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Chapitre 40 - « Et c'était réussi. »

« On va avoir réussi, c'est obligé on a réussi. Il n'y a aucune raison pour qu'on ait loupé quoi que ce soit, alors on ne peut qu'avoir réussi. »

Une seconde.

Deux secondes.

Trois secondes.

« Non c'est faux, bien sûr que je me suis loupé. J'ai toujours été si nul, pourquoi est-ce que je me serais amélioré maintenant ? C'est littéralement impossible ! »

Thomas leva les yeux au ciel. Non seulement il avait dû écouter son frère paniquer pendant une bonne grosse semaine, mais il devait encore le supporter pendant les quelques minutes qu'il leur restait avant d'avoir les résultats de leurs examens de fin d'année.

« Relax, tout s'est bien passé, pas besoin de paniquer. »

« Et comment est-ce que tu peux savoir que tout s'est bien passé ? » Répliqua Matteo qui semblait au bord de l'hyperventilation. « Tu es prof ? Tu as corrigé les copies ? Tu es à ma place pour savoir ce que j'ai fait ? Non tu ne peux pas savoir alors merci de ne pas dire de telles choses. »

Il continua à déblatérer des paroles qui avaient de moins en moins de sens alors que son jumeau fermait les yeux. Il commençait à perdre la patience qu'il avait mis des années à se procurer. « Matteo, je te jure que si tu ne te tais pas, je vais te faire manger le bureau. »

Mais ce dernier n'avait pas l'air décidé à se taire. Il continuait de parler comme si rien ne pouvait l'arrêter, la panique ayant pris le contrôle total de ses pensées et de ses actions.

Il dut cependant se forcer à arrêter quand le prof chargé de leur distribuer leur relevé de note se leva et commença à distribuer par ordre alphabétique.

Sans surprise, Lucie, Lucas, Alexia, Jules, Thomas et Camille avaient réussi sans trop de difficultés, mais tous étaient peu concentrés sur leurs résultats. Tournés vers Matteo qui regardait sa feuille avec une neutralité à couper le souffle, ils attendaient et attendaient avec impatience le moindre signe qui pouvait leur prouver qu'il avait réussi.

Ce dernier ne bougeait plus. Il était impossible de déduire quelque chose de sa posture et de son comportement tellement il était stoïque, telle une statut ancienne et éternellement figée dans la pierre. Seulement, son cerveau semblait en ébullition, chaque pensée en chassant une autre comme si elle était plus importante que la précédente.

Il leva enfin les yeux, les dirigeant directement dans ceux de son frère, aussi livide qu'un fantôme. « J'ai réussi. »

Il n'en fallait pas plus à Thomas pour qu'il lui saute dessus, bien plus content qu'il ait réussi que le fait qu'ils soient dans une salle de classe remplie de monde. Même s'il n'avait pas voulu l'avouer à voix haute, il avait eu peur qu'il n'y soit pas arrivé et qu'ils soient pour la première fois séparés dans leur scolarité.

D'ailleurs, tous leurs amis étaient ravis. Cette victoire pouvait être qualifiée de collective puisque tous avait aidé Matteo à réviser, redoublant d'effort pour que leur ami soit avec eux l'année suivante et que le groupe n'éclate pas pour si peu.

Et c'était réussi.

Une fois libérés, ils se dirigèrent calmement vers la cour extérieur, bien décidés à profiter de la chaleur et du beau temps maintenant qu'ils étaient totalement libre de toute occupation. Ils ne restèrent que très peu de temps puisque Lucas avait décidé d'aller à un endroit spécifique, mais n'avait pas envie d'en informer ses amis.

« Sérieusement, où est-ce qu'on va comme ça ? » Râla Alexia qui avait failli tomber pour la troisième fois à cause du chemin boueux si ce n'était pas pour Max qui la rattrapait in extremis à chaque fois.

Étrangement, ce fut Lucie qui répondit. « Je crois savoir où tu nous emmènes. »

Lucas lui lança un regard en coin avec un sourire entendu, confirmant ainsi ce qu'elle pensait.

Ce ne fut qu'après un certain temps que les garçons commencèrent à se réveiller, reconnaissant enfin le chemin qu'ils empruntaient alors qu'ils le connaissaient en réalité par coeur.

« Attend, » intervint Maximilien, suspicieux, « est-ce que tu les emmènes où je pense que tu les emmènes ? » La non-réponse de son meilleur ami ne fit que confirmer. « Mais comment- »

Seulement, il fut coupé lorsque le convoi s'arrêta devant une sorte de cabane en béton que la moitié d'entre eux ne connaissait que trop bien.

