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Chapitre 20: La fée de la cabine de pilotage

Après avoir somnolé une partie de l'avant-midi, Arkadi se réveilla lorsqu'Élisabeth cogna à sa porte et entra. Elle portait un plateau qu'elle déposa sur la table de chevet près de lui.

— Est-ce que ça va mieux ?

Il se redressa dans le lit avant d'acquiescer. Élizabeth s'assit près de ses pieds.

— Je t'ai apporté un peu de soupe pour t'hydrater. Et du pain.

— Merci, répondit-il.

Sa voix enrouillée, il dut se racler la gorge avant de continuer :

— Tes cachets semblent fonctionner, mon mal de tête est presque passé.

— Tant mieux.

Un silence inconfortable s'installa entre eux. Élizabeth gigota sur le lit, avant de reprendre la parole.

— J'ai croisé Léandro ce matin. Il m'a dit que ses pilotes étaient de retour avec le vaisseau. J'aimerais aller le voir, si jamais tu as envie de venir avec moi. Les trois autres dorment encore alors...

— D'accord, pourquoi pas. Bouger pourrait me faire du bien.

— Oui, ça aide souvent.

Un nouveau silence s'installa. Élizabeth se mordilla la lèvre, ce qu'Arkadi avait appris à interpréter comme un signe de malaise.

— Hmm, je passe sous la douche et je te retrouve à l'extérieur ? proposa-t-il.

— Euh oui, c'est parfait. Je te laisse manger. À tantôt !

Élizabeth sortit de la pièce aussi vite qu'une petite souris, l'abandonnant à son repas qu'il avala d'un trait. Après une douche rapide dans la salle de bain commune, un brossage de dent et un détour dans la cafétéria pour engloutir un autre croissant, Arkadi quitta le bâtiment pour rejoindre la terrienne, non sans grimacer de douleur lorsque la lumière du soleil raviva son mal de crâne.

Élizabeth le patientait à l'extérieur, à quelques mètres de la porte. Elle semblait absorbée par la contemplation d'un arbuste près du mur de l'auberge. Ses charmants yeux étaient plissés et fixaient une des branches avec attention.

Sur un coup de tête, Arkadi en profita pour se faufiler derrière elle sans faire de bruit.

— Bonjour jolie Dame, murmura-t-il sur sa nuque.

Comme il s'y attendait, la petite blonde sursauta en poussant un cri de mort suraiguë qui lui transperça les tympans.

Elle se retourna illico pour lui lancer un regard assassin. Arkadi hésitait entre regretter son geste ou se rouler de rire par terre.

— T'es malade ou quoi ?! J'aurais pu faire une crise cardiaque!! vociféra-t-elle

Arkadi se retint de sourire. Il adorait la voir en furie ainsi, ses joues rougies par l'émotion.

— C'était trop tentant, désolé, s'excusa-t-il, à moitié sincère. Qu'est-ce que tu regardais ?

Élizabeth grogna de manière peu féminine avant de se retourner vers l'arbuste derrière elle.

— Je ne sais pas trop. J'ai cru apercevoir de la lumière qui venait d'ici en sortant tout à l'heure, mais dès que je me suis approchée, elle a disparu.

Arkadi observa un instant la haie de végétaux qui longeaient le mur de l'auberge. Ceux-ci lui arrivaient à la taille et leurs branches tombantes étaient parsemées de feuilles rouges et obovales. Au bout de certaines, il distingua de minuscules fleurs blanches à demi ouvertes.

— Je crois que ce sont des arbres fruitiers, mais je ne saurais dire lesquels. Ils ne ressemblent pas à ceux que nous avons en Orient. En revanche, je crois savoir quelle était cette lumière que tu as vue plus tôt.

Un sourire énigmatique sur les lèvres, il s'accroupit et fit signe à Élizabeth de s'approcher. Elle hésita un instant, sans doute encore méfiante suite à la frousse qu'il venait de lui faire. Néanmoins, elle finit par s'avancer à petits pas et s'abaisser à son niveau.

