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Chapitre 69

« Bonne chance à celle sur qui Natacha décidera de se venger. »

Dae Yung avait écrit ce message noir sur blanc dans les Monts Rhodopes, il y a tant de mois que tous avaient oubliés ces événements. Que Haris ait drogué la mercenaire avec une dose plus que raisonnable, lorsque cette dernière était venue espionner Chrysis sous l'ordre de Vasco, était une époque dont personne ne semblait se souvenir.

Mais si la Russe avait laissé couler sa vengeance quelques temps, elle ne l'avait pas pour autant oubliée. Natacha Petrov n'était pas la fille d'Anatasia Lebedova pour rien. Tous connaissaient la signification des trois larmes tatouées sous l'œil gauche du bras-droit d'Inacio.

L'autre jour, en passant à la villa pour ramener Chrysis chez elle, la jeune femme avait fait un rapide repérage des caméras de surveillance.

Natacha aurait pu tuer ou blesser l'un des habitants de la villa en signe de représailles. Ou encore brûler la maison, la faire exploser. Mais la jeune femme avait pour une fois fait le choix de la violence psychologique.

Il faut bien se diversifier, de temps à autres. S'était-elle dit tout en élaborant son plan.

La blonde était donc venue, plusieurs soir d'affilée, pour espionner les habitudes alimentaires d'Haris. Et très vite, la mercenaire avait remarqué l'habituelle tisane que prenait la garde du corps chaque soir.

Et, chose incroyable, Sasha avait cette même routine.

Son premier plan avait été d'intervenir le soir où Chrysis et Vasco étaient partis vers la côte, un sac de course remplis de feuilles en main. Mais malheureusement, Sasha les avait accompagnés, ce qui avait contrecarré ses plans.

La russe ne voulait pas seulement atteindre Haris, mais le binôme entier de bodyguard. Le blond ne lui avait peut-être rien fait, mais l'attaque était parfois la meilleure des préventions.

Elle avait donc attendu quelques jours supplémentaires, jusqu'au dimanche douze mai. Le petit couple avait visiblement décidé de passer la nuit dans la villa de Vasco, et par conséquent ni de Sasha ou d'Haris n'avait jugé nécessaire de les suivre.

La blonde avait pris un malin plaisir à s'infiltrer dans la cuisine de la villa ce soir-là, alors que les deux gardes du corps s'occupaient de la petite Dulce dont les parents étaient partis se balader. Natacha changea l'intégralité de la boîte de thé avec une autre, dans lesquels elle avait injecté une drogue puissante et inodore qui allait les endormir profondément pour la nuit entière, si ce n'est plus.

Le plus discrètement possible, elle s'était ensuite faufilée jusqu'à la chambre vide de Chrysis : personne ne risquait de passer par ici, ce soir.

Allongée sur le grand lit de la princesse, Natacha passa presque une heure sur son téléphone, à skroller machinalement sur les réseaux sociaux. Elle s'était arrêtée seulement lorsque la villa fut plongée dans le silence absolu. Là, la mercenaire s'était discrètement  glissé en dehors de la chambre où elle s'était cachée, pour descendre l'escalier.

Elle fit un détour au premier étage, pour s'assurer que Sasha était bien profondément endormis. Au bruit des ronflements qu'il faisait, ça ne laissait aucun doute. La jeune femme se rendit ensuite au rez-de-chaussée. Inutile de faire un tours par la chambre de Dulce : l'enfant dormait inévitablement, et surtout ne faisait pas partie de son plan. Elle se rendit donc immédiatement au pied du lit d'Haris, un rictus gravé sur le visage.

Des poche de son cargo, la blonde sortit deux photos, qu'elle avait pris soin d'imprimer en bonne qualité.