« Bienvenue dans notre repère, » s'exclama Lucas en se retournant vers ses amis, les bras écartés avec une élégance sans égale, « là où les meilleurs plans voient le jour et où la créativité prend enfin la place qu'elle mérite. Je vous présente, le QG ! »

Il y eut un silence de plusieurs minutes pendant lesquelles les filles ne furent qu'observer la petite bâtisse.

« Le QG ? » Demanda finalement Camille avec un regard pour le moins dépourvu de toute admiration. « Vous n'avez vraiment pas trouvé de nom plus original que ça ? »

Lucas lui lança un regard exaspéré, préférant l'ignorer et rentrer dans ce qu'il aimait appeler sa deuxième maison. Les autres le suivirent sans un mot, les garçons et Lucie allant s'installer sur les canapés alors qu'Alexia et Camille faisait le tour, inspectant le moindre recoin de la pièce sans un mot. Au bout d'un moment, elles les rejoignirent, mais toujours sans parler.

« J'ai une question qui va peut-être paraitre bête, » commença Matteo qui semblait étrangement perdu, « mais comment est-ce que ça se fait que Lucie connaissait cet endroit ? »

Lucas haussa les épaules, posé avec nonchalance sur le canapé, un bras sur le dossier. « Je l'ai amenée ici à Noël. »

« Pardon ? Tu te moques de moi c'est ça ? » Il se tourna vers Max tout en secouant la tête. « Tu m'as interdit d'amener Alexia et maintenant tu me dis que tu en emmener Lucie à Noël ? » Il haussa à nouveau les épaules. « Je vais te tuer. »

Les deux se levèrent, Lucas préférant fuir plutôt que de subir les représailles de son meilleur ami. Ce n'est qu'au bout de plusieurs tours autour des canapés que Max réussit à l'attraper, le plaquant au sol et lui bloquant les bras dans le dos.

« Quelque chose à dire pour ta défense ? »

« Ça faisait parti de mon plan drague? » Couina-t-il de douleur alors qu'il essayait de la dissimuler, mais sans grand succès.

Lucie explosa de rire en observant la scène avec intérêt, pas le moins du monde inquiète pour son copain. « Ne mens pas s'il te plait, tu n'avais absolument aucun plan drague. »

Leur combat s'éternisa, personne ne jugeant utile de les séparer jusqu'à ce qu'Alexia donne une claque à l'arrière du crâne de Max. « T'as fini oui ? »

« Mais- »

Le regard qu'elle lui lança lui coupa la parole, le forçant ainsi à lâcher son meilleur ami qui se redressa difficilement, les bras douloureux par la position qu'il avait été obligé d'emprunter. Il resta tout de même assit par terre, n'ayant pas la force de se relever.

« Tu vas me regarder comme ça encore longtemps ? » Maugréa-t-il après avoir croisé un énième regard noir de la part de Max.

« Jusqu'à ce que tu en meurs. »

Commença ainsi une bataille verbale des plus violente, même si elle se faisait évidemment en toute amitié.

« Ma parole, mais vous n'allez pas vous taire ? » Souffla Lucie en perdant patience. « On est là pour profiter des vacances, pas pour vous entendre rater parce que bidule a emmené machin ici, mais que chose n'ait pas le droit de le montrer à tartempion. »

« Elle a raison. Et si vous nous expliquiez plutôt comment vous avez trouvé cet endroit ? » S'insinua Camille qui voulait paraitre désintéressée, mais en vain.

Un sourire se dessina sur les lèvres de Thomas. « Tu vas voir, c'est une histoire passionnante. »

Et ainsi commença l'histoire de la conquête du QG.

Plus tard dans la soirée, tous les élèves étaient réunis dans le réfectoire afin de partager leur dernier repas de l'année. Comme pour la rentrée, Monsieur Albert se la jouait une dernière fois Dumbledore et faisait un discours.

Ce dernier se leva donc, accompagné du silence immédiat des jeunes se trouvant devant lui. « Bonsoir à toutes et à tous. Je suis heureux de vous retrouver une dernière fois ce soir avant le début de vos vacances scolaires. J'espère que cette année vous aura été bénéfique autant au niveau scolaire que social et que vous en ressortirez tous grandi. » Après un regard appuyé à Lucas, il reprit. « Il s'agit encore une fois d'une très bonne année, même si certains incidents auraient pu être évités. »

Le brun éclata de rire. « Voyons Monsieur, une années scolaire sans incidents ce n'est pas une année scolaire ! »

À ces mots, une boule noir passa devant le regard exaspéré du directeur et atterrit dans son assiette, le faisant sursauter par la même occasion. Baissant les yeux, il attrapa la chose du bout des doigts et la porta à vue de tous. Il en pendait une araignée sensiblement en plastique, même si la copie était très convaincante.