Il souleva une des branches du feuillu et invita la jeune femme à regarder sous celle-ci. Comme il s'y attendait, de minuscules petits insectes longilignes de couleur bleu azur munis d'ailes translucides s'abritaient près du tronc.

Élizabeth écarquilla les yeux.

— Ils sont magnifiques ! Qu'est-ce que c'est ?

— Des lucioles, chuchota-t-il.

Élizabeth se pencha davantage pour les observer, frôlant de ce fait le bras d'Arkadi. Un doux frisson remonta jusqu'à sa nuque. Sa chaleur près de lui et son odeur florale attisait ses sens.

— Nous avons des lucioles sur Terre, déclara-t-elle. Mais elles ne ressemblent pas du tout à cela. C'est elles qui produisent cette lumière que j'ai vue ? demanda-t-elle

— Oui, elles appellent leurs semblables ainsi. Attends, je te montre.

Arkadi se redressa et l'invita à faire de même. Il se glissa derrière elle et tira sur sa taille pour l'obliger à reculer de quelques pas.

— Mets-toi ici et observe, murmura-t-il près de son oreille.

L'épiderme sur la nuque d'Élizabeth se dressa en réaction à son geste.

Il resta plus longtemps que nécessaire derrière elle, retenant une envie de déposer ses lèvres sur ce petit bout de peau si tentant. Néanmoins, il s'éloigna d'elle pour retourner vers la rangée d'arbustes. Avec son pied, il secoua la base de celui qu'il avait examiné. L'effet fut immédiat.

Une envolée de luciole bleue s'échappa du feuillage avec, en tête de file, le chef de la bande qui scintilla à plusieurs reprises. L'essaim se précipita sans attendre vers le buisson suivant.

Pendant ce temps, Élizabeth observait le phénomène avec attention.

— Elles sont magnifiques, souffla-t-elle. On dirait des petites fées bleues.

— Des fées ?

Elle retourna son attention sur Arkadi avant de lui répondre.

— Des êtres mythiques que l'on retrouve dans certaines histoires pour enfants. Elles veillent sur les forêts et le monde humain.

— J'aime bien l'idée. Les lucioles veillent effectivement sur nous. Elles sont les principaux pollinisateurs sur Proxima. Sans elles, les arbres ne produiraient aucun fruit, les céréales n'existeraient pas et les légumes ne pousseraient pas. En échange, elles ont besoin qu'on les protège. Elles ne supportent pas longtemps le soleil, elles doivent constamment s'abriter et deviennent plus actives durant les lunes d'éclipses. C'est pourquoi on doit toujours s'assurer d'avoir de la végétation pour qu'elles puissent s'y cacher, même en ville.

— Elles veillent sur l'équilibre, mais ont tout de même besoin qu'on s'occupe d'elles, résuma Élizabeth.

Elle fronça les sourcils, triturant ses lèvres de ses dents.

— C'est pour ça que tu m'appelles luciole ? demanda-t-elle. Tu te sens obligé de me protéger ?

Cette question déstabilisa Arkadi un instant. Sa gorge s'assécha.

— J'ai fait ça ?

— Oui. À trois reprises, répondit-elle, les yeux rieurs.

Le cœur d'Arkadi rata un battement. Il ne s'en était même pas rendu compte. Quand l'avait-il appelé ainsi ?

— Ah... euh... et bien c'est seulement un petit surnom que j'utilise parfois pour les personnes que j'a..

— Bonjour mon bel Arkadi !! le coupa une voix derrière eux.

Les deux amis se retournèrent en même temps. Deux Proximiennes se trouvaient devant eux. L'une était vêtue d'une longue jupe noire et d'un corsage de cuir rouge sans chemise, exposant à tous une bonne partie de sa poitrine. La deuxième était sensiblement habillée de la même manière, mais dans des tons différents. Elles le regardaient sans scrupule avec des yeux aguicheurs.

— Euh bonjour, répondit Arkadi.

