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Partie Une

- Intrusion entrée Est, Lucas prend trois hommes, j'emmène le boss.

- Compris, code rouge ?

- Oui, Winwin n'en a reporté que dix, dont trois à l'ouest, Yangyang et Hendery s'en occupent. Les autres ne doivent pas tirer. Ils ne doivent avoir aucune idée du nombre de personnes que nous avons ici, compris ?

- Je fais passer l'ordre.

Je baisse le bras pour ne plus parler dans le micro et relève les yeux vers Kun.

- On doit y aller boss, la sortie sous-terraine devrait faire l'affaire. Personne n'y sera.

- Je te fais confiance, Ten.

- Vous deux, avec nous, J'ordonne à deux des hommes dans la pièce, Les autres, restez sur place et faites profil bas, on ne devrait pas avoir besoin de vous. On y va.

Je pars devant mon 9mm dans la main, Kun est derrière moi, les deux autres agents couvrent nos arrières. Nous traversons les corridors sans problèmes, ils sont tous vides à part pour certains de nos hommes que nous croisons par moment. J'entends tout à coup mon micro grésiller et fais signe aux trois hommes derrière moi de s'arrêter.

- Au rapport.

- Winwin. Je viens de repérer un onzième intrus, il est déjà à l'intérieur, vous risquez de tomber dessus. Il faut accélérer, Xiaojun est déjà prêt avec le bateau.

- Donne-moi sa position si jamais tu l'aperçois à nouveau. Message à toutes les unités, un intrus a réussi à s'infiltrer dans le bâtiment, tirez à vue.

Je lâche un soupir avant de me retourner. Il suffit à Kun d'un simple hochement de tête pour que nous repartions plus rapidement. C'est à moi d'être suffisamment vigilant. Dernier escalier, un étage, Xiaojun nous attend. Nous le descendons sans problèmes et tombons sur le quai de la rivière, le bateau déjà en route, n'attendant que Kun. Il prend les devants et monte dedans. J'allais le suivre quand un coup de feu se fait entendre. Un des hommes venus avec nous tombe au sol avec un grognement alors que je me mets à couvert derrière le premier endroit qui me vient en tête. Une caisse en bois, bien vu Ten ! Merde, c'est une des caisses d'armes qu'on n'a pas eu le temps de charger.

- Xiaojun, pars !

Je crie alors que je m'éloigne le plus rapidement possible, trouvant couvert cette fois derrière un des piliers soutenant la structure du ponton. Le bateau démarre, le policier s'apprête à tirer dessus, hors de question. Il me faut moins d'une seconde pour me mettre en position et un seul tir pour l'abattre, au milieu du front. J'entends quelques coup de feu en haut.

- Hujian, regarde s'il peut être sauvé, je vais en haut et faire un rapport de la situation.

Il acquiesce et je remonte en courant. D'abord Yangyang et Hendery, je fais confiance à Lucas, je suis sûr qu'aucun n'a pu passer.

- Yangyang au rapport, où en êtes-vous ? Yangyang !

J'appelle à nouveau sans entendre la réponse. J'espère que tout va bien. J'accélère, étonné que Winwin n'ait toujours pas montré signe de vie. Il entend tous nos appels, il devrait pouvoir me dire ce qu'il se passe. Je m'approche de la zone où ils devraient avoir confronté les trois policiers mais aucun coup de feu ne se fait entendre. Bordel, ils devraient pourtant pouvoir s'occuper d'un nombre aussi ridicule. Je ralentis pour avancer avec plus de précautions. Au bout de quelques secondes, j'entends du bruit à l'intersection qui suit et me plaque contre le mur. Merde, qui ? J'attends qu'ils s'approchent et les braque au dernier moment. Il y a un temps de latence alors que deux armes se dirigent en même temps vers moi.

- Oh Ten, on allait te chercher justement. Commence joyeusement Yangyang.

- Sérieusement les gars ? Ça fait cinq minutes que j'essaie de vous joindre qu'est-ce que vous faites ? Je m'énerve directement.