La première était un selfie. C'était elle-même qui prenait le cliché, faisant insolemment un V avec les doigts de sa main libre. Et derrière elle, il y avait Noah. Endormis dans son lit, visiblement insouciant du danger qui le frôlait presque. Anastasia s'était en effet infiltrée il y a quelque temps chez le brun, après avoir compris qu'il était cher aux yeux d'Haris. Elle posa délicatement l'image sur la table de nuit de la garde du corps, après avoir rapidement écrit au verso :

Ne te met pas à dos les mauvaises personnes.

La deuxième photo représentait également elle et Noah. Mais cette fois-ci, le jeune homme était bel et bien réveillé. Il souriait à la caméra, son épaule collée à celle de la blonde. Car Natacha n'avait pas voulu se contenter de montrer à Haris qu'elle connaissait son lien avec ce garçon, et qu'elle pouvait ruiner sa vie à tout moment. Oh, non. La mercenaire avait poussé le vice encore plus loin en sympathisant avec le jeune homme à la sortie de son école de commerce, profitant de son lien familial avec Vasco pour engager la conversation.

Elle n'avait écrit aucun mot, derrière cette photo-ci. Natacha s'était contentée de la déposer à côté de l'autre, avant de sortir de la pièce, prenant soin de ne pas refermer la porte de la chambre derrière elle. Afin de laisser dans la villa une autre trace de son passage.

La blonde se rendit ensuite dans la cuisine. Là, elle désinfecta minutieux les tasses, ainsi que la théière, afin de ne laisser aucune trace de la drogue. Elle prit ensuite la boîte avec les sachets trafiqués pour la remplacer avec une autre, totalement basique, prenant soin d'y laisser le même nombre de sachets. Natacha sortit ensuite de la villa , crocheta la serrure pour refermer la porte à clefs, et débloqua les caméras de surveillance et donc le système d'alarme, avant de partir définitivement.

Haris comme Sasha se réveillèrent deux heures plus tard qu'à leur habitude, le lendemain matin. Et tandis que le jeune homme mettait ça sur le manque de sommeil, la brune frôla la crise de nerf en découvrant les images qui trônaient sur sa table de nuit.

— Tu vas bien ?

Elle se retourna subitement vers Chrysis, qui mangeait son petit déjeuné. La princesse observait sa meilleure amie, sourcils froncés : depuis cinq minutes, cette dernière fouillait dans tous les tiroirs et avait décortiqué les sachets de thé encore neuf. Des miettes étaient même tombées par terre, et Bestiole s'était aussitôt chargé de les gober.

— Oui, oui, ça va.

— Tu m'as l'air un peu tendue.

C'était une euphémisme. Elle était morte d'inquiétude pour Noah qui ne répondait pas au téléphone. La garde du corps avait pris très au sérieux la menace de Natacha, et avait appelé Izïa et son équipe presque immédiatement. Mais ceux-ci lui avaient dit ne rien pouvoir faire, autant parce que Natacha était difficile à tracer que parce que Noah était extérieur à sa mission. La jeune femme n'en fut que plus stressée.

Extérieur à la mission.

L'homme qu'elle aimait n'avait pas le droit de faire parti de ses priorités.

— Je suis juste un peu fatiguée.

— Oh, tu veux prendre des vacances ?

La jeune femme sourit doucement, elle avait vraiment une meilleure amie en or.

— Non, non, ça va aller... je pense proposer à Noah de passer après ses cours par contre, ça te dérange ?

— Pas du tout ! Tu sais quoi, je vais même dire à Kim et Antoni de venir. Ça fait longtemps qu'on a pas vu tout le monde.

Tout le petit groupe arriva donc à la villa à dix-sept heures trente. Antoni avait une petite valise avec lui, et Sasha le bloqua dès le portail :

— Vous pouvez ouvrir, Monsieur ? Je ne peux pas vous laisser entrer avec ça.

— Oh nan, s'il-te-plaît ! C'est une surprise !

— Je n'aime pas du tout les surprises.