— Tu nous as manqué hier. Tu es parti trop tôt, on commençait à peine à s'amuser ! déclara la première Proximienne aux cheveux blonds longs.

— Tu n'as pas oublié ta promesse j'espère ? Tu vas venir nous voir au cabaret cette lune n'est-ce pas ? demanda la deuxième.

Arkadi acquiesça, malgré le fait qu'il n'avait aucun souvenir de cette promesse ni même de leur avoir déjà parlé.

— Merveilleux ! s'extasia la blonde. Tu vas voir, on va bien s'amuser ensemble !

La jeune femme lui lança un clin d'œil lourd de sens. C'est à ce moment qu'Élizabeth crut bon rappeler sa présence à tous d'un raclement de gorge. Les deux Proximiennes se tournèrent vers elle, la scrutant de la tête aux pieds.

— Oh, et j'imagine que tu peux amener ton amie. Mais elle risque de s'ennuyer, déclara la blonde d'un ton empreint de dédain. Bon ! On te laisse ! On doit retourner à la boutique. À plus tard beau blond !

Les deux femmes le saluèrent avant de continuer leur chemin, non sans rouler des hanches pour attirer son attention.

Arkadi n'était pas vraiment certain de comprendre la conversation qu'il venait d'avoir avec elles. Il tenta de creuser sa mémoire pour se rappeler qui elles étaient, mais son mal de tête sembla se raviver à cet effort. Il se tourna vers Élizabeth, dans l'espoir qu'elle pourrait l'éclairer. Celle-ci avait les bras croisés sur sa poitrine et fixait d'un regard noir les deux étrangères qui s'éloignaient.

— Éli ?

— Oui, répondit la terrienne d'un ton sec sans même le regarder.

— Qui c'était ?

— Des greluches, marmonna-t-elle.

— Des quoi ?

Elle braqua des yeux sombres sur Arkadi.

— Laisse tomber, grogna-t-elle. Bon on y va ou tu restes planté ici tout l'après-midi ?

C'est avec un pincement au cœur qu'Arkadi emboita le pas derrière Élizabeth qui était partie en furie vers les quartiers résidentiels. Il sentait qu'il avait fait quelque chose de mal pour la mettre en rogne ainsi, mais quoi ?

Sans échanger d'autres paroles, ils sillonnèrent le coin des boutiques pour rejoindre la place centrale qui était encore parée des décorations de la veille. Toutefois, le feu était éteint et les tables désertes. Quelques personnes s'affairaient à ramasser les vestiges de la fête.

Ils traversèrent l'endroit et empruntèrent ensuite la route qui menait à l'extérieur de New Hope. Le sentier de terre longeait le quartier résidentiel de la ville pour plus tard passer à travers un grand champ rempli d'éoliennes. Au milieu de celui-ci, ils aperçurent une immense cour grillagée. Deux gardes étaient postées à l'entrée, surveillant les environs. À leur approche, l'un d'eux les intercepta.

— Désolé, mais on ne passe pas à moins de permission spéciale.

— Léandro m'a informé que mon vaisseau se trouvait ici, répondit Élizabeth qui ne se laissa pas impressionner par la pièce d'homme devant elle. Je viens récupérer quelques affaires et voir si tout est en ordre.

— Ah ! Vous êtes la Terrienne ? On m'a prévenu de votre visite, vous pouvez passer. Votre vaisseau est au fond à gauche, derrière la grange.

Les gardes s'écartèrent pour les laisser passer.

— C'est moi ou personne ne se méfie ici ? chuchota Élizabeth une fois à bonne distance d'oreilles.

— Pourquoi se méfier lorsque toute possibilité de mentir a été effacée de nos gènes ?

Élizabeth s'arrêta net avant de se retourner vers Arkadi qui faillit lui foncer dessus.

— Tu veux dire que vous ne pouvez pas mentir ?

— On peut, mais les chances que ça arrive sont presque nulles. Les menteurs ont tous été écartés par les Anciens qui choisissent les Seigneurs.

— Et les Seigneurs sont ceux qui peuvent avoir des descendants, c'est bien ça ?

