pas duré longtemps quand Harry se décolla légèrement. "Salut", dit-il en souriant.
"Salut", riais-je et l’embrassai de nouveau.
Si ce n’avait pas été des oreilles attentives d’Harry, les pas du garde auraient passés inaperçu. Mais Harry l’avait entendu approcher et agrippa ma main. "Viens", murmura-t-il une fois le baiser terminé. Il m’entraina rapidement jusqu’à la fin de l’allée, nos dos pressés contre le bois. Je recouvris ma bouche avec ma main alors qu’Harry observait le garde. Il regardait dans l’allée pour la cause du bruit qui venait d’Harry et moi. Mais nous étions hors de vue et riant légèrement alors qu’il repartait, allant patrouiller d’autres parties de la bibliothèque. "Fiouu", dit Harry, prétendant d’essuyer de la sueur sur son front.
"Ça y était presque", jouais-je le jeu avec un soulagement exagéré. On ne pouvait pas plus se foutre des gardes.
Harry prit sa lèvre entre ses dents, ses yeux regardant dans les miens joyeusement.
"Quoi? ", questionnais-je.
Harry prit son temps pour répondre, patientant un moment. "Viens avec moi. "
Sa main se serra autour de mon poignet et il m’entraina vers une autre étagère, plus près du fond de la pièce. "Qu’est-ce qu’on fait? ", questionnais-je.
"Regarder pour un livre", répondit-il simplement, haussant ses épaules. Sans un autre mot, ses yeux se baladaient sur l’étagère, ses sourcils se fronçant sous la concentration et une petite moue apparaissant sur ses lèvres. Pour une personne de cette taille et de cette force, il était adorable.
J’avais vraiment essayé de chercher pour un livre et pensai en avoir trouvé un que je pourrais aimer. Lorsque je regardai le résumé, je le remis à sa place par la faute du manque d’intérêt qu’il semblait contenir. Alors je regardai plutôt Harry. Il cherchait toujours, ses mains derrière son dos alors qu’il se penchait pour lire un titre. Je ne pus m’empêcher de m’approcher et déposer un baiser sur sa joue. Je l’avais pris au dépourvu et il souriait lorsqu’il se retourna pour me faire face. Avant que je ne puisse réagir il me colla légèrement à lui, une main sur le bas de mon dos et l’autre derrière ma tête pendant que ses lèvres entraient en collision avec les miennes dans un baiser joueur. C’était plutôt comme un profond bisou, vraiment, c’était rapide.
Puis, somme il le faisait toujours il pressa un autre baiser contre mon front, ma joue, mon autre joue, le bout de mon nez, mon cou, mon front et il le refit une autre fois pendant que je riais et recevait de nouveaux papillons avec chacun d’eux.
"Arrête", riais-je pour protestations, prisonnière dans ses bras.
Il arrêta finalement et se décolla, retournant à ses recherches, mais cette fois-ci avec un sourire sur ses lèvres plutôt qu’un pli entre ses sourcils. Je continuai à regarder pour un bon livre, mais je ne pouvais pas vraiment me concentrer avec la sensation encore présente de ses lèvres sur ma peau.
Les titres semblaient tous ennuyants ou triste alors que mes yeux scannaient les étagères. Mais finalement, finalement j’en vis un d’un certain intérêt. Les lettres disaient "The Great Gatsby" imprimé sur une couverture bleue foncée. J’arrivai pour l’attraper, mais Harry fit la même chose au même moment. Ses yeux vacillèrent vers moi et il bougea rapidement pour le prendre avant moi.
"Heille! ", dis-je. "J’étais pour le prendre. "
"Mais tu as été trop lente", répliqua Harry, l’ouvrant et lisant la première page.
Je roulai des yeux. "Bien, celui-ci semble mieux de toute façon", dis-je. Harry le regarda, lisant le titre. "Lost Horizon"
"Comme tu dis", soupira-t-il.