- Je pense que les communications ont été brouillées, on n'a rien reçu, Winwin ne répond pas non plus. Peut-être qu'il a dû partir en vitesse ? Tu crois que quelqu'un a réussi à s'infiltrer ? Demande Hendery plus soucieux

- Ce n'est pas possible, il y avait bien un onzième homme mais je l'ai tué, il a voulu s'en prendre à Kun. D'accord, allez au côté Est et trouvez Lucas, aidez-le s'il n'en a pas encore terminé. Je vais aller voir si tout va bien pour Winwin.

Ils hochent la tête sans discuter et partent directement. Je prends un autre couloir et commence à monter les escaliers jusqu'au dernier étage. Pourquoi faut-il qu'il se mette dans des endroits pareils à chaque fois ? Arrivé à l'étage, je me mets à marcher plus discrètement, essayant de couvrir mon souffle difficile pour pouvoir mieux repérer les sons de l'étage. C'est aussi calme que s'il n'y avait personne, si quelqu'un est passé ici, il doit en être parti depuis un moment. J'avance quand-même avec précaution et arrive bientôt à la salle de Winwin. J'ouvre rapidement la porte, l'arme prête à tirer au moindre mouvement suspect. J'entends un bruit derrière moi et me retourne par réflexe. Je manque d'appuyer sur la gâchette mais me retiens au dernier moment en voyant Winwin, une tablette dans les mains avec laquelle il s'apprêtait très clairement à me frapper, du moins essayer.

- Oh Ten, heureusement qu'il s'agit de toi, je n'ai pas vraiment envie de perdre le contenu de cette tablette.

- A couvert !

Je l'entraîne avec moi et le plaque contre le mur alors qu'un coup de feu passe à l'endroit où il se tenait juste avant que je ne le pousse. J'ai vu le reflet de l'arme dirigée sur nous au dernier moment, on y a échappé de peu. On n'est pas en position idéale là, dès qu'il entre, il faut que je le désarme. Le bruit d'un deuxième coup de feu retentit et un corps tombe au sol. Je reste sans bouger quelques secondes, serrant toujours Winwin contre moi. Puis une tête que nous connaissons bien apparaît et nous lâchons tous les deux un soupir de soulagement, bien que le mien ne soit sûrement pas pour la même raison que Winwin.

-Je t'ai toujours dit que tu n'étais rien sans moi Tennie.

- Ta gueule Lucas, tu as été beaucoup trop long, j'attendais mieux de toi. En plus je t'ai laissé prendre des hommes avec toi cette fois.

Je le contredis par réflexe, laissant partir Winwin pour qu'il range son matériel. On a l'habitude maintenant de changer de planque, demain matin celle-ci aura disparu.

- Ils m'ont ralenti plus qu'aidé. Il a fallu que je les protège en plus que je ne tue les policiers. Je pense qu'il aurait fallu que tu m'envoies seul, ou que j'y sois allé avec toi.

- Et qui aurait protégé Kun ?

- Hendery ?

- Il s'occupait d'un autre groupe avec Yangyang !

- Xiaojun ?

- Il préparait le bateau pour le départ du boss.

- Hujian ?

- Il était déjà avec moi.

- Très bien, tu es irremplaçable et seul Kun a la chance de partager son temps de travail avec le tien.

- Merci.

Je termine avec un sourire en coin amusé. Il lève les yeux au ciel en combattant un sourire de son côté. On aurait pu juste redescendre tranquillement pour vider l'endroit en moins de vingt-quatre heures, parce que si Lucas est là, c'est que les autres sont morts, la menace a disparu. On aurait pu, mais Winwin lâche soudainement un glapissement inquiet et par un réflexe inconscient, ma main se crispe sur mon arme alors que je me précipite près de ce dernier, Lucas sur les talons. 

- Qu'est-ce qu'il y a ?

- Ils sont beaucoup plus, ils sont en train de prendre le contrôle de l'endroit, ce n'était que des éclaireurs. Regarde, là !