Arkadi acquiesça.

Élizabeth le fixa un certain temps, comme si elle cherchait une réponse dans son visage.

— Tu as été écarté, toi aussi ? finit-elle par dire.

Le cœur d'Arkadi se crispa. Il détourna le regard. Cette question, il aurait aimé l'éviter. Il réfléchit un instant, s'efforçant de trouver les bons mots, pour finalement répondre avec franchise.

— Oui. On m'a rejeté comme candidat, mais pas pour cette raison.

— Pour quelle raison alors ?

Élizabeth le scrutait encore, ses yeux noisette pleins d'intérêt.

— Je... J'ai tendance à m'emporter trop facilement. « Un risque trop élevé d'insubordination coule dans mes veines », sont les mots qu'ils ont utilisés.

— C'est tout ? Ils t'ont écarté juste pour cela ?

Il hocha la tête en silence, tentant de chasser les images de l'altercation qui lui avait coûté le statut de Seigneur. Une simple escarmouche de trop avec un camarade de classe qui avait poussé un gamin sans défense.

— Je suis désolée pour toi, continua Élizabeth. Mais dans un sens, ça te permet d'être plus libre. Non ?

— Oui, dans un sens...

— Mais... ?

— Je... j'aurais voulu...

— Tu aurais voulu quoi ? l'encouragea Élizabeth.

— Laisse tomber s'il te plaît. D'accord ?

Les lèvres d'Élizabeth s'étirèrent dans un large sourire.

— C'est rare que c'est toi qui dis ça.

— Dis quoi ?

— « Laisse tomber »

— Hein ?

La terrienne gloussa. Arkadi n'était pas certain de comprendre, mais le doux son qu'elle émit le fit sourire comme une idiot. Il adorait l'entendre rire.

— Allez, viens ! Le vaisseau est juste là, lança-t-elle en pointant l'engin à une vingtaine de mètres plus loin.

Sans même l'attendre, Élizabeth s'y dirigea d'un pas rapide. Il la rattrapa alors qu'elle ouvrait un panneau près de l'aile droite pour faire descendre la passerelle. Une fois en haut de celle-ci, elle se s'approcha d'un deuxième panneau et activa l'ouverture de la porte.

Ils pénétrèrent dans le vaisseau et Élizabeth s'élança dans le passage qui menait aux quartiers de repos. Arkadi, lui, préféra rester dans le cockpit près de la sortie. Il n'avait pas un très bon souvenir de son dernier vol et espérait ne pas trop s'attarder ici.

Il examina distraitement les parois de l'engin, suivant les différents fils des yeux, puis les nombreux cadrans et boutons sur le tableau de bord. Après un certain temps, Élizabeth réapparut, un sac à l'épaule.

— Enfin ! J'ai mes vêtements ! Je vais pouvoir me changer !

Arkadi sursauta, son cœur s'emballant.

— Là !? Maintenant !?

Élizabeth, qui s'était accroupie près de lui pour farfouiller dans son bagage, se redressa pour le fixer.

— Euh non.

— Ah...

Un silence tendu s'installa dans le petit cockpit. Arkadi se gratta la tête, mal à l'aise.

— Tu n'aimes pas tes vêtements proximiens ? demanda-t-il afin de briser ce silence inconfortable.

— Non pas vraiment. Tu n'aimes pas les vêtements terriens ?

Arkadi flaira un piège se profilant à l'horizon. Effectivement, il trouvait les habits terriens trop amples pour elle. Ils ne rendaient pas hommage à ses courbes généreuses. Cependant, il ne voulait pas l'offenser pour une deuxième fois aujourd'hui. De ce fait, il tenta une stratégie d'évitement.

— Bah, peu importe ce que tu portes, tu es toujours magnifique.

Elle ouvrit la bouche, pour la refermer aussitôt. Ses yeux scrutèrent le visage d'Arkadi pour ce qui parut une éternité.