"C’est vrai! Lost Horizon semble plus intéressant que The Great Gatsby. "
"Faux", riposta Harry
"D’accord, je vais finir de lire ce livre ce soir, puis toi tu lis lui. Et demain on échange et décide lequel est le meilleur. "
"Marché conclu", accepta Harry, amusé par ma compétitivité.
Le reste du temps fut passé à explorer la pas-très-intéressante sélection d’histoire de Wickendale avec la main d’Harry derrière mon dos pendant que nous marchions dans les allées. Quelques fois Harry allait trouver un livre qui l’intéressait et allait me lire le résumé à voix haute. Je me retrouvais perdue dans l’écoute de sa voix rauque lisant les mots, semblant les rendre plus attirant que ce que l’auteur avait voulu. Il intimidait les autres, mais dans la sureté des étagères où nous pouvions nous voler des baisers et rire en murmurant alors que nous parlions des histoires ou des contes se retrouvant sur les pages des livres, je ne ressentais rien d’autre que du bonheur ou de la sécurité près de lui.
C’était le plus heureuse que j’avais été et que je serais pendant un long moment.
JOUR SUIVANT
POINT DE VUE D’HARRY
Après la mort d’Emily, même si ça peut sembler dramatique ou cliché, je ne pensais pas pouvoir retrouver l’amour. Mais me voilà, éperdument amoureux de Rose. Je ne pouvais me retenir de l’embrasser partout dans le visage et entendre ses rires tomber de ses lèvres.
Je venais de voir, de comprendre, qu’il y avait des deuxièmes chances et des façons de fixer ce qui ne semble pas pouvoir l’être. Si tu as déjà accompli quelque chose une première fois, alors pourquoi ne pas le refaire? Plusieurs choses étaient faites pour être fait correctement.
Mais s’évader d’un hôpital psychiatrique n’était pas une de ces choses. Différemment de mon amour indéniable, il n’y aurait pas de deuxième chance. Nous devons avoir un plan et le mettre en marche rapidement et tout en même temps ou pas du tout. Parce que s’échapper n’était pas quelque chose qu’on pourrait simplement réessayer. Si nous nous faisions prendre, nous ne pourrions plus jamais quitter nos cellules. Nous ne pourrions plus partager du temps précieux dans la nouvellement découverte bibliothèque. On n’aurait aucune confiance pour pouvoir manger parmi les personnes qu’on aurait choisi, mais serions nourrit comme des chiens par les portes de nos cellules. Et si Mme Hellman apprenait qu’on essayait de s’enfuir, qui sait ce qu’elle avait en réserve.
Je ne pouvais parler de cela à personne, sauf ceux en qui j’avais une totale confiance. Et pour certaines raisons, Lori était une de ses personnes.
"Tout semble parfait", me dit-elle durant une de mes visites mensuelles. Je n’avais rien dit à propos de m’échapper, parce que la nouvelle infirmière, Grace, devait aller hors de portée de voix.
"Merci", dis-je. Grace était toujours près d’elle. "Mais, uh, avant de partir…est-ce qu’on peut se parler? ", questionnais-je
Lori hocha la tête à quelques mètres de moi, dans sa chaise près du lit où j’étais assis. "Bien sûre"
"Seul? ", demandais-je et Grace regarda Lori. Lori hocha la tête et Grace sortit de la pièce.
La première chose que je fis fut de dire l’évidence. "Rose et moi devons nous enfuir. "
"Je sais", hocha Lori et j’étais surpris.
"Que veux-tu dire par «je sais»? ", questionnais-je.
"Je sais qu’aucun de vous deux n’a sa place ici", me dit-elle. "Je suis vieille, pas aveugle. Je peux voir clairement que Rose est normale. Et tu es à quelque part entre les deux, mais être quelque part entre les deux ne mérite pas d’être à Wickendale. "
"Alors tu vas nous aider? ", questionnais-je. Sautant sur chaque occasion de recevoir de l’aide.