« Monsieur Chapuis, vous ne vous arrêterez donc jamais ? » Déclara le directeur en secouant la tête avant de froncer les sourcils et d'inspecter la bête d'un peu plus près. « Et si je devais être honnête avec moi-même, vous nous avez habitués à des blagues de meilleures qualités ? »

« Oh parce que vous pensez vraiment que c'est un échec de ma part ? » Répliqua le garçon avec un étrange sourire malicieux qui semblait cacher beaucoup de choses.

Un murmure collectif s'éleva dans toute la salle alors que nombre d'élèves montrait du doigt ce qui semblait se trouver dans le dos de Monsieur Albert. L'agitation était palpable, les éclats de rire audibles et la bonne humeur présente.

Confus et frustré de ne pas comprendre ce qu'il se passait, il se retourna et frôla l'arrêt cardiaque, reculant de plusieurs pas et manquant de peu de s'étaler sur la table. Dernier lui se trouvait une énorme araignée en plastique de taille humaine et surtout très réaliste. Cette scène provoqua l'hilarité générale, aussi bien chez les élèves que chez les professeurs et surveillants.

Le directeur avait une peur bleue des araignées et si Lucas l'avait découvert, c'était seulement par accident.

Alors qu'ils étaient en troisième, le brun avait été convoqué dans son bureau suite à une blague d'une certaine ampleur et qui avait connu un succès particulier. Pendant qu'il était efficacement en train de se défendre, il avait aperçu une araignée descendre doucement pour se poser sur le bureau et ce, juste à côté de la main de Monsieur Albert. Lorsque celui-ci l'avait vue à son tour, il s'était précipitamment levé de son fauteuil par pur réflexe et s'était éloigné. Lucas l'avait regardé avec perplexité avant de se mettre à rigoler sans pouvoir se contrôler. Touché dans son ego, le directeur l'avait mis à la porte.

Jusqu'à présent, il n'avait pas su profiter de cette information, mais il en avait récemment eu l'idée et était plutôt fier de lui.

Après plusieurs minutes de rigolade, les profs commencèrent à détacher l'araignée alors que le directeur se remettait tant bien que mal de ses émotions et que les élèves continuaient de rire de la situation.

Se raclant la gorge et réajustant son costume, il reprit sa place, mais avec une posture beaucoup moins assurée. « Bon, à ce que je vois ce n'est pas terminé. »

« Rassurez-vous Monsieur, » intervint Lucas avec un sourire de fierté, « c'était la dernière de l'année, le clou du spectacle si vous voulez. »

Cette déclaration provoqua le chaos. Tous se mirent à l'applaudir et à crier comme si une star internationale venait de passer les portes de la cafétéria. S'il devait être honnête avec lui-même, le jeune homme était touché par ce qu'il se passait, il aimait divertir les autres.

Après avoir fait des révérences à l'ensemble, il se rassit permettant ainsi au directeur de continuer. « Bon, je suppose que je devrait me sentir honoré d'avoir été ta dernière victime. Enfin, nous sommes ici pour passer un bon moment alors je pense que je peux passer l'éponge pour cette fois-ci. »

Il y eut une nouvelle salve d'applaudissement pendant que tous les professeurs se reprenaient leur place et que le repas était enfin servi, les discussions allant à nouveau de bon train.

« Alors, est-ce qu'on peut dire que tu as terminé l'année en beauté ? » Demanda Lucie en se tournant vers son copain avec les yeux brillants.

Un sourire en coin et un air malicieux sur le visage, il pencha légèrement la tête sur le coté. « Ça tu ne me le fais pas dire. »

Après un high five bien mérité, le groupe termina ainsi leur dernière soirée dans une bonne ambiance, les rires se succédant à l'évocation de certains souvenirs.

Le lendemain matin, tous s'étaient retrouvés dans le hall avec leur valise, attendant leurs parents pour enfin retourner chez eux après une année scolaire bien chargée et des vacances d'été très attendues.

Tous n'attendaient qu'une chose, partir. Enfin, presque tous.

« Je n'ai clairement pas envie de partir. » Soupira Lucie, manquant de peu de s'effondrer contre l'épaule d'Alexia tellement elle était épuisée moralement.

Celle-ci pinça les lèvres. « Et tu es sûre que tu ne peux pas venir à la maison ? Mes parents seraient contents de te revoir. »

« Aucune chance, » elle secoua la tête, avant d'ajouter avec dégoût, « je ne peux pas échapper au sud de la France. Toutes les années c'est pareil. »

L'espoir de la blonde retomba tout aussi rapidement qu'il était monté. Elles restèrent assise en silence à déprimer à deux jusqu'à ce que Camille arrive à leur côté, marmonnant des insultes à l'encontre de tous ceux qui se trouvaient dans le hall, c'est-à-dire tout le monde.