Au vu du physique très intimidant du garde du corps, le roux avait rapidement craqué pour ouvrir son bagage. Sasha l'avait fouillé rapidement avant de le laisser passer. Ça n'était que des habits. En même temps, si sa mémoire était bonne, le garçon était en école de mode. Ce contenu n'était pas donc bien étonnant.

Dulce était particulièrement heureuse de voir Kim. C'est vrai que depuis leur première rencontre, l'enfant était fascinée par la beauté du jeune homme. Mais très rapidement, son attrait pour l'artiste s'éteignît et la petite fille repartit envahir les jambes de son père. La fillette qui avait attendu si longtemps d'avoir un papa qu'elle semblait tout particulièrement décidée à ne jamais le lâcher.

— Alors Chrysis, tes partiels ? Avait demandé Noah tout en s'affalant sur le canapé. Personne ne manqua de remarquer que le jeune homme et Haris étaient de plus en plus proches. La bodyguards venait de s'asseoir à côté de lui, et presque automatiquement son partenaire avait discrètement passé son bras sur ses épaules.

— Je suis en semaine de révisions dès lundi. Mais ça devrait le faire, je pense.

Chrysis n'était pas une élève particulièrement studieuse, mais sans pour autant être un cancre. Jusqu'ici, elle s'était toujours débrouillée pour avoir ses années sans inquiétudes.

— Et vous, vos examens arrivent, non ?

— Oui, justement ! Avait renchérit Antoni tout en tirant sa valise vers lui, avant de continuer :

— Je suis plus mannequin que couturier, mais j'ai l'option couture. Et pour valider l'année je dois donc autant défiler que présenter des pièces fait main. J'ai fait un habit pour Dulce, et comme c'est un véritable chef-d'œuvre, je me demandais si tu accepterais qu'elle défile avec moi.

— Pourquoi Dulce en particulier ? Avait alors demandé Sasha, froidement. Il ne connaissait pas assez les amis de Chrysis pour les jauger, et avait peur que le jeune homme se serve de la célébrité des princesses pour faire le buzz. Haris comprit immédiatement ce que pensait son coéquipier, et lui adressa un regard apaisant. Le groupe d'ami de leur cliente était sain, et aucun des garçons n'était assez vicieux ou profiteur pour se servir de Dulce comme de sa mère.

— Parce que Dulce est la seule enfant de trois ans que je connaisse et parce que sa mère et l'une de mes meilleurs amis. Avait immédiatement répondu Kim, ce à quoi Sasha avait acquiescé.

— Fait voir la tenue ? Avait demandée Chrysis en souriant, et un peu impatiente. Elle allait accepter volontiers la demande de son ami, mais souhaitait avant ça voir ce qu'il leur avaient concocté.

Le jeune homme ne se fit pas attendre pour ouvrir sa valise et en sortir une jolie  petite robe, brodée de beige en haut et avec une jupe qui partait en froufrous de tulle rose et verte pâle. Il y avait également un serre-tête sur lequel trônaient deux magnifiques papillons d'amidons, aux couleurs de la jupe, si grands qu'ils pouvaient faire office de chapeaux.

— Waw, c'est magnifique.

— J'ai moi-même une tenue assortie.

— Je pourrai venir à ce défilé ?

— Tu acceptes ? Avait demandé le garçon à la peau ébène, des paillettes plein les yeux.

— Bien sûr, que j'accepte !

— Oh merciiiii ! Je t'adore, je t'adore, je t'adore !

— C'est moi qui vais t'adorer quand je vais voir Dudu avec ça.

— Oh, d'ailleurs, elle peut l'essayer maintenant ? Pour voir les retouches à sa taille.

La jeune maman s'était retournée vers sa fille, qui l'observait les yeux grand ouvert. La blondinette avait très bien compris qu'elle était le centre de l'attention, ce qui semblait tout particulièrement lui plaire.

— Dudu, tu veux essayer la belle robe que Kim a faite exprès pour toi ?