Winwin s'exclame en pointant un écran. Je lève les yeux et remarque plusieurs voitures de police et des camionnettes d'intervention. Ils sont au moins une quarantaine encore, on ne pourra pas s'en débarrasser aussi facilement, ils sont mieux équipés. Tant pis pour le nettoyage, on va devoir faire sauter le bâtiment, brûler le plus de preuves possible. Je regarde Lucas, il est évident qu'il en est arrivé à la même conclusion que moi.

-Tu peux rétablir les connexions juste le temps d'envoyer un dernier message ?, Il demande à Winwin.

- Bien sûr..., Je le fixe travailler pendant la minute que ça lui prend avant qu'il ne se redresse, C'est fait.

- Ten à toutes les unités, code noir, tout le monde évacue, Lucas et moi nous occupons des deux étages supérieurs, dans vingt minutes tout le monde doit avoir évacué le bâtiment. Les connexions sont coupées à partir de maintenant, intrusion au sud-est du bâtiment. Winwin éteint tout.

Je termine en m'adressant directement à lui et il acquiesce. Rapidement tous les appareils de communication sont éteints.

« Lucas tu restes avec lui le temps qu'il embarque le nécessaire uniquement, occupez-vous d'amorcer les bombes à cette étage, pas besoin de toutes les faire, les étages inférieurs sont plus importants. Je vais m'assurer qu'ils s'en sont bien occupés. »

Alors que j'allais partir, une main me retient et je me retrouve confronté au visage de Lucas.

- Tu n'as pas à partir seul, pourquoi est-ce qu'on ne s'en charge pas à deux ? Je suis le bras droit de Kun au même niveau que toi, je peux te désobéir.

- Peut-être, mais tu sais que cette solution est la meilleure, Je réponds implacable.

- Pas pour ta sécurité.

- Mais il s'agit de protéger plus que moi Lucas, et d'honorer le serment fait à Kun. Alors lâche-moi, on a déjà presque perdu une minute.

Il soupire et me laisse partir, mais je vois bien l'inquiétude briller dans ses yeux. Je ne peux pas le rassurer, ce n'est pas le bon moment, nous n'avons pas de temps à perdre. Je me retourne et pars en courant. Je connais par cœur l'emplacement de chacune des bombes que nous avons placé pour un cas comme celui-ci, code noir, on fait exploser le bâtiment, toutes les preuves de notre trafic doivent partir avec. Si jamais les policiers réussissent à obtenir des informations, c'est tout le business de Kun, et de ses partenaires qui prendra un sérieux coup, on ne peut rien risquer. Il ne me faut que trois minutes pour amorcer trois bombes sur les quatre de l'étage, la dernière est moins bien placée, elle ferait moins de dégâts de toute façon. Mieux vaut que je descende. Mon souffle commence à se faire plus difficile alors que je réfléchis à l'emplacement de celles à l'étage inférieur, il y en a deux qui sont assez évidentes, je suis sûr qu'ils ont dû les amorcer, je vais aller voir les deux autres. Il me faut un peu plus de temps par soucis de discrétion pour les amorcer et ce sont cinq minutes qui m'échappent à nouveau. Plus que onze et tout explose, il faut que je me dépêche. Encore un étage à faire, puis je dois accéder au parking. J'espère que la majorité d'entre eux est allée directement au parking, les policiers sont trop proches du ponton, partir avec les deux bateaux qui restent c'est s'exposer. Alors que je descends pour arriver au rez-de-chaussée du bâtiment, j'entends des coups de feu et me plaque contre le mur le plus proche. Merde, ça y est, ils commencent à entrer, ils ont dû comprendre qu'on évacuait, donc qu'on les avait tous repérés. Je n'ai plus beaucoup de temps, je ne peux pas les aider, les bombes sont prioritaires, il faut protéger Kun. Je mets un silencieux sur mon arme et avance comme une ombre dans les couloirs. Je me retrouve à tirer dans la nuque d'un homme pour forcer mon chemin, mais je réussis à atteindre la première bombe de l'étage sans véritable problème. Déjà amorcée, suivante, je me déplace sans rencontrer personne jusqu'à la deuxième, qui l'était déjà aussi. Encore trois et... putain, uniquement cinq minutes restantes. Je suis trop lent ! J'accélère et cours le plus discrètement possible. Je me retrouve face à une scène de combat dans le couloir menant à la troisième, enfin, tout est déjà fini, trois de nos hommes et seulement un policier gisent à terre. Quel gâchis. Je passe et vas amorcer celle-ci, ils ont dû mourir en essayant de le faire. Lorsque je me relève, je récupère les chargeurs de nos hommes et cours vers la quatrième bombe, je n'aurais pas le temps de faire la cinquième, je... Je me trouve soudainement projeté au sol alors qu'une explosion retenti, me laissant sonné sur le sol pendant quelques secondes. Mes oreilles sifflent, j'ai envie de vomir, ça ne va pas. Ce n'est pas possible, il reste deux minutes avant que les bombes explosent ! Ça ne se peut pas ! Je me lève en titubant un peu et me remet à courir, chancelant, dès que mes jambes sont d'accord pour le faire, priant pour que mon estomac ne se soulève pas. Une balle perdue, ce n'est pas possible autrement, je dois partir, les bombes armées vont se déclencher en série à partir de maintenant. J'ouvre une porte et tombe sur les escaliers descendant au sous-terrain, il devrait rester ma moto. Je manque de dévaler les escaliers à plusieurs reprise mais arrive sauf au sous-sol.