Elle se posa en soupirant à côté d'elles et les regarda avant d froncer les sourcils. « Vous aussi vous en avez marre de tout ce monde ? »

Mais Lucie secoua la tête, ayant juste quatre mots à dire pour expliquer son état d'esprit. « Sud de la France. »

Le visage de la brune s'éclaira avec compréhension avant de grimacer. « C'est la merde. »

Un nouveau silence s'installa entre les trois amies, chacune profitant de la présence des autres une dernière fois avant de devoir passer deux mois séparées. Leur moment fut tout de même interrompu quand la tante de Camille fit son apparition un peu plus loin dans le hall.

Les yeux de la jeune fille commencèrent à briller, signe qu'elle était quand même heureuse de rentrer chez elle. Contre toute attente, une ombre passa sur son visage qui s'assombrit automatiquement et sans raison apparente.

Lucie fronça les sourcils, ne comprenant pas le soudain changement de comportement de son amie. « Quelque chose ne va pas Cam ? »

« C'est juste que- » Mais elle secoua la tête, se levant pour aller rejoindre sa tante. « Rien, laisse. » Elle s'éloigna ensuite tout en marchant à reculons pour leur parler. « On s'appelle hein ? »

« Et ce comme toutes les années ! » S'exclama Alexia avec un soudain élan d'enthousiasme.

Avec un dernier sourire, Camille disparut dans la foule, les faisant seules avec leur déprime. Elles furent cependant rapidement rejointes par Maximilien et Lucas, les jumeaux et Jules étant déjà partis, les laissant ainsi seuls tous les quatre.

« Qu'est-ce que vous faites ? Vous avez des têtes d'enterrement. » Commenta le blond en s'installant à côté de sa copine.

« Le sud de la France. » Se contenta-t-elle de lui répondre, peu encline à en dire d'avantage.

« J'aime bien le sud. » Dit Lucas qui s'apprêta à ajouter quelque chose, mais qui fut coupé par le soupire audible d'Alexia.

« Mes parents sont là. » Après un regard long et triste à sa meilleure amie qui tenta un petit sourire pour la rassurer, la jeune fille se leva et se tourna vers Max. « Tu viens ? »

Ce dernier écarquilla les yeux avec peur. « Comment ça je viens ? »

« Et bien, tu y as peut-être échappé à Noël, mais tu n'y échapperas pas cette fois-ci. Viens, je vais te les présenter. »

Même s'il était évident que cette idée le terrifiait, il se leva tout de même et la suivit, tentant au passage de se cacher derrière elle alors que c'était impossible dû à leur différence de taille.

Il ne restait donc que Lucas et Lucie qui restèrent silencieux pendant quelques secondes après leur départ.

« Beaucoup de choses ont changé cette année. » Déclara-t-elle, le regard perdu dans le vide et dans ses pensées.

Lucas l'observa, fasciné pas la beauté qui se dégageait des traits de son visage. « Ça c'est sûr. Tu te souviens quand tu m'as dit que tu me détestais et que ça ne changerait jamais et que je t'avais répondue qu'on allait voir ça ? »

Cette réflexion attira l'attention de la jeune fille qui lui rendit son regard en acquiesçant.

« J'avais raison. »

À l'apparition de son sourire en coin qui était devenu sa signature personnelle, elle leva les yeux au ciel. « Ne te jette pas des fleurs, c'était juste un coup de chance. »

Ils rigolèrent de bon coeur, oubliant momentanément que c'était le début des vacances d'été et qu'ils allaient être séparés pendant deux mois.

Seulement, l'arrivée du père de Lucas les ramena à la réalité, faisant immédiatement retomber leur sourire.

« Je peux attendre avec toi que tes parents arrivent si tu veux, ça ne dérangera pas mon père d'attendre. » Lui proposa Lucas en la regardant dans les yeux.

« Non vas-y, » lui répondit-elle en secouant la tête, « ne t'en fais pas pour moi. »

« Tu es sûre ? »

Elle hocha la tête et lui fit enfin un vrai sourire, parce qu'il n'y avait que ça pour le convaincre qu'elle allait bien et qu'il n'avait pas à s'inquiéter. Ils le savaient tous les deux.

Avec douceur et sincérité, Lucas l'embrassa sur la joue, profitant de ce moment au maximum avant de devoir se lever, de lui faire un clin d'oeil avec une dernier sourire en coin et d'aller rejoindre son père.

Lucie le regarda s'éloigner et disparaitre dans la foule avec un petit sourire distrait aux lèvres. Elle était heureuse.

Du moins, jusqu'à ce que ses parents apparaissent dans son champ de vision, brisant le petit monde qu'elle venait de se créer et la réalité la rattrapant brutalement.

Elle n'était pas prête à partir. Elle n'était pas prête.

FIN


Nombre de mots : 3000

Fini.

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