La petite princesse sourit et descendit immédiatement des genoux de son père, visiblement ravie à l'idée de servir de mannequin.

Coup de chance, la robe était presque à sa taille. Il y avait juste le tour d'épaules à rétrécir de quelques centimètres, mais d'après le couturier en herbe l'opération allait être simple.

Le petit groupe d'amis restèrent quelque heures à la villa, et Sasha s'intégra peu à peu au groupe. Ça n'était pas dans ses habitudes, de sympathiser avec ses clients et leur entourage, mais Izïa lui avait conseillé de laisser un peu tomber ses barrières pour son travail avec les Apo Ti Thalassa.

Alors il le faisait, même si c'était extrêmement dur pour lui. La dernière fois qu'il avait laissé tombé ses barrières en mission, il était tombé amoureux.

Et dire qu'il était tombé était un euphémisme. Lui et Gabin avaient plutôt fait une chute libre et mortelle.

Le jeune homme avait particulièrement du mal à se détendre face à Kimia et Antoni. Le petit couple était adorable, et justement, c'était bien ça le problème. Le fait qu'il soit entouré de trois couples et soit le seul célibataire ne facilitait pas non plus les choses.

Le garçon roux et celui à la peau hâlée partirent tous les deux à vingt heures : ils avaient un repas de famille avec leurs parents respectifs, qui allaient se rencontrer pour la première fois. Et même si depuis le début ils tentaient de dissimuler leur stress, ce dernier se faisait de plus en plus envahissant.

Noah, lui, était resté pour le dîner. Il sentait bien que Haris n'était pas dans son état normal et qu'elle cherchait à lui parler en privé depuis le début. Il l'avait donc accompagné dans sa chambre après le repas.

— Ça va ? Avait-il demandé immédiatement après avoir fermé la porte derrière lui.

La réponse de la brunette fut de lui mettre une photo sous les yeux. Le jeune homme fronça les sourcils et recula légèrement la tête afin de distinguer l'image. Là, il comprit immédiatement les inquiétudes de son interlocutrice. Enfin, crut comprendre.

— C'est vrai que je t'en ai pas parlé, désolé. C'est Natacha, une amie à Vasco. Si j'ai bien compris ce qu'elle m'a dit, ils sont meme cousins très éloignés. Mais il n'y a rien entre nous ! Je la connais à peine. Comment tu as eu cette photo ?

Haris eut un léger moment de suspens, et tenta coûte que coûte de dissimuler sa surprise.

Alors, comme ça, Natacha Petrov et Vasco Sonhador avaient un lien de parenté ?

— Comme tu l'as dit, c'est une cousine à Vasco... elle me l'a donnée.

La jeune homme avait haussé les sourcils, visiblement étonné :

— Ok, étrange.

La bodyguard avait soudainement chiffonné le cliché, pour le jeter à l'autre bout de la chambre, tout en grommelant dans sa barbe.

— Tu ne l'aimes pas ?

— Fait attention à elle, je ne la sens pas.

— Pourquoi ?

Noah et son optimisme... il en devenait naïf, parfois.

— Quel genre de fille va donner à une autre femme une photo d'elle avec son copain ? Avait sèchement répliqué la bodyguard, tout en remettant sa frange en place.

Noah resta là, l'air idiot, sans trop savoir que répondre. Il ne savait pas si Haris avait raison, ou tout simplement si sa profession la rendait paranoïaque.

Quelques longues secondes de silence passèrent, jusqu'à ce que la phrase de son interlocutrice lui revinrent en tête.

— Tu as dit que je suis ton copain ? Avait-il demandé en souriant bêtement, quoique persuadé qu'il avait mal entendu. Face à lui, la brunette rougit violemment :

— Je... enfin... tu comprends quoi.

Car officiellement, ils n'étaient pas ensemble. Comme si s'avouer l'un à l'autre qu'ils voulaient être un couple était une étape jusqu'ici trop difficile à franchir.