-Ten ! Dieu merci, tu es en vie, on ne te voyait pas venir.

- Vous êtes là., Je réponds faiblement aux deux têtes en face de moi.

- Il saigne au niveau de la tempe, il a dû être touché par l'explosion. Il ne peut pas conduire, on doit l'emmener. Hendery remarque et Yangyang hoche la tête en fronçant les sourcils, toute marque de soulagement disparaissant de leurs visages.

Ils s'apprêtent à me faire monter dans une voiture quand la porte du garage s'ouvre à nouveau avec fracas. Un Winwin paniqué suivi d'un Lucas transpirant, portant tous les deux des gros sacs arrivent en courant.

- On en a derrière nous ! Yangyang Hendery, prenez Winwin et tout son bordel, Ten avec moi !

Je me dégage de l'emprise des deux plus jeunes et me dirige en courant vers Lucas alors que Winwin saute dans la voiture sans se faire prier. Ils ne réfléchissent pas plus longtemps et montent aussi, faisant résonner le bruit des roues sur le béton alors qu'ils démarrent et partent en quatrième vitesse.

- Prêt à prendre la moto ? Attends, tu saignes ?

- L'explosion, je n'étais pas trop loin, le souffle m'a jeté au sol, j'ai dû me prendre un débris. Qu'est-ce que tu veux que je fasse ?

- J'aurais dû demander à Yangyang de rester avec moi., Lucas peste mais je l'arrête immédiatement.

- Hors de question et ce n'est pas le moment Lucas, réfléchis ! Qu'est-ce que tu veux de moi !

Il semble un peu blessé l'espace d'une seconde mais bientôt son visage est aussi inexpressif que d'habitude. Ça fait plus mal que je ne l'aurais pensé.

- Casque, mitraillette, fais-leur regretter de nous avoir suivi.

Je hoche la tête et je chevauche sa moto derrière lui. Alors que nous partons, la porte du garage s'ouvre à nouveau en synchronisation avec les explosions qui commencent à se faire entendre.

- Maintenant Ten !

Il démarre et je lâche un bras pour arroser les policiers qui nous tirent dessus. J'ai beau être un tireur d'élite, à une seule main, sur une moto à pleine vitesse, la notion de viser disparait et n'en touche que deux sur les cinq qui sont sortis, sûrement par mortellement, et qui devaient suivre Lucas et Winwin. Enfin pas une de leurs balles ne s'approchent de nous, c'est ce qui compte. Je laisse l'arme tomber sur le sol en arrivant à court de munitions et m'accroche à Lucas comme si ma vie en dépendait. J'espère que personne ne nous attend dehors. J'entends un bruit sourd et me retourne, merde, le sous-sol commence à s'effondrer.

- Lucas !

- Je sais.

