... Quelques semaines plus tart....

*école primaire*

Elle récupérait son frére comme chaque jours, quand au moment de partir, il était là, juste devant elle, planquer et loin des regards.

-Célya: on part, grouille!

Elle courra avec son frére, mais fut vite rattraper par l'individu, qui, malgré la foule avec eux, lui montrer visiblement, son poignard, cacher dans son pantalon.

-Célya: Si vous approcher, j'appel mon père

Elle pris son frére à bras puis courra, loin et vite. l'homme n'avait rien fait ni empêcher

.....Quelques jours plus tart...

Elle le vit, de nouveaux, mais cette fois devant le portail, à attendre. Pris de panique,  et voyant son frére sortir, elle courra et le pris par le bras pour le serrer contre elle.

-Célya: si vous toucher un cheveux de mon petit frére!

-???: il est mignon. cameron, c'est sa. je me demande si le sera toujours mort

Elle garda son calme pour pas alerter.

-Célya: vous voulez quoi?

-???: que ton père me lâche, ainsi que la police tout entière

-Célya: hein? mais qu'est ce qu'on

-???: il est vraiment mignon

-Célya: je peux rien faire pour vous

-???: t'a bien vue que je me suis rapprocher du portail, et personne ne m'a vue. je pourrait aussi bien rentrer la prochaine fois, et

La fille voulut le frapper, mais se retena. L'homme parti, comme eux.

... quelques jours plus tart...

Encore une fois, il était là.

-Célya: je vous est dit de

-???: comment va ton père? il n'est pas mort j'espère

...plus tart...

*Maison*

La fille, inquiète, fixait dehors, lorsque son père, avec sa mère,  ouvra la porte. directe, elle alla dans ses bras, ce qui le surpris.

-Célya; tu n'a rien tu n'a rien

-??? (presque larmes aux yeux) c'est rien, ton père à, à juste eu une balle dans le ventre et  

-???: chérie

-???: (presque larmes aux yeux) arrête. sa suffit. arrêter. ce type t'a coller une balle, une balle. tu aurait pu mourir

-???:  chérie, chérie. viens, là, venez là

Ses deux femmes pleurait.

-???: moi vivant,  jamais je mourrais

-???: reste avec nous ce soir. j'ai peur pour toi

-???: ma chérie

-Célya: reste papa. je veux plus que tu soit blesser

-???: je peux pas, ce type ce fou de moi, je doit. .......... bon, d'accord. pour cette fois

...quelques semaines plus tart....

*école primaire*

La fille était heureuse. elle n'avait plus revu l'homme, plus de menace, et sa famille allait bien. Soulager, elle attendait son frére au portail, quand elle ne le vit pas. Plus le temps passer, plus elle trouvait sa long. Elle alla voir alors un pion.

-Célya: excuser moi, cameron mahone n'est pas là

-Surveillant: cameron. il vient de parti avec votre oncle. j'ai appeler votre mère pour prévenir, mais comme il avait procuration

-Célya: mon oncle est au travaille, c'est pas 

Et là, elle le vit, pleurant, et allant dans une allée.

-Célya: cam!!! arrêtez!!!!

Elle le poursuiva dans la ruelle.

-Célya: lâchez mon frére

-???: c'est ta dernière chance! 

-Célya: je peux rien faire 

Il mit son couteaux sous la gorge de son frére.

-Célya: cam!!!.  je vous assure, je peux rien faire. j'ai dissuader mon père, mais il veux vous arrêter

-???: ....... .tant pis pour toi

Il entailla un peux le poignet du petit, qui hurla de douleur, avant de le laisser part terre  pisser le sang.

...plus tart...

*Hôpital*

Les parents accoururent en urgence, suite à l'appel d'une personne, passant par là, qui avait donner l'alerte. Après l'avoir remercier, ils retrouvèrent leur fille, assise, toujours stoïque. Ils avaient beaux lui parler, rien n'y faisait, elle ne parlait pas. Ce n'est que lorsqu'elle réalisa enfin ce qui c'était passer, qu'elle craqua et pleura.

-Célya: je suis désoler, désoler, tout est de ma faute, pardon, pardon papa

-???: quoi?

-Célya: il a, il a, shales, cameron

-???: tu là vue?

-Célya: a la ruelle, plusieurs fois  il voulait, que tu arrête de le poursuivre. je lui est dit non, et maintenant, cameron, il est

Il prit sa fille dans ses bras, la rassurant,  le temps que sa femme n'arrive.

-???: comment va t'il?

-???: Il va bien, mais il pleure. tu devrait allez le voir

Elle resta avec sa fille, le temps que l'homme ne revienne.

...plus tart...

*Maison*

La famille était revenu chez eux. la fille exténuer, alla sur le canapé avec son frére a bras. leur mère alla les voir, et s'installa avec eux. Le père, lui, cogita, quand le choix s'imposa. Il repris ses clé et alla faire un tour.

...plus tart...

La fille, repensant a ce qui c'était passer, ce réveilla en sursaut, avec un mauvais pré-sentiment. Elle se leva, alla a la cuisine boire un verre, lorsque, pour ne sait quelle raison, elle voulut regarder par la fenêtre, sans doute pour son père, qui n'était pas encore revenu, mais ce fut une grave erreur. Elle le vit, dans le jardin, entrain de la fixait. Elle pensa a une hallucination, mais remonta vite quand elle le vit courra vers elle. Pris de panique, elle alla voir son frére, qui pleura car il était tart, mais elle le pris a bras et alla avec sa mère, au tel avec leur oncle pour savoir ou était son père.

-Célya: faut partir! vite!

-???: je te rappel (raccrochant) hé, qu'est ce qui ce passe (entendant du bruit en bas) c'est surement votre père

-Célya: maman, non. c'est shales!

La mère, après avoir regarder dans les escaliers et vue, revenu et les enferma.  Malheureusement, cela ne suffit pas, et il défonça la porte, les emmenant en bas, ou il les ligota, avec du scotch sur la bouche.

-Shales: personne ne viendra, même pas ton père. à l'heure qu'il est, il doit être, à 4h de route, sur une fausse piste. mais dit moi, ton frére va mieux?

L'homme appuya fort sur la blessure, ce qui fit hurler le petit. La fille pleura, pensant, suppliant que son père arrive. Son souhait fut exaucer quand l'homme fut frapper par derriére et tomba a terre. Leur sauveur les détacha, enlevant le scotch.

-???: allez, on 

Mais en voyant son fils, la haine monta.

-???: enflure!!!!

Il commença alors a le frapper, a la frapper, jusqu'à avoir les mains pleins de sangs. des bruits de sirène retentirent

-???: partez. partez

La femme, les larmes aux yeux, alla dans les bras de son mari.

-???: je t'aime je t'aime. prend soin des enfants

Après un dernier baiser, elle pris ses enfants avec elle et s'enfuiya.

....quelques jours plus tart....

*Police*

Libérer, il rejoingna sa famille dehors. Il embrassa sa fille, son fils, puis sa femme, leur fit un câlin a chacun, lorsqu'il vit quelqu'un, qui l'attendait.

-???: je revient, bougez pas

Il alla voir l'homme, qui lui remis un badge.

-???: heureux d'étre libérer

-???: comment vous

-???: ne poser pas de question, obéissez, et tout ira bien. je me nomme ??? ????. je serait, disons, votre partenaire secret. bienvenu parmis nous, agent ???

La famille ne le savait, mais le meurtre commis par son père aura d'énorme impacte sur lui.