— Je veux bien !

— Tu veux bien quoi ?

— Être ton copain.

Haris avait regardé le garçon avec des grand yeux, presque effarés. C'était à cet instant précis qu'elle devait poser un choix : entre son organisation professionnelle, et Noah. Car elle ne pouvait décemment pas entretenir une relation amoureuse avec le jeune homme, tout en exécutant bien son travail. Ses missions ne laissaient qu'une place réglementée à la vie privée.

Or, le choix, elle l'avait déjà fait depuis longtemps, et y avait longuement réfléchi. Sasha, Izïa et Jayson étaient tous trois au courant de la situation, et l'aidaient depuis plusieurs jours à poser la meilleure décision.

Celle d'une vie bien plus simple, et avec tant de possibilités.

— Je ne veux pas que tu sois une simple amourette presque adolescente, tu sais. Avait-elle répondu au brun. Il avait sourit de tout ses dents avant de répliquer :

— Moi non plus. Je veux construire quelque chose avec toi.

— Tu es au courant que tant que je serai garde du corps, il y a des choses sur mes missions et mon organisation que tu ne pourras jamais savoir ? Et que je pourrai être mutée n'importe où du jour au lendemain ?

— Ça ne me fait pas peur.

En réalité, si, ça l'effrayait. Mais il refusait que sa crainte ne prenne le pas sur ses sentiments envers la jeune femme. Quand il la voyait face à lui, il voyait la personne avec qui il voulait vieillir. Il voulait ne jamais quitter ces yeux bleu-gris, ces cheveux bruns et ondulés, ces traits doux bien que parfois sévères, et ces lèvres... ces lèvres auxquelles il n'arrivait jamais à résister.

Noah rapprocha doucement son visage de celui de son interlocutrice pour s'emparer de ces lèvres avec les siennes. Si belles, si vaillantes, si parfaites.

Mais Haris avait finit par se détacher de lui :

— Il y a des choses que je sais et que tu ne sauras jamais, Noah, c'est comme ça. Et je te demande de faire attention à Natacha.

— C'est la cousine à As !

Raison de plus.

— Ça n'est pas parce qu'une fille a un lien de sang avec ton meilleur ami que ça fait d'elle quelqu'un de bien.

— Un peu quand même...

La garde du corps soupira, visiblement énervée. Elle saisit le portugais par la main et le tira en dehors de la chambre.

— Qu'est-ce que tu fais ?!

Mais au lieu de lui répondre, Haris avait appelé Vasco, en chuchotant pour éviter de réveiller Dulce. Plus précisément, elle avait surtout éructé le prénom du mafieu :

— Vascoooo !

Le blond était avec Chrysis dans le canapé, et c'était immédiatement levé :

— Qu'est-ce qu'il y a ?

— Tu savais que Natacha et Noah se sont rencontrés ?

— Non.

Il souriait en apparence, mais tous les muscles de son corps s'étaient tendus.

— Aurais-tu l'obligeance d'affirmer à Noah que ta cousine éloignée d'on-ne-sait où n'est pas une bonne fréquentation.

Le mafieu grimaça. Non seulement car il ne voulait pas dire du mal de sa cousine qu'il aimait de tout son cœur, mais aussi car visiblement elle avait révélé un possible lien de parenté entre eux. Ce qui pouvait rendre bancale sa fausse identité.

— J'aime sincèrement Natacha, mais elle n'est pas quelqu'un de recommandable, il faut l'admettre.

— Tu sais, il y a toujours ce cousin qui pète un câble, dans une famille... Avait relativisé la garde de protection rapprochée, sur le ton de la plaisanterie. En face d'elle, Vasco avait sourit, même si au fond de lui il était certain d'une chose :  dans sa famille à lui, le cousin qui avait pété un câble, ça n'était pas Natacha.

C'était lui.

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