Il sentit une tension dans l'air, mais il n'arrivait pas à interpréter sa réaction. Était-elle fâchée ou simplement surprise ? Sa gorge se crispa. Il aurait peut-être mieux fait de se taire. C'était toujours la meilleure chose à faire lorsqu'une femme le questionnait sur sa tenue. Il fallait savoir éviter avec doigté certaines questions féminines ; il l'avait appris à ses dépens à quelques reprises.

— Oh et puis merde ! lâcha-t-elle.

En un éclair, elle agrippa sa tunique pour le tirer vers le bas et plaquer ses lèvres contre les siennes.

Sa première réaction fut la surprise, mais l'étonnement passé, son corps s'enflamma. Il répondit à son baiser avec avidité, prenant son visage entre ses mains pour lui faire comprendre qu'il acceptait et en voulait davantage. Sa bouche répondait à la sienne et très vite, sa langue franchit la barrière de ses lèvres. Elle entrouvrit un peu celles-ci, lui accordant l'entrée. Leurs langues se touchèrent, créant un feu d'artifice dans son ventre. Sa respiration s'accéléra, brûlant de désir pour elle.

Un doux balai sensuel s'engagea dans leurs bouches alors qu'il avança vers elle, la forçant à reculer jusqu'à la paroi du vaisseau. Glissant les mains sous ses cuisses, il la souleva et la plaqua au mur, sa langue dansant toujours avec la sienne.

Sa bouche douce et habile goutait le miel. Son petit corps agrippé à lui, ses jambes enroulées autour de ses hanches, son odeur ; tout d'elle l'excitait. Il grogna avant de quitter ses lèvres pour descendre dans son cou, avide de savourer chaque parcelle de sa peau. Il sentit la respiration d'Élizabeth accélérer au rythme des baisers qu'il semait sur son chemin.

Elle émit un doux gémissement alors qu'il mordillait son lobe d'oreille. Cette simple réaction déversa une coulée de lave dans le ventre d'Arkadi. Le désir lui dévorait les entrailles. Il en voulait plus, beaucoup plus.

Avec ses lèvres, il remonta le long de son cou jusqu'à sa bouche pour s'en emparer de nouveau. Sa langue jouant avec la sienne, il la transporta jusqu'au tableau de commande et la déposa sur celui-ci. Ainsi, il put libérer ses mains qui brûlaient de la caresser.

Il commença par sa joue, effleurant de son pouce l'arête de sa mâchoire pendant que sa langue se perdait sa dans bouche. Il descendit ses caresses dans son cou pour finalement atteindre la naissance de ses seins. Son corset de cuir l'empêcha de continuer plus loin.

Se détachant d'elle, il s'empressa de détendre les lacets du vêtement pour libérer sa poitrine, avide de la revoir, avide de la toucher. Au même moment, elle attrapa la ceinture de son pantalon, le forçant à rapprocher son bassin du sien. Elle poussa un soupir de désir au contact de son membre déjà gonflé contre son antre.

Le corset retiré, il glissa les mains sous son chemisier pour rejoindre sa poitrine tout en l'embrassant de nouveau. Un gémissement de plaisir se perdit contre ses lèvres lorsqu'il saisit l'un de ses seins. Elle cambra son dos, s'appuyant d'une main sur le tableau de bord pour l'obliger à descendre ses baisers plus bas vers sa poitrine.

Au même moment, un « bip » électronique se fit entendre. Une image se projeta sur l'écran, à leur droite, mais Arkadi n'y prêta pas attention, trop occupé à la couvrir de baisers.

Élizabeth jeta un coup d'œil rapide vers l'écran avant de se concentrer sur la tunique d'Arkadi. Elle détacha les deux premières boucles avec une agilité étonnante. Toutefois, elle se figea subitement à la dernière.

Sans ménagement, elle repoussa Arkadi puis sauta du tableau de bord pour se tourner vers l'écran.

Arkadi ne s'en formalisa pas. Il s'approcha derrière elle pour embrasser sa nuque.

— Arka !

— Mmm ?

— Les Terriens ! Ils vont attaquer New Hope !!

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