chapitre 58
Fab : allo?
Sébastian : Christian?
Fab : non il est occupé ?
Séb : ah... tu peux lui passé son téléphone
fab : non ! il est occupé je t'ai dis ! répétais je méchamment
Séb : C'est pas ton téléphone ! alors passe le moi !
fab : Non ! tu comprends pas le français ! je savais pas qu'il embauché des abrutis !
Séb : Je peux savoir qui tu es pour me parler sur ce ton ?
Fab : son mec et je t'emmerde !
Séb : Et calmes ta joie tu veux ! je te permet pas !
Fab : J'en ai rien à foutre alors raccroches ! tu perds ton temps !
Séb : Passes le moi ! bordel !
Fab : Non et je vais raccrocher et tu à pas intérêt à continuer à le harceler jusqu'à jeudi matin c'est compris ?
Séb : Non ! c'est pas un merdeux dans ton genre qui vas me dicter sa loi !
Fab : Le merdeux te dis bye bye !
Et je lui raccroche au nez
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Quelques minutes plus tard, je redescend comme si de rien était.
Christian a fini quasiment de cuisiner, il est entrain de mettre la table
Chris : Fabrice tu sais pas où j'ai posé mon téléphone? plus moyen de le trouver
Fab : non je sais pas du tout je l'ai pas vu... dis je sur de moi
Chris : où j'ai bien pu le mettre...
Fab : tu as regardé dans ta veste?
Chris : non mais je suis à peu près sur de l'avoir eu en main tout à l'heure...
je le vois aller dans sa veste et le sortir perplexe mais il ne me dit rien
Chris : je pensais l'avoir sorti pourtant..
Fab : si c'était le cas, il serait là où tu l'aurais posé...
chris : c'est sur... enfin bon... c'est pas grave... Je le vois consulter sa messagerie et il prend un air perplexe.
Fab : il y a un problème?
Chris : non j'attend juste un appel important de mon conseiller financier...
fab : tu as une mine contrarié tout à coup... lui dis je en me rapprochant de lui et en réclamant un baiser qui ne rechigne pas à me donner
Il se détache de moi.
Chris : tu m'ouvres la bouteille de vin, je vais servir dans cinq minutes?
Fab : oui bien sur
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Pendant tout le repas, nous avons pu profiter sans être dérangé par aucun appel.
LE BONHEUR TOTAL pensais je
Le repas composé d'un pavé de rumsteck sauce poivre avec des frites était parfait
et en dessert de la glace
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Je prend ma douche en premier...
Je voulais la prendre avec lui mais il a pas envie... il m'a dit...
Je le sens un peu inquiet... je commence à me dire que c'était vraiment pour le boulot que l'autre le harcelé... et que j'aurai pas dû lui répondre comme ça... que c'était peut être très important...
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Le lendemain se passe sans trop d'appels. Deux ou trois pas plus.
Mais je note que son sourire est revenu.
Donc le souci à du être réglé sans lui.
Ce qui me conforte dans mon idée qu'ils ont pas toujours besoin de lui à chaque instant.
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C'est ainsi que le lundi matin, j'ai à nouveau droit au petit déjeuner au lit.
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