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Ch1 -L'évacuation de Londres

Londres 1940

Elena jouait aux cartes avec sa mère, ses deux frères dormaient paisiblement à l'étage, elle repensait encore au rêve qu'elle avait eu cette nuit. Une princesse d'un autre monde et une sorcière d'une beauté glaciale. La princesse était tombé dans un lourd sommeil qui la conduirait doucement à sa propre mort. Mais ce qu'Élena avait trouvé bizarre n'était pas son rêve en lui-même, mais qu'elle était la fameuse princesse ensorcelé.

- C'est à toi de jouer, dit sa mère en regardant sa fille par-dessus ses cartes.

La jeune fille sursauta.

- Désolé, dit-elle en jouant sa carte.
- Tu as l'air dans la lune, dit sa mère en souriant.
- Je songeais à papa, mentit Élena.

D'un côté ce n'était pas vraiment un mensonge... mais pas la vérité vrai, non plus. Depuis le début de la guerre en Europe, Élena avait vu partir son père à la guerre les laissant sa mère, ses frères et elle, seules à la maison. Sa mère avait réussi à trouver un travail pour aider dans " l'effort de guerre ", vu que les hommes manquaient dans les usines et les autres postes qu'ils occupaient avant la guerre.

Un bruit sourd, résonnait au loin et semblait se rapprocher. Soudain une sirène retentit dans la nuit noire, résonnant à travers les rues de Londres pour annoncer à ses habitants de s'enfermer dans les boum cœurs les plus proches.

- Elena, va réveiller tes frères, ordonna sa mère.

Laissant tomber son jeu sur le sol, elle se précipita à l'étage. Alan et William, étaient réveillés. Leurs petites mains, poser sur leurs oreilles pour se protéger du bruit des bombardements, criant après leur maman. Elena pénétra dans la chambre, attrapa les couvertures sur la chaise et prit la main d'Alan.

- Venez, il faut sortir d'ici, ordonna-t-elle.

William se précipita vers sa grande sœur et ensemble, ils coururent à travers la maison. À chaque fois, qu'une bombe tombait au sol, les murs de la maison tremblaient, Élena espérait arriver avec les jumeaux sains et saufs dans le boum cœur au fond du jardin. Cette guerre les avait rattrapé bien malgré eux.

Ils franchirent la porte de derrière, leur mère courut vers eux pour attraper William qui peinait à suivre sa sœur. Ce fût ensemble qu'ils pénétrèrent à l'intérieur, leur mère fermant la lourde porte sous le bruit des bombardements alentour. Les garçons pleuraient, leur mère les prit dans ses bras et commença à chanter doucement. Elena s'assit sur l'une des banquettes et écouta sa mère chanter, se concentrant sur les paroles de la chanson pour oublier les bombardements. Les petits s'endormirent de fatigue et le chant de sa mère s'arrêta. Elena s'endormit quelques instants après ses frères, rêvant de ce pays étrange, où la neige était éternelle.

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Elle se trouvait dans un pays étrange où la lumière et les couleurs étaient plus chattoyante, plus vives et belles. Devant elle, se tenait un immense lion à la fourure d'or. Ce dernier, ne semblait pas hostile et même elle semblait en confiance.

- Je regrette tellement tout ce que j'ai fais, dit-elle. Si seulement, j'avais une chance de me racheter, de faire une meilleure version de moi-même.

- Il ne tient qu'à toi de réparer ton erreur, dit le lion.

- Mais comment faire, Aslan?

- La réponse est en toi, Aelena. Une autre vit en toi comme toi tu vis en elle, pour cela il suffit de tendre l'oreille.

- Je ne comprend pas?

- Aelena, Elena, ce sont deux prénoms qui se ressemblent. 

Elle regarda le lion perplexe... Et soudain, elle se retrouva dans un endroit étrange, une toute petite pièce où dormait quatre personne dont, une jeune fille qui lui ressemblait étrangement. Elle portait une tenue différente, ses cheveux étaient coiffés différemment, mais c'était bien elle. Et là, elle comprit. Une âmes séparer en deux, qui n'attend qu'une chose pour être unies à nouveau dans un même corps. Et là, elle eu une idée, mais elle devait attendre le bon moment pour le faire. Mais elle le ferait sa survie en dépendait.

                                                                    🌖🌕🌔

Une semaine durant, les bombardements s'intensifieront. La mère d'Élena, dû prendre une décision. Pour les protéger, et bien que cette décision lui arrachât le coeur, elle décida de suivre les recommandations du gouvernement Anglais, et de les envoyer à la campagne, là où ils seraient en sécuriter, jusqu'à la fin du Blitz.

À la gare de King's Cross, des centaines de familles étaient présentes sur les quais, disant au revoir à leurs enfants. Elena, regardait autour d'elle, les mères avaient toutes le visage fermer et les enfants essayaient de rester courageux, mais certains ne pouvaient empêcher leurs larmes de couler.

-Elena?!

Elena posa son regard sur sa mère.

- Promets-moi, que tu prendras soin de tes frères, dit sa mère, le regard inquiet.
- Je te le promets!
- Bien, dit sa mère, vous serez chez tante Anne. Elle vit dans un manoir à la campagne du côté de Combe, elle vous attendra surement sur le quai.
- Nous ne serons pas séparés? demanda William
- Non, vous resterez ensemble, dit leur mère en lui caressant la joue.

Un contrôleur, criait sur le quai, qu'il était temps pour les enfants d'embarquer dans le train qui les conduirait en sécuriter mais les éloigneraient de leur mère.

Leur mère les embrassa et Élena, prit ses frères par la main, les emmenant avec elle vers le train. William, se retourna une fois pour regarder derrière lui, cherchant désespérément après leur mère. Elena s'arrêta quelques mètres avant la contrôleuse de billets.

- William, vient, dit Élena avec douceur. Tu te souviens, on reste ensemble, tu n'as pas à avoir peur, ni craindre de quoi que ce soit. Tout se passera bien, je te le promets!

William s'agrippa à Élena, comme s'il se raccrochait à une bouée de sauvetage. En voulant reprendre son trajet vers le contrôleur de billets, Élena heurta, sans le voir, un garçon blond qui devait avoir son âge. Lui-même était accompagné d'une petite fille à la mine triste.

- Oh, je suis désolé, dit Élena confuse.
- Ce n'est pas grave, dit-il sans vraiment la regarder. Allez-y!
- Merci! dit-elle doucement.

Les laissant passer devant eux, elle se retrouva plus rapidement devant le contrôleur, qui vérifia les billets, leurs noms de famille et la destination où ils devaient se rendre. Une fois vérifié, ils purent monter dans le train, avec l'aide d'un autre contrôleur qui aidait les plus petits à monter vu l'écart entre le quai de la gare et la porte menant au train.

À l'intérieur du train, Élena et ses frères se postèrent à une fenêtre pour voir où se trouvait leur mère, ils la repérèrent assez facilement, elle parlait avec une autre mère qui gardait ses larmes pour elle afin de ne surement pas inquiéter ses propres enfants.

Le train s'ébranla au coup de sifflet, les enfants disaient au revoir à leurs mères dans des gestes frénétiques de leur bras et de leurs petites mains. Et lorsque le train passa la boucle, tous les enfants et leurs valises quittèrent les fenêtres pour trouver un compartiment de libre. Elena et ses frères, parcourèrent trois compartiments avant de trouver un de libre, non sans rencontrer à nouveau le garçon blond et sa petite soeur qui était accompagné d'un garçon et d'une fille. Elena en conclus, qu'ils devaient être frère et soeur. Ils entrèrent dans le compartiment vide et déposèrent les valises et les sacs dans le panier au-dessus de leur tête, les garçons s'assiérent et regardèrent par la vitre, l'un en face de l'autre, ils ne disaient rien.

Les heures défilaient, les arrêts du train pour déposer les enfants à leur destination, se faisaient fréquents. Les jumeaux regardaient souvent Élena, lorsqu'ils voyaient des enfants être séparés de leur frère ou de leur soeur.

- Ne vous inquiétez pas, maman nous a dit que nous restions ensemble, dit Élena pour les rassurer. Nous ne risquons pas d'être séparé. Vous vous souvenez, on va chez tante Anne.

Ses paroles rassurèrent les jumeaux, qui finirent par s'endormir un peu. Elena regardait par la fenêtre du train, les heures défilaient, les paysages changeaient et elle se demandait si le trajet serait encore long.

Vers le début de l'après-midi, le contrôleur entra dans le compartiment.

- Que les enfants qui descendent à Coombe Halt se dirigent vers les portes.

Elena réveilla ses frères, leur donna leur petite valise et elle prit son sac et la plus grosse valise. Elle entraîna ses frères dans le couloir, jusqu'à la porte la plus proche et lorsque le train s'immobilisa, ses frères descendirent les premiers l'attendant sur le quai tandis qu'elle les rejoignait.

Il y avait des autres enfants à l'autre bout du quai, ils étaient quatre et à bien y regarder, l'aîné ressemblait étrangement au garçon qu'elle avait bousculé par inadvertance à Londres et revu à nouveau dans le couloir, les deux autres enfants devaient être son frère et ses soeur. Car l'aînée, la regarda pendant un cours moment. Elena préféra chercher leur tante du regard, mais ne la trouva nulle part sur le petit quai en bois blanc.

- Où est tante Anne? demanda Alan.
- Elle devrait être là, je suppose qu'elle va bientôt arriver, dit Élena.
- Elena, dit une voix derrière eux.

Elena se retourna, une femme blonde et élégante se rapprochait d'eux. Elena mit un temps à la reconnaître, mais elle reconnut assez vite leur tante.

- Tante Anne, dit Élena.
- Comme tu as grandi, la dernière fois que je t'ai vue tu n'étais qu'une petite fille. Et les deux petits anges doivent être Alan et William.
- Oui!
- Allez venez, dit-elle, nous serons plus tranquilles dans la voiture pour parler.

Elle regarda les quatre enfants qui attendaient au bord du quai lorsqu'ils passèrent à côté d'eux.

- Vous êtes les Pevensie? demanda tante Anne.
- Oui, madame, dit l'aîné des garçons.
- J'ai croisé madame MacCrady, elle va bientôt arriver, ne vous inquiétez pas.
- Merci, madame!

Tante Anne, tenait dans chacune de ses mains la main de l'un des jumeaux. Les petits avaient l'air heureux de connaître, un nouveau membre de la famille. Elle les entraîna un peu plus loin, où les attendait une voiture avec un chauffeur. Qui ouvrit la portière pour les laisser rentrer tous les quatre.

Assis dans la voiture, tante Anne s'amusa à leur raconter, toutes ses aventures de jeunesse et ses souvenirs d'enfance avec leur mère. Le trajet, semblait long pour les jumeaux qui avait du mal à rester éveiller. Il était vrai, que les dernières nuits avaient été mouvementer pour tous les trois, les bombardements n'étaient pas très reposants surtout quand ceux-ci se déroulaient en pleine nuit, cela les forçait souvent, de se lever et de courir jusqu'au boum coeur.

Le manoir, fut enfin en vue, la voiture remonta le long de l'allée et s'arrêta devant la porte. Un intendant, se tenait bien droit en bas des marches du porche et s'approcha de la voiture, ouvrant la porte en tendant le bras à tante Anne. Elle mit sa main sur ses bras tendus, et sortit la première de la voiture. Les jumeaux sortirent de la voiture avec l'aide du majeur d'homme, qui les déposa à quelques centimètres de leur tante. Il tendit à nouveau son bras pour qu'Élena puisse sortir de la voiture. Timidement, elle déposa sa main sur ce bras et sortit de la voiture toujours aussi timide et gênée que la première fois.

- Bonjour madame, le trajet fût-il agréable? demanda-t-il d'un ton terne.
- Oui, Roger, vous pourriez emmener les bagages de nos petits invités dans leurs chambres, dit Anne toujours sur ce même ton doux.
- Bien Madame!

Tante Anne, regardait les trois enfants d'un sourire doux.

- Venez, nous serons plus à l'aise à l'intérieur, dit-elle en prenant les mains des jumeaux.

Elena suivit, sa tante et observait le manoir, avec des yeux ronds et émerveiller. Montant les quelques marches en pierre, et une fois l'immense porte d'entrée franchie. Elena, était émerveillé par la splendeur des lieus, sa mère lui avait une fois expliqué que le manoir appartenait à sa famille depuis des générations. Tante Anne les entraîna dans la cuisine, et se mit à l'oeuvre.

- Que voulez-vous? Vous devez avoir faim? Je peux faire des pancakes, des toasts à la confiture ou des oeufs avec du bacon? demanda-t-elle en les regardant.
- Des pancakes, crièrent les jumeaux en coeur.
- Va pour les pancakes, dit tante Anne ravie.

Elena s'assit à la table et regardait les domestiques des cuisines s'affairer sur le menu de ce soir. Ils n'étaient pas étonnés de voir leur maîtresse préparer des pancakes. Lorsque tante Anne eut fini, les jumeaux et Élena mangèrent leur pile de bon coeur, le trajet du train, les avait fatigués mais aussi affamés. Tante Anne les regardait manger de bons coeurs, un sourire illumina son visage.

- Après je vous montrerais vos chambres, dit-elle doucement.

C'était comme se sentir à la maison, même si la maison paraissait plus vaste. Elena et surement les jumeaux avaient déjà repéré certains endroits dans la maison et le potentiel incroyable au niveau des jeux.

Leur assiette vidée, ils suivirent tante Élena à l'étage et s'arrêtèrent devant une porte en chêne.

- Voici la chambre des jumeaux, ainsi vous ne serez pas séparé, dit Anne en ouvrant la porte.

La chambre des jumeaux comportait, deux lits à baldaquin disposé l'un à côté de l'autre avec deux cheveaux à bascule et aussi des coffres à jouets au pied de leurs lits respectifs. Il y avait aussi deux armoires immenses aux décorations magnifiques. Les jumeaux coururent dans leur chambre, regardant dans l'armoire si leurs vêtements y étaient déjà. Et à leur grand étonnement, ils y étaient impécablement ranger. Pendant que les jumeaux regardaient dans leur coffre à jouets, tante Anne, se dirigea vers la porte en face de celle des jumeaux et observait Élena avec un sourire.

- Voici ta chambre, dit-elle en ouvrant la porte.

Elena resta un moment sur place devant la beauté de la chambre que tante Anne avait faite pour elle. Elle avait un coffre au pied de son lit baldaquin, qui était plus grand que celui des jumeaux. Elle pénétra dans sa chambre, ouvrant le coffre elle y trouva des draps de lit doux comme la soie, avec une boîte contenant surement des choses secrètes.

- C'est la boîte avec tous les petits dessins et même des lettres que tu me faisait état petit, je les ai toute conservés dans cette boîte, dit Anne en souriant. Dans le coffre, il y a toujours le matériel dont tu t'étais servi pour construire une cabane dans la chambre, avec les étoiles et tout ce qu'il te faut. Je n'ai rien osé jeter, de peur que tu m'en veut.

Les souvenirs revenaient, elle se souvenait de ses soirées d'été avant d'aller dormir ou tante Anne et sa mère lui lisaient des histoires magiques dans la cabane secrète qu'elles avaient appelée le château de la princesse Lune. Tante Anne avait d'ailleurs confectionné une robe, pour que la soi-disant princesse les invite à entrer à l'intérieur et puisse en profiter indéfiniment. Elena ouvrit la garde-robe dans un coin se trouvait ses vêtements qui pendaient impécablement et de l'autre côté pendaient des petites robes cousues mains qui auraient pu être du moyen Âge. En prenant l'une des robes, elle eut un sourire discret.

- C'est dommage, elle est trop petite maintenant, dit Élena doucement.

Les souvenirs remontaient, mais elle ne se souvenait plus du pourquoi sa mère les avait emmenés loin du manoir.

- Tu sais ce qui a provoquer le départ de maman? demanda Élena.
- Oui, dit tante Anne. Ta mère est partie avec ton père, lorsque notre mère est décédée, notre père reprochait à ta mère de s'être marié avec le mauvais partit. Curieusement, quand Elizabeth est partie, il a très vite regretté ses paroles et sa santé à décliner très vite. Le jour de son enterrement, j'ai demandé à Elizabeth de revenir, mais elle a refusé, elle m'a dit qu'il était temps pour nous deux de vivres nos vies séparées. J'ai gardé le manoir, et monté mon entreprise de vêtements avec une partie de l'héritage familiale et en même temps j'ai toujours regretté qu'il n'y avait plus de petit cri d'enfants ici.
- Pourquoi, n'as-tu pas d'enfants?
- La guerre m'a pris mon époux, je reçois de ses nouvelles tous les mois, mais je vis dans l'angoisse qu'il ne revienne pas.
- Mon père aussi est parti à la guerre.
- Alors ta maman, vit la même angoisse. Je vais te laisser t'installer, j'ai du travail à faire.

Tante Anne, sortit de la chambre et Élena s'assit sur le lit et observa les meubles. Ses frères, vinrent la voir quelques minutes plus tard.

- Ça a l'air immense ici? dit Alan d'un air enjouer.
- Oui, on va pouvoir faire ce qu'on veut, dit Élena en souriant.
- On sera bien alors avec tante Anne, dit William.
- Je pense que oui, dit Élena.

Les jumeaux se blottirent contre elle.

- Maman, nous manquent, dit Alan.
- Elle me manque à moi aussi, dit Élena en embrassant le front des jumeaux

🌒🌓🌔🌕🌖🌗🌘

Bonjour mes étoiles!

Me voici de retour! Bon les vacances n'ont pas été de tout repos. Être maman , n'est pas de tout repos. Et surtout maintenant que j'ai repris doucement le travail, je vais pouvoir m'atteler sur mes différentes histoires et avancer un maximum dessus. William aura 6 mois, fin de cette semaine et se porte comme un charme, il nous rend fier, c'est un petit garçon très éveillé, qui rit et sourit sans arrêt, il ne pleure pas beaucoup à part le soir, où il est un peu plus agité mais tout ce passe merveilleusement bien. Il a juste eu des début compliquer avec la diversification alimentaire, mais sa ce passe mieux. 

Donc je suis de retour avec ce nouveau chapitre, et premier chapitre de cette histoire. En ce moment, je m'amuse à enlever et remettre des parties, ce qui est un peu fatiguant parfois mais je tiens à ce qu'elle soit la meilleure possible.

J'espère que vous aurez appréciez ce chapitre, je vous retrouve sur mon profil pour vous annoncez la date de sortie du prochain chapitre de l'histoire. Vous êtes de plus en plus à suivre l'histoire et à la suivre. Et je vous remercie mille fois, à chaque fois que je reviens sur le site, j'ai pleins de chose à lire.

Gros bisous mes étoiles ⭐
Emy

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