Il grogne entre ses dents alors qu'il accélère encore. Nous arrivons à la surface quelques secondes plus tard et je l'entends jurer. Je ferme juste les yeux, lui faisant entièrement confiance alors que je le sens slalomer. Je ne veux même pas savoir ce qui cause ça. J'ai réussi à garder la tête froide jusque là, mais je n'ai pas envie de mourir sans avoir pu l'embrasser une dernière fois, lui chuchoter que je l'aime, profiter d'un matin dans ses bras. Lorsque nous finissons par rouler plus régulièrement, et que je le sens se détendre tout en accélérant, je rouvre les yeux et regarde les alentours. Je ne reconnais pas du tout, je ne suis pas sûr qu'il sache où il nous emmène non plus, mais nous sommes partis, nous nous sommes échappés, c'est ce qui compte. Il faut trouver un moyen de joindre Kun maintenant. Il va sûrement demander à Xiaojun de le ramener à Shanghai. Je sens Lucas faire ralentir la moto et il s'arrête sur le côté de la route, descendant de son siège et enlevant son casque puis le mien pour que je puisse lui faire face.

- Tout va bien ?

- Oui, tu nous as sorti de là, alors oui.

Je réponds sans pouvoir m'empêcher de laisser transparaître  toute mon affection dans ma voix, maintenant que nous sommes seuls. Il vient quand-même de me sortir de deux situations critiques ce soir.

- Je dois conduire aussi longtemps que possible, je ne sais pas vraiment où nous allons mais je vais trouver un hôtel pour qu'on puisse se reposer. Tu supporteras le trajet ?

Il porte une main au niveau de ma tempe droite, touchant la trainée de sang qui commence seulement à sécher. Je souris tendrement et tire sur ses vêtements pour le rapprocher de moi. J'ai besoin de le sentir physiquement pour me rassurer.

- Ça ira, tu sais que j'ai déjà vécu bien pire comme soirée que de devoir m'accrocher à toi pendant plusieurs heures.

- Je préfère quand tu le fais dans d'autres circonstances.

- Bientôt Lucas.

Je souris avant de l'embrasser passionnément, trouvant du réconfort dans la sensation de ses lèvres contre les miennes et de ses bras m'entourant. Il est toujours là avec moi. Rapidement je sens sa langue sur mes lèvres et ne résiste pas à la tentation de lui laisser un accès total. En quelques minutes je tremble légèrement dans ses bras alors que des petits soupirs m'échappent régulièrement.

- Il faut qu'on arrête là Lucas., Je romps le baiser, lui tirant un couinement déçu.

- Je n'ai pas envie, tu viens de frôler la mort, je veux m'assurer que tu es encore là.

- Nous l'avons tous les deux frôlés, ne fais pas comme si j'étais le seul à prendre des risques insensés. En plus, je sens bien que je suis plus sensible que d'habitude, tu ne voudrais pas que je finisse par faire un malaise dans tes bras ?

- Non !, Il nie tout de suite comme un enfant pris en faute, adorable.

- Alors trouve-nous un endroit pour passer la nuit, et demain on verra ce qu'on peut faire.

Il hoche la tête de mauvaise grâce et je le récompense avec un baiser léger sur les lèvres qu'il me rend avidement.

- Je t'aime., Je chuchote lorsque nous nous séparons.

- Je t'aime.

Un sourire vient illuminer son visage et je suis content de m'être à nouveau laissé à la faiblesse de lui avouer, que ce soit maintenant ou il y a cinq mois. Je n'ai jamais été aussi heureux depuis. Il remet son casque en même temps que j'enfile le mien et nous sommes rapidement reparti. Le plus dur finalement, c'est de ne pas m'endormir ainsi pressé contre lui, je me sens bien. Mais ce n'est pas la première fois que je dois combattre le sommeil, ce n'est plus aussi dur qu'avant. Et Lucas qui laisse parfois une de ses mains reposer sur les miennes m'aide à me sortir de ma torpeur en jouant avec.


Première partie de mon échange pour @404projects, je fais un peu ça à l'arrache et je vais normalement bientôt faire en sorte que ça ressemble un peu plus à une histoire. En tous cas, j'espère que vous avez apprécié la première partie de mon three shot, il sera entièrement publié à la fin de la semaine 

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