Lori hocha la tête.
"Bien", répondis-je. "Alors je te compte parmi nous. Kelsey travaille déjà à nous avoir une carte. Mais nous avons besoin de plus que des plans de Wickendale, nous avons besoin d’une certaine distraction pour les gardes. Nous avons besoin d’un moyen pour sortir de nos cellules et ensuite à l’extérieur. "
"Je peux le faire", me dit-elle. "Je veux dire, je ne peux pas vous sortir de vos cellules et tout, mais je peux créer un semblant de distraction. "
"Comment? ", demandais-je.
"Quand il y a eu la panne d’électricité il y a quelques mois, c’était le parfait chaos. Tout le monde était partout et personne ne pouvait voir. Tu es descendu au sous-sol facilement sans que personne ne le remarque. "
J’hochai la tête, essayant de comprendre où elle voulait en venir. "Tu vas couper le courant quand nous allons nous échapper? ", questionnais-je pour clarifier.
"Si ça aide? "
"Oui, beaucoup. Je veux dire, il nous reste encore des tonnes de choses à planifier, mais si tu coupes le courant quand on en aura besoin, ça peut aider. Merci beaucoup Lori", la remerciais-je. Rose et moi devions sortir d’ici et j’ajoutai mentalement Lori à la liste de nos alliés. Je pouvais voir dans ses yeux qu’elle était fatiguée. Elle connaissait la vérité à propos de Wickendale, elle avait travaillé ici depuis trop longtemps. Et elle était fatiguée de tout cela.
Alors aider Rose et moi serait sa contribution. Si nous voulions nous échapper, nous devions avoir plus d’idées de distractions, de chemins et d’idées pour assurer notre sécurité. Ça ne pouvait pas seulement arriver pendant la nuit. Mais l’idée d’une panne de courant, la carte sur laquelle Kelsey travaille et nos alliés était un bon commencement.
Cette idée me mieux de meilleur humeur lorsque je fus transporter de l’infirmerie jusqu’à la cafétéria. Je remarquai Rose et Mikayla assise une en face de l’autre à notre table habituelle. Je décidai de m’asseoir aux côté de Rose et déposai ma main sur sa cuisse. "Salut bébé", dis-je en embrassant sa joue.
"Salut", répondit-elle avec un sourire resplendissant. Nous étions prêts pour parler des livres et du fait que "The Great Gatsby" était bien meilleur que son "Lost Horizon"
Mais avant que je puisse dire un seul mot, nous remarquâmes l’expression troublée de Mikayla.
"Qu’est-ce qui ne va pas", demanda doucement Rose. Avant de répondre, la fille scanna la pièce des yeux, rapidement, puis revint vers nous.
"Où est Jane? ", questionna-t-elle, inquiète. "Elle n’était pas ici hier non plus. "
"Je ne sais pas, peut-être qu’elle est malade", dis-je.
"Non, je ne pense pas", refusa Mikayla.
"Quand l’as-tu vu pour la dernière fois? ", questionna Rose.
La respiration de Mikayla devint légèrement plus profonde. "Il y a ce garde, son nom est Thomas, je crois", explique-t-elle. "Il l’a amené dans une salle de chirurgie ou quelque chose du genre. Je l’ai vu pendant que je marchais dans les corridors. Je pensais que c’était quelque chose de mineur. Mais il y avait quelque chose d’étrange avec ça. Et je ne l’ai pas revu depuis ce jour. "
Mes yeux se remplirent de crainte, alors que ceux de Rose s’emplissaient de peur. Cette scène était familière. Parce que la même chose était arrivée à Cynthia Porter. Amenée en chirurgie et plus jamais revu. Et s’ils avaient eu le même destin, Rose et moi savions que la nouvelle allait ruiner notre précédent bonheur.
Jane était morte.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro